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critiques - La Terrasse

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40 / N°162 / NOVEMBRE 2008 / la terrassethéâtre agendatacles composant ce festival 2008 présententdes créateurs « qui ont détourné les yeux desappels de la société libérale pour rester dans lefoisonnement d’une recherche esthétique jamaisachevée ».M. Piolat SoleymatFestival Auteurs en Acte, du 7 au 15 novembre 2008à Bagneux. Renseignements, programme complet,horaires et lieux des spectacles surwww.auteursenacte.comLe retourau désertO Retorno ao deserto////// Catherine Marnas ////////////////////////////////////////////////Catherine Marnas met en scèneune version franco-brésilienne duRetour au désert. Un spectacle quicherche à investir les lames defond sur lesquelles repose la piècede Bernard-Marie Koltès.Entre France et Brésil, un Retour au désert aux inspirationsmétissées.Après L’Héritage en 1997, un collage de diverstextes en 1999 (Fragments Koltès), après <strong>La</strong> Nuitjuste avant les forêts en 2007, Catherine Marnasrevient à l’œuvre de Bernard-Marie Koltèsen investissant Le Retour au désert. A traversce spectacle métissé, bilingue, au sein duquel« acteurs français et brésiliens se partagent unepartition dédoublée », la metteure en scène asouhaité éclairer tous les possibles du texte.« Je fais jouer les débordements de l’inconscient,confie-t-elle, quelque chose que le diurnene dirait pas et que le nocturne raconte. » Évoquantce qui est et ce qui n’est pas, le visible etl’invisible, toutes les facettes des personnages,la représentation élaborée par Catherine Marnasse laisse également traverser par les profondsdéséquilibres qui caractérisent la société brésilienne.« Le Brésil éclaire ce que la pièce raconte,explique-t-elle, l’histoire d’un monde bourgeois,aux abris, enfermé en lui-même, retranché derrièreses murs. »M. Piolat SoleymatLe Retour au désert – O Retorno ao deserto(spectacle en français et portugais, surtitréen français) ; mise en scène de Catherine Marnas.Du 4 au 8 novembre 2008 à 20h30, le 9 novembreà 15h00. Théâtre de la Ville, 2, place du Châtelet,75004 Paris. Réservations au 01 42 74 22 77.<strong>La</strong> Madonedespoubelles////// Jacques <strong>La</strong>ssalle ///////////////////////////////////////////////////Jacques <strong>La</strong>ssalle signe le texte etla mise en scène de cette “tragédiebouffe”qui se noue au cœur del’Argentine aux pires moments dela crise économique.Metteur en scène amoureux de la belle littérature,Jacques <strong>La</strong>ssalle affirme l’importancede l’acte d’écrire pour lui, même s’il n’a publiéque huit titres et que son activité de metteuren scène surtout l’occupe. Pour <strong>La</strong> Madonedes poubelles, le désir d’écriture est né de la© Jorge Etecheberconfrontation marquante avec l’Argentine, audébut des années 2000, alors que le pays avaitsombré dans une crise économique terrible,engendrant de vives tensions sociales et unepaupérisation alarmante de la société. Le nombredes cartoneros, qui trouvent dans les poubellesdes quartiers riches de Buenos Aires unmoyen de subsistance, avait alors explosé etsouvent ils étaient soumis à la mafia. <strong>La</strong> pièceorchestre la rencontre entre Lola, dont le pères’est reconverti dans un gang de cartoneros, etde Gratien, jeune cadre français subjugué par labeauté de la jeune fille. Il éprouve la mauvaiseconscience de l’habitant d’une puissance occidentaleplongé dans un pays en pleine détresse.« Une histoire sans perspective et sans issue.Une tragédie bouffe composée d’un principede survie et d’une capacité à ré-enchanter l’ordinaire.L’Argentine comme une fin de partieabsolue… » confiait dans nos colonnes l’auteuret metteur en scène. « Cousine lointaine de laLolita de Vladimir Nabokov », cette Lola célèbrepourtant malgré la déroute effarante de BuenosAires la puissance de la vie. A. Santi<strong>La</strong> Madone des poubelles, texte et mise en scèneJacques <strong>La</strong>ssalle, du 6 au 28 novembre lundi,mercredi et vendredi à 20h30, mardi, jeudiet samedi à 19h30, au Théâtre de l’Est Parisien,159 av Gambetta, 75020 Paris. Tél. 01 43 64 80 80.Diagnostic////// Jean-Claude Cotillard //////////////////////////////////////////Reprenant le flambeau de Molière,Jean-Claude Cotillard, inspirépar le Hard Rock, la B.D., les jeuxd’images et de bruitages, vilipendela corporation des médecins avecDiagnostic de Pennac.Un drôle de diagnostic avec Jean-Claude Cotillard & Co.gros plan XVII e Festival Don QuijoteDu classique au contemporain, de la danse au théâtre, de l’Espagneà l’Argentine, le Festival est une occasion unique de découvrir lethéâtre de langue espagnole.Après une édition 2007 s’attachant à éclairerla mémoire, l’édition 2008 donne particulièrementla parole aux femmes, à travers plusieursartistes – Petra Martinez, Ana Vallés, BelénMaya, Alicia Soto… –, et à travers aussi la voixde Maria Teresa Leon (1903-1988), écrivainanti-franquiste qui s’exila avec son mari RafaelAlberti, notamment en Argentine puis à Rome.Son autobiographie Mémoire de la mélancolieretrace une bonne part de l’histoire de l’Espagneau vingtième siècle. Deux pièces permettent demieux connaître le théâtre contemporain espagnol.Animales Artificiales par le Matarile Teatrod’Ana Vallès associe divers langages scéniqueset interroge l’empathie et l’équilibre entre notrepart animale et nos mondes artificiels, et donneà voir des êtres capables de dissimulation etde représentation. Ados@dos est une pièceécrite par deux figures importantes du théâtreespagnol, Juan Margallo et Petra Martinez, aussiinterprètes de cette mise en scène parodiquede la vie et du théâtre. A voir aussi du théâtreclassique avec une adaptation de Fuenteovejunade Lope de Vega, célèbre chronique d’unerévolte paysanne contre les abus du pouvoir féodal.José Carlos Plaza, grande figure du théâtreindépendant espagnol, met en abîme notreépoque et le Siècle d’Or à travers un véritabletravail d’appropriation de l’œuvre. <strong>La</strong> pièce aété sélectionnée par la commission CaceresCapitale Européenne 20016 dans le cadre de lacandidature de la ville de Caceres.Métaphores visuellespour recevoir la terrasse par internet, envoyez un mail à : la.terrasse@wanadoo.fr en objet : recevoir la terrasseAnimales Artificiales par le Matarile Teatro, qui associesur le mode de l’humour divers langages scéniques.L’Amérique latine est représentée par <strong>La</strong> omisionde la familia Coleman, dont Claudio Tolcachir signele texte et la mise en scène. <strong>La</strong> pièce raconte unedéstructuration familiale à travers le quotidiend’une mère et ses quatre enfants, obligés desortir du silence. Au programme aussi de cetteédition, de la danse flamenco avec Belén Maya,l’une de ses plus dignes représentantes, adeptedes croisements entre diverses disciplines. AliciaSoto aime aussi mêler danse et jeu théâtral. InVino Veritas explore à travers un cocktail aux parfumssurréalistes les relations à la fois intimes etmythiques que l’humanité entretient avec le vin :un thème enivrant où la mise en scène joue avecles métaphores visuelles. En français et en musique,Amancio Prada chante Léo Ferré. En françaistoujours, le groupe Zorongo présente Ay Carmela !de José Sanchis Sinisterra, monument du théâtreespagnol contemporain (voir brève). Un festivald’une belle cohérence.Agnès SantiXVII e Festival Don Quijote, du 22 novembre au3 décembre au Café de la Danse, 5 passage Louis-Philippe, 75011 Paris. Tél. 01 48 28 79 90.© D. R.© BR/Revista Artez© D. R.la terrasse / NOVembre 2008 / N°162 / 41agenda théâtreLes faits de société ont toujours interpelléCotillard sur sa scène joyeusement provocante.Il en est de même pour l’écrivain Daniel Pennacqui traite de l’école de la réussite comme decelle des déboires, de la jeunesse affublée demarques comme de sa propension incertaine àla lecture. Pennac parle aussi de la médecine àtravers l’une de ses nouvelles, Ancien Malade…Les médecins seraient-ils incompétents ? Certesnon, les technologies ont atteint un tel pointde sophistication qu’on ne saurait remettre encause le savoir médical. Mais peut-on encorese moquer de la médecine et des médecins ?Cette nouvelle version du Malade imaginaires’en prend au comportement des médecins.Une façon de tester le corps médical : Pennacinvente le test comparatif de l’ego des mandarins.Comment un futur médecin ambitieux,interne d’un grand hôpital, peut-il être devenuréparateur d’automobiles ?V. HotteDiagnostic, création de Jean-Claude Cotillard, d’aprèsla nouvelle Ancien Malade des Hôpitauxde Paris de Daniel Pennac, les 7 et 8 novembre 2008à 20h30 au Parvis des Arts 94140 Alfortville.Tél. 01 58 73 29 18 info@pole-culturel.frDu 12 novembre au 21 décembre 2008 au ThéâtreDaniel-Sorano 16, rue Charles Pathé/Vincennes.Réservations 01 43 74 73 74.S’agiteet se pavane////// Célie Pauthe ///////////////////////////////////////////////////////<strong>La</strong> metteuse en scène Célie Pauthesous les auspices du maître IngmarBergman. Comment s’entreteniravec la Mort, telle est la question.Les coulisses de la répétition.Ingmar Bergman, l’un des grands du cinéma denotre siècle passé, visionnaire récemment disparude la modernité, a eu de longue date mailleà partir avec la Mort jusqu’au jour où, dominantsa peur, il eut le courage de lui donner « la figured’un clown blanc, un personnage avec qui s’entretenir,jouer aux échecs… » Il n’en fallait pasplus pour toucher droit au cœur l’art de CéliePauthe que le mariage du cinéma et du théâtrene laisse pas indifférente. D’abord écrit pour lethéâtre puis adapté en un téléfilm (En présenced’un clown à Cannes 1998) S’agite et se pavaneest l’évocation tragi-comique de l’oncle Carl deBergman. À travers la figure de cet oncle fantasque,génial et suicidaire, rêveur blessé un peuà l’image de son neveu plus tard, c’est bien unautoportrait de l’artiste en vieil enfant se débattantau-dessus du gouffre qui se dessine, unevariation pour la scène du Voyage d’hiver deSchubert. Un enchantement de songes depuisl’âme incandescente du fameux Carl. V. HotteS’agite et se pavane, d’Ingmar Bergman, mise enscène de Célie Pauthe, du 14 au 21 novembreet du 11 au 20 décembre 2008, lundi, mercredi,vendredi, samedi 20h30, mardi et jeudi 19h30au Nouveau Théâtre de Montreuil CDN 10, placeJean Jaurès 93100 Montreuil Tél. 01 48 70 48 90et www.nouveau-theatre-montreuil.com<strong>La</strong> Douleur////// Patrice Chéreau et Thierry Thieû Niang /////////////////Patrice Chéreau et Thierry ThieûNiang dirigent Dominique Blancs’emparant du désespoir lucided’une Duras entre résistance etexpectative.Dans l’attente insupportable de celui dont elleignore s’il reviendra jamais de Dachau, ne mangeantplus, ne dormant plus, entre colère et© Véronique Appel© D. R.gros plan / dijonHamlet« Hamlet, un cabaret ? Et pourquoi pas puisque c’est une tragédie »écrit Matthias <strong>La</strong>nghoff à François Chattot, son Prince. Nousl’attendons avec impatience.Cela fait un peu plus de vingt ans que FrançoisChattot et Matthias <strong>La</strong>nghoff se connaissent ettravaillent ensemble. Récemment nommé à latête du Théâtre Dijon Bourgogne, il lui proposede faire ce “cabaret Shakespeare” qu’il évoquerégulièrement. Le monde est une scène et lessublimes personnages shakespeariens ont effec-Matthias <strong>La</strong>nghofftivement de quoi raconter sur les infinies façonsde l’habiter. Finalement, c’est Hamlet qui est auprogramme. « Matthias dit que Hamlet est la plusmauvaise pièce de Shakespeare » avoue François.Bon, c’est pas grave, même si aujourd’huion ne chasse plus les rats avec une épée, on aquand même très envie de savoir comment Monsieur<strong>La</strong>nghoff va empoigner le Prince indécis etce royaume qu’on dit (et qu’on constate) pourri.C’est François Chattot lui-même qui interprètele Prince, un Prince vieux et fatigué alors que saDominique Blanc partage avec les spectateurs <strong>La</strong>Douleur de Marguerite Duras.espoir, abattement et étonnement, action résistanteet patience obstinée, Marguerite Duras tintle journal des jours sans Robert Antelme, décrivantce qu’elle voyait, vivait, rencontrait ou affrontait.« Je me suis trouvée devant un désordrephénoménal de la pensée et du sentiment auquelje n’ai pas osé toucher et au regard de quoi lalittérature m’a fait honte » écrivit Duras à proposde la redécouverte de ce texte dans les armoiresde sa maison de Neauphle-le-Château bien desannées plus tard. Dominique Blanc, guidée parPatrice Chéreau et Thierry Thieû Niang, s’empareavec la force de la simplicité de ce texte à lapudeur en ellipses, afin, selon les mots de PatriceChéreau, de « transmettre tout cela, humblement,à des spectateurs ».C. Robert<strong>La</strong> Douleur, de Marguerite Duras ; mise en scènede Patrice Chéreau et Thierry Thieû Niang.Le 25 novembre 2008 à 20h30. Théâtrede Saint-Quentin-en-Yvelines, Scène nationale,place Georges-Pompidou, BP 317 Montigny-le-Bretonneux, 78054 Saint-Quentin-en-Yvelines cedex.Réservations au 01 30 96 99 00.Du 2 au 14 décembre 2008 à 20h30 ; le dimanche à16h ; relâche le lundi. Théâtre Nanterre-Amandiers,7, avenue Pablo-Picasso, 92022 Nanterre cedex.Réservations au 01 46 14 70 00.//// VOUS CHERCHEZ UN JOB éTUDIANT, éCRIVEZ-NOUS SUR la.terrasse@wanadoo.fr ////mère est restée jeune… « En manteau rouge, lematin traverse la rosée qui sur son passage paraîtdu sang. Ou Ham. And Ex by William Shakespeare.Un Cabaret. »Mêler tonalités tragiqueset infiniment gaiesDe grandes tables font passerelle entre le plateauet le public, où les spectateurs pourront s’installer,un dispositif qui évoque d’emblée le cabaret,d’autant que la musique d’Olivier Dejours avecle Tobetobe Orchestra rythme l’action, en chansonset en musiques qui mêlent tonalités tragiqueset infiniment gaies. Le fossoyeur chante encreusant, des poèmes aussi de Shakespeare oud’autres sont chantés et éclairent la situation.« L’acteur élisabéthain, par le clown, par le bouffon,par le chant, est dans un rapport complet, etdirect avec le public » rappelle François Chattot.Le metteur en scène est parti de la traductionen allemand qu’il a réalisée avec Heiner Müller,il y a trente ans, dont Jörn Cambreleng créeune version française. « Lorsque Müller a traduitavec moi Hamlet pour Benno Besson, cela lui ademandé beaucoup plus de travail que d’écrireses propres pièces » dit-il. Un vaste chantier, etune promesse de beau théâtre.Agnès SantiHamlet, de William Shakespeare, traductionJörn Cambreleng, mise en scène Matthias <strong>La</strong>nghoff,du 20 novembre au 6 décembre, mardi et vendredià 20h30, mercredi et jeudi à 19h30, samedi à 17h,au Parvis Saint-Jean, Théâtre Dijon Bourgogne.Tél. 03 80 30 12 12.Meurtrepar omissionDeux sœurs, l’aînée et la benjamine,veillent le coma de leur cadettequi a elle-même aidé l’euthanasiede leur père. Que faire face àl’énigme de la mort à donner pardignité ?Dans un style qu’Henri Caillavet, l’auteur deMourir dans la dignité, compare dans sa préfaceà celui de Beaumarchais, Jean-PierreKlein s’empare d’un thème complexe quiinterroge autant la philosophie que le droitet la morale. Transcrivant ce débat dans lerécit de la vie de trois femmes aux tempéramentscontrastés, il rejoint cette longuetradition de l’esprit français qui, de Voltaireà Sartre, use de la vulgarisation littéraireou théâtrale pour donner chair aux idées.Autour du corps sans conscience de Claire,s’affrontent Christine, l’aînée dont la droiturese courbe et les certitudes se fissurent aufur et à mesure de la pièce, et Clémence,la benjamine, dont l’angélisme se délite àmesure que le doute sur ce qu’elle pensaitde Claire s’insinue en elle. Philippe Adrienmet en scène Agathe Alexis, Nicole Estrabeauet Anne de Broca dans cette parabolesur l’éternelle question du choix de mourirqui est, pour l’être humain, la marque mêmede sa liberté et de sa condition. C. RobertMeurtre par omission, de Jean-Pierre Klein ;mise en scène de Philippe Adrien.Du 12 novembre au 11 décembre 2008 à 20h30 ;samedi à 19h ; dimanche à 17h ; relâche le mardi.L’Atalante, 10, place Charles-Dullin, 75018 Paris.Réservations au 01 46 06 11 90.Une chambreà soiavecEdith ScobMise en scèneAnne-Marie <strong>La</strong>zariniTraduction Clara Malraux Editions DenoëlAdaptation Sylviane Bernard-GreshAnne-Marie <strong>La</strong>zarini met en scène Virginia Woolf pour laquatrième fois, signe d'un attachement indéfectible à sonécriture. Marie-José Sirach L’HumanitéEdith Scob révèle l’âme d’un auteur, d’une créatrice, d’unpoète. Indiciblement légère et cependant d’une présencepleine et entière. Didier Méreuze <strong>La</strong> CroixAnne-Marie <strong>La</strong>zarini tente d’approcher encore plus prèsl’âme de Virginia Woolf. Edith Scob est la comédienne idéalepour faire entendre cette voix. Etienne Sorin AtmosphèresDe la difficulté d’être créatrice au féminin. Le récit,conférence et confidence tout ensemble, drôle et savantsimultanément, est interprété par la filiforme etmystérieuse Edith Scob. Fabienne Pascaud TéléramaOn a envie d’être là, avec une petite lumière, dans cefabuleux décor d’une très grande bibliothèque et debouquiner sur le canapé Chesterfield. C’est très réussi.Evelyne Selles-Fischer Fréquence ProtestanteEdith Scob est une comédienne rare qui irradie sur scène. Ilfaut aller aux Athévains où elle se délecte de la prose pleined’humour et d’acuité de Virginia Woolf. MM DelightUn trio magique. Tout arrive ! France Culturejusqu’au 16 novembre 2008lundi 10 novembre à 18h30Rencontre autour de Virginia Woolfavec Anne Bragance, Nancy Huston et Michelle Portesous le regard amical de Fabienne PascaudArtistic Athévains0 1 4 3 5 6 3 8 3 2carmella-59x182h:Mise en page 1 13/10/0Ay Carmela !De José Sanchis SinisterraTexte français Angeles MuñozMise en scène Luis F. JiménezAvec Emmanuelle Marquis - Eric CharonPièce emblèmatique du combatperdu de la République Espagnole,avec humour et poésie.groupe zorongo3 - 4 - 5 - 6 Décembre 2008 20hCafé de la Danse5 passage Louis Philippe75011 Paris - BastilleRéservations 01 48 28 79 90festival@zorongo.comwww.zorongo.com

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