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Une profession à l’affiche Le supermarché sous toutes ses facettes Après l’ouverture de LEA- DER PRICE le mois dernier, la rédaction de votre Jovicien s’est penchée sur un autre grand nom de la grande distribution. Nous avons donc rencontré Monsieur Christian ELZ, Directeur du supermarché MATCH de JŒUF depuis septembre 1998. En effet, le 10 juin dernier, le magasin de JŒUF ouvrait ses "nouvelles portes "pour présenter le “must" des supermarchés actuels, toutes enseignes confondues. Petit tour d’horizon du monde innovant et pensé de la grande surface d’aujourd’hui. Q : Notre supermarché MATCH s’est refait depuis peu un lifting,j’imagine qu’après un tel investissement, maintenir et développer la fréquentation du magasin est un travail de chaque jour.Quelle est votre recette ? R : Il est vrai que la rénovation du magasin représente la partie la plus visible de notre volonté d’améliorer nos services. Depuis que MATCH existe à JŒUF (depuis 1980) , le magasin n’avait jamais connu de rénovation. Aujourd’hui, avec sa restructuration complète, nous abordons un nouveau concept, d’une dimension nouvelle où la clarté de l’offre et la simplicité d’achat sont les maîtresmots. Pour ce faire, la volonté et le dynamisme de toute notre équipe ont garanti la réussite de la réouverture : les clients ont découvert un nouvel aménagement plus convivial. Outre le confort d’achat des clients grâce à des allées plus larges, la lisibilité dans le magasin et la présentation des produits ont également été améliorées. Nos maîtres-mots, vous l’aurez compris sont "convivialité, services et qualité-fraîcheur". Mon travail consiste à mettre tout en œuvre pour que cette politique fonctionne. Q : Une nouvelle présentation, un nouveau concept, de nouveaux services donc ? R : Des services améliorés et de nouveaux services en effet. La cave à vins et l’espace parfumerie ont été complètement relookés, les espaces produits frais et poissonnerie également, mais nous souhaitons nous engager plus et autrement. Depuis février dernier, la carte fidélité, gratuite et disponible de suite, apporte de nombreux avantages, et nous dénombrons d’ores et déjà plus de 4500 fidèles. La livraison à domicile, le photomaton et le photocopieur permettent également de jouer la carte de la proximité par leur aspect simple et pratique. Mais MATCH, c’est aussi d’autres engagements. Cette année par exemple, la lutte contre le cancer fait l’objet d’une opération de collecte de dons regroupant les 146 supermarchés français aux côtés de l’IRCAD. Sans oublier notre campagne annuelle "d’ensachage" au bénéfice de l’association E.L.A qui lutte contre la leucodystrophie. Q : Un supermarché ne peut vivre et évoluer sans les compétences et la volonté de toute une équipe, comment fonctionne-t-elle ? R : Nous sommes 30 personnes réparties entre la grande surface et la station service. D’un point de vue plus pratique, d’ici peu, la structure interne du magasin va être modifiée, 3 "managers" issus de la promotion interne se verront confier la direction des rayons libre-service, frais traditionnel et caisse. Un point important concernant le travail au sein de notre société est l’arrivée des 35 heures dès le 1er janvier 2000. Un supermarché se compose d’hommes et de femmes qui travaillent tous dans un but commun : offrir toujours plus et toujours mieux. C’est en fait, la clé de la réussite. Trois questions à : Patrice GŒURIOT, entraîneur de l’équipe Cadets de JŒUF-HOMÉCOURT BASKET photo R.L. Basketteur depuis toujours, joueur de l’équipe phare du club et breveté d’Etat spécifique basket, Patrice GOEU- Un n° spécial pour “les Chroniques Joviciennes” Le prochain numéro de "chroniques joviciennes" est actuellement sous presse et paraîtra à la mi-décembre prochaine.Au sommaire de ce SUPER numéro double de 136 pages, les amateurs de bonne histoire locale trouveront notamment : Un panorama inédit de l’administration communale de JŒUF- Homecourt sous le Premier Empire (1809-1911), Une "chronique des Vieux Papiers" consacrée aux diverses guerres qui traversent l’histoire de la commune et qui présente des documents intéressants et émouvants, sortis de plusieurs fonds d’archives joviciens, Une rubrique "Arrêt sur image" qui, en 28 pages, propose la deuxième époque de l’extraordinaire saga de l’immeuble Pastant-Bernanose et de ses propriétaires, Un nouveau volet des "Mémoires croisées de la Grande Guerre" dans lequel le journal intime inédit de Madeleine Bosment nous remémore les terribles mois de novembre et décembre 1914,vécus dans l’angoisse, la pénurie alimentaire et la répression militaire,par des civils livrés à l’ennemi et occupés depuis plusieurs mois, Deux "textes d’hier et d’aujourd’hui", témoignages exceptionnels rappelant les heures noires de l’annexion de la Moselle et les rigueurs de l’occupation au cours de la seconde Guerre Mondiale, Un retour en arrière sympathique,il y a un demi-siècle, au temps de "l’école de nos parents" où l’on retrouve les frimousses des enfants d’hier, les visages des maîtres et des maîtresses,les fêtes de fin d’année et les résultats du "certif", Une rubrique "Grain de sel", enfin, qui rend possibles diverses mises au point, qui offre un espace d’expression aux lecteurs et permet à ceux qui sont particulièrement attachés à la préservation du patrimoine architectural, culturel ou sociologique de notre ville de porter un regard d’historien sur l’actualité relative à ces préoccupations. Ce numéro exceptionnel réserve encore d’autres surprises Les personnes qui ne sont pas abonnées pourront le trouver dans les points de vente habituels (bibliothèque municipale, Maison de la presse,Banque populaire) Ou s’adresser à C.P.H.J. - B.P. 42 - 54240 JŒUF RIOT entraîne depuis 5 années l’équipe des cadets. Entretien avec un champion qui ne se prend pas la tête. Q : On ne peut évoquer le basket jovicien sans s’attarder sur la force montante du club, à savoir l’équipe des cadets. Présentez-nous l’équipe A de demain. R : L’équipe actuelle se compose de 19 jeunes de 15 et 16 ans, des "petits" dont la taille varie entre 1m80 et 1m98. Nous évoluons au sein du championnat de Lorraine bien sûr, mais surtout en championnat national de division 2. Seuls 3 clubs en Lorraine accèdent à ce niveau : Golbey-Epinal, le SLUC Nancy et JŒUF-Homecourt Basket. Le mérite des jeunes est d’autant plus grand que ces autres équipes bénéficient de structures professionnelles et d’un centre de formation propre au club. Nos résultats actuels sont le fruit en fait de la volonté du club d’investir dans la formation des jeunes, l’équipe première compte d’ailleurs à ce L’après-midi du dimanche 21 novembre fut un jour particulier pour bon nombre de joviciens, un jour à placer sous le signe des valeurs du monde libre et de l’amitié. En effet, la 95ème division d’infanterie de l’armée américaine venant d’OKLAHOMA CITY et jour 5 jeunes joueurs provenant de notre filière interne. Q :Vous vous occupez également de la classe-école basket à Briey, n’est-ce pas une belle opportunité pour nos cadets ? R : Il est vrai que la création de cette classe-école permet d’allier sport et études de façon intelligente et constructive. La grande majorité des jeunes y participent. A la différence d’un centre de formation proprement dit, nous privilégions les études sur la pratique du basket. Monsieur Philippe VALSESIA, professeur d’éducation physique au Lycée L. Bertrand s’attache donc à faire le médiateur entre le sport et le monde enseignant. Les autres différences sont d’une part que les 20 places de cette classe-école sont ouvertes à tous les clubs de la région et d’autre part que les fonds proviennent de la Ligue de Lorraine et de la Fédération Française de Basket Ball et non pas d’un club spécifique. Ces jeunes parviennent à ce niveau grâce aux 3 entraînements individuels hebdomadaires ses vétérans ont été reçus par la Municipalité et le Monde Combattant du secteur. Malgré le froid environnant, la chaleur des retrouvailles était flagrante. La réception salle François De Curel a réuni de nombreux joviciens, élus, jeunes et moins jeunes. aux classes-écoles de Briey en plus des 2 entraînements collectifs du Club.Tout un programme ! Q : Comment ne pas parler des cadets de JŒUF-HOMECOURT Basket sans évoquer le Challenge Eric Weistroffer réunissant chaque année bon nombre d’amateurs ? R : Chaque année, durant le week end de Pentecôte, le club organise un tournoi international réservé aux cadets, un rendez-vous au départ organisé en mémoire de Eric Weistroffer, joueur de l’équipe A décédé tragiquement dans un accident de voiture en 1993. Je tiens cependant à souligner que ce challenge n’a pas de but lucratif mais repose essentiellement sur la volonté de l’ensemble des dirigeants, entraîneurs et joueurs d’organiser une manifestation sportive en souvenir d’Eric, et je dois dire que chaque année, le pari est gagné ! Les cadets jouent chaque dimanche à 15h30 à la salle des sports de JŒUF Nos libérateurs américains de retour à JŒUF ! L’assistance a pu écouter les allocutions chargés de souvenirs et d’émotions de nos vétérans alliés, une ambiance de retrouvailles et de fête qui nous a même fait pousser la chansonnette. Toutes et tous étaient ravis de l’accueil : félicitations aux organisateurs.
Coup de plume ! CITOYENS DE L’AVENIR Nous voilà donc en 2000 ! Le passage d’une année à l’autre n’a rien de remarquable, le fait de vivre le passage à l’an 2000 revêt un caractère symbolique que personne ne conteste. Une situation qui incite naturellement à la réflexion. Le siècle du paradoxe ! Le 20ème siècle aura bien été celui du paradoxe. - La découverte de la puissance nucléaire nous a ouvert des perspectives extraordinaires dans les domaines de la recherche médicale, dans celui de la conquête spatiale… dans le même temps, elle est synonyme de destructions massives et de domination. - Le siècle qui s’est achevé n’a pas d’équivalence pour ce qui est de la barbarie et des conflits qui l’ont marqués et pourtant, il est le siècle de l’émergence de la liberté universellement reconnue, celui de l’indépendance des peuples et d’avancées significatives de la démocratie. - La révolution informationnelle bouleverse toutes les données connues, rapproche les individus en annihilant l’espace et le temps, pourtant les problèmes endémiques progressent pour menacer même les sociétés les plus évoluées. - Les richesses produites n’ont jamais été aussi importantes, elles n’ont jamais été aussi mal réparties. Les difficultés sociales s’approfondissent, les clivages Nord-Sud, Est- Ouest se creusent. Une frange de l’Humanité semble destinée à la misère et à l’obscurantisme tandis que l’autre serait vouée au succès et à l’opulence. - L’Homme connaît de mieux en mieux la planète qui l’héberge et les écosystèmes qui la caractérisent mais il n’a jamais été aussi menaçant, mettant sa propre existence en danger de manière irréversible s’il n’inverse pas rapidement les tendances constatées. L’énumération pourrait être poursuivie, elle concerne tous les domaines. Redonner un sens à la vie ! L’enjeu du 21ème siècle passe sans doute par la capacité qui sera la nôtre de sortir de ce paradoxe, de dépasser cette contradiction apparemment permanente. La mondialisation dont il est tant question n’est effectivement plus simplement un concept, c’est devenu une réalité. Une réalité que d’aucuns assimilent automatiquement à la modernité, ce ne sera vrai que dans la mesure ou elle se conjuguera avec le progrès et l’action volontariste contre les inégalités. Les termes existent pour ouvrir des pistes d’avenir. Celui de citoyenneté en est un, il convient de lui donner tout son contenu. La place de l’homme dans la société, dans le travail, son rapport à la nature, le productivisme et la consommation conçue comme une fin sont autant de terrains à investir. L’argent roi est générateur de toutes les distorsions, il occulte et pervertit toutes les valeurs. Nos institutions elles-mêmes sont le reflet de ces dysfonctionnements. La 5ème République essoufflée a atteint ses limites objectives, il est temps de repenser nos modes d’organisation, de représentation, d’expression. Les besoins sont énormes, nos capacités aussi. L’engagement de chacun peut sans doute trouver matière à la fondation d’un nouvel idéal qui rime avec humanisme. JŒUF, une ville active pour son avenir ! Notre ville n’échappe pas à la situation évoquée. Née, dans sa configuration actuelle, avec le siècle, elle a connu un développement impétueux en même temps que l’exploitation forcenée et de sa population et de ses ressources naturelles. Elle est dotée d’infrastructures réputées et appréciées mais a été victime de la mono-industrie et de choix économiques et politiques catastrophiques. Elle bénéficie de l’appui effectif du gouvernement au travers des politiques européennes mais elle est confrontée aux risques miniers qui relèvent très directement de la lourde responsabilité de l’Etat. Les menaces existent, je ne vous l’ai jamais caché, les chances de gagner sont réelles. Il nous appartient d’agir pour renforcer ces chances même si tout ne dépend malheureusement pas de nous. Le Conseil Municipal l’a compris et a exercé avec perspicacité ses responsabilités dans ce contexte si particulier. Il est rassemblé autour d’un projet, celui d’une redynamisation maîtrisée et cohérente, il est mobilisé autour d’une conviction, celle de réunir les intelligences et les volontés qui sont l’une des richesses de notre cité. Dans la fonction qui est la mienne, c’est à cette double tâche que je veux, avec chacune et chacun de vous, continuer à m’atteler. Nous sommes plus que jamais citoyens du monde, citoyens de l’avenir ! Votre Maire André CORZANI L’élu du mois : Lucien VIGO Président du groupe d’opposition "Mon engagement : donner la priorité à JŒUF" Q : Quel est votre parcours et comment concevez-vous votre rôle d’élu ? R : C’est en 1983 que j’ai été élu pour la première fois. J’effectue donc mon troisième mandat. Je suis président du groupe depuis 1997. Je participe aux réunions des commissions des finances, habitat et urbanisme, sécurité, information, travaux. Je suis aussi délégué dans deux syndicats intercommunaux : le SIRTOM (pour la gestion des ordures ménagères) et le SISIS (services d’incendie et de secours). Je pense qu’un élu doit toujours être à l’écoute des besoins. Même si ce sont les élus qui choisissent, ce qui a des implications financières, ils ne doivent jamais oublier leurs responsabilités par rapport à l’utilisation de fonds publics. En dehors de mes fonctions électives, j’ai été sapeur-pompier à JŒUF pendant 12 ans,j’ai arrêté en 1981,j’avais alors le grade de sous-lieutenant. A titre professionnel, je suis technicien à ISPAT UNIMETAL. Q : En quoi consiste votre rôle de président de groupe ? R : Notre groupe est composé de 7 conseillers municipaux. Le rôle du président consiste à animer la réflexion, en particulier en vue de préparer les réunions –et donc les décisions- importantes. En tant que président, j’ai accès à davantage d’informations : je me dois de les répercuter auprès des membres de mon groupe.Avant chaque conseil municipal, je participe avec le Maire et le secrétaire général à la conférence des présidents. Nous définissons au sein du groupe les réponses que nous apporterons en conseil municipal. Ma fonction de président m’amène à participer aux bureaux municipaux élargis, convoqués par le Maire sur des sujets stratégiques, ainsi qu’à tous les événements d’importance pour la Ville. Notre groupe s’est donné pour objectif d’examiner de près l’ensemble des dossiers et de faire en sorte que notre point de vue soit entendu.Nous avons une responsabilité envers ceux qui nous ont élus. Q : Travaillez-vous plus particulièrement sur un dossier ? R : Le Maire m’a confié la responsabilité du dossier d’aménagement des arrières de Franchepré. Cet espace, qui comprend la place Churchill sur laquelle sont stationnés les gens du voyage et des parcelles en friche à l’arrière de la rue de Franchepré,a déjà fait l’objet de plusieurs réunions. Notre objectif est de réaliser une opération d’urbanisme favorisant l’accroissement de la population, ce qui passe par la construction de logements. Nous envisageons donc la construction de petits collectifs et la création d’espaces verts et de loisirs. C’est une opération qui permettra de mieux relier Arly à Franchepré et qui favorisera l’économie locale. Mais que les Joviciens ne se précipitent pas encore en Mairie pour solliciter un logement : c’est un projet de longue haleine sur lequel nous ne manquerons pas de revenir ! Le dossier avance et c’est une grande satisfaction pour moi. Q : Qu’avez-vous à dire sur les autres dossiers municipaux importants ? R : J’en vois essentiellement deux. La réhabilitation des Grands Bureaux nous paraît constituer une opération très positive, qui favorisera le développement des entreprises du pôle tubes et symbolisera une Ville qui avance et se développe. Nous soutenons aussi le projet de bibliothèque médiathèque, pour des raisons évidentes,mais souhaitons que son coût soit maintenu autour de 5 à 5,5 MF, qui est un coût déjà accru par rapport à celui prévu initialement, en raison de la prise en compte du risque minier. Q : Pour quelles raisons avez-vous voté en faveur des deux précédents budgets proposés par la majorité ? R : Nous avons considéré la stabilité des taux d’imposition, le maintien de l’emprunt autour de 2,5 MF et le niveau d’investissement conséquent. Cela nous paraît indiquer que la Ville va dans la bonne direction. Mon engagement, c’est JŒUF avant tout. Il me semble qu’il est vain de s’opposer pour s’opposer : quand les choses vont bien, il faut aussi savoir le dire ! La motivation, la compétence, l’envie de faire des choses peuvent se trouver à droite comme à gauche ! Il est vrai que nous avons constaté que la transparence au sein de la Municipalité était de mise. La prise de conscience de l’existence du risque minier a aussi rapproché les groupes. Il me semble qu’aujourd’hui, les relations entre majorité et opposition sont profitables à l’avancement des projets de la Ville. Je veux terminer cet entretien par une pensée amicale à notre Maire André Corzani. Je lui souhaite une reprise rapide et complète de toutes ses fonctions municipales après la difficile épreuve qu’il vient de subir pour lui et sa proche famille. Marché de Noël Les 17, 18 et 19 décembre prochains, l’Union des Commerçants et Artisans de JŒUF réorganise son marché de Noël dans la rue de Franchepré comme en 1995, lors de sa première. Les stands seront disposés le long des trottoirs afin de permettre la circulation. Vous y trouverez , miniatures, pâte à sel, compositions florales, sculptures, peintures, … enfin toutes sortes de décorations sur le thème de Noël. Bien évidemment, marrons et vin chaud seront au rendez-vous ! Et pour les enfants, la traditionnelle gaufre ne leur fera pas défaut ! Illumination : ça va scintiller ! Après les efforts d’illumination réalisés l’an passé, il n’était pas possible d’en rester là ! Notre rue de Franchepré se verra donc parée de nouveaux décors, qui orneront les candélabres. Un rideau lumineux embellira le carrefour rue de la Gare. Et vous découvrirez quelques surprises dans les quartiers (Arly, Haropré, Génibois), de plus en plus nombreux à être illuminés. Si tout va bien, les célèbres géants verts de la rue de Goprez devraient aussi fêter Noël à leur manière… L’agenda du Maire Novembre 1999 Pas d’agenda du Maire ce mois-ci ! André CORZANI ayant subi une intervention chirurgicale, il est en convalescence et reprendra ses activités en début d’année. L’opération s’est déroulée dans de bonnes conditions. Les analyses n’ont révélé aucune malignité. Il reste maintenant à reprendre des forces ! Le Maire a été sensible aux très nombreuses marques de sympathie et aux gestes amicaux qui lui ont été adressés et remercie chacune et chacun de ceux qui lui ont adressé leurs souhaits de prompt rétablissement. La tournée du Père Noël Désormais traditionnelle, elle est constituée, avant la visite dans chacun des foyers joviciens, comme de bien entendu la nuit du 24 décembre, du Noël des démunis et du Noël du personnel communal. Le premier de ces deux événements a lieu le 13 décembre et le second le 18. Au programme : une séance de cinéma au Casino, le goûter et la distribution des jouets salle François de Curel.
Page 1: Le Jovicien Mensuel municipal d’i

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