universitaire gabriel toure

Les rétrécissements urétraux chez l’homme: expérience du service d’urologie du CHU
GABRIEL TOURE
Koungoulba [57] et Mariko [2] ont obtenu respectivement 64,28 % et 80 %
de bons résultats.
- Les résections d’anastomoses termino-terminales :
On a obtenu 45,46 % de bons résultats ; Koungoulba [57] a trouvé 75 % et
Mariko [2] 60 %.
Dans la littérature cette technique donne de meilleurs résultats dans les
sténoses traumatiques qu’infectieuse [13].
Le taux de mauvais résultats était 3 cas soit 27,27 %(3/11) .Ces patients ont
fait l’objet de reprise.
- Destructions de la valve :
Pathologie de la petite enfance ; un cas soit 1,3% a été recensé.
La destruction de la valve chez ce patient a apporté100 % de bon résultat.
La technique de la traction sur la sonde gonflée à 2 CC nous a permis de
réaliser des succès.
Les valves de l’urètre peuvent être traitées par l’urétrotomie interne.
- Urétroplastie en un temps :
Cette technique a été pratiquée chez 16 patients, dont on a retrouvé 18,75 %
de bons résultats et 62,5 % de résultats moyens. Ce résultat diffère de celui
de Mariko [2] qui avait trouvé 75 % de bons résultats et 25 % de résultats
moyens.
L’urétroplastie en un temps n’est pas fiable en cas de sténoses étendues.
- Urétroplastie en deux temps type JONHANSON : Nous avons
observé 2 cas soit 50 % de bons résultats et 50 % de résultats moyens.
L’urétroplastie en deux temps reste la technique de choix dans les
sténoses étendues de l’urètre.
Présentée et soutenue
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par TORA FOFANA