Restaurant - La feuille de chou

Soi YamatoSoi 13Page 10 Le journal est disponible en ligne sur www.pattaya-en-francais.com n° 23 - Juillet 2009d ela feuilleChouClub Le Téléphone,le point de rendez-vous des libertins à PattayaINFOS BELGESDécouverte de la plus grande culturede cannabis de BelgiqueLa justice a mis au jour jeudi laplus grande culture de cannabisjamais découverte en Belgique,dans les hangars d'un agriculteurde Zandvoorde, près d'Ypres, indiquesamedi Het Laatste Nieuws.La superficie des hangars de PatrickLagrou, 50 ans, est de 2.400mètres carrés. Ils abritent une culturede cannabis pouvant générerjusqu'à 8 millions d'euros deLa mésaventure d'une Belge de18 ans qui voulait faire comme denombreuses jeunes filles : se fairetatouer. Kimberley Vlaeminck serend donc chez le tatoueur, et luidemande de placer trois petitspoints près de son œil gauche. Letatoueur lui propose plutôt troisétoiles pour le côté esthétique.Fatiguée, la jeune flamande s'endort.Mais à son réveil, elle découvreavec stupeur, non pas troisétoiles, mais 56 ! Des dessins dedifférentes tailles, partant deLors d’une visite récente en Belgique,je me portai volontaire pourune vaste dégustation de chocolat.Mon objectif: savourer et comparerdifférents chocolatsprovenant des quatre coins dumonde, en y incluant quelques variétésà saveurs artisanales tellesque la tequila, le thé vert, le tabac(à déconseiller!) et la lavande.Quel travail ardu!La Belgique possède une renomméeinternationale pour ses chocolatsfins, en raison de la qualitégains. L'agriculteur, sa femme ettrois assistants brésiliens ont étéplacés sous mandat d'arrêt.Les enquêteurs tenaient PatrickLagrou à l'œil depuis la mi-mars :une agression dont il avait été victimeressemblait étrangement àun règlement de comptes des milieuxcriminels. Le grand train devie mené par l'intéressé n'a faitque renforcer ces soupçons.Des étoiles plein les yeux !l'oreille et couvrant la mâchoirejusqu'au menton, la pommette, lefront et le nez."Je ne sentais rien. Je me suis réveilléeet c'est quand je me suisrendue compte qu'il tatouait monnez que j'ai senti quelque chose.Là, je me suis vraiment réveilléeet je lui ai dit stop", explique l'adolescente.Mais, de son côté, le tatoueur assureformellement qu'elle étaitéveillée tout le temps du tatouage,et que la jeune fille s'est rétractéedes ingrédients utilisés lors de lafabrication, ainsi qu’à un emploide méthodes de production exceptionnelles.On trouve plus de 2100 chocolateries en Belgique,produisant au-delà de 172 000tonnes de chocolat par année.Bref, le chocolat c’est une affairesérieuse pour les Belges.En 2000, une décision de l’UnionEuropéenne stipula que jusqu’à5% du beurre de cacao contenudans le chocolat pouvait êtresubstitué par du gras végétal."C'est la plus grande plantation decannabis jamais découverte enBelgique", confirme-t-on desource judiciaire. La justice poursuitles perquisitions, à la recherchenotamment de sommesd'argent qui pourraient être cachéesdans la ferme, ainsi qued'autres éléments permettant deremonter une éventuelle filière.quand son père et son petit-amiont vu le résultat. "Vous ne pouvezpas dormir lors d'un premiertatouage. C'est impossible", sedéfend Rouslan Toumaniantz, letatoueur.La jeune fille, elle, confie ne plusoser sortir dans la rue, et a décidéde porter plainte contre le tatoueur.Elle a également indiquévouloir se faire enlever les étoilespar laser, une opération douloureusequi coûte plusieurs milliersd'euros.Le chocolat belge, c'est du sérieux18 ème Marathon de PattayaCette provision offrait un énormepotentiel d’épargne aux chocolatiers,le gras végétal étant bienmoins coûteux que le beurre decacao. Cependant, un regroupementde chocolatiers artisanaux(et puristes du chocolat,) réunissous la bannière AMBAO (chocolaten swahili,) insiste à utiliser exclusivementle beurre de cacaodans leur produit, afin de préserverl’intégrité et l’authenticité duchocolat.La ville de Pattaya organise, en collaboration avec la TAT (Tourist Authority of Thailand) et l’ Association Nationaled’Athlétisme, le 18 ème Marathon de Pattaya afin de soutenir le tourisme en invitant les candidats étrangers àparticiper à l’activité, le dimanche 19 juillet sur la Beach Road, Soi 4.Les inscription sont ouvertes depuis le 20 juin.Il existe 3 sortes de courses :Marathon distance 42,195 Km, prix d’inscription 500 Bahts depuis l’ouverture de l’inscription jusqu’au 12 juillet,et 700 Bahts du 13 au 18 juillet.Demi Marathon distance 21 Km, prix d’inscription 400 Bahts depuis l’ouverture de l’inscription jusqu’au 16 juillet,et 500 Bahts du 17 au 18 juillet.Quart Marathon distance 10,55 Km, prix d’inscription 300 Bahts jusqu’au matin de la course.A la tête de cette compétition, des prix sont à gagner d’une valeur totale de plus de 2 millions de Bahts. Et lescoureurs qui dépasseront la ligne d’arrivée dans les temps recevront une médaille du Marathon de Pattaya 2009.A tous ceux qui souhaitent s’inscrire ou demander de plus amples renseignements, voici les adresses suivantes :Mairie de Pattaya, secteur tourisme. Tél. : 038 253 129.Inscription possible du 20 juin au 17 juillet, du lundi au vendredi de 8h30 à 18h30 et samedi et dimanche de 8h30à 16h30.SW Senorita Co.,Ltd, tél. : 02 711 55 00Pattaya City Call Center : 1337Ou s’inscrire par transfert bancaire directement :Pattaya Marathon, Pattaya Tai Branch, Account n° 221-1-45811-4 et faxer le relevé accompagné de la fiched’inscription à la Mairie de Pattaya, fax : 038 253 129.Chez DominiqueBar et Guest-HouseBelles chambres tout confortLe rendez-vous des francophonesAmbiance convivialeGrand écran,Snooker,BeloteTél.: 038 710 395Fax : 038 413 184dddddddBeach RoadRoyalGardenPost OfficePour taxi : . Second Road« J'ai appris le métier de prof enThaïlande »A 21 ans, une Guérandaise a passé un an à enseigner l'anglais à dejeunes Karens de la frontière birmane. Une expérience humaine peucommune.Rencontre« J'ai toujours eu envie de partir. » Le regard clair, Alexane de Lorgeril,jeune étudiante guérandaise en lettres modernes, garde beaucoupd'enthousiasme et de nostalgie : elle vient d'emmagasiner unesolide expérience de 12 mois dans de petits villages de Thaïlande.Juste à la frontière avec la Birmanie, chez un peuple apatride, lesKarens, indésirable en Birmanie et en Thaïlande... et pourtant si attachant.« Il m'avait dit, c'est génial. » C'est l'organisme Missions étrangèresde Paris qui a nourri sa soif de découverte humaine. « J'ai un ami quiétait parti avec eux en Corée, durant six mois. » Alexane, étudiante,postule et passe avec succès une semaine de mise en condition.« Avec l'organisation, on ne choisit pas sa destination, ça a été laThaïlande. Faustine, une autre fille, s'est retrouvée comme moi, àune trentaine de km de chez moi. On se voyait régulièrement. »« Ici, ils ont un vrai respect pour le prof.»« Il y en avait de tous les niveaux, du CE 1 au lycée. » Hormis avecFaustine et le père missionnaire originaire de Vitré, Olivier Prodhomme,Alexane n'a plus parlé français. Arrivée en septembre2007, elle a pris quelques cours de thaïlandais, puis donné son premiercours d'anglais dès « la fin du premier mois, à des enfants âgésde 6 à 18 ans. » Cela se passe dans l'école de la mission fondée parMissions étrangères de Paris, dans le but de scolariser des Karenscatholiques, cette entité ethnique très marginalisée.« Ici, ils ont un vrai respect pour le prof. » Alexane enseigne l'anglaisen parlant thaï, une sacrée gymnastique intellectuelle ! Maisc'est avant tout une formidable école de vie : elle découvre les Karens,ce peuple des montagnes très traditionnel. Elle se rend clandestinement,avec le père missionnaire, en pleine jungle birmane,traverse des villages « où ils n'avaient jamais vu de Blancs ! » Lajeune prof découvre aussi les subtilités de cette ethnie « qui ne montrerien ». La Guérandaise apprend aussi à enseigner : « j'adore lesenfants mais, toute seule en public, je ne savais pas que je seraisaussi à l'aise. »« J'ai circulé parfois seule, la nuit ! »Durant la saison chaude, Alexane en profite pour visiter Bangkok, lacapitale, les îles, le Cambodge. « La Thaïlande est un des pays lesplus sûrs du monde, il n'y a aucune insécurité. » Alexane regrette dene plus parler thaï. Elle est retournée, cette année, à la fac de lettresmodernes de Nantes, en 3e année, mais garde un peu de son cœurpour les Karens et la mission : « je compte y retourner l'année prochaine,durant l'été, en vacances avec ma petite sœur Inès, 18 ans». Sa maman, venue la rejoindre durant un court séjour, a ramenéde l'inspiration pour créer des statuettes qu'elle vendra à la chapelleSaint-Michel, histoire d'aider à financer les missions, grâce à uneassociation basée à Vitré. La famille d'Alexane sera très active...