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Guérison par une Cure d'âme intensive biblique - Schaermin.org

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6 Annexe<br />

6.1 Une tentative d’un ordre schématique<br />

Com<strong>par</strong>ez maintenant les déclarations qui viennent avec les schémas aux pages qui<br />

suivent.<br />

Imaginons l’homme comme étant <strong>une</strong> chose en relief. La Bible le qualifie de temple<br />

(1 Cor. 6, 19-20) ou de vase (2Cor. 4, 7; 2 Tim. 2, 20-21).<br />

L’homme se compose d’<strong>une</strong> combinaison de conscience (30%) et de subconscient<br />

(70%). Par ce fait, il devient très vite assez clair que le subconscient est considérablement<br />

plus grand et qu’il devrait représenter la force dominante. Tout ce qui réside<br />

dans le subconscient exercera donc <strong>une</strong> influence prépondérante sur nous.<br />

En ce qui concerne le domaine de la conscience, les éléments suivants pourraient lui<br />

être attribués : l’intelligence, la volonté, les pensées, les désirs, les sentiments, les<br />

<strong>par</strong>oles, des expériences et des actes concrets. Dans ce domaine il y en règle générale<br />

<strong>une</strong> orientation nette vers le bien, la guérison et la foi. Mais dès que ceci devrait<br />

être mis en pratique, l’homme honnête sentira ou de tierces personnes observeront<br />

<strong>une</strong> tendance plus ou moins forte de faire le contraire. Il s’ensuit alors que l’homme<br />

se retrouve, consciemment ou non dans un dilemme provoqué <strong>par</strong> des forces opposés<br />

résidant dans son subconscient ce qui est décrit <strong>par</strong> Paul (dans un autre<br />

contexte) de la façon suivante : « Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce<br />

que je veux, et je fais ce que je hais… Car je ne fais pas le bien que je veux, et je<br />

fais le mal que je ne veux pas. » (Rom. 7, 15. 19).<br />

Déjà depuis sa naissance (et peut-être même avant), l’homme est empreint <strong>par</strong> ses<br />

antécédents. Auxquels s’ajoutent les antécédents occultes de ses ancêtres jusqu’à<br />

3 à 4 générations en arrière (Ex. 20, 5). Dans ce laps de temps, l’homme est devenu<br />

coupable (très souvent involontairement). Il s’y agit le plus souvent des réactions aux<br />

actes dont des autres sont devenus coupables à notre égard (comme déjà exposé<br />

dans ce livre).<br />

Normalement, toutes les réactions fautives (très certainement celles durant l’âge de<br />

petit enfant), toutes les blessures infligées à l’âme et les fardeaux occultes des ancêtres<br />

sont renvoyés, respectivement ou alors se sont installés là sans notre connaissance.<br />

En règle générale, l’homme réagit de façon coupable à un mauvais traitement<br />

commis <strong>par</strong> <strong>une</strong> tierce personne ce qui mènera à des attitudes incorrectes ou des<br />

péchés de caractère, qui se retrouveront dans le subconscient (<strong>par</strong> exemple des<br />

sentiments de culpabilité, de l’intransigeance, de la rancœur, de la rébellion, de<br />

l’<strong>org</strong>ueil etc.).<br />

Le subconscient devient donc un bassin collecteur pour toutes nos mauvaises attitudes,<br />

nos péchés de caractère contre les hommes et contre Dieu. En plus c’est<br />

aussi le siège des démons qui ont eu accès <strong>par</strong> le « héritage » occulte ou <strong>par</strong> notre<br />

propre culpabilité occulte. Il devient très clair maintenant que ce bassin collecteur<br />

dans le domaine du subconscient devient, tout compte fait la force dominante et<br />

conductrice d’un homme, c.-à-d. <strong>une</strong> force opposée qui peut devenir très puissante<br />

© Bruno Schaer et Editions LCA 147

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