Saison 20112012 culturelle - Les Passerelles
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THÉÂTRE/MUSIQUE<br />
THÉÂTRE<br />
Dim. 27 novembre<br />
17h<br />
<strong>Les</strong> <strong>Passerelles</strong><br />
Beethoven :<br />
ma seule morale est ma force<br />
La Gonfle<br />
par le Théâtre Régional des Pays de la Loire<br />
mardi 29 novembre<br />
20h30<br />
<strong>Les</strong> <strong>Passerelles</strong><br />
DANSE<br />
© D. Royant<br />
Distribution :<br />
Ce récit en musique présente la vie surprenante du com-<br />
Affreux, sales et méchants, les personnages de La Gonfle ani-<br />
Distribution :<br />
Récitante Catherine Lascault<br />
Piano Patricia Debode<br />
et Séverine Bergounioux<br />
positeur allemand Ludwig Van Beethoven (1770-1827),<br />
auteur de la mythique symphonie n°9 considérée comme la<br />
ment une farce paysanne truculente, noire et cruelle où l’hydropisie<br />
se soigne à grands renforts de pompe à bestiaux…<br />
Mise en scène Patrick Pelloquet<br />
Assistante à la mise en scène<br />
Hélène Gay<br />
Violon Aya Sabouret<br />
Percussions Lorraine Hyafil<br />
Artistes - enseignants<br />
plus belle création musicale de toute l’histoire. Peu de gens<br />
peuvent prétendre avoir vécu une vie aussi cruelle. Pourtant<br />
Sexe, ruse et cupidité pourraient définir La Gonfle, farce paysanne<br />
de 1928 écrite par Martin du Gard qui s’en donne<br />
Avec : Jean-Marc Bihour,<br />
Pierre Gondard, Patrick Pelloquet,<br />
Didier Royant (selon la volonté de<br />
au CRC<br />
Mise en scène Catherine Lascault<br />
si le désespoir l’a souvent envahi et torturé, Beethoven n’a<br />
admirablement jamais abandonné. Le sort peut s’acharner<br />
à cœur joie. Qui aurait attendu sous la plume du sérieux et<br />
déclaré classique Prix Nobel une telle méchanceté hargneuse<br />
l’auteur, la pièce sera jouée par quatre<br />
hommes)<br />
Scénographie Sandrine Pelloquet<br />
Tarif vert<br />
autant qu’il le souhaite, jamais il ne résiste à la force d’un<br />
homme courageux.<br />
et drôle <br />
Ce huis-clos écrit dans les années 20, d’où exhalent des<br />
Costumes Sylvie Lombart<br />
Lumières Emmanuel Drouot<br />
Maquillage Carole Anquetil<br />
Entrée libre<br />
pour les élèves<br />
odeurs d’humeurs corporelles humaines et animales, est un<br />
bouillon de culture dans lequel se développent les perver-<br />
Régie Générale Jean-Yves Laurendeau<br />
Production Théâtre Régional des Pays<br />
de la Loire<br />
du conservatoire<br />
de la ville<br />
sions de chacun. L’ignominie atteint un tel paroxysme qu’il<br />
provoque le rire comme ultime rempart devant les bassesses<br />
Texte publié aux éditions Gallimard<br />
les cahiers de la NRF<br />
et la cruauté. Il s’agit là d’un théâtre rare, qui fait fi du bon<br />
Réservations :<br />
goût, du politiquement correct, et qui présente une violente<br />
Tarif bleu<br />
01 74 59 50 20<br />
vision des « hommes », non sans inciter à un grand rire venu<br />
de loin.<br />
Réservations :<br />
01 74 59 50 20<br />
Une rencontre avec la compagnie est proposée à l’issue du<br />
spectacle.<br />
Durée :<br />
www.trpl.fr<br />
1h45<br />
Le Courrier de l’Ouest :<br />
Référence :<br />
Un seul mot d’ordre :<br />
Œuvre d’Alexander Calder<br />
s’y précipiter, absolument.<br />
Sans titre de 1933<br />
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