11.07.2015 Views

Télécharger en pdf - La Terrasse

Télécharger en pdf - La Terrasse

Télécharger en pdf - La Terrasse

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

20 / N°182 / novembre 2010 / la terrassethéâtre<strong>en</strong>treti<strong>en</strong> / José Pliya<strong>La</strong> question si ordinaire du MalAvec notamm<strong>en</strong>t Roland Bertin et Christiane Coh<strong>en</strong>dy, Hans PeterCloos met <strong>en</strong> scène Une Famille ordinaire de José Pliya, qui met à jourla proximité du mal à travers le quotidi<strong>en</strong> d’une famille allemandep<strong>en</strong>dant la seconde guerre mondiale.Quel est le sujet d’Une Famille ordinaire etqu’est-ce qui a décl<strong>en</strong>ché son écriture ?José Pliya : Le sujet de la pièce, c’est celui duquotidi<strong>en</strong> d’une famille ordinaire, la mi<strong>en</strong>ne, la vôtre,celle de M. et Mme tout le monde, un quotidi<strong>en</strong>fait de frustrations et de non-dits avec ses petitesjoies et ses petits secrets, mais qui se trouve prisdans un contexte historique extraordinaire : uneguerre. Le décl<strong>en</strong>chem<strong>en</strong>t de son écriture vi<strong>en</strong>t demon interrogation sur la question du Mal, ce diableque nous portons <strong>en</strong> nous et qui a t<strong>en</strong>dance à sedémultiplier <strong>en</strong> temps de guerre. Ce que je voulaismettre <strong>en</strong> lumière au départ c’était une famille Hutudans la guerre civile rwandaise de 1994. Mais lesujet était trop frais historiquem<strong>en</strong>t, trop prochedans le temps et sans recul pour que je le traitesans pathos. <strong>La</strong> seconde guerre mondiale m’offraitce recul et cette distanciation.Cartoucherie75012 Paris01 43 28 36 36Dim. 7 nov. à 17hL’OiseauvertCarlo GozziSandrine AngladeDim. 21 nov.à 17hRoméoet Juliette /ProkofievOrchestre Nationald’Ile de FranceV<strong>en</strong>. 26, Sam. 27nov. à 21hDim. 28 nov. à 17hRoméoet Juliette /ShakespeareMagali LérisMer. 10 nov.à 14h30MobyDickJeune publicMorisse et C ieVous dites que la pièce n’est pas une pièce historiquemais une pièce sur l’amour, ses abs<strong>en</strong>ces,ses défaillances. Qu’<strong>en</strong>t<strong>en</strong>dez-vous par là ?J. P. : Effectivem<strong>en</strong>t, l’Histoire et la seconde guerremondiale sont dans cette pièce un prétexte, unécrin qui me permett<strong>en</strong>t d’installer un principede réalisme, de vraisemblance. Le véritable sujet cesont les li<strong>en</strong>s qui se tiss<strong>en</strong>t au sein d’une famille etqui, selon moi, peuv<strong>en</strong>t être facteurs d’héroïsme oude monstruosité. Je vi<strong>en</strong>s d’une famille nombreuseoù il y a eu beaucoup d’amour. Pourtant, les démonsque je portais <strong>en</strong> moi aurai<strong>en</strong>t pu, à l’adolesc<strong>en</strong>ce,me faire basculer dans la délinquance. Lorsque je mesuis retrouvé au bord du gouffre, c’est ce contextefamilial d’amour qui m’a sauvé… Ce que je dis làn’est pas systématique, ce n’est pas du déterminisme,c’est juste mon histoire et mes peurs quej’ai voulu raconter <strong>en</strong> négatif : et si j’étais ce JuliusMar. 16, Mer. 17et Jeu. 18 nov.à 21hLe QuatuorDanseurs de cordesdePetr Zel<strong>en</strong>katexte françaisJaromir Janecek etJean-François Loezmise <strong>en</strong> scèneet interprétationCollectif DRAOLe Tourdu mondede RabbiEliC ie Adamaet invités01 46 97 98 10www.theatre-suresnes.fr13 novembre > 12 décembreDim. 14 nov. à 17h© Photos : Chris Maluszynski/Ag<strong>en</strong>ce Vu - Morisse & C ie -C ie Adama - Joseph Szabo - Didier Pallagès.Graphisme : P. Milville / C. G<strong>en</strong>ey. Lic<strong>en</strong>ce n° 1-1018335.Abraham privé d’expression d’amour et d’affection,surtout par son père, que serais-je dev<strong>en</strong>u ?Comm<strong>en</strong>t la grande Histoire et les histoiresindividuelles se crois<strong>en</strong>t-elles dans la pièce ?J. P. : J’ai eu pour principale référ<strong>en</strong>ce historique, lasomme de Daniel Jonah Goldhag<strong>en</strong> Les bourreauxvolontaires d’Hitler. Un implacable – et polémique –réquisitoire sur la responsabilité du peuple allemanddans le génocide juif. <strong>La</strong> thèse de cet histori<strong>en</strong> américainconsiste à dire que la shoah n’a pu se faireavec cette ampleur sans la participation volontairede l’allemand ordinaire. Docum<strong>en</strong>ts et preuves àl’appui, il déroule son parti pris. Ma conviction vaplus loin et elle est camusi<strong>en</strong>ne : nous sommestous, collectivem<strong>en</strong>t, responsables de la mort d’unhomme qui meurt assassiné quelque part sur cetteterre. J’ai essayé de croiser responsabilité individuelleet responsabilité collective ou historique parune dramaturgie simple qui met des personnages<strong>en</strong> prise avec des obstacles intimes ou publics.Trois générations se côtoi<strong>en</strong>t : les par<strong>en</strong>ts, lefils et la belle fille et leur fille. Comm<strong>en</strong>t intervi<strong>en</strong>tla plus jeune ? Comm<strong>en</strong>t traitez-vous letemps dans la pièce ?<strong>en</strong>treti<strong>en</strong> / Michel JolivetPourquoi faut-il raconterdes histoires ?Le collectif Mondoral célèbre le conte et les arts de la parole auThéâtre de l’Odéon et à L’Université Paris VII-Diderot. Entreti<strong>en</strong> avecMichel Jolivet, directeur de la Maison du Conte de Chevilly-<strong>La</strong>rue.Pourquoi cette double manifestation ?Michel Jolivet : L’événem<strong>en</strong>t est m<strong>en</strong>é par Mondoralqui réunit quatre lieux mettant <strong>en</strong> visibilitél’art du conte et les arts de la parole et vise àmettre <strong>en</strong> lumière le troubadour d’aujourd’hui. Êtreaccueilli par Olivier Py et son équipe est un signefort car l’Odéon est un lieu exceptionnel de l’artde la parole poétique, politique et polémique. Deuxjours après, les manifestations à l’Université Paris-Diderot permettront de resserrer l’interrogation<strong>en</strong> ateliers, <strong>en</strong> échanges et <strong>en</strong> débats sur l’art duconteur et celui de la transmission de la parole.Pouvez-vous préciser le cont<strong>en</strong>u de cesmanifestations ?M. J. : A l’Odéon, quatre parties de c<strong>en</strong>t vingtminutes chacune accueilleront huit participants(personnalités artistiques, écrivains, sci<strong>en</strong>tifiques,psychanalystes, conteurs) qui exposeront leursréponses à la question « Pourquoi faut-il raconterdes histoires ? ». Ces exposés seront suivis d’undébat et chaque partie s’ouvrira avec une histoiredite par un conteur. A L’Université Paris-Diderot,sous le patronage de Bernadette Bricout, sommitéde l’art du conte, du collectage, seront organisésdes ateliers dans plusieurs salles <strong>en</strong>tre lesquelleson pourra naviguer.Qu’est-ce qu’un conteur ?M. J. : Le conteur est un auteur, une personnalitéqui a un répertoire, <strong>en</strong> plus d’un narrateur. Ce quifait le conteur, ce sont ses grands récits dont il© D. R.« Les li<strong>en</strong>s quise tiss<strong>en</strong>t au sein d’unefamille et qui, selonmoi, peuv<strong>en</strong>t êtrefacteurs d’héroïsme oude monstruosité. » José PliyaJ. P. : <strong>La</strong> plus jeune, Vera, est à la fois extrêmem<strong>en</strong>tconcrète et totalem<strong>en</strong>t allégorique. On peutconsidérer qu’elle parle depuis un prés<strong>en</strong>t atemporel,a-historique. C’est la voix de l’ici et du maint<strong>en</strong>antqui par-delà la réalité des secrets et des mochetéscommises par ses par<strong>en</strong>ts – que savons-nous ouque voulons-nous vraim<strong>en</strong>t savoir de la vie de nospar<strong>en</strong>ts ? – ouvre un chemin vers la réconciliation.Mais c’est aussi une voix intérieure, celle de l’<strong>en</strong>fant<strong>en</strong> nous qui se raconte ses mythologies pour survivreà l’horreur. Dans le texte, il y a le temps historique de39-45 et le temps poétique, celui de Véra.Avez-vous r<strong>en</strong>contré le metteur <strong>en</strong> scèneHans Peter Cloos et les comédi<strong>en</strong>s ?J. P. : Oui, c’est grâce à une comédi<strong>en</strong>ne et amie, <strong>La</strong>raSuyeux, que j’ai r<strong>en</strong>contré Hans Peter. Ensemble nousavons participé à une lecture qui réunissait déjà l’ess<strong>en</strong>tielde l’actuelle distribution. Si je regrette qu’au bout ducompte, <strong>La</strong>ra ne fasse plus partie de l’av<strong>en</strong>ture, je suisheureux que ce texte trouve le chemin d’une nouvellecréation, avec <strong>en</strong> tête l’imm<strong>en</strong>se Roland Bertin.Propos recueillis par Agnès SantiUne Famille ordinaire, de José Pliya, mise <strong>en</strong> scèneHans Peter Cloos, du 4 au 27 novembre, mercrediet v<strong>en</strong>dredi à 20h30, mardi, jeudi et samedi à 19h30,dimanche et le 11 novembre à 15h, au Théâtre del’Est Parisi<strong>en</strong>, 159 av. Gambetta, 75020 Paris.Tél. 01 43 64 80 80. Et le 1 er décembre à l’Avant-Seine de Colombes. Tél. 01 56 05 00 76.est l’adaptateur ou l’auteur. C’est une bibliothèqueambulante qui conti<strong>en</strong>t des récits mais aussiquelqu’un qui sait parler de l’histoire des histoires.C’est un homme de transmission et l’art duconte est un art de la relation. Un conteur est unhomme de théâtre, comédi<strong>en</strong>, metteur <strong>en</strong> scène,mais aussi poète. Souv<strong>en</strong>t, la reconnaissance d’un« L’art du conte estun art de la relation. »Michel Jolivetartiste passe par la scène. Quelques conteursabord<strong>en</strong>t la scène mais beaucoup travaill<strong>en</strong>t surdes territoires qui ne sont pas des scènes traditionnelles,<strong>en</strong> milieu rural, dans les quartiers,//// pour recevoir la terrasse par internet, <strong>en</strong>voyez un mail à : la.terrasse@wanadoo.fr <strong>en</strong> objet : recevoir la terrasse ////© D. R.© Jean-Louis Fernandezla terrasse / novembre 2010 / N°182 / 21théâtre<strong>en</strong>treti<strong>en</strong> / Richard BrunelHommes et femmeschez Feydeau : une relationtrès mouvem<strong>en</strong>tée !Richard Brunel, directeur de la Comédie de Val<strong>en</strong>ce, met <strong>en</strong> scène J’ai lafemme dans le sang, commande de Pauline Sales et Vinc<strong>en</strong>t Garanger duCDR de Vire. Un montage piquant des petites pièces de Feydeau, histoirede rire des relations houleuses <strong>en</strong>tre l’homme et la femme.Comm<strong>en</strong>t Feydeau dépeint-il les rapportshommes-femmes ?Richard Brunel : Le vaudevilliste Georges Feydeau,bouleversé dans sa vie privée, réfléchit à traversla folie théâtrale au mécanisme de la relation<strong>en</strong>tre l’homme et la femme. Les pièces de Feydeaurévèl<strong>en</strong>t, de manière absurde et délirante, les disputesamplifiées et les conflits exacerbés à l’intérieurdu couple. Le schéma bourgeois ne contourne pasla dualité ancestrale qui partage la sphère fémininede la sphère masculine - les femmes rest<strong>en</strong>t à lamaison et les hommes vont au bureau. Aujourd’hui<strong>en</strong>core, l’affaire est loin d’être réglée, certains sté-partout où il y a de la vie, chez les g<strong>en</strong>s. Il y a<strong>en</strong> France <strong>en</strong>tre cinq et huit c<strong>en</strong>ts conteurs ditsprofessionnels, soit une dizaine par départem<strong>en</strong>t.Ils travaill<strong>en</strong>t souv<strong>en</strong>t dans des lieux peu mis <strong>en</strong>lumière. En tant que directeur d’un lieu, j’ai pourma part beaucoup œuvré à aider les conteurs às’exprimer sur scène mais ils investiss<strong>en</strong>t d’autreschamps, mettant parfois tout un territoire <strong>en</strong> mouvem<strong>en</strong>tcomme l’a fait par exemple Yannick Jaulinà Pougne-Hérisson.Quelle est l’importance de cet art de laparole ?M. J. : Nous sommes construits par des récits etla qualité de ces récits fait celle de notre transmission.<strong>La</strong> parole est née du besoin de raconter. Aucomm<strong>en</strong>cem<strong>en</strong>t était non pas le verbe mais l’histoire.Ceux qui ont été baignés par des histoires,et pas seulem<strong>en</strong>t par des conteurs, sont des g<strong>en</strong>splus fortem<strong>en</strong>t construits. On l’observe ainsi dansles écoles maternelles : chez les <strong>en</strong>fants, le niveaud’art de la parole est prépondérant pour les acquisitionsfutures. Cette parole d’homme à homme, cetéchange, cette relation physique, charnelle, cet artpremier est capital pour la construction d’un être.Propos recueillis par Catherine RobertPourquoi faut-il raconter des histoires ?Transmettre ? Le 6 décembre 2010, de 10h à 22h.Théâtre de l’Odéon. Place de l’Odéon, 75006 Paris.Réservations au 01 44 85 40 40. Les 1001 vies duconte. Les 8 (de 10h à 20h30), 9 (de 10h à 18h) et10 décembre (de 17h à 20h30) à l’Université Paris VII-Diderot, Hall A, bâtim<strong>en</strong>t des Grands Moulins,5, rue Marguerite-Duras, 75013 Paris. Réservationsau 01 49 08 50 85. Journées organisées par lecollectif Mondoral (Conservatoire de Littérature Oralede V<strong>en</strong>dôme, Maison du Conte de Chevilly-<strong>La</strong>rue,C<strong>en</strong>tre des Art du Récit <strong>en</strong> Isère, associationParoles Traverses à R<strong>en</strong>nes). R<strong>en</strong>seignem<strong>en</strong>ts surwww.conte-artsdelaparole.orgréotypes subsist<strong>en</strong>t. Feydeau r<strong>en</strong>d compte des rapportshommes-femmes avec passion et férocité.Le titre J’ai la femme dans le sang n’est pasune œuvre de Feydeau mais une réplique« <strong>La</strong> parole elle-mêmerelève d’une coliqueincontrôlable :on ne s’<strong>en</strong>t<strong>en</strong>dni ne s’écoute,on déjette des mots,sans réfléchir ». Richard Bruneltirée du Dindon. Comm<strong>en</strong>t avez-vous élaboréle montage du texte ?R. B. : Avec Pauline Sales, on a adapté trois petitespièces, Léonie est <strong>en</strong> avance, On purge Bébé,Mais ne te promène donc pas toute nue, trois actesauxquels ont été ajoutés des extraits du Dindon,de la correspondance de Feydeau et d’un dramede jeunesse, L’amour doit se taire. L’arrière-planbiographique de Feydeau est prés<strong>en</strong>t, comme unecorrespondance <strong>en</strong>tre la vie et l’œuvre sans qu’il yait de reconstitution, une biographie imagée, unere-visitation de sa vie. J’ai la femme dans le sangest le montage d’une saga familiale. Léonie est <strong>en</strong>avance concerne la naissance du héros, On purgeBébé son <strong>en</strong>fance, Mais ne te promène pas toutnue ! sa maturité.<strong>La</strong> question du corps grotesque est récurr<strong>en</strong>te,elle fait allusion aux préoccupationsles plus triviales.R. B. : Les problèmes de constipation, de défécationet de relâchem<strong>en</strong>t des intestins sont métaphoriquesde la morale des personnages. De même, la vulgaritédes accessoires : un seau d’eaux sales, unpot de chambre. <strong>La</strong> parole elle-même relève d’unecolique incontrôlable : on ne s’<strong>en</strong>t<strong>en</strong>d ni ne s’écoute,on déjette des mots, sans réfléchir. Niées dans leurvérité et confinées dans leur rôle social, les femmes<strong>en</strong>vahiss<strong>en</strong>t de leur intimité le terrain professionneldes hommes <strong>en</strong> humiliant ces derniers. Le députédans Mais ne te promène pas toute nue ! ne supportepas que son épouse soit dévêtue devant sonpropre fils. <strong>La</strong> situation est un cauchemar. Le père necesse de subir l’humiliation de l’épouse.C’est une purgation cruelle, une catharsispar les humeurs. Plus la conv<strong>en</strong>tion bourgeoisebride les corps, plus le corps pr<strong>en</strong>dle pas sur le langage !R. B. : L’ironie et l’amertume de l’écriture est diaboliquepour les interprètes, elle leur échappe, neconti<strong>en</strong>t ni grâce ni épaisseur psychologique. <strong>La</strong>parole subit un naufrage, et les êtres viv<strong>en</strong>t la catastrophe.L’espace intime contamine le public. Et celadécl<strong>en</strong>che le rire…Propos recueillis par Véronique HotteJ’ai la femme dans le sang, d’après GeorgesFeydeau ; mise <strong>en</strong> scène de Richard Brunel.Du 5 au 27 novembre 2010. Lundi, v<strong>en</strong>dredi, samedià 20h30, mardi et jeudi à 19h30, dimanche à 17h.Nouveau Théâtre de Montreuil CDN10, place Jean-Jaurès 93100 Montreuil.Réservations : 01 48 70 48 90 etwww.nouveau-theatre-montreuil.com//// VOUS CHERCHEZ UN JOB éTUDIANT, éCRIVEZ-NOUS SUR la.terrasse@wanadoo.fr ////LES THÉÂTRALES CHARLES DULLINFESTIVAL DE LA CRÉATION CONTEMPORAINE EN VAL-DE-MARNEÉDITIONNOVEMBREDÉCEMBRE5 NOV >12 DÉC5 20h30 MOTOBÉCANE Choisy-le-Roi5 10h et 14hLE PETIT CHAPERON ROUGE Villejuif6 15h5 14h306 18h10 19h11 16h1411h3015h17h20h30L’ŒUF ET LA POULEPINOCCHIOFANTAISIESPRODUCTLES VIPÈRES SE PARFUMENT AU JASMINAU MILIEU DU DÉSORDREChevilly-<strong>La</strong>rueVitry-sur-SeineFont<strong>en</strong>ay-sous-Bois7 17h TRAVELING 94Fresnes15 20h30 JEAN LE FORT / MÉTROPOLISSaint-Mauriceproduction29 20h30 Théâtrales Charles DullinArcueil20 10h MASTER CLASS avec Ariane Mnouchkine Cartoucherie de Vinc<strong>en</strong>nes19 20h30 NOTRE BESOIN DE CONSOLATION Orly19 20h3020 20h30LE CHAGRIN DES OGRESSaint-Maur20 18h et 21h CONCERT À LA CARTE Rungis20 20h30 ON AIR Le Kremlin-Bicêtre20 20h45 SACCO ET VANZETTI Maisons-Alfort23 20h30DIALOGUE D’UN CHIENLe Perreux-sur-Marne27 20h30 AVEC SON MAÎTRE…Le Kremlin-Bicêtre25 20h3026 20h30NOTRE TERREURNog<strong>en</strong>t-sur-Marne26 20h30 INFINIMENT LÀ Chevilly-<strong>La</strong>rue26 21h SANS AILES ET SANS RACINES Vill<strong>en</strong>euve-Saint-Georges27 15h LES VIVANTS ET LES MORTS Vitry-sur-Seine2 19h303 19h304 19h302 21h3 21h4 21hCAPITAL CONFIANCEUNE GUERRE PERSONNELLECréteilCréteil3 20h30 HOBB STORY, SEX IN THE (ARAB) CITY Cachan5 17h UN JOUR J’IRAI À VANCOUVER G<strong>en</strong>tilly7 20h30 PRODUCT Orly8 20h309 20h3010 20h3011 20h30SALETÉ8 20h MY SECRET GARDEN9 19h événem<strong>en</strong>t11 21h12 16hTOUS DES GAGNANTSSaint-Maur13 20h FORUM DES COLPORTEURS ArcueilIvry-sur-SeineVitry-sur-SeineLe pass Théâtrales à 10 donne accès à tous les spectaclesau tarif de groupe <strong>en</strong> vigueur dans chaque salle.> j’achète le pass Théâtrales (pass nominatif) à 10 auprès du festival,des colporteurs ou sur www.lestheatrales.com/pass.<strong>pdf</strong>> je réserve ma place de spectacle directem<strong>en</strong>t auprès du lieu de représ<strong>en</strong>tation> <strong>en</strong> retirant ma place, je prés<strong>en</strong>te le pass Théâtrales et bénéficie du tarif réduitJEUNE PUBLICCONTEMPORAINLES VOIXSINGULIÈRESÉCRITURESDE PLATEAUNOUVELLESÉCRITURES TEXTUELLESSPECTACLESÉTRANGERSPETITESFORMESRENSEIGNEMENTSwww.lestheatrales.com01 48 84 40 53EXE_PUB_TERRASSE_NOV-77X117.indd 1 22/10/10 11:47:54

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!