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Procès verbal AG mai 2013

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sont pas des institutions sociales. L’UP Zurich doit aussi continuellementsupprimer des postes et s’adapter à de nouvelles situations. Une phase dereconstruction n’est pas exclue à l’avenir. Le comité et le secrétariat généraldoivent trouver des solutions. Il est en contact régulier avec ChristineZumstein et Thomas Bein. Les UP sont très dépendantes des contextes particuliers; il n’y a pas de recettes toute faites, et les solutions doivent êtretrouvées sur le terrain entre UP similaires.Helmut Jäger, UP Stäfa, assure que Stäfa communiquera ses réflexions aucomité.Karin Rickenbacher ne considérait pas a priori qu’aucun poste ne doit êtresupprimé lorsque des changements sont nécessaires. Cependant, quand ils’agit de supprimer des postes lors de restructurations, les personnes concernéesméritent que la situation soit considérée avec attention pour que cesdécisions aient vraiment des effets positifs.Les grandes UP réussiront peut-être effectivement toute seules la transitionvers l’avenir. Quant aux petites et moyennes UP, qui disent aujourd’hui nepas pouvoir assumer une augmentation de la cotisation, comment imaginentellesse confronter aux défis à venir ? On ne peut pas penser que du point devue des grands. Les besoins des UP sont très divers et c’est précisément ledéfi presque impossible que doit relever l’AUPS.Thomas Bein, UP des deux Bâle, est fatigué de mener ces discussions.Jusqu’il y a quatre ans, il faisait lui-même partie du comité avec ChristineZumstein de Berne et Iddamaria Germann de Zurich. A l’époque, ils ont élaborédes variantes stratégiques car ils étaient conscients que les ressourcesallaient manquer. Une variante proposait alors déjà de réduire l’AUPS à unminimum. Dans ce contexte, le président Loi Zedda les avait placés devant lechoix de s’engager pour l’AUPS (donc contre une réduction des dépenses)ou contre l’AUPS. Les trois personnes susmentionnées avaient alors démissionné.On n’a depuis lors pas constaté de développement, <strong>mai</strong>s au contraireun démantèlement. La situation actuelle était prévisible depuis des années.Le comité a décidé de réduire le personnel. Il doit donc assumer la responsabilitéde trouver pour cela la manière d’agir. Il ne peut pas simplement déléguercette responsabilité aux membres.Gabriele Coppetti, UP Glarus, indique qu'à Glarus le comité entier travaillebénévolement. Elle ne saurait approuver une augmentation de la cotisationsans même savoir comment elle en profiterait. Il est peut-être possibled’élaborer pour Bienne des concepts traçant l’avenir. Mais cela ne vaut paspour Glarus. Pourquoi l’AUPS ne demande-t-elle pas de quoi les UP ont besoin? Elle répondrait en tous les cas à une telle question.Jean-Claude Lambiel, UP Valais, déclare être aussi fatigué. Il a le sentimentque la discussion sert à régler des comptes. Il s’interroge sur les motifs. Ilignore pourquoi, <strong>mai</strong>s la tension est palpable.Son UP est aussi petite <strong>mai</strong>s tout de même en train d’évoluer. Elle a parexemple installé une page Facebook. Contrairement à d’autres, elle a desbesoins et l’association la soutient. Notamment pour des questions de marketingou en lien avec Educanet2, elle s’est adressée à l’association qui s’estmontrée présente. L’UP Valais a besoin de l’association et souhaite l’avoir àses côtés aussi à l’avenir.70 e <strong>AG</strong> à Lucerne Page 11

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