kompress - Zitha

kompress
Zeitung vum ZithaGrupp
N°24 oktober 2012
Valeurs
individuelles
Valeurs
institutionnelles
(Vision directrice)
Systèmes
de gestion
Réglementation
organisationnelle
(Profils de poste)
> Luxemburg braucht eine
Netzhautchirurgie
> Ein leuchtendes Herz
> Solarstrom für St. Gabriel's
Hospital

sommaire
> editorial 2
Hans Jürgen Goetzke
> Administration
et valeurs 3
Georges Glodt
> Luxemburg braucht eine
Netzhautchirurgie 4
Mirjam Oesch
> Auf dem Weg zu einer
elektronischen
Pflegedokumentation 6
> Tensions
Confrontations-Conflits 7
> Témoignage 8
> Die Ganganalyse … 12
> Ein leuchtendes Herz 14
> Eng oppen hand fir malawi 16
> Solarstrom für das
St. Gabriel’s Hospital 18
> Buchtipps 22
> ZithArt 23
> Personallisten 24
> Solaranlage 28
impressum
> Herausgeber: ZithaGruppe > Verantwortlich: Hans Jürgen Goetzke
> Gestaltung & Redaktionsassistentin: Marie Suraud
> Redaktionskomitee: Eric Altmann, Dr. Carine Federspiel, Georges Glodt,
Hans Jürgen Goetzke, Dr. Marc Keipes, Maryse Landfried, Mirjam
Oesch, Gery Oth, Raluca Marinescu, Vito Savino, Nadine Schmit, Jean-Paul
Steinmetz, Elisabeth Weber-Juncker
> Druckerei: Imprimerie Hengen > Erscheinungsweise: 3/Jahr
> Auflage: 2.500 Exemplare
> www.zitha.lu > contact@zitha.lu > Tel.: 40 144-2053 > Fax: 40 144-2953
> editorial
Liebe Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter,
jedes Jahr im Herbst stöhnen wir über viele Aufgaben und viel Arbeit. Bei allem
Engagement für unsere beruflichen Aufgaben und unsere privaten Verpflichtungen
sollen wir immer auch an uns selbst und unser eigenes Wohlergehen denken. In
unserem neuen Leitbild findet sich explizit, dass Freiräume für Atempausen,
Zuwendung, Unvorhergesehenes und Besinnung eine wichtige Bedeutung haben.
Gerade auch während der Arbeit benötigen wir Momente der Ruhe: „Trotz
Zeitvorgaben und Zeitdruck geben wir uns Raum für Unterbrechungen und Auszeiten.“
Diese Freiräume haben wir uns und einer Reihe von Mitarbeitern vor den Sommerferien
in Maria Laach und Capellen gegeben. Neben der Reflektion über die individuellen
Werte und die Werte der Zitha spielte bei diesen Veranstaltungen die persönliche
Begegnung untereinander eine besondere Bedeutung. Die Veranstaltungen waren
durchaus ernst, es wurde aber auch viel gelacht und selbst spielerische Elemente
fehlten nicht, wie das Foto auf der nächsten Seite zeigt.
Für die vor uns liegenden arbeitsreichen Wochen wünsche ich Ihnen, dass es Ihnen
gelingt, nicht nur außerhalb der Arbeitszeit, sondern gelegentlich auch bei der Arbeit
Freiräume für Atempausen und Besinnung zu finden.
In diesem Sinne grüßt Sie
Hans Jürgen Goetzke
Chers collaborateurs et collaboratrices,
Chaque année, quand vient l’automne, nous nous plaignons de notre trop plein de
travail à l’heure où toutes nos tâches nous paraissent insurmontables. Mais entre nos
obligations professionnelles et nos affaires personnelles, nous ne devrions pas oublier
notre propre bien-être. Dans notre nouvelle charte, il est explicitement dit qu’il est
indispensable de s’accorder du temps libre et de faire de temps en temps des pauses
pour réfléchir ou faire face à des imprévus par exemple. Même pendant notre travail,
nous avons besoin de moments de calme: «En dépit des contraintes de temps et de
la pression environnante, nous nous aménageons des pauses.»
Ce temps libre, nous nous le sommes accordé durant les vacances d’été, en nous
rendant à Maria Laach et à Capellen en compagnie de quelques-uns de nos collègues.
En parallèle de nos réflexions sur les valeurs individuelles de chacun et sur celles de
Zitha, la rencontre des uns avec les autres a été d’une importance capitale pour ce
rendez-vous. Bien que sérieuse, cette réunion a néanmoins donné lieu à beaucoup de
rires – l’humour ne manquait pas au sein du groupe! – comme on peut le constater
ci-contre.
Pour toutes les semaines de travail qui nous attendent, je vous souhaite à tous
beaucoup de réussite et j’espère que vous trouverez du temps pour vous, en dehors
mais aussi durant votre travail.
C’est dans cet état d’esprit que je vous salue.
Hans Jürgen Goetzke
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp 2

ZithaKlinik
> Administration et valeurs
Sur invitation de notre direction et en sa
présence, les cadres des services administratifs
se sont retirés pour deux jours de
réflexion commune à Maria-Laach. Les
valeurs, tant individuelles qu’institutionnelles,
formant l’assise de notre collaboration
au travail, étaient au centre des
échanges et discussions de ces deux jours,
animés par Elisabeth Weber-Juncker, Vito
Savino et Georges Glodt. Il s’agissait pour
les participants d’essayer de faire le lien
entre leurs propres valeurs, formant la
base du comportement individuel, les
valeurs exprimées par l’institution dans
sa vision directrice et la réalité orga -
nisationnelle.
Le premier jour a été réservé au partage
des différents points de vue individuels
concernant l’équilibre entre les valeurs
prioritaires individuelles et les repères institutionnels
et organisationnels.
Le deuxième jour, réservé aux systèmes de
gestion, a commencé avec une simulation
de travail en équipe, imaginée par Georges
Glodt :
La construction d’une « Zitha-
Machine »
Deux équipes ont complété des parties de
la « Zitha-machine » sur base de plans
partiels et sans connaître le but final de la
3
construction (comme souvent dans la vie
réelle) à l’aide de pièces de LEGO distribués
individuellement aux participants. Il
y avait dans les équipes des « experts » de
l’organisation, des « experts » de la
construction, des « experts » de la délégation
de tâches, des « experts » de l’observation
et des dames aux doigts très fins
pour l’assemblage des toutes petites
pièces de LEGO. Tout se passait un peu
comme dans la vie professionnelle de tous
les jours (rien d’étonnant avec tous ces
« experts » en activité), on aurait pu tourner
un film pour la ZRTV (Zitha-Reality-TV).
Une fois complétées avec succès, les parties
ont été assemblées pour former la
« Zitha-machine », ce qui a permis de
faire apparaître de logo de la ZithaKlinik
en haut de la tour, en activant la petite
manivelle à l’autre bout de la construction.
Le jeu de simulation a montré une
chose avec certitude : les cadres administratifs
de la ZithaKlinik adorent jouer au
LEGO !!!
La bonne humeur initiée par le jeu de
simulation a ensuite donné lieu à des discussions
ouvertes concernant les forces et
faiblesses de nos systèmes de gestion
actuels et des projets d’amélioration
potentiels.
Les heures passées
ensemble dans une
Valeurs
institutionnelles
(Vision directrice)
très bonne ambiance ont permis aux participants
de se parler et de faire connaissance
autrement qu’au travail, dans un
contexte plus intime et en même temps
plus vaste que celui de l’environnement
professionnel. L’événement a été enrichissant
pour tous les participants et les décideurs
de la ZithaKlinik ont rapporté un
portefeuille d’idées d’amélioration. Les
bonnes décisions qui
seront prises dorénavant
honoreront les
efforts d’ouverture et
de partage de ces jours
passés à Maria-Laach.
Georges Glodt
Valeurs
individuelles
Réglementation
organisationnelle
(Profils de poste)
Systèmes
de gestion
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp

ZithaKlinik
> Luxemburg braucht eine Netzhautchirurgie!
Ein Gespräch mit Dr. Michelle
Berna-Thill, Ophtalmologin, spezialisiert
auf Netzhautchirurgie.
Dr. Berna-Thill, Sie arbeiten seit
anderthalb Jahren bei der Zitha
Klinik. Kann man sagen, dass Sie
in Luxemburg eine Sonderstellung
einnehmen?
Mein Schwerpunkt in der Ophtalmologie ist
die Retinologie, also die Netzhauterkrankungen
und ihre Chirurgie. Die
ZithaKlinik ist die einzige Klinik in ganz
Luxemburg, in der Netzhautoperationen
durchgeführt werden können und ich bin
leider zum jetzigen Zeitpunkt die einzige
Augenchirurgin, die diese Operationen in
Luxemburg durchführt. Die ZithaKlinik hat
sich die notwendigen Operations geräte
und mikrochirurgischen Operationsinstrumente
zugelegt. Diese sind auf dem neuesten
Stand und haben nicht einmal einen
Durchmesser von einem Millimeter. Das hat
den Vorteil, dass bei chirurgischen Eingriffen
an der Netzhaut nicht genäht werden muss.
Die Heilung verläuft so viel schneller.
Bevor die Zithaklinik einen Chirurgen für
Netzhauto perationen hatte, mussten alle
Patienten, die zum Beispiel unter einer
Netzhautablösung oder einer Makulaerkrankung
litten, im Ausland behandelt
werden. Natürlich sind die spezialisierten
Augenkliniken sehr kompetent, aber für
viele Menschen, besonders die äteren
Patienten, sind die mehrstündige Anreise
und der Auslandsaufenthalt ein unüberwindliches
Hindernis. Ich habe einige
Patienten, die nur bereit waren, sich operieren
zu lassen, weil sie nicht für längere Zeit
ins Ausland mussten. Dabei wäre ein
Abwarten verhängnisvoll für ihr Augenlicht
gewesen. Aber auch die Krankenkassen
profitieren davon, dass Netzhautoperationen
hier möglich sind und weitaus weniger
Patienten ins Ausland überwiesen werden.
Ich muss hinzufügen, dass es ein großer
Schritt für die ZithaKlinik war, einen
Netzhautchirurgen einzustellen. Man muss
bedenken, dass die Operationen, die
ich durchführe, zu einem Drittel aus
Notopera tionen bestehen. Das heißt
natürlich, dass wir auch dann, wenn
die Klinik keinen Notdienst hat, operieren
müssen. Hier hat die ZithaKlinik große
Flexibilität bewiesen, denn das Organisieren
einer ungeplanten Operation, die
Zusammen arbeit mit den OP-Teams usw.
hat bisher immer reibungslos geklappt.
Netzhautprobleme erfordern schnelles
Eingreifen?
Bei einer akuten Netzhautablösung ist es
sehr wichtig, dass in kürzester Zeit operiert
wird, nur dann stehen die
Heilungschancen sehr gut. Eine proliferative
diabetische Netzhauterkrankung
kann unter Umstän den auch schnell fortschreiten.
Andere Netzhauterkrankungen,
wie z. B. die sogenannte epiretinale Gliose,
eine Membran bildung auf der Makula, der
Stelle des schärfsten Sehens, können aber
ganz geplant innerhalb von Wochen oder
Monaten operiert werden, da sie nicht
oder nur langsam fortschreiten.
Durch die mikrochirurgischen Eingriffe
an der Netzhaut wird doch
bestimmt der Krankenhausaufenthalt
verkürzt. Kann ein Patient davon
ausg ehen, dass er nur in der Tagesklinik
behandelt wird und am selben
Tag wieder nach Hause gehen kann?
Der Klinikaufenthalt ist in der Tat kurz,
dauert meistens jedoch länger als einen
Tag. Im Gegensatz zu unseren Katarak t-
operationen, die wir ambulant und unter
Tropfbetäu bung durchführen, werden
die Netzhaut operationen meistens unter
Allgemein anästhesie vorgenommen und
es kann manchmal am OP-Tag abends
oder nachts noch zu schmerzhaften oder
gefährlichen Augendruckanstiegen kommen.
Und gerade die älteren Patienten sind
dann besser noch eine Nacht in der Klinik
aufgehoben. Ich versuche aber immer, die
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp 4

Patienten bereits am ersten post-operativen
Tag zu entlassen und sie dann eher noch
engmaschig in der Praxis zu kontrollieren.
Der Aufenthalt bei Operationen, die im
Ausland durchgeführt werden, ist meistens
länger.
In Luxemburg steht es jetzt also gut
um die Versorgung der Patienten
mit Augenproblemen?
Es gibt noch viel zu tun. Wie ich erwähnte,
sind ein Drittel der chirurgischen Eingriffe
an der Netzhaut Notoperationen. Ich kann
nicht rund um die Uhr in der Woche und
am Wochenende zur Verfügung stehen.
Es müssten sich mehrere Augenärzte
zusammentun, um das zu gewährleisten.
Wünschenswert wäre eine richtige Augenklinik,
eine Art Kompetenz zentrum. Auch
die Kooperation mit anderen Kliniken
muss intensiviert werden, damit die
Netzhautchirurgie landesweit abgedeckt
werden kann.
Meine Forschungsarbeit befasste sich
unter anderem mit verschiedene experimentellen
Ansätzen bei feuchter AMD,
zuletzt auch mit mehr Bezug zur klinischen
Behandlung. Aktuell interessiere ich mich
dafür, ob ein Medikament wie Lucentis,
das bei feuchter AMD in den Glaskörper
injiziert wird, also eigentlich nicht aus
dem Auge hinausgelangen dürfte,
Auswirkungen auf den Körper, namentlich
Gefäßvorläuferzellen und Wachstumsfaktoren
im Blut, hat.
Ich habilitiere zurzeit an der Universität
Hamburg, und meine aktuellste Forschung
s arbeit über den Einfluss von
Lucentis auf die Blutfaktoren bei feuchter
AMD wird demnächst im „Journal for
Ocular Pharma cology and Therapeutics“
erscheinen. Einmal im Trimester fahre ich
nach Hamburg, um Medizinstudenten zu
unterrichten und ich bin eingeladen worden,
bei der Jahrestagung der Deutschen
Ophthalmologischen Gesellschaft im September
einen Vortrag über Stammzellen
bei Aderhautmelanom, einem bösartigen
Augentumor, zu halten. Aber mein Projekt
derzeit wäre eher, wie vorhin schon
erwähnt, die Verbesserung der Versorgung
von Augenpatienten vor Ort in Luxemburg.
Mirjam Oesch
Sie haben einige Jahre in Hamburg
als Ärztin in der Forschung über die
feuchte Altersbedingte Makuladegeneration
(AMD) gearbeitet und
über ein Stipendium in Bethesda
am National Eye Institute (USA) ein
Post-Doktorat durchgeführt. Was sind
Ihre aktuellen Projekte?
5
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp

ZithaKlinik
> Auf dem Weg zur elektronischen
Pflegedokumentation
Ein zukunftsorientiertes Pilotprojekt
in der ZithaKlinik.
Neuer Alltag auf Station C4 – der
Kugelschreiber wird langsam aber sicher
abgelöst. NICE und ENP (European
Nursing Care Pathways), so nennt sich der
Ersatz: Es ist die Innovation unserer traditionellen,
aber lieb gewonnenen Art,
Pflege zu dokumentieren.
Damit leistet die ZithaKlinik, als erste Klinik
des Landes, den Schritt zur Einführung
eines IT-gestützten Nachweises von
Pflegetätigkeit auf Allgemeinpflegestationen.
Begleitend bot die Station C4
günstige Rahmenbedingungen für den
Einsatz als Pilotstation.
Die überwiegend elektiven Eingriffe in der
Orthopädie und Neurochirurgie mit ihren
wiederkehrenden Behandlungsstrategien
ermöglichen den geordneten Einstieg in
eine komplexe Thematik.
Blutdruck, Puls und andere Vitalparameter
des Patienten werden in die digitale Kurve
eingetragen. Für die Fülle an Pflegeschritten
ist ein Katalog hinterlegt. Er umfasst
Probleme, Maßnahmen, Ziele und Ressourcen
aus allen Teilbereichen der Pflege,
für die optimale Darstellung des
Pflegeprozesses.
Durch die Dokumentation des Pflegeprozesses
werden die Zusammenhänge
zwischen den Entscheidungsgründen der
Pflegepersonen und ihrem Handeln deutlich
und evaluierbar.
So wird Pflege transparent und Pflegeergebnisse
können sowohl qualitativ als
auch quantitativ gemessen werden.
Der Großteil der Arbeit des Pflegepersonals
findet am Patienten statt.
So ist der intuitive Umgang mit Computer
und Programmen in der Pflege keine
Selbstverständlichkeit. Vielmehr bedeutet
es eine Neuorganisation des vertrauten
Stationsablaufes, mit einer gleichzeiti -
gen Weiterentwicklung der vorhandenen
Arbeits kultur.
Die kontinuierliche Fortbildung der
Mitarbeiter ist ein Fundament für die
Um setzung. Regelmäßige Versammlungen
des fachübergreifenden Projektteams
ermöglichen den Meinungsaustausch
und die damit verbundene Fehlerbehebung.
Was viel Zeitaufwand, Mut und Engagement
jedes Mitarbeiters fordert, ist langfristig
gesehen das Instrument zur Professionalisierung
der Pflege.
Die einheitliche Pflegefachsprache könnte
zukünftig, auch über die Grenzen der
ZithaKlinik hinweg (bspw. bei Entlassung
und Verlegung), eine optimale Kommunikation
über den Pflegebedarf von
Patienten ermöglichen, da auch ambulante
Pflegedienste in Luxemburg den
Einstieg in die Arbeit mit ENP beginnen.
Eine langfristige Umsetzung dieser
Programme im interdisziplinären Team,
wie z. B. die Medikamentenverschreibung,
steigert die Sicherheit der Patienten und
die Zufriedenheit der Mitarbeiter, da
Fehler reduziert und Zeitressourcen
geschaffen werden können.
Anke Görres
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp 6

Médiation
> TENSIONS - CONFRONTATIONS - CONFLITS ?
VOUS ÊTES MEMBRE OU RESPONSABLE D’UNE ÉQUIPE ? MÉDECIN ?
Pour prévenir ou éviter un éclat, il faut
reconnaître :
· les signes d’un malaise,
· les changements dans les relations
de travail,
· la démotivation,
· les résistances,
· les conflits,
· …
Le service de médiation en milieu hospitalier
est accessible à tout le monde
(patients, proches et collaborateurs). Il
peut aider à mieux vivre des situations
conflictuelles.
Par ce biais, les situations bouleversantes
sont abordées par une approche différente
pour donner plus de satisfaction.
LA MÉDIATION EST UNE «PORTE OUVERTE»
VERS LA RÉSOLUTION D’UN CONFLIT.
La médiation est un processus volontaire,
accepté par l’ensemble des acteurs impliqués
dans la situation. Elle ne peut en
aucun cas être imposée.
Les personnes qui acceptent la médiation,
s’engagent sur le chemin de la recherche
de solution(s) en vue d’aboutir à l’éta -
blissement de nouvelles relations interindividuelles.
LA MÉDIATRICE EST À VOTRE ÉCOUTE ET
VOUS ACCOMPAGNE AVEC DISCRÉTION
ET CONFIDENTIALITÉ DANS TOUTES VOS
DÉMARCHES.
La médiatrice est une personne qualifiée
qui intervient au niveau de la communication,
de la relation ou de la transmission
de doléance(s). Elle est attentive aux
intérêts de chacun. La médiatrice est
impartiale, elle n’est ni juge, ni arbitre.
Elle offre un cadre, un endroit garantissant
un climat de dignité tout en rendant
une compréhension mutuelle possible.
Elle ne propose pas de(s) solution(s) mais
favorise l’émergence de(s) solution(s)
commune(s).
Elle ne désigne pas de gagnant ni de
perdant mais garantit la neutralité et
l’impartialité. Elle est tenue au secret
professionnel.
Sonia Veloso
Médiatrice
sonia.veloso@zitha.lu
+352 2888-4780
«Entre
ce que je pense,
ce que veux dire,
ce que je crois dire,
ce que je dis,
ce que vous avez envie d’entendre,
ce que vous croyez entendre,
ce que vous entendez,
ce que vous avez envie de comprendre,
ce que vous croyez comprendre,
ce que vous comprenez,
il y a dix possibilités qu’on ait des
difficultés à communiquer,
Mais essayons quand même…»
Edmond Wells
(Encyclopédie du savoir relatif et absolu).
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kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp

Témoignage
> La médecine en douze leçons
C’est dans les couloirs souterrains
menant au service des
urgences que débute ma
semaine de stage à la Zitha-
Klinik. Actuellement je suis
élève d’une section C - sciences
naturelles et ce stage est censé
me faire avancer dans la planification
de mes projets futurs.
Serai-je à la hauteur
des journées
dans un hôpital ?
Moi, habituée à
être assise plus
ou moins confortablement
sur ma
chaise de lycéenne, pourrai-je rester
debout derrière le médecin et face aux
patients, suivre les entretiens, comprendre
les termes techniques? Tomberai-je dans
les pommes à la première vue de quelques
gouttes de sang ? Mon intention de
m’orienter vers les professions médicales
sera-t-elle remise en question ? Mais voilà
mon problème le plus concret du moment :
est-ce que mon sens d’orientation va suffir
pour me retrouver dans ce labyrinthe
souterrain ?
Enfin arrivée aux urgences, c’est Chantal
qui m’accueille chaleureusement et
m’introduit dans son service. Le docteur
Emile Bock sera le premier médecin aux
talons duquel je vais me coller cette
semaine. Mais je n'ai pas le temps de
papoter puisque les urgences attendent.
Leçon 1 : aux urgences, on ne court pas,
tout se fait de manière calme et professionnelle.
En effet, l’atmosphère n’a rien à voir
avec l’affairement des séries américaines à
la « Dr House » où tous, pris de panique,
galopent dans les couloirs et où le médecindieu
lance un artifice de diagnostics et de
pronostics. Il semble que ce genre de scénario
reste réservé aux films. En plus il paraît
qu'il est plutôt rare de se retrouver face à
des cas spectaculaires, et le docteur Emile
Bock me l'a confirmé, on soigne davantage
des « petits bobos ». On a même fini par
s’excuser de ne pas pouvoir me montrer
quelque chose « de vraiment intéressant ».
Leçon 2 : la communication est très
importante ; les patients ont besoin de
s’ouvrir et de se confier. Ils posent en effet
d’interminables questions dans toutes les
langues imaginables. Cela me prouve que
même si je préfère les sciences naturelles,
il faudra soigner aussi l’apprentissage des
langues. Une patiente me suggère même
d’apprendre le portugais et l’espagnol
afin de me faciliter la vie.
Leçon 3 : il ne faut pas oublier de manger
de temps en temps. Et à force d’être
debout sans arrêt depuis quatre heures,
un petit malaise me prend : je ressens un
léger vertige et mon champ de vision
devient flou. Heureusement il ne s’agit
que d’un petit creux d’estomac auquel je
remédie avec une banane.
Leçon 4 : un intestin n’est pas du tout
répugnant. Surtout quand les patients ont
bien suivi les consignes et préparé soigneusement
leur rendez-vous. C’est ce
que je vois en assistant à des endoscopies,
le deuxième jour. Les docteurs Paul
Pescatore et Philippe Turk me permettent
de jeter des coups d’œil à l’intérieur de
l’appareil digestif et donnent des explications
élémentaires étant donné que pour
moi, du moins à première vue, l’orientation
n’est pas évidente.
Leçon 5 : il y a, heureusement, un nombre
important de gens en bonne santé, même
dans un hôpital. Ceci est surtout vrai
en gastro-entérologie où de nombreux
patients viennent pour un dépistage, par
souci de prévention. À nouveau, on
déplore de ne pas pouvoir me montrer une
vraie tumeur. Il faut admettre que je suis
un tout petit peu déçue de ne voir que de
minuscules polypes, bien que soulagée
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp 8

de ne pas devenir témoin d’un diagnostic
fatal.
Leçon 6 : en tant que médecin, il faut
savoir faire le clown. Une recette dont le
docteur Wafa Arzani aime se servir pour
distraire ses patients. Le rire s’apprête à
calmer des cœurs de patients trop excités.
En tant que stagiaire je semble être une
excellente cible et il m’inclut dans ses plaisanteries.
Cela fait son effet, les gens ont
l’air bien plus relax.
Leçon 7 : il faut de bons yeux au cardiologue.
C’est aux explorations fonctionnelles
que je dois raviver les notions vues
le jour précédent au cabinet. Le docteur
Wafa Arzani me fait repérer des insuffisances
et des sténoses valvulaires à l’aide
de l’échographie. Toutefois, la grisaille
sur l’écran ne me rappelle pas vraiment
les images types issues du livre de biologie.
De façon légèrement maladroite, je
recherche les ventricules et voilà, le
9
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp

Témoignage
hasard me seconde et j’arrive à positionner
la sonde enfin de façon à ce que je
puisse distinguer quelque chose.
Leçon 8 : en médecine aussi, le proverbe qui
dit que : « C’est en forgeant qu’on devient
forgeron » est vrai. Ainsi le cardiologue me
rassure : « Quand tu auras vu 500 échographies,
tu distingueras ces trucs facilement. »
Le jeudi arrive, le jour de l’épreuve du feu.
Je suis autant angoissée qu’excitée
puisque je vais assister à des opérations
avec de vrais patients et du vrai sang.
Après avoir enfilé un bonnet, un masque
et des vêtements verts beaucoup trop
grands, je suis le docteur Jérôme Giwer
qui m’explique les bases fondamentales
de l’anesthésie. Il me confie le ballon
servant à la ventilation du patient. La
pression monte quand il annonce « Voilà
maintenant tu tiens une vie dans tes
mains » et son sourire malin ne laisse pas
entrevoir si son ton est facétieux ou pas.
Je me mets donc à pomper régulièrement,
les yeux zappant entre le visage du patient
et un écran avec les courbes de sa respiration.
Tout d’un coup, le ballon ne se
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp 10

gonfle plus et je suis prise de panique.
Alarmée je me tourne vers l’infirmier
anesthésiste près de moi qui me rassure,
un sourire amusé aux lèvres, en expliquant
que c’est la machine qui vient de
prendre la relève. On m’emmène dans une
autre salle où j’assiste en direct à ma première
opération.
Leçon 9 : assister à une opération n’a
rien d’effrayant, c’est même plutôt passionnant.
Voilà la leçon la plus rassurante
de mon stage. En effet je ne sens ni
malaise, ni dégoût, ni vertige. Mon
regard reste collé sur les gestes du chirurgien.
Plus tard le docteur Gregor Baertz
me propose de « me laver avec eux ».
Moi, je ne comprends rien du tout et mon
regard stupéfait ne tarde pas à traduire
mon ahurissement. Mais peu à peu je me
rends compte de ce que « laver » signifie
: je vais avoir le droit, la chance,
l’honneur d’assister de tout près à l’ablation
de matériel d’ostéosynthèse, « une
plaque »!
Leçon 10 : une fois lavé, on ne bouge
plus, on ne touche plus qu’à des choses
stériles, l’hygiène est la maxime absolue.
Même si j’ai l’air imbécile, les bras étendus
comme un robot et me laissant habiller
comme un petit enfant, je suis
11
sagement les consignes, pas question de
devenir porteur de microbes dangereux.
Non seulement je peux rester dans le
milieu stérile tout près de l’action, mais
j'ai également le droit de tenir les crochets
et de couper le fil. Je suis tellement prise
que je ne recule même pas quand les
gouttelettes de sang aspergent ma blouse.
Le dernier jour de mon stage, je me vois
confrontée à un domaine de la médecine
qui m’inspirait une certaine angoisse,
l‘oncologie. Je vais suivre le docteur
Carole Bauer lors de sa visite chez les
patients hospitalisés. En route, elle m’explique
les diagnostics et les soucis des différents
patients. C’est avec une gentillesse
et une tendresse touchantes que le docteur
Bauer se charge des patients ayant
toujours le bon geste et les bons mots
pour les encourager et les faire sourire.
Leçon 11 : il ne faut pas réduire l’oncologie
à une spécialité assombrie par la mort.
Le docteur Carole Bauer me le confirme,
en effet il y a des cas tragiques mais le
taux de guérison augmente continuellement.
L’après-midi elle me conduit au service
des chimiothérapies. Je rencontre une
vieille dame en pleine forme aussi bien
physiquement que moralement qui vient
de faire face à son troisième cancer et qui
commence sa chimio, contente de pouvoir
se faire soigner. Aucun signe de découragement
ni de désespoir. De même, une
jeune femme assise dans un coin attend
son traitement. Le docteur Carole Bauer la
félicite pour sa nouvelle perruque que je
n'avais pas prise comme telle. La femme a
bonne mine, elle parle de son voyage au
Portugal qu’elle va bientôt entreprendre...
Après ces cinq journées où je collais aux
talons des médecins, mon stage à la
ZithaKlinik se termine. J’ai derrière moi
une semaine intéressante et enrichissante
où tous m’on accueilli avec gentillesse et
m’ont permis de jeter un coup d’œil dans
leur quotidien.
Leçon 12 et conclusion : les médecins
et le personnel médical ne sont pas des
héros. Mais tous font de leur mieux pour
aider ceux qui sollicitent leur aide. Merci
de m’avoir donné le goût de faire partie
des leurs...un jour…espérons-le.
Katharina Kurt
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp

ZithaSenior
> Die Ganganalyse in der Zitha
Wissenschaft und Praxis im
Dienste des alten Menschen
Stürze gehören zu den ganz wesentlichen
Ursachen langfristiger Gesundheitsverschlechterungen
beim alten Menschen.
Innerhalb der geriatrischen Abteilungen
kommt deshalb der Untersuchung der
Mobilität und dem Nutzen erfolgter präventiver
und rehabilitativer Maßnahmen
eine erhöhte Bedeutung zu.
Die geriatrische Rehabilitation, als innovative
Einrichtung der ZithaKlinik, verfügt
seit geraumer Zeit über das leistungsfähige
GAITRite® System und setzt dieses
systematisch zur Ganganalyse und Sturzprophylaxe
alter Menschen ein. Beim
GAITRite® System handelt es sich um
einen ca. 5 Meter langen elektronischen
Gangteppich, der die zeitliche und räumliche
Analyse der Ganges ermöglicht. Das
Ziel einer derartigen Analyse ist es, die
Mobilität bzw. die Gangstabilität und,
daraus folgend, das Sturzrisiko und den
Erfolg rehabilitativer Maßnahmen objektiv
zu erfassen und zu untersuchen.
Unterschiedlichste Untersu chungen und
wissenschaftliche Projekte ausländischer
Forschergruppen, unter anderem die des
langjährigen Gangan alyseexperten Prof.
Dr. Reto W. Kressig vom Baseler
Universitätsspital, belegen den hohen
Nutzen eines solchen Systems in der
objektiven Erfassung und Evaluation
relevanter Gangparameter sowie in
der entsprechenden Vorhersage des
Sturzrisikos (z. B. Bridenbaugh & Kressig,
2010; Gschwind, Bridenbaugh, & Kressig,
2011). Der medizindiagnostische Einsatz
des Systems basiert sich somit vor allem
auf der Analyse der wichtigsten
Gangparameter (z. B. Ganggeschwin digkeit,
Schrittkadenz, Gangzykluslänge, Gangvariabilität)
mit dem Ziel, ungünstige
Ausprägungen der Parameter zu diagnostizieren
um somit eine Vorhersage zur
Sturzgefahr des Patienten zu treffen. Eine
rehabilitative Nutzung des Analysesystems
ermöglicht darüber hinaus,
Veränderungen der Gangparameter (d. h.
als Resultat einer rehabilitativen Intervention)
genau zu erfassen und richtig zu
interpretieren, womit der Erfolg (oder
Misserfolg) der Rehabilitation messbar
und erkennbar gemacht werden kann.
Entsprechend lässt sich abschätzen, in
welchem Maße der jeweilige Patient von
unterschiedlichen rehabilitativen Maßnahmen
profitiert hat, wobei eine
Prognose gemacht werden kann, inwieweit
der Patient gefährdet ist (erneut) zu
stürzen und weitere (medizinische und alltagsrelevante)
Komplikationen zu erleiden.
Neben einer praktischen medizinischen
und rehabilitativen Nutzung, hat sich das
GAITRite® System ebenfalls in der
Forschung etabliert. Das System ermöglicht
ganz speziell unterschiedlichste
hypothetische Zusammenhänge und
Einflüsse verschiedener Faktoren auf den
Gang hin zu untersuchen. Ergebnisse der
Baseler Gruppe um Prof. Kressig legen
nahe, dass kognitive Defizite einhergehen
mit einer erhöhten Gangvariabilität und
dementsprechend einem unsicheren Gang
und einer erhöhten Sturzgefahr. Diese
Ergebnisse sind insbesondere in der täglichen
Arbeit mit polymorbiden und teilweise
stark kognitiv beeinträchtigten geriatrischen
Patienten relevant. Innerhalb
der ZithaGruppe besteht somit überwiegend
Interesse am Zusammenhang zwischen
Gangvariabilität und kognitiven
Prozessen. Beim gesunden Erwachsenen
handelt es sich beim Gehen um eine
automatisierte und somit unterbewusste
motorische Aktivität. Im hohen Alter hingegen,
erfordert das Gehen vermehrt
(bewusste) Aufmerksam keitsprozesse zur
Kontrolle dieser motorischen Aktivitäten,
hauptsächlich wenn es beim Gehen zu
Ablenkungen kommt. Ergebnisse unterschiedlichster
experimenteller Arbeiten um
die Kressig Gruppe aus Basel legen nahe,
dass die vermehrt benötigte Aufmerk-
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp 12

samkeit im hohen Alter während des
Gehens einen Einfluss auf die Gangstabilität
des alten Menschen hat. Die Ergebnisse
der Baseler Studien deuten darauf hin,
dass die Gangvariabilität besonders hoch
ist bei stürzenden Menschen. Die
Möglichkeit zur Erfassung dieser Gangvariabilität
(Schritt-zu-Schritt-Variabilität)
anhand des GAITRite® Systems und
der Einbindung kognitiver Variablen,
ermöglichen der ZithaGruppe erlangte
Erkenntnisse in die tägliche Arbeit der
geriatrischen Reha bilitation und Memory
Clinic zu integrieren.
Die alltägliche medizindiagnostische und
rehabilitative Nutzung des GAITRite®
Systems erfolgt unter der Leitung von Dr.
Andreas DINSENBACHER, wobei der
gezielte Einsatz des Systems im Rahmen
von wissenschaftlichen Studien in der
Verantwortung von Dr. Carine FEDERSPIEL
und Jean-Paul STEINMETZ, PhD liegt.
13
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp

ZithaSenior
> Ein leuchtendes Herz
Die Kapelle der Seniorie Ste
Zithe in Contern
Drei Fahnen flattern fröhlich im Wind, als
ich mich der Seniorie in Contern nähere.
Das neue Gebäude, das mit braun-rötlichen
Steinplatten verkleidet ist, wirkt
freundlich in der Frühlingssonne. Der gute
Eindruck verstärkt sich noch in der geräumigen
Empfangshalle. Links zieht das in
orangenen Tönen gehaltene Restaurant
den Blick unwiderstehlich auf sich: Hier
erinnert nichts an ein Altersheim. Da
kommt mir schon Chantal Müller-Koenig
entgegen. Die stellvertretende Leiterin
begrüßt mich mit einem gewinnenden
Lächeln und führt mich in das „Herz“ des
Hauses.
Der Teil, in dem wir uns befinden, liegt
gegenüber dem Haupteingang. Hier hat
der deutsche Künstler Eberhard Münch
eine Kapelle für die Bewohner, das
Personal sowie die sechs in der Seniorie
lebenden Carmel-Schwestern eingerichtet.
Auf den ersten Blick sieht der Raum
nicht anders aus als ein normaler, kleiner
Mehrzweckraum, bis der Blick von den
roten Stühlen weg auf den seitlichen, in
hell-gelben und orangenen Farben gehaltenen
Fries auf halber Höhe fällt. Dieser
führt hin zum Tabernakel. An der linken
Seite dieses Holzschränkchens versinnbildlicht
eine Flamme aus flammend rotem
Glas das ewige Feuer.
„Leider kommen Sie etwas zu früh!“,
bedauert Chantal Müller-Koenig, „die
Kapelle ist noch nicht fertig. Das
Wichtigste fehlt.“ Sie zeigt auf das helle
raumgreifende Fenster, durch das die
Sonnenstrahlen indirekt in den Raum fallen.
Ein kleiner Hof versorgt die Räume
in der Mitte des Gebäudekomplexes mit
Tageslicht. „Das Licht soll von einer farbigen
Glasscheibe gefiltert werden.“ Eine
von blau-rot-gelben Tönen dominierte
Glasscheibe wird vor die bestehende
Fensterscheibe montiert und dem Raum
eine sakrale Dimension verleihen.
Um den Gebäudeteil, in dem sich die
Kapelle befindet, hat Eberhard Münch
schon einen breiten, aus pastell-gelben
Tönen bestehenden Streifen bemalt. Der
Künstler ist demnach auf seine diskrete Art
überall im Herzstück des Hauses präsent. In
der Kapelle sind die blauen, meditativen
Töne vorherrschend. Sie sollen die
Eintretenden in eine Stimmung der Ruhe,
Besinnung und meditativen Versenkung
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp 14

führen. Eberhard Münch ist ein Künstler,
der sich auf sakrale Raumgestaltung spezialisiert
hat und in Zwiesprache mit dem
Raum eine Farbpalette ausarbeitet, die bis
in die kleinsten Details der Raum gestaltung
umgesetzt werden soll. Die Kraft der Farben
auf die menschliche Psyche, ihr Zusammenwirken
mit den Räumen und den
Menschen, soll jeden Besucher empfänglich
für erweiterte Erfahrungsebenen machen.
„Die Kapelle ist für etwa dreißig Gottesdienstbesucher
gedacht. Jeden Dienstag
konzelebriert Abbé Claude Bache um
10:30 Uhr die Messe. Dann ist sie voll
besetzt. Für die pastorale Betreuung der
Bewohner können wir aber auch auf
ehrenamtliche Helferinnen aus den umliegenden
Ortschaften zählen, die im engen
Kontakt mit der katholischen Kirche
Luxemburgs stehen. Sie sind eine wertvolle
Ergänzung unseres Dienstes an den
Bewohnern. Aber auch die sechs Carmel-
Schwestern, die hierher umgezogen sind,
sind eine Bereicherung für unser Haus.“
Chantal Müller-Koenig steht neben dem
schlichten, zeitlosen Altar. Das glatte Holz
wird von einer Vertiefung in Form eines
Kreuzes unterbrochen. Chantal Müller-
Koenig zeigt darauf und erklärt: „Wir
gehen behutsam mit allen Symbolen um.
Wir wollen daran erinnern, dass wir unter
christlicher Trägerschaft stehen, unsere
Überzeugungen aber nicht aufdrängen.
Deswegen finden Sie überall christliche
Symbole, aber, wie hier, muss man sie
entdecken,“ sie legt ihre Hand in die
Vertiefung, „oder wie bei der Glasflamme
am Tabernakel genügt dem einen die
Schönheit des Kunstobjektes, während
der andere darin das ewige Feuer sehen
kann.“
An dem gelben Streifen, der um die
Kapelle und die anschließenden Räume
führt, hat Eberhard Münch auch ein Bild
der Gründerin des Zithaschwestern-
Ordens als junge Frau inmitten von
Hilfesuchenden angebracht. Ein schöner
Verweis auf die Stifterin und ihr Erbe,
das nunmehr fast 140 Jahre überdauert
hat.
15
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp

Eng oppen Hand fir Malawi
> Amélioration des conditions de vie des villageois de Chinyata dans
la région de Namitete au Malawi
L’ONG „Eng oppen Hand fir Malawi“ fût
créée en 1989. Elle œuvre essentiellement
au Malawi un pays enclavé d’Afrique de
l’Est dont les pays limitrophes sont la
Tanzanie, la Zambie et le Mozambique. Le
champ d’action primaire est le domaine de
la santé et ceci en faveur et en collaboration
avec l’Hôpital Saint-Gabriel à Namitete.
Pourquoi le Malawi et pourquoi
l’hôpital St Gabriel ?
Les premières sœurs carmélites tertiaires
sont arrivées au Malawi en 1959 et elles
ont ouvert les portes de cet hôpital de
brousse qu’elles gèrent depuis. L’hôpital St
Gabriel se situe dans la région du centre à
environ 59 km de Lilongwe. Etant donné
que les besoins de la population aux alentours
de Namitete allaient bien au-delà
des objectifs purement « missionnaires »
l’ONG a été créée et depuis 1989 elle soutient
la réalisation des projets multiples.
L’hôpital dessert une population de
quelque 250-300.000 personnes. Au-delà
de ses missions au sein de l’hôpital, le personnel
travaille également en faveur de la
population au cœur des villages mêmes.
Les principaux problèmes auxquels nous
sommes confrontés sont :
··
Les maladies infectieuses, à savoir le
paludisme, la tuberculose et surtout le
SIDA
··
L’insuffisance en matière d’infrastructures
sanitaires élémentaires
··
La malnutrition
··
Les carences en matière d’éducation.
Le personnel hospitalier se fait beaucoup
de soucis au sujet des situations difficiles
rencontrées dans les villages parfois très
éloignés. Les maladies infectieuses, le
Sida et les carences alimentaires y sont la
cause de beaucoup de souffrances. La
faim est toujours un problème majeur. Les
infrastructures scolaires sont toujours
insuffisantes dans la mesure que les
enfants sont privés d’enseignement.
Pour cette raison l’ONG intervient via un
projet cofinancé à 66% par le gouvernement
luxembourgeois à Chinyata, un village
à environ 15 km de l’hôpital St
Gabriel. Ce projet est pluriannuel et prend
en charge 7 villages faisant partie de cette
communauté rurale et situés à 15 kilomètres
de l’hôpital à Namitete. Ce projet
s’est fixé comme objectif d’améliorer les
conditions de vie dans ces villages. Ces
dernières années, la famine a sévi à
plusieurs reprises. Les causes en sont les
suivantes : pas d’accès à l’eau propre,
manque de de ressources et de connaissances
de méthodes agricoles adéquates,
niveau d’éducation très bas. Ainsi le projet
comporte 3 domaines qui devront trouver
une solution dans les années à venir. Il
s’agit d’abord de l’accès à de l’eau propre,
de l’accès à l’enseignement et à une agriculture
diversifiée et l’accès à l’éducation
de base par la construction de classes
d’école primaires.
Une condition préalable pour la mise en
œuvre du projet était et est la participation
active des villageois. Ceci comporte
la création de comités pour les 4 domaines
avec droit de participation au débat. Les
membres des comités sont sensibilisés et
ont reçu une formation appropriée. Ces
comités sont les interlocuteurs des agriculteurs
et les amplificateurs des décisions
prises. En plus, la population doit
prendre une part active dans la fabrication
des briques et des pierres de terrassement.
L’accès à l’eau propre
À Chinyata la population ne disposait que
de deux points d’eau potable devant couvrir
les besoins de 300 familles dans les 7 communautés
rurales. Très éloignés des villages,
ces points sont insuffisants par temps
de sécheresse et les réserves d’eau dont
disposent les villageois sont limitées. Depuis
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp 16

le début du projet, les deux points d’eau
existants ont été aménagés et 7 nouveaux
puits ont été construits. Presque toutes les
familles disposent de latrines. Elles ont reçu
des instructions pour s’en servir.
Accès à l’agriculture diversifiée
Comme partout ailleurs dans le Malawi
les agriculteurs de Chinyata se trouvent
régulièrement confrontés à une crise agricole.
Ils sont incapables d’accroître le
rendement de leurs terres. La monoculture
et l’utilisation abusive d’engrais, qui
au fil des années peuvent même être nuisibles
à la bonne gestion des terres, ont
appauvri les sols.
Avec l’engagement d’un jeune agronome
local, les villageois et simples paysans
ont pu bénéficier d’une instruction
et de conseils des habitants en matière
d’agriculture, de la distribution de
semences et de plantes pour le reboisement
afin de combattre l’érosion des
sols et pour apprendre les techniques de
compostage naturel. 550 personnes participent
aux différents programmes
comme la production agro-forestière, les
techniques d’irrigation, la fabrication de
compost naturel et la conservation des
sols. Ainsi plus de 20 000 arbres ont été
plantés, 5 000 kg de semences différents
ont été distribuées et aujourd’hui
les paysans arrivent à vendre environ
15% de leur récolte au marché local.
17
Accès à l’enseignement
Dans un rayon de 15 kilomètres autour de
Chinyata il n’existe pas d’école primaire.
Les habitants de Chinyata ont construit
de leur propre initiative deux salles de
classe qui devrait accueillir 1000 enfants.
Voilà pourquoi la majorité des enfants
reçoit un enseignement à l'extérieur,
« sous les arbres ». Les enseignants
habitent ailleurs. Pendant la saison des
pluies les pistes sont impraticables et les
classes doivent chômer fréquemment en
raison des intempéries. Le volet de l’éducation
a pour objectif de garantir un
accès à un enseignement dans de bonnes
conditions par la construction de salles de
classe et par la qualité et la continuité
des instituteurs présents et disponibles.
Voilà pourquoi la construction de la maison
des enseignants est venue s'ajouter à
ce projet. Le 14 novembre 2011 une
ouverture officielle a eu lieu, malgré le
fait que l’ensemble des bâtiments ne sont
pas encore terminés. Mais durant les
années 2010 à 2011, beaucoup d’enfants
des classes et des écoles du Luxembourg
ont collecté des cartables, des sacs à dos
et du matériel scolaire pour les enfants de
Chinyata. Envoyé en mai 2011, ce matériel
a été distribué le jour de l’inauguration
et ce fût un jour de fête
indescriptible.
Le projet actuel se termine en fin 2012,
mais sera poursuivi par une seconde
phase qui prévoit une extension au niveau
des villages et des bénéficiaires et une
augmentation des activités. Si l’accès à
l’eau propre et à l’éducation et la formation
en agriculture trouvent leur suite
logique dans le nouveau programme, la
création de groupements de femmes et
leur formation sur différents sujets présentent
un nouvel aspect. Cette action
permettra aux femmes une meilleure prise
en charge de leurs familles.
Lors de la visite mentionnée en novembre
2011, les villageois ont soumis une
demande aux représentants de l’ONG à
pouvoir bénéficier d’une ou de deux
ambulances – bicyclettes. Le fait que l’hôpital
St Gabriel se trouve à une distance
importante pour des personnes en état de
santé grave ou d’urgence, une telle ambulance
pourra aider à sauver des vies très
concrètement. Cette action, hors du projet
cofinancé, a trouvé l’assentiment au sein
de l’ONG. Voilà pourquoi nous organisons
le 23 septembre 2012 à Hesperange une
randonnée de vélo pour petits et pour
grands amateurs, dans le but de collecter
des fonds pour le financement de ces
ambulances. Venez-vous aussi nombreux.
Sr Véronique Weis
32, rue Zithe L – 2763 Luxembourg
CCCPL 1111 0997 8973 0000
www.ong-malawi.lu
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp

St. Gabriel's Hospital
> Solarstrom für das St. Gabriel’s Hospital
ENERGIE: EINE UNZuver LÄs-
SIGE VERSORGUNG DURCH DIE
ÖFFENTLICHE HAND.
Malawis wirtschaftliche Lage hat sich in
dem letzten Jahr extrem verschlechtert.
Immer wieder kommt es zu größeren
Ausfällen der öffentlichen Strom versorgung.
In der Vergangenheit wurden
Unterbrechungen mit zwei Dieselgeneratoren
überbrückt, doch ist diese
Notversorgung nun zeitweise nicht mehr
möglich und auch sehr teuer geworden. Die
ständige Devisen knappheit, die sich durch
die instabile politische Lage verschärft hat,
führt dazu, dass oft kein Treibstoff in
Malawi verfügbar ist. Die Beschaffung von
Diesel für den Genera torenstrom stellt,
nach der Abwertung der malawischen
Währung um 50%, eine enorme Belastung
für das St. Gabriel‘s Hospital dar.
SOLARSTROM IST DIE ALTERNATIVE
Im sonnenverwöhnten Malawi bietet sich
die Sonne als zuverlässige und ressourcenschonende
Energiequelle an. Natürlich
muss neben einem Umstieg auf
die solare Stromversorgung auch der
Stromverbrauch gesenkt werden. In den
vergangenen Jahren wurden bereits wertvolle
Maßnahmen ergriffen, so wurden
stroms parende Lampen sowie solargespeiste
Außenleuchten installiert und
das warme Wasser für die großen
Waschmaschinen wird durch Solarthermen
auf 70 Grad vorgewärmt. Das
St. Gabriel‘s Hospital profitiert schon
in diesem Jahr deutlich von diesen
Sparmaßnahmen. Im Frühjahr 2013 wird
mit dem Aufbau einer solaren Stromversorgung
begonnen werden. Dieses
Projekt wird in drei Etappen realisiert.
Zunächst wird der Kranken hausbetrieb
von der öffentlichen Stromversorgung
und den Diesel gene ratoren unabhängig
gemacht. Dazu wird eine 50 kW-Solarstromanlage
mit Batteriespeicher errichtet.
Mit dieser Anlage können alle
elektrischen Geräte des Krankenhauses,
insbesondere die Geräte in den beiden
Operationssälen, Röntgen, Ultraschall,
Sterilisation und Waschmaschinen, mit
erneuerbarer Energie betrieben werden.
In zwei weiteren Etappen wird dann die
Kapazität der Anlage auf 133 kW mit
entsprechender Batteriespeicherkapazität
erweitert werden. Damit kann auch die
zum Kranken haus gehörende Wohnbebauung
mit Solarstrom versorgt werden.
PROJEKTKOSTEN
Eine solche umfassende Solarstromversorgung
setzt sich im Wesentlichen
aus den Solarmodulfeldern, den Wechselrichtern,
die den solar erzeugten
Gleichstrom in Wechselstrom umformen,
sowie den Batterien zusammen. Für das
Gesamtprojekt werden Kosten in der
Größenordnung von 550 000 € entstehen.
Die erste Phase erfordert Mittel in
Höhe von 250 000 €.
ERFAHRENER PARTNER ZUR
REALISIERUNG
Für die Realisierung des Projektes ist
eine Firma vorgesehen, die bereits mehr
als 50 Solaranlagen in Afrika errichtet
hat. Diese setzt für die Montage afrikanische
Mitarbeiter ein. Gemeinsam mit
zwei Elektrikern des St. Gabriel’s Hospital
stellen diese neben dem Aufbau insbesondere
den Know-how-Transfer auf
das Spital sicher. Durch die Schulung
bereits während der Bauphase wird das
Krankenhauspersonal die Anlage selbst
warten und ihren Betrieb gewährleisten.
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp 18

SIE KÖNNEN HELFEN!
Durch Ihre Unterstützung können Sie zur
Errichtung der Solarstromversorgung des
St. Gabriel’s Hospital beitragen. Diese
Maßnahme kommt direkt den Patienten
zugute, da zukünftig die derzeit hohen
Energiekosten entfallen. Die ohnehin
knappen Mittel des Krankenhauses können
dann einzig für Medikamente und
die direkte Patientenversorgung genutzt
werden. Zudem leistet die Solaranlage
einen Beitrag zum Umweltschutz und ist
ein Leuchtturmprojekt in einem Land, das
zwar für Sonnenenergie prädestiniert ist,
dem aber die Mittel für diese nachhaltige
Energieversorgung fehlen.
Für jede Spende auf das Konto der
Fondation Ste Zithe bedanken wir uns
bereits jetzt sehr herzlich.
SOLARSTROM für das St. Gabriel’s
Hospital – zum Wohle der Patienten und
der Umwelt.
BIC: BCEELULL IBAN: LU47 0019
1300 1330 3000
32, rue Ste Zithe
L-2763 Luxemburg
19
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp

St Gabriel's Hospital
> L’énergie solaire pour le St Gabriel’s Hospital
UN HÔPITAL DANS UN ENVIRON-
NEMENT TRÈS PAUVRE
En raison de la situation économique précaire
du Malawi, les coupures d’électricité
sont de plus en plus fréquentes. Or, les
deux groupes Diesel-électrogènes de l’hôpital
ne suffisent plus pour compenser ces
défaillances. Le prix du diesel ne cesse de
grimper, mais souvent aucun carburant
n’est disponible sur le marché local. Cette
forme d’approvisionnement de secours
n’est donc plus fiable. Rappelons dans ce
contexte que le cours de la monnaie
malawienne vient être dévalué de 50%. Si
l’électricité devait être produite par les
groupes électrogènes, son prix exorbitant
grèverait le budget de l’hôpital.
L‘ÉNERGIE SOLAIRE -
UNE ALTERNA TIVE RÉALISTE
Pour pallier la crise d’approvisionnement
en électricité et en même temps ménager
les ressources naturelles, l’énergie solaire
s’impose au St Gabriel’s Hospital.
En premier lieu, il s’agit de baisser la
consommation d’électricité de l’hôpital et
de parvenir à un niveau économiquement
et écologiquement responsable. Les années
écoulées ont déjà vu le remplacement des
ampoules normales par des ampoules à
basse consommation, et l’eau chaude destinée
aux machines à laver est préchauffée
à 70°C par l'énergie solaire. Autre amélioration,
l’éclairage extérieur fonctionne sur
piles solaires. Ces mesu res ont déjà prouvé
leur efficacité économique.
LE PROJET SOLAIRE POUR LE
ST GABRIEL‘S HOSPITAL
La mise en œuvre d’un système d’alimentation
en électricité solaire pour le St
Gabriel’s Hospital est prévue pour le
printemps 2013.
Le projet sera réalisé en trois étapes. Le
fonctionnement de l’hôpital doit être
rendu indépendant du réseau de distribution
public d’une part et des groupes
électrogènes d’autre part. Ceci sera
rendu possible par une installation
d’électricité solaire de 50 kW avec accumulateur.
Ainsi, tous les appareils électriques
de l’hôpital, et surtout les
appareils dans les deux salles d’OP, la
radiologie, l’échographie, la stérilisation
et les machines à laver fonctionneront
avec de l’énergie renouvelable.
Dans une deuxième étape, la capacité de
l’installation atteindra 133 kW avec accumulateurs
adaptés afin de pouvoir fournir
de l’électricité aux habitations faisant partie
de l’hôpital.
INVESTISSEMENT
Le système d’alimentation solaire est constitué
essentiellement de champs de panneaux
solaires, d’inverseurs, qui convertissent le
courant généré par l’énergie solaire en courant
alternatif, et de batteries. Les dépenses
du projet s’élèveront à environ 550 000 €.
La première phase coûtera 250 000 €.
UN PROJET RÉALISÉ PAR UN PAR-
TENAIRE FIABLE
La réalisation du projet sera confiée à une
entreprise qui a déjà réalisé plus de 50 installations
solaires en Afrique. Des collaborateurs
africains et deux électriciens du St Gabriel’s
Hospital assureront à la fois le montage de
l’installation et le transfert du « know-how »
au personnel de l’hôpital. Ainsi, le fonctionnement
correct et en toute sécurité de l’installation
sera assuré à long terme.
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp 20

VOUS POUVEZ NOUS AIDER !
Soutenez le projet d’une installation solaire
au St Gabriel’s Hospital ! Avec la réalisation
du projet, les dépenses actuelles pour l’électricité
pourront désormais servir à l’achat de
médicaments et aux soins directs. La nouvelle
installation est une contribution à la
protection de l’environnement et sert de «
projet phare » dans un pays prédestiné à
profiter de l’énergie solaire mais dépourvu
de moyens pour investir à long terme dans
de tels projets.
Nous vous remercions d’ores et déjà sincèrement
pour chaque don que vous verserez
sur le compte de la Fondation Ste
Zithe.
L’énergie solaire pour le St Gabriel’s
Hospital – pour le bénéfice des patients et
pour l’environnement.
BIC: BCEELULL
IBAN: LU47 0019 1300 1330 3000
32, rue Ste Zithe
L-2763 Luxembourg
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kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp

Buchtips
> Les 12 lois du cerveau
par Dr John Medina
Psychologie ? Psychiatrie ?
Psychanalyse ?
– Non, neurologie.
QUEL INTÉRÊT ?
Un neuroscientifique de
renom se prend la peine
d’expliquer quelques aspects
du fonctionnement de
notre cerveau dans un langage
compréhensible pour
tous.
Dans notre société moderne aux possibilités
technologiques vastes et en constante évolution,
il nous reste un héritage ancestral et
néanmoins très élaboré : notre cerveau !
Vu qu’il est moins facile de changer de
cerveau que de smartphone ou de PC, il
serait peut-être judicieux de s’intéresser
au fonctionnement de notre super-ordinateur
intra-crânien qui est justement à l’origine
de toute cette technologie moderne.
CONTRE LES IDÉES REÇUES
cerveau, ne se multipliaient plus à partir
d’un certain âge, ou bien que l’apprentissage
ne pouvait pas être influencé de
façon significative par l’activité physique.
Eh bien si ! On en apprend tous les jours.
DES CONSTATS SURPRENANTS
Le multi-tasking, le fait d’effectuer plusieurs
tâches en même temps, diminue la productivité
et augmente le nombre d’erreurs ?
Apparemment, la formidable capacité
d’adap tation de notre cerveau a quand
même des limites : l’unité de lieu, de temps
et d’action est encore le meilleur moyen
d’aborder notre théâtre quotidien de façon
efficace !
Celui ou celle qui fait sa petite sieste au
bureau serait plus productif sur l’aprèsmidi
que ses confrères moins fainéants qui
n’ont pas fermé l’œil de la journée (« C’est
quand-même pas possible, on va où là ?
On est ici pour travailler ! ») : le débat
devient culturel.
NOS LIMITES
sélective : éviter ce qui ennuie (mais aussi
économiser le glucose vital dès que « ça
se répète ») être plus influencé par les
images que par les mots, etc.
QUEL LIEN AVEC LA QUALITÉ ?
Remises en question, analyses des risques,
esprit d’apprentissage, relations humaines
et bon sens sont des éléments clés de la
qualité et de la sécurité tels que décrits
dans notre Vision Directrice.
Il va de soit que le facteur humain est de
loin le plus complexe et le plus difficile à
gérer dans un contexte de changement.
Être humain signifie justement qu’on ne
fonctionne pas comme un smartphone ou
un PC, même si on voudrait atteindre un
niveau d’efficacité individuel performant
pour travailler.
Chaque individu apporte ses qualités et
ses défauts, et ce n’est qu’une collaboration
intelligente qui permettra de tirer le
meilleur d’un travail d’équipe.
Les 12 lois, développées dans 12 chapitres,
ne collent pas toujours avec l’idée
qu’on peut avoir du cerveau humain : ainsi
étais-je personnellement persuadé que les
neurones, les principales cellules du
Nos facultés mentales ainsi que l’apprentissage
sont entravés par le stress chronique,
le manque de sommeil et de
mobilité, et une attention qui s’épuise
rapidement et qui est avant tout
Critiquons notre manière de collaborer au
lieu de nous critiquer mutuellement.
Pierre Lambé
Coordinateur Qualité
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp 22

ZithArt
Dans le cadre d’un cycle de concerts organisé
par l’association socio-culturelle
ZithArt en la Chapelle du Couvent St Jean,
les jeunes prodigieux talents des classes
de claviers, chant, guitare, accordéon et
d’instruments à vent du Conservatoire de
la Ville de Luxembourg se sont produits
entre octobre et mars en la Chapelle du
Couvent St Jean, sous le patronage de la
Fondation Ste Zithe au profit du développement
de l’énergie solaire au Malawi.
23
À l’occasion d’une remise de chèque qui a
récemment eu lieu au Conservatoire, les
organisateurs ont eu l’honneur d’annoncer
qu’un montant de 616,50 € a été collecté
en faveur du St Gabriel’s Hospital
Namitete, qui représente le premier et
plus grand centre de mission de la congrégation
des sœurs Zitha dans le pays.
L’hôpital, situé dans une région rurale à
environ 60 km à l’ouest de la capitale,
Lilongwe, dispense des soins médicaux à
quelque 250 000 Malawiens et dispose
aujourd’hui d’infrastructures médicales
qui fonctionnent bien grâce au soutien de
nombreuses organisations du monde
entier, et en particulier de la population
luxembourgeoise.
Luxembourg, le 12 juillet 2012
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp

Ressources Humaines
ZITHASENIOR-SENIORIE STE ZITHE CONTERN
Nom Prénom Nom marital Service
Entrée
TORRES GOMES
Seniorie St Zithe
Nom Prénom Nom marital Service
DE ABREU PAIS Isabelle
Bâtiment A - Ménage - Seniorie
ADA Anne Blandine Bâtiment A-Soins et Encadrement
Ste Zithe
Seniorie St Zithe
DIAS SILVA Edilene Bâtiment A-Soins et Encadrement
ADAM Jessica Infirmier(ières) Seniorie Ste Zithe
Seniorie St Zithe
Contern
DOLENC Sylvie Bâtiment A-Soins et Encadrement
ADRIAENSSENS Mieke MAJERUS Soutien Seniorie Ste Zithe
Seniorie St Zithe
ALFF Sabrina Bâtiment A - Ménage - Seniorie DUARTE Sandra Manuela SOARES Bâtiment A-
Ste Zithe
GRAVELOS TEIXEIRA Soins et Encadrement Seniorie
ALVES DA SILVA Elvira de Fatima COIMBRE VIEIRA Bâtiment B-Ménage Seniorie
St Zithe
Ste Zithe
ELDEWEYS Marie-Jeanne Bâtiment B-Soins et Encadrement
AMMAR Marièm Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
Seniorie Ste Zithe
EWEN Martine Brasserie Seniorie Ste ZIthe
ANDRADE LIMA Antonia
Bâtiment B-Ménage Seniorie
FELIPE Rosangela LEPAGE Cuisine Seniorie Ste Zithe
Ste Zithe
FRANCIS Roxanne Bâtiment B-Soins et Encadrement
BACK Vanessa BERG Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
Seniorie Ste Zithe
FRANTZEN Lynn Soutien Seniorie Ste Zithe
BACK Fabrice Cuisine Seniorie Ste Zithe
FRISCH Nancy FETTES Bâtiment A-Soins et Encadrement
BÄCKER Carmen Infirmier(ières) Seniorie Ste Zithe
Seniorie St Zithe
Contern
GASPERS Tatjana Bâtiment B-Soins et Encadrement
BARTHOLMY Michelle BERSCHEID Accueil Seniorie Ste Zithe
Seniorie Ste Zithe
BECKER Gabrielle Bâtiment A-Soins et Encadrement GIOVANNINI Sandra Ménage Seniorie Ste Zithe
Seniorie St Zithe
GÖDEN Karin HASTENPFLUG Bâtiment A-Soins et Encadrement
BEIDELER Charlotte BECKER Bâtiment A - Ménage - Seniorie
Seniorie St Zithe
Ste Zithe
GOERENS Edith KIRSCH Soutien Seniorie Ste Zithe
BESCH Marie-Paule WEIMERSKIRCH Accueil Seniorie Ste Zithe
GOUDEN Monique GIBERYEN Brasserie Seniorie Ste ZIthe
BIRDEN Sandra GENGLER Bâtiment B-Ménage Seniorie
Ste Zithe
GROSS Daniela Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
BIVER Martine LINSTER Bâtiment B-Ménage Seniorie
GUARITA Paula Bâtiment B-Ménage Seniorie
Ste Zithe
GORINO
Ste Zithe
BIWER Cathy Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
HAINK Janine Alexandra Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
BREMER Manuela Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
HARNER Kristina SOSNOVSKIS Infirmier(ières) Seniorie
Ste Zithe Contern
BRYNJARSSON Jennifer Bâtiment A-Soins et Encadrement HAUSEMER Chantal Administration Seniorie Ste Zithe
Seniorie St Zithe
HERRMANN Sheila Bâtiment B-Soins et Encadrement
BUERTIN Martin Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
Seniorie St Zithe
HILBES Sandy Bâtiment A - Ménage - Seniorie
CAMPANELLA Rosanna BERNARDO Administration Seniorie Ste Zithe
Ste Zithe
CHENET Myriam Bâtiment A - Ménage - Seniorie Ste
Zithe
HUMBERT Christiane Bâtiment A - Ménage - Seniorie
Ste Zithe
CHOLLET Christine Bâtiment B-Soins et Encadrement JACOTTIN Olivier Technique Seniorie Ste Zithe
Seniorie Ste Zithe
KANINDA Marie-Christine MULOMBE Infirmier(ières) Seniorie Ste Zithe
CIMENTI Sandra SCHMIT Brasserie Seniorie Ste ZIthe
YABU NGALULA
Contern
CINELLO Cheryl Bâtiment B-Soins et Encadrement KASONGO Mireille Infirmier(ières) Seniorie Ste Zithe
Seniorie Ste Zithe
MWANGE
Contern
CLAUDE Cindy Bâtiment A-Soins et Encadrement KELPSAITE Lidija PROMMEN Infirmier(ières)
Seniorie St Zithe
SCHENKEL Seniorie Ste Zithe Contern
COLLETTE Cindy KIGGEN Bâtiment B-Ménage Seniorie
Ste Zithe
KISER Jeremy Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
DA FONSECA Maria Alice Bâtiment A-Soins et Encadrement KLEIN Dorothea Ménage Seniorie Ste Zithe
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp 24

Nom Prénom Nom marital Service
KOENEN Janina Infirmier(ières) Seniorie
Ste Zithe Contern
KOLLMESCH Joël Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
KREMER Danielle FABER Bâtiment B-Ménage Seniorie
Ste Zithe
LAGE MARTINS Jessica
Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
LAGES LOPES Sandra Bâtiment A - Ménage - Seniorie
Ste Zithe
LANNERS Rebecca Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
LANNERS Jessica Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
LEITE BATISTA Paula Christina Bâtiment B-Ménage Seniorie
Ste Zithe
LENNINGER Bernadette JENNES Cuisine Seniorie Ste Zithe
LORENZONI Sonia Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
MACHADO Paula Maria DO CARMO Bâtiment B-Ménage Seniorie
ADAO
Ste Zithe
MALDENER Sandra Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
MALENA Teresa Brasserie Seniorie Ste ZIthe
MARINANGELI Mariolina Ménage Seniorie Ste Zithe
MARX Annette FISCH Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
MENGUE ATANGA Pauline Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
MEYERS Josiane Ménage Seniorie Ste Zithe
MOES Tamara Ménage Seniorie Ste Zithe
MOHR Gertrud Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
MOSIEK Marzanna PAGIELA Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
MÜHLHAUSEN Manuela SCHUMACHER Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
MULLER Myriam HAMES Accueil Seniorie Ste Zithe
MULLER Danielle Administration Seniorie Ste Zithe
MÜLLER Monika REUTER Bâtiment A - Ménage - Seniorie
Ste Zithe
NEIS Michaela Infirmier(ières) Seniorie
Ste Zithe Contern
NICKELS DIT HOFFMANN Caroline Bâtiment A-Soins
et Encadrement Seniorie St Zithe
NOWAKOWSKA Ewa
Bâtiment B-Ménage Seniorie
Ste Zithe
OESTREICHER Thilly Bâtiment A - Ménage - Seniorie
Ste Zithe
OLIVEIRA Liliane FRIEDEN Accueil Seniorie Ste Zithe
25
Nom Prénom Nom marital Service
PALZER Hildegard Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
PALZKILL Andreas Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
PANZA Maria Bâtiment A - Ménage - Seniorie
Ste Zithe
PARENTE Léonor BRUNOZZI Ménage Seniorie Ste Zithe
PARRACHO Wendy LUTTY Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
PATIK Sacha Brasserie Seniorie Ste ZIthe
PEFFER Cindy DELVAUX Bâtiment B-Ménage Seniorie
Ste Zithe
PETERS Bennet Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
PIRES FREITAS Stéphanie Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
PIRSCH Marie-Louise SCHOULLER Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
POMPEI Manuela PICCO Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
PRATA SOARES José Luis
Technique Seniorie Ste Zithe
RAACH Elisabeth Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
RALINGER Solange Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
RAMOS Maria ROLLINGER Bâtiment B-Ménage Seniorie
AUGUSTO
Ste Zithe
RASSEL France Infirmier(ières) Seniorie Ste Zithe
Contern
RAU Petra WELLENBERG Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
REICHLING Andrée BONARDEL Accueil Seniorie Ste Zithe
RIES Nora Bâtiment A - Ménage - Seniorie
Ste Zithe
RÖDER Pia FINK Infirmier(ières) Seniorie Ste Zithe
Contern
RONKAR Anouk Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
SANDT Suzette Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
SCHEERER Carole Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
SCHMIT Tom Technique Seniorie Ste Zithe
SCHMITT Jennifer Infirmier(ières) Seniorie Ste Zithe
Contern
SCHMITT Tanja Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
SCHMITT Vera WEBER Bâtiment B-Ménage Seniorie
Ste Zithe
SCHOENBERG Laetitia Bâtiment A - Ménage - Seniorie
Ste Zithe
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp

Nom Prénom Nom marital Service
SEIDENTHAL Nathalie Bâtiment A - Ménage - Seniorie
Ste Zithe
SEQUEIROS QUISPE Yvonne Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
SHAHMIRI Raika-Mael Cuisine Seniorie Ste Zithe
SIMOES Helena Cristina MARQUES Cuisine Seniorie
DA SILVA DA SILVA Ste Zithe
SONNTAG Corinne Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
STEFFENMUENSBERG Nancy Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
STEINMETZ Marie-Rose JOCHUM Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
THILL Nathalie Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
THIMMESCH Nadine WESTER Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
THURMES Tanja Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
TROMMER Martine Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
URBAIN Sonja Bâtiment B-Ménage Seniorie
Ste Zithe
UROOGON Hortense EISENBARTH Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
VIEIRA DA SILVA Ana Maria
Bâtiment A - Ménage - Seniorie
Ste Zithe
WACHS Michèle Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
WAGENER Sonia Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
WAHL Claudine Brasserie Seniorie Ste ZIthe
WALTRINY Olivier Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
WEHR Heike HOFFMANN Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
WEIS Sonja STRAUS Accueil Seniorie Ste Zithe
WELTER Ulrike SCHÜTZ Infirmier(ières) Seniorie Ste Zithe
Contern
ZEIMES Alain Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
ZIMMER Lara Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
ZIRO Caroline ZIMMER Bâtiment A - Ménage - Seniorie
Ste Zithe
SORTIE
BETTENDORF Angelika Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
BUERTIN Martin Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
FRANCIS Roxanne Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
GILLET Sébastien Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniori e Ste Zithe
GIOVANNINI Sandra Ménage Seniorie Ste Zithe
GÖDEN Karin HASTENPFLUG Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
Nom Prénom Nom marital Service
GONCALVES Susana DAS NEVES Bâtiment B-Ménage
DA CRUZ RAMALHO Seniorie Ste Zithe
KETTER Ana Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
LAGE MARTINS Jessica
Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
LANNERS Jessica Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
MOES Tamara Ménage Seniorie Ste Zithe
MOSIEK Marzanna PAGIELA Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
NEIS Michaela Infirmier(ières) Seniorie Ste Zithe
Contern
NILLUS Jocelyne LELLIG Ménage Seniorie Ste Zithe
OLIVEIRA Liliane FRIEDEN Accueil Seniorie Ste Zithe
PEFFER Cindy DELVAUX Bâtiment B-Ménage Seniorie
Ste Zithe
RIES Nora Bâtiment A - Ménage - Seniorie
Ste Zithe
RODRIGUES Carla MARGARIDA Bâtiment B-Ménage Seniorie
MENDES
Ste Zithe
SANDT Suzette Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
SCHUL Bernadette THEIS Administration Seniorie Ste Zithe
SEQUEIROS QUISPE Yvonne Bâtiment B-Soins et Encadrement
Seniorie Ste Zithe
STEFFENMUENSBERG Nancy Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
STEINMETZ Marie-Rose JOCHUM Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
VANDENBOSCH Petra ZIMMER Administration Seniorie Ste Zithe
ZEIMES Alain Bâtiment A-Soins et Encadrement
Seniorie St Zithe
ZITHASENIOR CENTRAL
ENTRÉE
BRACKER Holger Assurance Qualité Zitha Senior
COUTO Paula Cristina HEUERTZ DIRECTION MED. ZITHA SENIOR
ZITHASENIOR- SENIORIE ST JOSEPH PETANGE
ENTRÉE
APRILE Tiffany ETIENNE Um Bierg
BETTENDORF Carole Nettoyage rez de chaussée
DE JESUS VIEIRA Jeisa
Kordall
DE MICHELE Daniela LOMONACO Kordall Hôtellerie
DOS SANTOS FONSECA Ana Buanderie
FRANCOIS Nicole NOLL Um Bierg Hôtellerie
FREITAS Carmelina Um Bierg Hôtellerie
DE SOUSA
FUSULIER Linda Kordall
GODERNIAUX Deborah Kordall
GOERRES Bianca Um Bierg
MARNACH Fabienne Um Bierg
MATHIEU Marie-Josée HAMMER Um Bierg
MIGET Geoffrey Service technique
PARCHITELLI Antoinette BECK Secrétariat et accueil
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp 26

Nom Prénom Nom marital Service
RODRIGUES Joana Filipa Um Bierg
DA GRACA PIMENTO
RODRIGUES Carla Maria Kordall
DE SOUSA
THIERRY Sandrine PIAZZA Um Bierg
THOSS Claudine LUTGEN Sonnenhaus
WOICIK Véronique Um Bierg Hôtellerie
SORTIE
CSAKFALVI Carole Kordall
CZAIKA Rose Sonnenhaus
DE MICHELE Daniela LOMONACO Kordall Hôtellerie
D’HOEST France CLICQUE Sonnenhaus
FREITAS Carmelina Um Bierg Hôtellerie
DE SOUSA
KATER Franziska Um Bierg
LOURENCO Silvia Um Bierg Hôtellerie
DA CRUZ
MERKES Jean-Claude Service technique
NICOLA Muriel THOMA Um Bierg
PEIFFER Naiké Um Bierg Hôtellerie
RASQUE Linda TEIXEIRA Sonnenhaus
DA SILVA
DA SILVA
RILL Christiane MEIS Um Bierg
SCHÖNHOFEN Esther HEUSBURG Kordall Hôtellerie
STEFANETTI Nadia LIGBADO Secrétariat et accueil
SWIONTEK Joëlle LUCAS Sonnenhaus
THIERRY Sandrine PIAZZA Um Bierg
WEILER Melissa Um Bierg
ZITHASENIOR- SENIORIE ST JEAN DE LA CROIX
ENTRÉE
COLOVIC Selma SABOTIC Soins 2 e étage
KLEEF Roelfina JAHANGARD Soins 1 er étage
PATAVANI
KRAUS Beatrix FELLENS Soins 2 e étage
RIDONY Mandy Réception
SORTIE
CHUAY NGAN Kanokwan Soins 2 e étage
dit Jessica
HAU Michelle Soins 1 er étage
HUSTING Christine Soins 1 er étage
JOHANNS Nathalie Service Ergothérapie
MULLER Christa Soins 3 e étage
PAULY Martine Soins 1 er étage
REIFFER Monique Soins 1 er étage
SABOTIC Sabine SKRIJELJ Soins 1 er étage
WEBER Linda SANDER Soins 1 er étage
WEIDERT Monja Soins 1 er étage
ZITHASENIOR- SENIORIE ST JOSEPH CONSDORF
ENTRÉE
DRONRIJP Niesje Maria Georgetina Soins Consdorf
SCHMITT Adelheid Cuisine Consdorf
STEICHEN Astrid Ergothérapie Consdorf
27
Nom Prénom Nom marital Service
WEILER Norbert Cuisine Consdorf
SORTIE
HEINEN Jean-Marc Cuisine Consdorf
ZITHAKLINIK
ENTREE
BASILE Stéphanie Assistance sociale
BIERBRAUER Thomas STE - Electronique
DE JESUS SEQUEIRA Sam
LOG - Magasin central
FERNANDES Vania Filipa C 2 (Médecine interne)
PEREIRA
FRISCH Michèle Diététique
HANFF Anne-Marie Policlinique
KUBETSCHEK Christoph RI - Imagerie Résonance Mag.
KUBORN Stéphanie RGE - Rééducation Gériatrique
LEUCK Anastasia RI - Radiologie
LOURENCO TOMAS Antonio Manuel
Restauration Production
MAJERUS Stefania Personnel
REGITZ Carsten Centre de Réanimation
RUMÉ Änder C 4 (Chirurgie)
TAVEIRA VILLELA Francielle FRANCA Nettoyage
MARQUES
DA COSTA
TROST Andrea C 3 (Chirurgie)
SORTIE
BACKES Sven Centre de Réanimation
BOCK Anouk Diététique
CLEMENT Karin PUNDEL C 4 (Chirurgie)
DE OLIVEIRA Maria Fernanda FERREIRA
Nettoyage
PEREIRA
DELGADO Elsa Restauration Production
FELTGEN Tilly Centre de Réanimation
GLODT Georges Assurance qualité
HARY Marie-Rose Nettoyage
HEIRENS Justine LOG - Transport Logistique
JANIN Charles STE - Electronique
KLEIN Dorothea LOG - Magasin central
KLOP Marco Direction
KUBNY Sybille FLOHE Pharmacie
LAHURE Corinne Assistance sociale
LAUER Beate SCHUHMANN Mesure Charge de Travail
LEMESHKO Vladislav Restauration Production
LOISELEUX Laurence SCHOSGER Restauration Production
MAJERUS Stefania Personnel
PELTZER Esther LAVANDIER Restauration Production
RATHEY Peter Centre de Réanimation
SCHEERER Yannick IT - Information Technology
SCHUH Christopher Policlinique
SCHWINNEN John STE - Secrétariat
SILVA SANTOS Joana PINTO BORGES C 4 (Chirurgie
kompress n°24 // Oktober 12 // Zeitung vum ZithaGrupp

Solarstrom für das St. Gabriel’s Hospital – Helfen Sie!
Energiekrise
im St. Gabriel’s Hospital
Häufige Stromausfälle, hohe Dieselpreise
– die wirtschaftliche Lage in Malawi hat
sich in den letzten Jahren enorm verschlechtert.
Die Energiekosten steigen
und sind eine hohe Belastung für das
Spital!
Solarstrom – die Alternative
Im Frühjahr 2013 soll damit begonnen
werden, das St. Gabriel’s Hospital mit
Solarstrom zu versorgen. Das Projekt wird
mithilfe eines Afrika-erfahrenen Partners
realisiert, der auch das Personal vor Ort in
der Wartung der Geräte schult. Die Kosten
für das Gesamtprojekt belaufen sich auf
550 000 Euro.
So können Sie helfen!
Ihre Spende hilft, die Solarstromversorgung
im St. Gabriel’s Hospital zu realisieren!
Davon profitiert nicht nur die Umwelt,
sondern auch die Patienten: Die eingesparten
Energiekosten kommen den
Patienten in Form von Medikamenten und
einer besseren Versorgung zugute.
Bitte überweisen Sie Ihre Spende
mit dem Stichwort „Solarstrom für
das St. Gabriel‘s Hospital“ auf das
Konto der BCEE: IBAN LU 47 0019
1300 1330 3000.
Danke für Ihre Hilfe!
Zum Wohle der Patienten
und der Umwelt.
www.zitha.lu
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