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Chargement du texte de presse PDF - Fondation Beyeler

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Communiqué <strong>de</strong> <strong>presse</strong><br />

Jenny Holzer<br />

Du 1 er novembre 2009 au 24 janvier 2010<br />

L’Américaine Jenny Holzer (née en 1950 à Gallipolis, Ohio) est l’une <strong>de</strong>s artistes majeures <strong>de</strong><br />

notre temps. Ses projets et réalisations ont fait le tour <strong>du</strong> mon<strong>de</strong> et ont été récompensés par <strong>de</strong><br />

nombreux prix, parmi lesquels le Lion d’Or <strong>de</strong> la Biennale <strong>de</strong> Venise en 1990. Pour la première<br />

fois dans un musée en Suisse, la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong> accueille une gran<strong>de</strong> exposition Jenny<br />

Holzer, avec <strong>de</strong>s œuvres importantes <strong>de</strong>s différentes pério<strong>de</strong>s <strong>de</strong> sa carrière <strong>de</strong>puis les années<br />

1980. L’accent sera mis sur les œuvres récentes, dont certaines seront visibles pour la première<br />

fois en Europe. Les LED (light-emittig dio<strong>de</strong>s), signes distinctifs <strong>de</strong> l’art <strong>de</strong> Holzer, constituent les<br />

éléments les plus marquants <strong>de</strong> cette présentation. Mais l’on pourra voir aussi <strong>de</strong>s sérigraphies,<br />

réalisées au cours <strong>de</strong> ces cinq <strong>de</strong>rnières années, et <strong>de</strong>ux sculptures datant <strong>du</strong> milieu <strong>de</strong>s<br />

années 1990.<br />

L’art <strong>de</strong> Jenny Holzer, souvent basé sur le langage et les technologies innovantes, présente une<br />

esthétique bien à lui, et les travaux <strong>de</strong> l’artiste se rapportent à tous les domaines et thèmes, <strong>de</strong><br />

l’architecture et <strong>de</strong> la technologie à la société, la politique et la littérature.<br />

En exposant Jasper Johns en 1997, Anselm Kiefer en 2001, Ellsworth Kelly en 2002 et<br />

Wolfgang Laib en 2005, la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong> a déjà consacré quatre grands moments<br />

indivi<strong>du</strong>els à <strong>de</strong>s artistes contemporains ; elle est fière <strong>de</strong> pouvoir ajouter Jenny Holzer à cette<br />

liste et particulièrement heureuse d’y voir figurer la première femme. Nos précé<strong>de</strong>ntes<br />

expositions De la couleur à la lumière (2000) et Éros dans l’art mo<strong>de</strong>rne (2006-2007) avaient<br />

déjà montré <strong>de</strong>s œuvres <strong>de</strong> Jenny Holzer. Pour cette exposition « solo » à la <strong>Fondation</strong>, l’artiste<br />

prévoit d’établir <strong>de</strong>s liens entre ses œuvres et l’architecture très particulière <strong>de</strong> Renzo Piano.<br />

L’œuvre <strong>de</strong> Jenny Holzer se caractérise par un assemblage <strong>de</strong> formes convaincantes, d’effets<br />

visuels étonnants et <strong>de</strong> contenus textuels troublants. Ce mélange <strong>de</strong> beauté formelle et <strong>de</strong><br />

langage déconcertant crée un décor dynamique propice au témoignage. Les <strong>texte</strong>s sont <strong>de</strong><br />

nature poétique, sociocritique et politique. Dans ses Truisms (1977-1979), Jenny Holzer abor<strong>de</strong><br />

l’idéologie, la violence, la souffrance, l’ignorance, l’humour, le sentimentalisme et la vulnérabilité.<br />

Elle va et vient entre le public et le privé, le politique et le physique, l’universel et l’indivi<strong>du</strong>el.<br />

Immuablement concernée par les temps présents, elle les remet en question et nous soumet<br />

<strong>de</strong>s avis, positions et commentaires.<br />

Au début <strong>de</strong> sa carrière, à la fin <strong>de</strong>s années 1970 et jusque dans les années 1980, Jenny Holzer<br />

plaçait ses <strong>texte</strong>s et messages subversifs sur <strong>de</strong>s posters, <strong>de</strong>s panneaux, <strong>de</strong>s écriteaux peints à<br />

la main, <strong>de</strong>s t-shirts. En 1982, elle commence à utiliser la technique <strong>de</strong>s LED qu’elle combine<br />

normalement avec <strong>de</strong> la publicité et <strong>de</strong>s annonces, brouillant ainsi astucieusement les habitu<strong>de</strong>s<br />

<strong>de</strong> perception et <strong>de</strong> lecture <strong>du</strong> passant. La première fois qu’elle recourt à ce procédé, elle<br />

programme un écran géant électronique (billboard) sur Times Square, à New York, avec <strong>de</strong>s<br />

propos tels que : ABUSE OF POWER COMES AS NO SURPRISE (L’abus <strong>de</strong> pouvoir ne vient


pas par surprise) ou PROTECT ME FROM WHAT I WANT (Protégez-moi <strong>de</strong> ce que je veux).<br />

Avec le temps, les implications <strong>de</strong> Jenny Holzer dans ce travail électronique sont <strong>de</strong>venues plus<br />

complexes. Tout en continuant à disposer <strong>de</strong>s signes dans l’espace public, elle se met à réaliser<br />

<strong>de</strong>s « environnements immersifs » et technologiques, comme dans ses <strong>de</strong>ux installations <strong>de</strong><br />

1989, l’une à la Dia Art Foundation et l’autre au Guggenheim Museum. Toujours soucieuse <strong>de</strong><br />

toucher le public hors <strong>de</strong>s institutions artistiques, Jenny Holzer travaille à partir <strong>de</strong> 1996 avec<br />

<strong>de</strong>s projections <strong>de</strong> <strong>texte</strong>s grand format dans <strong>de</strong>s espaces extérieurs. Parmi les projections sur<br />

<strong>de</strong> grands bâtiments, notons celles effectuées sur la faça<strong>de</strong> <strong>de</strong> la Neue Nationalgalerie à Berlin<br />

en 2001, au Guggenheim Museum à New York en 2008 et sur la Pyrami<strong>de</strong> <strong>du</strong> Louvre en 2001<br />

et 2009. Une sélection <strong>de</strong> ces œuvres est visible sur le site www.jennyholzer.com. Pour ce faire,<br />

Jenny Holzer mêle souvent ses propres <strong>texte</strong>s à <strong>de</strong>s écrits d’autres artistes, comme le poète<br />

américain Henri Cole, l’écrivaine autrichienne Elfrie<strong>de</strong> Jelinek ou la poétesse polonaise Wisława<br />

Szymborska, toutes les <strong>de</strong>ux Prix Nobel <strong>de</strong> Littérature. Les projections <strong>de</strong> Jenny Holzer à Bâle<br />

reprendront les séries Truisms et Arno (1996) ainsi qu’un choix <strong>de</strong> poèmes <strong>de</strong> Szymborska en<br />

allemand. Parallèlement à l’expérimentation <strong>de</strong>s possibilités et <strong>de</strong>s retombées <strong>de</strong> la technologie<br />

<strong>de</strong>s LED et aux projets publics avec projections lumineuses, l’œuvre récente <strong>de</strong> Jenny Holzer<br />

porte essentiellement sur une série <strong>de</strong> peintures à partir <strong>de</strong> copies <strong>de</strong> documents déclassifiés <strong>du</strong><br />

gouvernement américain qu’elle a sérigraphiés sur <strong>de</strong>s toiles peintes à la main. La teneur<br />

politique <strong>de</strong> ces œuvres, dans la même tradition que Goya et Picasso, est en rapport avec la<br />

guerre, la torture, la tyrannie.<br />

Dans les <strong>de</strong>ux premières salles <strong>de</strong> l’exposition, le visiteur retrouvera <strong>de</strong>s œuvres maîtresses <strong>de</strong><br />

la Collection <strong>Beyeler</strong>, choisies et commentées par l’artiste elle-même. Jenny Holzer suggère<br />

ainsi un moyen d’accé<strong>de</strong>r à ses propres œuvres à travers celles d’artistes <strong>de</strong> générations<br />

antérieures.<br />

À partir <strong>de</strong> ces salles, on entre dans un espace dédié aux œuvres <strong>de</strong> Jenny Holzer elle-même.<br />

Ce sont là les grands panneaux en LED qui dominent ; par leur présence et leur clarté<br />

époustouflantes, par leur diversité, ils reflètent les infinies variantes qu’autorise ce procédé.<br />

Toujours en rapport avec l’installation, le <strong>texte</strong> écrit en LED se poursuit sur le sol, en<br />

compositions semi-circulaires le long <strong>du</strong> mur ou en formant un angle dans un coin <strong>de</strong> la salle.<br />

Le recours à la technologie LED permet à Jenny Holzer <strong>de</strong> travailler avec <strong>de</strong>s ban<strong>de</strong>s <strong>de</strong><br />

langages cinétiques. Le temps intervient dans notre perception <strong>du</strong> message, car le langage qui<br />

défile ne peut être capté en une seule fois ; les fragments <strong>de</strong> <strong>texte</strong> sont perçus autrement par<br />

chaque visiteur et déclenchent <strong>de</strong>s associations extrêmement différentes selon les indivi<strong>du</strong>s.<br />

Une pièce clé est ici l’imposante œuvre au sol For Chicago (2007) qui consiste en dix longs<br />

panneaux <strong>de</strong> LED, recouvrant tout le sol, avec une sélection <strong>de</strong>s <strong>texte</strong>s <strong>de</strong> Jenny Holzer <strong>de</strong>s<br />

années 1977 à 2001. Bien que l’installation soit une nouvelle œuvre d’art commandée par le<br />

Museum of Contemporary Art <strong>de</strong> Chicago, elle peut être considérée comme une rétrospective<br />

sur l’œuvre révolutionnaire que l’artiste a créée en rapport avec <strong>du</strong> <strong>texte</strong>. Les <strong>texte</strong>s<br />

apparaissent en con<strong>de</strong>nsé, <strong>de</strong>ssinés par les « LED », la lumière et le langage coulant comme<br />

<strong>de</strong> la lave. Programmés en liaison avec un ensemble d’effets visant à mobiliser le corps autant<br />

que les yeux, les <strong>texte</strong>s défilent en intermittence à gran<strong>de</strong> vitesse <strong>de</strong>vant le visiteur, se coupent<br />

et s’entrecroisent, s’estompent et se brouillent en éléments graphiques puis se déroulent<br />

lentement pour être lus sans peine.<br />

Jenny Holzer a le don <strong>de</strong> gar<strong>de</strong>r son art ouvert, réceptif à <strong>de</strong> nouvelles formes et contenus.<br />

Dans ses travaux les plus récents, elle s’est consacrée aux conflits au Proche-Orient, à leurs<br />

tragédies humaines et à leurs conséquences internationales. Ses <strong>de</strong>rnières peintures, dans la<br />

même veine que la série Death and Disaster d’Andy Warhol, révèlent son intérêt pour la tradition


<strong>de</strong> la peinture historique, au même titre que le besoin actuel <strong>de</strong> faire passer un message<br />

politique. Les images sont <strong>de</strong>s documents émis par les États-Unis et s’inscrivant dans la loi <strong>du</strong><br />

« Freedom of Information Act » ; il s’agit aussi bien <strong>de</strong> cartes militaires que <strong>de</strong> rapports<br />

d’interrogatoires et d’empreintes digitales <strong>de</strong> soldats accusés <strong>de</strong> crimes, ren<strong>du</strong>es noni<strong>de</strong>ntifiables<br />

par <strong>de</strong>s marques <strong>de</strong> censure.<br />

Dans les toutes <strong>de</strong>rnières et magnifiques sculptures électroniques, le contraste entre forme et<br />

contenu est poussé à l’extrême. Un jeu <strong>de</strong> couleur est pro<strong>du</strong>it par <strong>de</strong>s ban<strong>de</strong>s <strong>de</strong> <strong>texte</strong> défilant à<br />

<strong>de</strong>s vitesses variables. Le message transmis par l’œuvre en LED Red Yellow Looming (2004) a<br />

trait au négoce <strong>du</strong> pétrole et d’armes ainsi qu’aux implications américaines au Proche-Orient<br />

avant 2001. La sculpture électronique Thorax (2008) est basée sur <strong>de</strong>s documents abordant le<br />

cas d’un civil irakien qui a fui et a été tué par les forces américaines, et met en évi<strong>de</strong>nce les<br />

différentes versions qui ont été données <strong>de</strong> cet événement. Des extraits <strong>de</strong> la déposition défilent<br />

<strong>de</strong> l’autre côté <strong>de</strong>s signes. Quelques-unes <strong>de</strong>s réalisations en LED exposées sont<br />

accompagnées <strong>de</strong> peintures à l’huile. On verra ainsi 24 peintures, intitulées collectivement Hand<br />

(2008), qui reprennent, en un tableau monumental, <strong>de</strong>s clichés <strong>de</strong> soldats américains accusés<br />

<strong>de</strong> crimes au Proche-Orient. Dans l’installation à la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>, cette œuvre sera placée<br />

<strong>de</strong> l’autre côté <strong>de</strong> Purple (2008), une série <strong>de</strong> courbes allant <strong>du</strong> sol au mur. Parmi d’autres<br />

<strong>texte</strong>s <strong>de</strong> guerre, l’œuvre fait se répandre <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> rapports d’autopsie <strong>de</strong> prisonniers<br />

morts pendant leur détention par les Américains. Les peintures abstraites dans l’exposition sont<br />

<strong>de</strong>s documents qui ont été entièrement censurés. Cette approche politique trouve <strong>de</strong>s<br />

antécé<strong>de</strong>nts théoriques et formels dans l’histoire <strong>de</strong> l’art occi<strong>de</strong>ntal. Un exemple mémorable en<br />

est Desert Crossing blue white (2009) qui fait écho au Black Square <strong>de</strong> Malevich (1913) et à<br />

d’autres compositions suprématistes.<br />

Lustmord est le titre d’un <strong>texte</strong> que Jenny Holzer a écrit entre 1993 et 1995. L’installation <strong>de</strong><br />

1994, qui porte le même titre, est un assemblage d’os étalés <strong>de</strong> façon régulière sur <strong>de</strong>s tables<br />

en bois pour faire référence à la guerre dans l’ancienne Yougoslavie (1992-1995). L’œuvre<br />

thématise les viols et les meurtres <strong>de</strong> femmes perpétrés <strong>du</strong>rant cette pério<strong>de</strong> ; d’une manière<br />

plus générale, il est question ici <strong>de</strong> la violence permanente envers les femmes. Certains <strong>de</strong> ces<br />

os sont entourés <strong>de</strong> bracelets argentés sur lesquels sont écrites <strong>de</strong>s bribes <strong>de</strong> <strong>texte</strong>s. Ce sont<br />

les points <strong>de</strong> vue <strong>de</strong>s victimes, <strong>de</strong>s tortionnaires et <strong>de</strong>s observateurs.<br />

Une autre pièce renferme <strong>de</strong>ux sculptures électroniques <strong>de</strong> l’artiste, Blue Cross et Green Purple<br />

Cross, toutes <strong>de</strong>ux <strong>de</strong> 2008. En plus <strong>de</strong>s <strong>texte</strong>s Erlauf (1995), Arno (1996) et Blue (1998), ces<br />

travaux qui s’éten<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> part et d’autre <strong>de</strong> l’angle <strong>du</strong> mur mêlent d’autres <strong>texte</strong>s traitant <strong>de</strong>s<br />

liens entre pouvoir extérieur et douleur ainsi que <strong>de</strong> la manière dont chacun y survit.<br />

L’exposition conclut avec l’œuvre LED en colonne, Monument (2008), qui présente les Truisms<br />

<strong>de</strong> Jenny Holzer et ses Inflammatory Essays (1979-1982). Vingt ban<strong>de</strong>s arpentent le mur et<br />

créent une brillance en <strong>de</strong>mi-cercle dans un magenta éclatant et d’autres couleurs vives.<br />

L’œuvre évoque le Monument to the Third International (1920) <strong>de</strong> Vladimir Tatlin. Dans la même<br />

salle, on peut voir trois <strong>de</strong>s fameux bancs en pierre <strong>de</strong> l’artiste qui appartiennent à la série Living<br />

(1980-1982). Des <strong>texte</strong>s sont gravés dans le granit et ces bancs, tels <strong>de</strong>s peintures, offrent ainsi<br />

une expérience méditative et reposante dans un dialogue qui contraste avec la présence très<br />

marquée <strong>de</strong>s œuvres électroniques.<br />

Fidèle à la mission d’Ernst <strong>Beyeler</strong> <strong>de</strong> rendre l’art plus proche <strong>de</strong>s gens – comme ce fut le cas à<br />

la <strong>Fondation</strong> avec l’exposition <strong>de</strong> sculptures dans le Wenkenpark (1980) ou les Wrapped Trees<br />

<strong>de</strong> Christo & Jeanne-Clau<strong>de</strong> en 1998 –, l’exposition Jenny Holzer à la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong> ira <strong>de</strong><br />

pair avec diverses projections dans les espaces urbains <strong>de</strong> Bâle et <strong>de</strong> Zurich. Le soir <strong>du</strong><br />

vernissage, le 31 octobre, la faça<strong>de</strong> extérieure <strong>de</strong> la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong> et la faça<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’Hôtel <strong>de</strong>


Ville <strong>de</strong> Bâle seront illuminées par une projection (jusqu’au 2 novembre). Vous trouverez <strong>de</strong>s<br />

informations sur les autres projections sur www.fondationbeyeler.ch<br />

En collaboration avec la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong> et Sunrise, Jenny Holzer réalisera son premier projet<br />

pour téléphone mobile.<br />

Conçue en étroite collaboration avec l’artiste et le MCA <strong>de</strong> Chicago, l’exposition est curatée par<br />

Elizabeth A.T. Smith et Philippe Büttner. Elle a été présentée à l’automne 2008 à Chicago et au<br />

printemps 2009 au Whitney Museum of American Art à New York. Après Riehen, elle sera<br />

montée au printemps 2010 au Baltic Museum <strong>de</strong> Newcastle en Angleterre.<br />

Un catalogue en allemand et en anglais sera publié chez Hatje Cantz Verlag. Il contiendra <strong>de</strong>s<br />

essais d’Elizabeth Smith et <strong>de</strong> Joan Simon, ainsi qu’une interview <strong>de</strong> Jenny Holzer par Benjamin<br />

H.D. Buchloh (136 pages, 108 illustrations, dont 96 illustrations couleurs, 64 CHF).<br />

La réalisatrice Claudia Müller a accompagné Jenny Holzer pendant une dizaine d’années à<br />

travers <strong>de</strong> nombreuses expositions et <strong>de</strong> multiples situations <strong>de</strong> travail, proposant ainsi un accès<br />

original à son œuvre. Ce portrait retrace le parcours <strong>de</strong> la jeune artiste jusqu’à l’artiste influente<br />

d’aujourd’hui.<br />

Le documentaire « About Jenny Holzer » <strong>de</strong> Claudia Müller est une copro<strong>du</strong>ction <strong>de</strong><br />

« Sternstun<strong>de</strong> Kunst ». La télévision suisse diffuse ce film en première télévisée le 1 er novembre<br />

2009 à 12 heures sur SF 1 à l’occasion <strong>de</strong> l’inauguration <strong>de</strong> l’exposition. ARTE, copro<strong>du</strong>cteur <strong>de</strong><br />

ce documentaire, le diffusera dans sa version courte le 13 novembre 2009 à 16 heures, avec<br />

une reprise le 3 janvier 2020 à 23 h 10.<br />

La <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong> organise une première projection <strong>du</strong> film le 1 er novembre 2009 à 17<br />

heures, en présence <strong>de</strong> la réalisatrice Claudia Müller et <strong>de</strong> David Breslin, assistant <strong>de</strong> Jenny<br />

Holzer. Sur réseravation.<br />

Contact/Presse: Catherine Schott, Tél. + 41 (0)61 645 97 21, Fax + 41 (0)61 645 97 39 <strong>presse</strong>@beyeler.com<br />

www.beyeler.com (Presse) – Images <strong>de</strong> <strong>presse</strong> à télécharger sous www.beyeler.com/press-images<br />

Heures d’ouverture <strong>de</strong> la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>: tous les jours 10–18 h., mercredi jusqu’à 20 h.

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