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Taux de prévalence, tous sexes confondus, pour 3 pathologies (100 000 hab.) :
AVC ischémiques, hémorragies sous arachnoïdiennes, hémorragies intracérébrales, (sans décrire
les autres hémorragies intracrâniennes extra et sous-durale et les AVC d'origine indéterminée).
160
Taux standardisé de prévalence des AVC ischémiques
140
120
100
80
60
40
20
Région Centre
18 - Cher
28 - Eure-et-Loir
36 - Indre
37 - Indre-et-Loire
41 - Loir-et-Cher
45 - Loiret
0
2006 2007 2008 2009 2010 2011
Taux standardisé de prévalence hémorragies sous-arachnoïdiennes
16
14
12
10
8
6
4
2
Taux standardisé de prévalence des hémorragies intracérébrales
35
30
25
20
15
10
5
0
2006 2007 2008 2009 2010 2011
0
2006 2007 2008 2009 2010 2011
SOURCE : PMSI 2006-2011, PATIENTS DOMICILIÉS EN RÉGION CENTRE
INSEE POPULATION FRANCE MÉTROPOLITAINE 2009
On note une tendance ascendante expliquée par la diminution de ½ des AVC codés
d'origine indéterminée, entre 2007 et 2011 (cf. page 14).
C'est dans les AVC ischémiques que les prévalences sont les plus inhomogènes entre
départements, prévalence élevée en Indre et faible dans le Cher.
En 2011, les taux de prévalence des hémorragies sous-arachnoïdiennes et
intracérébrales sont très homogènes entre départements.
Pour les hémorragies méningées, la tendance ascendante est sans doute moins expliquée par la
diminution des AVC codés d'origine indéterminée à la différence des 2 autres pathologies :
peut être sont-elles mieux étiquetées par l'imagerie qui est de plus en plus souvent utilisée et
mieux codées, le codage s’améliorant depuis la T2A ?
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