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10 > P U B L I C I T E CODE 2184--Etude de Maître Kaddour MERAD--Notaire- O4,Rue El-Békri-El-Biar-ALGER-SPA GH Komatsu , Siège social : 06 avenue du Colonel Amirouche, Alger, wilaya d'Alger , Capital Social 824.000.000 DA -DEPOT DE PROCES VERBAL DES DELIBERATIONS DE L’ASSEMBLEE GENERALE EXTRAORDINAIRE- Aux termes d'un Acte reçu en l'Etude, le 10 FEVRIER et le 10 MARS 2013, en cours d'Enregistrement : A été déposer un procès-verbal de la réunion de l’assemblée générale extraordinaire du 10 JANVIER 2013 , dont l’objet est : PREMIERE RESOLUTION : L'assemblée générale extraordinaire, après avoir entendu la lecture du rapport du Conseil d'Administration ainsi que du rapport spécial du commissaire aux comptes, constate l'absence d'opposition à l'expiration d'un délai d'un mois à compter de la publication le 02 décembre 2012 de la décision de l'assemblée générale extraordinaire et constate le rachat par GH Komatsu des 123.600 actions de KOMATSU Ltd pour une valeur totale de 110.000.000 DA et annule en conséquence lesdites actions. DEUXIEME RESOLUTION : Article 06 - apports (nouvelle rédaction) • La société ALFEM Spa; la somme de 4 120 000,00 DA, • HASNAOUI Abdellah; la somme de 111 240 000,00 DA, • La Société Sari CCI, la somme de 2 060 000,00 DA, • HASNAOUI Fériel ; la somme de 18 540 000,00 DA, • HASNAOUI Idriss; la somme de 18 540 000,00 DA, • HASNAOUI Sefiane; la somme de 18 540 000,00 DA, • GROETZ Rita; la somme de 2 060 000,00 DA, • GHF; la somme de 525 300 000,00 DA, Soit un total de 700.400.000 DA. Article 07 - Capital social (nouvelle rédaction). • La société ALFEM Spa; à concurrence de 4 120 actions numérotées de 1 à 4 120; • HASNAOUI Abdellah; à concurrence de 111 240 actions numérotées de 4 121 à 115 360 ; • La Société Sari CCI, à concurrence de 2 060 actions numérotées de 115 361 à 117 420 ; • HASNAOUI Fériel; à concurrence de 18 540 actions numérotées de 117421 à 135 960; • HASNAOUI Idriss; à concurrence de 18 540 actions numérotées de 135961 à 154500; • HASNAOUI Sefiane; à concurrence de 18 540 actions numérotées de 154 501 à 173 040; • GROETZ Rita; à concurrence de 2 060 actions numérotées de 173040 à 175 100; • GHF; à concurrence de 525 300 actions numérotées de 175 101 à 700 400, Soit un total de 700.400 actions. TROISIEME RESOLUTION : L'Assemblée Générale Extraordinaire confère tous pouvoirs à Sefiane Hasnaoui avec faculté de se substituer tout mandataire de son choix, à l'effet de faire accomplir toutes formalités de dépôt, notamment au Centre National du Registre du Commerce, et de publicité prévues par la législation en vigueur. Expédition dudit acte, sera déposée au C.N.R.C de la Wilaya d'Alger. Pour Avis-le Notaire. -CODE 2184--Etude de Maître Kaddour MERAD--Notaire- O4,Rue El-Békri-El-Biar-ALGER-SPA GH Komatsu , Siège social : 06 avenue du Colonel Amirouche, Alger, wilaya d'Alger Capital Social 824.000.000 DA -DEPOT DE PROCES- VERBAL DES DELIBERATIONS DE L’ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE - Aux termes d'un Acte reçu en l'Etude, le 10 FEVRIER et le 10 MARS 2013, en cours d'Enregistrement : A été déposer un procès-verbal de la réunion de l’assemblée générale ordinaire du 25 octobre 2012, dont l’objet est : PREMIERE RESOLUTION : L'assemblée générale ordinaire, sur la base du rapport du conseil d'administration et après avoir pris connaissance de la nomination de Monsieur Sefiane HASNAOUI, action du Conseil d'Administration, décide en conséquence de ratifier cette nomination avec effet rétroactif à compter de la date de sa nomination sans que la durée de son mandat ne dépasse 6 ans. DEUXIEME RESOLUTION : L'assemblée générale ordinaire, sur la base du rapport du conseil d'administration et après avoir pris connaissance de la sortie de Monsieur FUMIHIKO Waku du fait de la cession de la totalité de ces actions, est réputé démissionnaire depuis le 10 mars et 13 septembre 2011 date de l'acte établi auprès de maître AMRANI, notaire à bordj El Kiffan. TROISIEME RESOLUTION : En conséquence de ce qui précède, l'assemblée générale ordinaire, décide de ratifier la nouvelle composition du Conseil d'Administration comme suit : M. Abdellah HASNAOUI, Président du Conseil d'Administration ,Mme Feriel HASNAOUI, membre du Conseil d'Administration, M. Sefiane HASNAOUI, membre du Conseil d'Administration. QUATRIEME RESOLUTION : L'Assemblée Générale Ordinaire confère tous pouvoirs à M. Hasnaoui Sefiane avec faculté de se substituer tout mandataire de son choix, à l'effet de faire accomplir toutes formalités de dépôt, notamment au Centre National du Registre du Commerce, et de publicité prévues par la législation en vigueur. Expédition dudit acte, sera déposée au C.N.R.C de la Wilaya d'Alger. Pour Avis-le Notaire. Algérie News 03-04-2013 Anep 515 089 ALGERIE NEWS Mercredi 3 avril 2013 CODE 2184--Etude de Maître Kaddour MERAD- -Notaire- O4,Rue El-Békri-El-Biar-ALGER-SPA GH Komatsu , Siège social : 06 avenue du Colonel Amirouche, Alger, wilaya d'Alger , Capital Social 824.000.000 DA. –DIMINUTION DU CAPITAL SOCIAL- Aux termes d'un Acte reçu en l'Etude, le 10 FEVRIER et le 10 MARS 2013, en cours d'Enregistrement : les associés ont décidés la modification de la- dite société en modifiant l’article 6 et 7 de la manière suivante : suivant P.V de l’assemblée générale extraordinaire en date du 25 octobre 2012 et 10 janvier 2013 , et suivant attestation du commissaire aux comptes Mr ZEMIR Abdelhalim , ayant son siège à Bab El Oued(ALGER)12, Av Mohamed BOU- KELLA, en date du 25 octobre 2012 le capital social qui été de 824.000.000,00 DA a été diminué à 700.400.000 ,00 DA, suite au retrait de l’actionnaire KOMATSU Ltd à concurrence de 123.600.000 ,00 DA. Expédition dudit acte, sera déposée au C.N.R.C de la Wilaya d'Alger. Pour Avis-le Notaire. Annonce Local à louer situé dans la rue principale de la ville de Ain Defla superficie 90 M 2 an face de l'hôpital N°0552-481-312
dclg é a a e Analyses & Décryptages La rédaction d'Algérie News propose une nouvelle rubrique dédiée à l'analyse et au décryptage de l'actualité qui nous concerne et qui nous entoure. Nous lançons un appel à tous ceux et toutes celles qui veulent y contribuer à travers des articles ou des propositions. Vos contributions seront les bienvenues. Contact : ayachinews@yahoo.fr 11 Paranoïde Cinéma berbère ou obsession identitaire ? Par Sarah Haidar La leçon du procès Khalifa Retour sur une contribution de janvier 2007 Par Abderrahmane Mebtoul L'affaire Khalifa revient sur la scène. Je livre aux lecteurs une contribution parue au niveau national et international, plusieurs interviews aux hebdomadaires internationaux Jeune Afrique et Les Afriques et la télévision internationale Al Jazzera, sans aucune modification, intitulée « le procès Khalifa : faut-il juger le système ? » parue le 31 janvier 2007 (voirwww.google.fr 2007) où à cette époque je m’étais posé la question suivante : ces pratiques occultes de Khalifa sont-elles le fait d'un groupe limité ou ont-ils pu se réaliser avec la complicité de nombreux acteurs du système ? C'est toute la question, où avec la généralisation des scandales financiers entre 2009/2013, il semble bien que la leçon n’ait pas été retenue. Lire > pages 12 - 13 La question persiste depuis une dizaine d'années : quelle définition donner au cinéma berbère ? Sans doute, le mot « définition » est antinomique avec la notion de création artistique mais cette interrogation s'impose du fait de l'ambiguïté criante qui caractérise la production filmique berbérophone. Les classiques, on les connaît : « La Colline oubliée », long-métrage maudit qui a tout de même ouvert la brèche, grâce à la pugnacité d'un certain Abderrahmane Bouguermouh ; « Machahu », fable noire d'une Kabylie intemporelle, superbement filmée par Belkacem Hadjadj; « La Montagne de Baya » de Azeddine Meddour... Et ensuite, quoi ? Des tentatives, des ébauches d'images très vite estompées par la fragilité de leur construction, plus de télé que de cinéma, plus de discours que de propos... Et puis, ce sempiternel amateurisme qui frôle souvent l'indigence et qui, néanmoins, s'explique par la mission « militante » que des centaines de réalisateurs (ou plutôt preneurs d'images) veulent absolument endosser pour justifier la pauvreté proprement cinématographique de leur travail. De ce fait, le cinéma berbérophone veut simplement être heureux d'exister, en s'évitant quelques questions essentielles sur le sens même de son existence. Il semble que ces jeunes et moins jeunes réalisateurs portent encore en eux la même rage qui jubilait au temps où le berbère était honni de la place publique et artistique « officielle ». Et c'est sans doute ce désir de s'affirmer, en vrac et en vitesse, qui motive la plupart de ces productions. Lesquelles, bien sûr, n'ont qu'une seule tribune : le Festival annuel du film amazigh. Lequel, également, tente de survivre, malgré les innombrables difficultés, afin de dire : le cinéma berbère existe ! Or, comment passer de la simple « existence » à l'étape la plus importante : la vie ? Comment transcender ce besoin atavique de crier son identité, dans une sorte de démonstration fière et naïve, pour enfin la comprendre, la sublimer et, ainsi, la rendre éligible à l'art ? Ce sont là, des interrogations que la plupart des films vus jusqu'à maintenant ne semblent jamais effleurer. Le drame du « cinéma » berbère actuel est qu'il se fige dans le slogan, tacite ou déclaré, porteur d'une vision Il est aussi nécessaire qu'elle puisse enfin « tuer » (au sens freudien) Massinissa, Dihya, Tajmaât et tous ces alibis historiques l'empêchant de s'assumer ici et maintenant. superficielle tant elle se veut démagogique et auto-congratulatrice, mais étrangement si mal-assurée qu'elle prodigue des images mortes parce que surchargées de discours, parce qu'incapables d'aller au-delà de la parlotte et accéder au langage cinématographique. Qu'il s'agisse de fictions ou de documentaires, cette obsession du « dire » empêche le film de trouver cette belle liberté intrinsèque à la création. Tout comme la littérature de l'urgence qui a terni les Lettres algériennes pendant les années 1990, le cinéma berbère est pressé de « montrer », de prodiguer des leçons, de ressasser les mille et une merveilles d'une culture dont l'âme reste ignorée par ceux-là mêmes qui veulent (sincèrement) la défendre. Et pourtant, l'on sait que c'est lorsqu'une culture se complaît dans la justification et tient à afficher ses « attributs » tragiquement superficiels sous prétexte de garder jalousement son cachet, c'est là qu'elle s'apprête inconsciemment à mourir! Sans doute, faudra-t-il expliquer à certains réalisateurs qu'ils ne sont pas obligés, en 2013, d'habiller leur personnage féminin en robe kabyle pour démontrer la subsistance et la force de cette culture ; qu'ils ne sont pas tenus de rappeler sans cesse l'importance des traditions ancestrales comme pour protéger leur Kabylie contre le double péril occidentalo-oriental ; que l'amour n'est pas forcément celui-ci roucoulé pudiquement par Aït Menguellet & Co, etc. Pour qu'il y ait cinéma berbère, il est indispensable que la berbérité sorte de ses costumes folkloriques, de ses discours et de sa panoplie traditionaliste. Il est aussi nécessaire qu'elle puisse enfin « tuer » (au sens freudien) Massinissa, Dihya, Tajmaât et tous ces alibis historiques l'empêchant de s'assumer ici et maintenant. Il faudra surtout comprendre qu'un film n'est pas une catharsis identitaire ni une carte postale : il est une œuvre! ALGERIE NEWS Mercredi 3 avril 2013
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