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La fête place Broglie, lundi à 19 h - 20minutes.fr

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20 ■■■Strasbourg SportsLundi 3 juin 2013Les supporters strabourgeois qui ont fait le dé<strong>place</strong>ment à Epinal ont assisté à la deuxième montée consécutive des Strasbourgeois.FOOTBALL Le Racing bat Raon-l’Etape (2-3)Le RCS reprend laroute du NationalA Epinal, Floréal HernandezPhotos : Gilles VarelaC’est en caleçon que Milovan Sikimicest venu communier avecles 3 000 supporters du Racingvenus à Epinal. Son maillot, son shortet le reste de sa tenue, le défenseur lesa lancés dans les tribunes une fois lavictoire sur Raon-l’Etape (2-3) acquiseet la montée en National entérinée. EtSikimic était content d’être habillé de« Les trois buteurssont trois garçonsformés au club,trois Alsaciens. Quelsymbole ! » Marc Kellerson seul caleçon et de ses multiplestatouages. Soulagé aussi après unmatch à rebondissements.Car les sentiments ont été multiplesà Epinal, dimanche. D’abord, il y a eula peur sur la tête de Djé (1 re ) claquéepar Guillaume Gauclin, puis celle noncadrée de Hamzaoui (28 e ) ou encore leslalom de Ketlas dans la défense (51 e ).Ensuite, c’est la joie qui s’est installéesur les visages après les buts de YannBénédick (41 e ), de Brian Amofa (68 e ) etde David Ledy (88 e ). « Les trois buteurssont formés au Racing, trois Alsaciens.Un Haut-Rhinois, deux StrasbourgeoisQuel symbole ! », souligne Marc Keller,le président du club.Mais avant le soulagement, il y a eu del’angoisse côté strasbourgeois avec lesdeux buts en fin de match de Raon (89 eet 90 e ). « Oui, on a eu peur, reconnaîtLudovic Golliard. Mais on s’est fait peurtoute la saison. <strong>La</strong> montée est bien plusbelle comme ça. » Car comme tous lerappellent après Moulins (0-4), le10 avril, plus personne ne croyait dansles chances du Racing. Six victoires etun nul plus tard, c’est pourtant Strasbourgqui retrouve le National, deux ansaprès sa liquidation judiciaire. « Depuisquelques années, les dieux du footétaient contre nous. Depuis deux ans,ils sont avec nous. ça ne rattrapera pasle retard, mais ça récompense unénorme travail des joueurs », se réjouitFrançois Keller. Son travail de coachaussi, lui qui a dû rebâtir une équipe encatastrophe à l’été 2011. WL’entraîneur François Kelleret son joueur Pacho Donzelot.Sur votre smartphone, retrouvez lesimages de la joie des Strasbourgeois.<strong>La</strong> fête <strong>place</strong> <strong>Broglie</strong>, <strong>lundi</strong> à <strong>19</strong> hLe match à peine terminé, le maire de Strasbourg, Roland Ries, et Marc Kellercherchaient où et comment fêter l’accession du Racing en National. Rendezvousest donné aux supporters <strong>place</strong> <strong>Broglie</strong> à <strong>19</strong> h, <strong>lundi</strong>. Désormais, lesdirigeants vont s’attacher à finaliser le budget pour le National. De son côté,François Keller va recevoir à partir de mercredi les joueurs en fin de contrat.Il souhaite conserver les trois recrues hivernales : Gauclin, Benedick et Sabo.Guillaume Gauclin et ses partenaires ont communié avec leur public.

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