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Press Release - Fondation Beyeler

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Communiqué de presse<br />

Philippe Parreno<br />

10 juin – 30 septembre 2012<br />

L’artiste français Philippe Parreno s’est fait connaître dans les années 1990, suscitant<br />

l’enthousiasme de la critique par une œuvre qui recourt à une grande diversité de supports,<br />

parmi lesquels le film, la sculpture, la performance et le texte. Considérant l’exposition<br />

comme un moyen d’expression à part entière, Parreno a cherché à redéfinir l’expérience<br />

qu’elle constitue en explorant ses possibilités d’« objet » cohérent, au lieu d’en faire un<br />

assemblage d’œuvres disparates.<br />

Pour sa présentation à la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>, Parreno propose deux nouveaux films qui<br />

s’intègrent dans une mise en scène guidant le visiteur à travers tout l’espace de l’exposition<br />

à l’aide d’une chorégraphie de sons et d’images.<br />

Le premier film, Continuously Habitable Zones aka C.H.Z. (2011), est lié à un territoire et<br />

présente des vues d’un jardin noir créé au Portugal en collaboration avec un paysagiste, Bas<br />

Smets. Un paysage a produit un film, et un film a produit un paysage. Le paysage est<br />

pérenne; il est ce que l’image rejette.<br />

Le deuxième film, Marilyn (2012), est le portrait d’un fantôme. Il la fait apparaître au cours<br />

d’une séance fantasmagorique dans une suite de l’hôtel Waldorf Astoria de New York où elle<br />

a vécu dans les années 1950. Le film reproduit sa présence au moyen de trois algorithmes:<br />

la caméra devient ses yeux, un ordinateur reconstruit la prosodie de sa voix, un robot recrée<br />

son écriture. La morte est réincarnée dans une image.<br />

À l’entrée du musée, chaque visiteur reçoit un DVD sur lequel il retrouvera les deux films.<br />

Les deux films du DVD contiennent une bande-son musicale composée par le musicien Arto<br />

Lindsay. Ces versions sont différentes de celles des films de l’exposition, tout comme un<br />

souvenir peut s’éloigner de la réalité.<br />

Une salle de la collection permanente de la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong> est consacrée à deux<br />

nouvelles séries de dessins liés aux films. Une série d’une trentaine de dessins à l’encre<br />

montre dix perspectives du paysage de C.H.Z. Une autre série comprend des textes écrits<br />

par le robot de Marilyn sur du papier à lettres de l’hôtel Waldorf Astoria.<br />

Dans le jardin d’hiver, à l’entrée de la salle de projection des films, sont accrochées deux<br />

Marquees, telles des excroissances lumineuses de l’architecture de Renzo Piano.<br />

Enfin, deux installations sonores donnent au spectateur l’impression que le musée prend vie.<br />

La première installation fait sortir les bandes-son des films de la salle de projection pour les<br />

transporter dans le jardin d’hiver. Pour la deuxième installation, des nénuphars soniques<br />

flottent aux côtés de vrais nénuphars dans le bassin qui jouxte l’entrée du musée, laissant le<br />

son de la « bête végétale » de C.H.Z. s’échapper dans le jardin.<br />

Philippe Parreno est né en 1964 à Oran en Algérie. Il vit et travaille à Paris. Il a présenté<br />

récemment des expositions individuelles à la Serpentine Gallery de Londres (2010), au CCS,<br />

Bard College de New York (2010), au Centre Georges Pompidou de Paris (2009), à l’Irish<br />

Museum of Modern Art de Dublin (2009) et à la Kunsthalle Zürich de Zurich (2009).<br />

Cette exposition a pour commissaires le directeur de la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong> Sam Keller et<br />

Michiko Kono, Associate Curator.


Pour accompagner le film C.H.Z., un nouvel ouvrage publié chez Damiani, Bologne, contient<br />

des reproductions des dessins, des arrêts sur image tirés des films, des photographies<br />

aériennes et des contributions de Philippe Parreno et de Nancy Spector, Deputy Director et<br />

Chief Curator du Guggenheim Museum, New York.<br />

CHF 48, ISBN 978-88-6208-253-2<br />

Images de presse disponibles sous http://pressimages.fondationbeyeler.ch<br />

Pour plus d’informations:<br />

Andrea Tedeschi, Head of Public Relations<br />

Téléphone + 41 (0)61 645 97 21, presse@fondationbeyeler.ch, www.fondationbeyeler.ch<br />

<strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>, <strong>Beyeler</strong> Museum AG, Baselstrasse 77, CH-4125 Riehen<br />

Heures d’ouverture: tous les jours de 10 h à 18 h, le mercredi jusqu’à 20h.


Communiqué de presse<br />

Philippe Parreno<br />

10 juin – 30 septembre 2012<br />

L’artiste français Philippe Parreno s’est fait connaître dans les années 1990, suscitant<br />

l’enthousiasme de la critique par une œuvre qui recourt à une grande diversité de supports,<br />

parmi lesquels le film, la sculpture, la performance et le texte. Considérant l’exposition<br />

comme un moyen d’expression à part entière, Parreno a cherché à redéfinir l’expérience<br />

qu’elle constitue en explorant ses possibilités d’« objet » cohérent, au lieu d’en faire un<br />

assemblage d’œuvres disparates.<br />

Pour sa présentation à la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>, Parreno propose deux nouveaux films qui<br />

s’intègrent dans une mise en scène guidant le visiteur à travers tout l’espace de l’exposition<br />

à l’aide d’une chorégraphie de sons et d’images.<br />

Le premier film, Continuously Habitable Zones aka C.H.Z. (2011), est lié à un territoire et<br />

présente des vues d’un jardin noir créé au Portugal par Philippe Parreno en collaboration<br />

avec un paysagiste, Bas Smets. Un paysage a produit un film, et un film a produit un<br />

paysage. Le paysage est pérenne; il est ce que l’image rejette. Le mouvement et la position<br />

de la caméra ont façonné et sculpté le paysage. Il n’y a pas de coupures, il n’y a que<br />

l’espace qui s’étire et se replie sur lui-même. C.H.Z. sont les initiales de « Continuously<br />

Habitable Zones », un terme en astrobiologie qui désigne les planètes réunissant des<br />

conditions pour que la vie apparaisse. La science n’exclut pas que la vie puisse se<br />

développer sur une planète appartenant à un système comptant plusieurs petits soleils<br />

(dwarf suns) plutôt qu'un soleil unique très brillant. Dans ces zones, la photosynthèse<br />

saturée produirait une végétation noire.<br />

Science et fiction se fondent dans C.H.Z. Le paysage devient une œuvre d’art qui existe<br />

simultanément dans deux mondes : C.H.Z. est une bête bicéphale qui vit à la fois dans le<br />

monde de l’image animée et dans le monde de notre réalité physique. Il s’agit de la genèse<br />

d’une bête, de quelque chose qui est capable de résister aux conditions de sa création. La<br />

bande-son est entièrement constituée d’enregistrements souterrains réalisés par des<br />

microphones de contact et des sismographes enfoncés dans la terre.<br />

Le deuxième film, Marilyn (2012), présenté pour la première fois à la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>, est<br />

le portrait d’un fantôme. Il fait apparaître Marilyn Monroe au cours d’une séance<br />

fantasmagorique dans une suite de l’hôtel Waldorf Astoria de New York où elle a vécu dans<br />

les années 1950. La fantasmagorie était une forme précoce de cinéma, une sorte de numéro<br />

de cirque où des prestidigitateurs utilisaient un éclairage étrange et de la fumée artificielle<br />

pour appeler une apparition éthérée dans une tentative pour faire revenir les morts. Le film<br />

reproduit la présence de Marilyn Monroe au moyen de trois algorithmes : la caméra devient<br />

ses yeux, un ordinateur reconstruit la prosodie de sa voix, un robot recrée son écriture. La<br />

morte est réincarnée dans une image qui est en réalité un automate, quelque chose qui<br />

ressemble à un être humain, quelque chose de quasi humain.<br />

Les films se répandent comme un virus d’un bout à l’autre de la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>. Ce virus<br />

se communique au spectateur, perd de sa virulence au bout d’un certain temps et finit par<br />

disparaître de lui-même. À l’entrée du musée, chaque visiteur reçoit un DVD sur lequel il<br />

retrouvera les deux films. Il est ainsi invité à transporter l’exposition au-delà de l’espace du


musée. Les deux films du DVD contiennent une bande-son musicale composée par le<br />

musicien Arto Lindsay. Ces versions sont différentes de celles des films de l’exposition, tout<br />

comme un souvenir peut s’éloigner de la réalité. Lorsque le DVD a été visionné, les films<br />

s’effacent d’eux-mêmes.<br />

Une salle de la collection permanente de la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong> est consacrée à deux<br />

nouvelles séries de dessins liés aux films. Une série d’une trentaine de dessins à l’encre<br />

montre dix perspectives du paysage de C.H.Z. Une autre série comprend des textes écrits<br />

par le robot de Marilyn sur du papier à lettres de l’hôtel Waldorf Astoria. Ces dessins, une<br />

cinquantaine au total, sont exposés en deux ensembles dans une salle qui donne sur le<br />

bassin aux nénuphars.<br />

Deux Marquees marquent l’entrée de la salle de projection des films. Elles ressemblent aux<br />

sortes d’auvents illuminés que l’on voit à l’entrée des théâtres et des cinémas. Les deux<br />

Marquees, créées spécifiquement pour la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>, sont faites d’acier, de miroirs et<br />

d’ampoules électriques et font l’effet d’excroissances lumineuses de l’architecture de Renzo<br />

Piano.<br />

Enfin, deux installations sonores donnent au spectateur l’impression que le musée prend vie<br />

dans le sillage de Marilyn et de Continuously Habitable Zones aka C.H.Z. La première<br />

installation fait sortir les bandes-son des films de la salle de projection pour les transporter<br />

dans le jardin d’hiver. Pour la deuxième installation, des nénuphars soniques flottent aux<br />

côtés de vrais nénuphars dans le bassin qui jouxte l’entrée du musée, laissant le son de la<br />

« bête végétale » de C.H.Z. s’échapper dans le jardin.<br />

Cette exposition a pour commissaires le directeur de la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong> Sam Keller et<br />

Michiko Kono, Associate Curator.<br />

Pour accompagner le film C.H.Z., un nouvel ouvrage publié chez Damiani, Bologne, contient<br />

des reproductions des dessins, des arrêts sur image tirés des films, des photographies<br />

aériennes et des contributions de Philippe Parreno et de Nancy Spector, Deputy Director et<br />

Chief Curator du Guggenheim Museum, New York. CHF 48, ISBN 978-88-6208-253-2<br />

Philippe Parreno est né en 1964 à Oran en Algérie. Il vit et travaille à Paris. Il a présenté<br />

récemment des expositions individuelles à la Serpentine Gallery de Londres (2010), au CCS,<br />

Bard College de New York (2010), au Centre Georges Pompidou de Paris (2009), à l’Irish<br />

Museum of Modern Art de Dublin (2009) et à la Kunsthalle Zürich de Zurich (2009).<br />

Images de presse disponibles sous http://pressimages.fondationbeyeler.ch<br />

Pour plus d’informations:<br />

Andrea Tedeschi, Head of Public Relations<br />

Téléphone + 41 (0)61 645 97 21, presse@fondationbeyeler.ch, www.fondationbeyeler.ch<br />

<strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>, <strong>Beyeler</strong> Museum AG, Baselstrasse 77, CH-4125 Riehen<br />

Heures d’ouverture: tous les jours de 10 h à 18 h, le mercredi jusqu’à 20h.


02 Philippe Parreno<br />

Inverted Topiary 6, 2011<br />

Encre sur papier à dessin, 20,8 x 29,3 cm<br />

<strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>, Riehen/Basel<br />

Photo: Hans-Georg Gaul<br />

04 Philippe Parreno<br />

Continuously Habitable Zones aka C.H.Z., 2011<br />

arrêt sur image<br />

<strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>, Riehen/Basel et<br />

Courtesy Galerie Esther Schipper<br />

07 Philippe Parreno<br />

Marilyn, 2012<br />

arrêt sur image<br />

Courtesy Pilar Corrias Gallery<br />

01 Philippe Parreno<br />

Photo: Claudio Cassano<br />

Images de presse http://pressimages.fondationbeyeler.ch<br />

Les documents iconographiques sont réservés à l’usage de la presse. Leur reproduction n’est autorisée que pendant la durée de l’exposition.<br />

nous vous prions de bien vouloir reprendre les légendes et les mentions de copyright. ayez l’amabilité de nous faire parvenir un exemplaire justificatif.<br />

<strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong><br />

03 Philippe Parreno<br />

Opening Shot, 2011<br />

Encre sur deux feuilles de papier à dessin, 21 x 58,5 cm en tout<br />

<strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>, Riehen/Basel<br />

Photo: Hans-Georg Gaul<br />

05 Philippe Parreno<br />

Continuously Habitable Zones aka C.H.Z., 2011<br />

arrêt sur image<br />

<strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>, Riehen/Basel et<br />

Courtesy Galerie Esther Schipper<br />

08 Philippe Parreno<br />

Marilyn, 2012<br />

arrêt sur image<br />

Courtesy Pilar Corrias Gallery<br />

09 Philippe Parreno<br />

Marilyn, 2012<br />

arrêt sur image<br />

Courtesy Pilar Corrias Gallery<br />

10 juin au 30 septembre 2012<br />

06 Philippe Parreno<br />

Marilyn Monroe, in preparation for a spiritist session, 2012<br />

5 parties: sérigraphie, encre, feuille d‘or, 32 x 57 cm<br />

Maja Hoffmann / LUMa Foundation<br />

Photo: adam Reich


Biographie<br />

Philippe Parreno<br />

Né en 1964 à Oran, Algérie<br />

Vit et travaille à Paris, France<br />

Expositions individuelles (sélection)<br />

2010 Philippe Parreno, Serpentine Gallery, Londres; Philippe Parreno, Center for Curatorial Studies and<br />

Art in Contemporary Culture (CCS), Bard College, New York;<br />

From November 5 Until They Fall Down, Castello di Rivoli, Turin<br />

2009 November, Irish Museum of Modern Art (IMMA), Dublin; 8 juin 1968 – 7 septembre 2009, Centre<br />

Georges Pompidou, Paris; May, Kunsthalle Zürich, Zurich<br />

2006 The Boy from Mars, Center for Contemporary Art Kitakyushu (CCA), Japon<br />

2004 Fade Away, Kunstverein München (k.m.), Munich<br />

2003 The Sky of Seven Colours, Center for Contemporary Art Kitakyushu (CCA), Japon<br />

2002 Alien Seasons, Arc/musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris; El Sueño de una cosa,<br />

Portikus, Francfort-sur-le-Main; Anywhere Out of the world, Kunstverein München (k.m.), Munich<br />

2001 El Sueño de una cosa, Moderna Museet, Stockholm<br />

Expositions collectives (sélection)<br />

2012 Chronicles of a Disappearance, DHC/ART, Montréal; Print/Out, Museum of Modern Art (MoMA),<br />

New York<br />

2011 ILLUMInations, La Biennale di Venezia – 54. Exposition d’art internationale, Venise;<br />

Art of Communication, National Museum of Contemporary Art, Séoul<br />

2010 Minimalism and Applied II, Daimler Contemporary, Berlin; Last Ride in a Hot Air Balloon,<br />

4th Auckland Triennial, Auckland<br />

2009 Fare Mondi // Making Worlds, La Biennale di Venezia – 53. Exposition d’art internationale, Venise;<br />

Installations II: Video from the Guggenheim Collections, Guggenheim Museum, Bilbao<br />

2008 theanyspacewhatever, Guggenheim Museum, New York; Moscow on the Move,<br />

Garage Center for Contemporary Culture, Moscou<br />

2007 Airs de Paris, Centre Georges Pompidou, Paris; Think with the Senses – Feel with the Mind.<br />

Art in the Present Tense, La Biennale di Venezia – 52. Exposition d’art internationale, Venise<br />

2006 Tate Triennial, Tate Britain, Londres; The expanded Eye, Kunsthaus Zürich, Zurich<br />

2005 Expérience de la durée, Biennale de Lyon, Lyon; Guangzhou Triennial, Guangzhou<br />

2004 Utopia Station, Haus der Kunst, Munich; Dak’Art 2004, Biennale de l’art africain contemporain,<br />

Dakar<br />

2003 Utopia Station, La Biennale di Venezia – 50. Exposition d’art internationale, Venise;<br />

III Communication, Dundee Contemporary Arts (DCA), Dundee<br />

Travaux collectifs / Projets/ Organisation d’expositions<br />

2006 – 2009 Zidane: A 21 st Century Portrait, travail collectif avec Douglas Gordon<br />

Plaza Theatre, Calgary (2009); Van Abbemuseum, Eindhoven (2009);<br />

Magasin 3 Stockholm Konsthall, Stockholm (2008); DAAD Galerie, Berlin (2008);<br />

DHC/ART, Montréal (2007); Institute of Modern Art (IMA), Brisbane (2007);<br />

St.Jakob-Park, Bâle (2006)<br />

2000 – 2005 No Ghost Just a Shell, un projet de Philippe Parreno et Pierre Huyghe avec


Jean-Claude Ameisen, Angela Bulloch et Imke Wagener, Henri Barande, François Curlet, Kathryn<br />

Davis, Lily Fleury, Liam Gillick, Dominique Gonzalez-Foerster, M/M (Paris),<br />

Pierre Joseph et Mehdi Belhaj-Kacem, Maurizio Lazzarato, Molly Nesbit, Melik Ohanian,<br />

Hans Ulrich Obrist, Richard Phillips, Maurice Pianzola, Israel Rosenfield, Luc Saucier,<br />

Joe Scanlan, Rirkrit Tiravanija, Anna Lena Vaney, Jan Verwoert<br />

Van Abbemuseum, Eindhoven (2005, 2003); Rosa de la Cruz, Miami (2003);<br />

Institute of Visual Culture, Fitzwilliam Museum, Cambridge (2002);<br />

San Francisco Museum of Modern Art (SFMoMA), San Francisco (2002);<br />

Kunsthalle Zürich, Zurich (2002); Air de Paris, Paris (2000); Schipper & Krome, Berlin (2000)<br />

2007 – 2009 Il Tempo del Postino: Exposition collective en forme d’opéra avec Doug Aitken, Matthew Barney et<br />

Jonathan Bepler, Tacita Dean, Trisha Donnelly, Olafur Eliasson,<br />

Peter Fischli / David Weiss, Liam Gillick, Dominique Gonzalez-Foerster, Douglas Gordon, Carsten<br />

Höller, Pierre Huyghe, Koo Jeong-A, Philippe Parreno, Anri Sala, Tino Sehgal et<br />

Rirkrit Tiravanija, avec Darius Khondji et Thomas Demand, montée en collaboration par<br />

Hans Ulrich Obrist et Philippe Parreno, dans une mise en scène de Philippe Parreno<br />

Opera House, Manchester (2007); Theater Basel, Bâle (2009)<br />

2006 .all hawaii eNtrées/LuNar reGGae, Irish Museum of Modern Art (IMMA), Dublin<br />

Collections (sélection):<br />

L’œuvre de Parreno est représentée, entre autres, dans les collections suivantes : Centre Georges Pompidou, Paris;<br />

Daimler Contemporary, Berlin; <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>, Riehen/Bâle; 21st Century Museum of Contemporary Art,<br />

Kanazawa, Japon; Arc/musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris; Musée du Luxembourg, Paris; Museum of<br />

Modern Art (MoMA), New York; San Francisco Museum of Modern Art (SFMoMA), San Francisco; Solomon R.<br />

Guggenheim Museum, New York; Tate Modern, Londres; Walker Art Center, Minneapolis<br />

Bibliographie choisie:<br />

*Philippe Parreno, C.H.Z, Damiani Editore, Bologne, 2012, anglais, 128 pages.<br />

*Schafaff, Jörn, How We Gonna Behave? Philippe Parreno. Angewandtes Kino, éd. par Christian Posthofen, Verlag<br />

der Buchhandlung Walther König, Cologne, 2010, allemand, 368 pages.<br />

*Philippe Parreno, Films 1987-2010, cat. expo Philippe Parreno, Serpentine Gallery, Londres (2011), Verlag der<br />

Buchhandlung Walther König, Cologne, 2010, anglais, 200 pages.<br />

Philippe Parreno, Snow Dancing, Kaleidoscope <strong>Press</strong>, Milan, 2010, anglais, 206 pages.<br />

Philippe Parreno, cat. expo Philippe Parreno: 8 juin 1968 – 7 septembre 2009, Centre Georges Pompidou, Paris<br />

(2009) Éditions du Centre Pompidou, Paris, 2009, anglais et français, 256 pages.<br />

Philippe Parreno et Johan Olander, Parade?, livre d’enfants publié à l’occasion de l’exposition Philippe Parreno: 8<br />

juin 1968- 7 septembre 2009, Centre Georges Pompidou, Paris (2009) Éditions du Centre Pompidou, Paris, 2009,<br />

anglais et français, 50 pages.<br />

*Philippe Parreno et Hans Ulrich Obrist, The Conversation Series: Philippe Parreno, Verlag der Buchhandlung<br />

Walther König, Cologne, 2008, anglais, 146 pages.<br />

.all hawaii eNtrées/LuNar reGGae, cat. expo .all hawaii eNtrées/LuNar reGGae, montée par Philippe Parreno, Irish<br />

Museum of Modern Art (IMMA), Dublin (2007), éd. par Rachel Thomas, Charta, Milan, 2006, anglais, 219 pages.<br />

Philippe Parreno, Fade to Black, mfc-Michèle Didier, Bruxelles, 2005, anglais, 32 pages.<br />

Alien Affection, cat. expo Alien Seasons, Arc/musée d’Art moderne de la Ville de Paris, Paris (2002) Arc/musée d’Art<br />

moderne de la Ville de Paris et Les presses du réel, Paris, 2002, français, 357 pages.<br />

No Ghost Just a Shell, cat.expo No Ghost Just a Shell, Kunsthalle Zürich, Zurich (2002); Institute of Visual Culture,<br />

Cambridge (2003); San Francisco Museum of Modern Art (SFMoMA), San Francisco (2003); Van Abbemuseum,<br />

Eindhoven (2003); Rosa and Carlos de la Cruz Collection, Miami (2005), éd. par Philippe Parreno et Pierre Huyghe,<br />

Verlag der Buchhandlung Walther König, Cologne, 2002, anglais, 304 pages.<br />

*Les publications accompagnées d’un astérisque sont disponibles à l’Art Shop de la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>.


Citations de Philippe Parreno<br />

« Une bonne image est toujours un moment social. Autrement dit, ce n’est pas tant ce qu’elle<br />

est qui compte que ce qu’elle veut dire. Elle n’existe pas en tant que telle : elle existe parce<br />

qu’on y croit. »<br />

(Philippe Parreno. http://www.egs.edu/faculty/philippe-parreno/quotes/ 25.5.2012)<br />

« Je conçois mes expositions comme un film. Je pense en séquences, je pense au rythme<br />

de l’expérience offerte au visiteur. Ou comme à de la musique : mes expositions se<br />

développent souvent comme une partition. Elles se déploient dans le temps. »<br />

(Parreno Philippe et Stuart Jeffries (Interviewer). « Philippe Parreno: timing is everything ». In: The<br />

Guardian. 15 novembre 2010)<br />

« Je m’intéresse à la façon dont le son peut faire avancer les choses. Le son sera le maître<br />

et l’image l’esclave. »<br />

(Parreno Philippe et Stuart Jeffries (Interviewer). « Philippe Parreno: timing is everything ». In: The<br />

Guardian. 15 novembre 2010)<br />

« J’aime l’idée d’un fantôme qui parle, de quelque chose d’humain sortant de quelque chose<br />

de non-humain. »<br />

(Parreno Philippe et Stuart Jeffries (Interviewer). « Philippe Parreno: timing is everything ». In: The<br />

Guardian. 15 novembre 2010)<br />

« L’image d’ordinateur n’est pas un instrument d’exploration de la réalité… Elle modifie le<br />

réel. »<br />

(« La Peur des anges/Fear of Angels », Documents sur l’art n° 1, Octobre 1992, p.56)<br />

« Aujourd’hui, il n’y a plus d’images belles en soi, il y a des chaînes d’images. »<br />

(Christine Macel avec Karen Marta (éd.), Philippe Parreno, cat. expo Centre Georges Pompidou,<br />

Galerie Sud, Paris, publ. JRP|Ringier, Zurich, 2009, p. 20)<br />

«…J’aime les métahistoires, les histoires d’histoires. Un objet est-il toujours la fin de quelque<br />

chose ? Tout commence-t-il vraiment toujours par un scénario pour s’achever par un objet ?<br />

Doit-il toujours y avoir un happy end à tout ? Pourquoi les histoires ne pourraient-elles pas<br />

avoir plusieurs fins ? » (Christine Macel avec Karen Marta (éd.), Philippe Parreno, cat. expo Centre<br />

Georges Pompidou, Galerie Sud, Paris, publ. JRP|Ringier, Zurich, 2009, p. 20)<br />

«... Je m’intéresse souvent davantage aux processus qu’aux solutions….»<br />

(Christine Macel avec Karen Marta (éd.), Philippe Parreno, cat. expo Centre Georges Pompidou,<br />

Galerie Sud, Paris, publ. JRP|Ringier, Zurich, 2009, p. 20)<br />

« Les livres sont de remarquables outils de présentation peut-être l’expérience de la lecture<br />

redeviendra-t-elle fondamentale. La lecture est aussi un état physique ; elle exige une<br />

attention particulière, une attention flottante. Les moments où on se déconnecte de la<br />

lecture, où on se met à rêver, sont très agréables. On est dans sa tête, à imaginer des<br />

choses, pendant qu’on vous parle… »<br />

(Christine Macel avec Karen Marta (éd.), Philippe Parreno, cat. expo Centre Georges Pompidou,<br />

Galerie Sud, Paris, publ. JRP|Ringier, Zurich, 2009, p. 23)<br />

«Le film noir est pertinent en un sens. Vous connaissez le film noir typique qui commence par<br />

une longue scène, sans dialogue, où le méchant joué par Alain Delon est allongé sur son lit à<br />

fumer interminablement une cigarette …»<br />

(Christine Macel avec Karen Marta (éd.), Philippe Parreno, cat. expo Centre Georges Pompidou,<br />

Galerie Sud, Paris, publ. JRP|Ringier, Zurich, 2009, p. 24)


Partenaires de la <strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong><br />

Fonds publics<br />

Partenaires principaux<br />

Partenaires<br />

Partenaires médias<br />

Nous remercions Basler Versicherungen et Meyer Sound de leur soutien.<br />

<strong>Fondation</strong> <strong>Beyeler</strong>

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