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critiques - La Terrasse

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62 / N°162 / NOVEMBRE 2008 / la terrasseclassiqueBenoîtDelbecq////// Piano solo //////////////////////////////////////////////////////////Le pianiste et compositeur françaisen solo.Dans un territoire rarement fréquenté, où composicaliforniennede Berkeley. Pour conclure le concert,place à une pièce mythique de la littérature pourpercussions : Ionisation d’Edgar Varèse. Ecrite en1929, cette partition a véritablement révolutionnél’histoire de la musique en révélant la richesse stupéfianted’un ensemble composé uniquement depercussions.A. PecqueurJeudi 27 novembre à 20h à l’Auditorium Marcel<strong>La</strong>ndowski du Conservatoire de Région de Paris.Tél. 01 47 06 17 76. Entrée libre. Avant-concertà 19h animé par Omer Corlaix.GrahamO’Reilly////// Chœur ////////////////////////////////////////////////////////////////Le chef, spécialiste du répertoirevocal baroque, dirige le Chœur deRadio-France dans un programmede musique portugaise et espagnole.A l’Eglise Sainte Clotilde, le chef d’origine australienneGraham O’Reilly va « baroquiser » le Chœur deRadio FranceA la tête de l’Ensemble européen William Byrd, lechef Graham O’Reilly défend avec conviction lerépertoire choral baroque. Son disque consacréà des œuvres sacrées de Joao Rodrigues Esteves(Editions Ambronay) nous avait fait découvrirl’écriture complexe et sensuelle de ce compositeurportugais. A l’Eglise Sainte Clotilde, il dirigele Chœur de Radio-France dans cette musiqueinjustement méconnue. Outre des partitions deEsteves, le programme nous fait découvrir desœuvres de Diogo Dias Melgas et de Juan Gutierrezde Padilla. Le continuo, riche et coloré, fait appel àSiobhan Armstrong (harpe baroque), Mélanie Flahaut(basson), Richard Myron (violone) et YannickVarlet (orgue positif).A. PecqueurVendredi 28 novembre à 20h30 à l’Eglise SainteClotilde. Tél. 01 44 18 62 64. Places : 10 €.Ensembleintercontemporain////// Voix et ensemble orchestral /////////////////////////////////David Robertson dirige son ancienneformation dans un programmeexigeant regroupant Luciano Berio,Wolfgang Rihm et une création deMiroslav Srnka.L’Ensemble intercontemporain retrouve David Robertsondans des oeuvres de Rihm, Srnka et Berio le28 novembre à la Cité de la musique.Pour ses retrouvailles avec l’Ensemble Intercontemporain,dont il fut le directeur musical de 1992© D. R.© Aymeric Warmé-JanvilleSpécial Bachgros plan Ton Koopman<strong>La</strong> Cité de la musique consacre un « Domaine privé » au chefhollandais, thuriféraire incontesté de l’œuvre de Bach.C’est une figure pionnière de la révolution baroquequi occupe, début novembre, l’affiche de plusieursconcerts parisiens dédiés à Bach. Il y a une quarantained’années, le claveciniste et organiste TonKoopman fondait un ensemble baroque à Amsterdam.<strong>La</strong> démarche était alors hasardeuse : ilfallait fouiller dans les greniers pour retrouver desinstruments anciens, et dans les bibliothèquespour dénicher des partitions d’époque. En 1979commença ensuite l’aventure officielle de l’OrchestreBaroque d’Amsterdam, au sein duquel sesuccéderont les plus grands baroqueux, comme lehautboïste Marcel Ponseele ou le bassoniste MarcVallon. A partir de 1994, cette formation se lancedans un véritable défi discographique : enregistrerl’intégralité des cantates de Bach. Aujourd’hui,Ton Koopman est toujours aussi actif, s’occupantde son propre label discographique (Antoine Marchand)et de sa carrière de chef invité. Ce mois-ci,il dirige d’ailleurs à Paris l’Orchestre philharmoniquede Radio France. Au programme : deux symphoniesessentielles de l’ère classique (la 97 e deHaydn et la 41 e de Mozart) et le célèbre ExultateJubilate mozartien (avec la toujours gracieuse SandrinePiau). On retrouve ensuite le chef hollandaisdans de nombreux concerts consacrés à Bach.Tout d’abord, à la tête de son Chœur Baroqued’Amsterdam, pour interpréter les motets a cappellajudicieusement associés aux Zigeunerliederde Brahms. Le lendemain, les chanteurs laisserontplace aux instrumentistes, qui donneront àentendre les concertos pour deux, trois et quatreclavecins de Bach (avec, outre Ton Koopman, TiniMathot, Patrizia Marisaldi et Pietro Paganini). ToujoursBach au menu du concert du 12 novembre,à 2000, David Robertson n’a pas choisi la facilité.Les trois œuvres qu’il dirige ont pour trait communl’exercice du chant et de la narration, mais abordéde manière contournée. Conçu pour son égérieCathy Berberian en 1972, Recital I de LucianoBerio (1925-2003) se situe à mi-chemin du théâtremusical et de l’« œuvre ouverte », où la cantatrice(ici la soprano Measha Brueggergosman) fait del’exploration de l’art lyrique (de Monteverdi à Donizettiet… Berio) une véritable aventure intérieure. Enpremière partie, David Robertson dirige le concertopour violon « Gesungene Zeit » (Temps chanté) deWolfgang Rihm (né en 1952) avec Jeanne-MarieConquer en soliste, puis une œuvre pour sopranoet ensemble commandée au jeune compositeurpraguois Miroslav Srnka (né en 1975). J.-G. LebrunVendredi 28 novembre à 20h à la Cité de la musique.Tél. 01 44 84 44 84. Places : 18 €.Joshua Bellet LeonardSlatkin////// Violon et orchestre symphonique /////////////////////////Le chef américain dirige l’Orchestrephilharmonique de Radio Francedans des répertoires variés,Purcell, Tchaïkovski et un concertode John Corigliano avec levioloniste Joshua Bell.Avant de prendre les commandes, début décembre,de l’Orchestre symphonique de Detroit, Leonard Slatkin,qui était depuis douze ans le directeur musicalde l’Orchestre symphonique national de Washington,rend son annuelle visite à l’Orchestre philharmoni-réunissant l’Offrande musicale et la Cantate duCafé. Mais surtout, le point d’orgue de cette résidenceparisienne de Ton Koopman, c’est à coupsûr l’exécution de la Messe en si à la Salle Pleyel,qui nous permettra d’apprécier la vision humanistede ce chef profondément sincère.Antoine PecqueurAvec l’Orchestre philharmonique de Radio France :le 7 novembre à 20h à la Cité de la Musique.Places : 25 à 30 €. Avec le Chœur Baroque d’Amsterdam: le 8 novembre à 20h à la Cité de la musique.Places : 25 à 30 €. Concertos de Bach :le 9 novembre à 16h30 à l’Amphithéâtre de la Cité dela musique. Places : 30 €. Offrande musicale : le12 novembre à 20h à la Cité de la musique.Tél. 01 44 84 44 84. Messe en si : le 14 novembreà 20h à la Salle Pleyel. Tél. 01 42 56 13 13.Places : 10 à 60 €.Leonard Slatkin dirige l’Orchestre philharmonique deRadio France dans Purcell, Corigliano et Tchaïkovski le28 novembre à la Salle Pleyel.que de Radio France. Le programme porte bien lagriffe de celui qui fut également chef des orchestressymphoniques de Saint-Louis (de 1979 à 1996) etde la BBC (de 2000 à 2004) : en ouverture, uneFantaisie pour consort de violes de Purcell (dans unarrangement pour cordes de Peter Warlock) puis unConcerto que le compositeur américain John Corigliano,souvent défendu par Leonard Slatkin, a tiréde sa musique pour le film Le Violon rouge (qui luivalut un Oscar en 2000) et offert au violoniste JoshuaBell. Le chef américain dirigera ensuite la Symphonie« pathétique » de Tchaïkovski, un autre de ses compositeursde prédilection.J.-G. LebrunVendredi 28 novembre à 20h à la Salle Pleyel.Tél. 01 56 40 15 16. Places : 10 à 60 €.pour recevoir la terrasse par internet, envoyez un mail à : la.terrasse@wanadoo.fr en objet : recevoir la terrasse© D. R.© Steve J. Shermantions et improvisations se font écho, où science dupiano acoustique (de préférence préparé) et art dusampling cohabitent à merveille, Benoît Delbecqn’a pas son pareil pour faire entendre sa petitemusique. Un monde musical bricolé et poétique,organique et insaisissable, ludique et dépouillé…Révélé au début des années 90, ex-membre ducollectif Hask, Delbecq est l’un des artistes parmiles plus créatifs et innovants de la scène française.Le maître d’un art singulier.J. LukasSamedi 29 novembre à 20h30 à l’Auditorium Rameaude la Maison de la Musique de Nanterre (92).Tél. 01 41 37 94 21.PhilippeHerreweghe////// Chœur et orchestre /////////////////////////////////////////////Le chef flamand s’attelle à<strong>La</strong> Création de Haydn, avec leCollegium vocale de Gand etl’Orchestre des Champs-Elysées.Le Théâtre des Champs-Elysées accueille le chefPhilippe Herreweghe pour une interprétation prometteusede <strong>La</strong> Création de Haydn.Il suffit d’entendre les premières mesures de <strong>La</strong>Création pour mesurer la puissance de la partitionde Haydn. Le compositeur y dépeint le « Chaos »avec un sens révolutionnaire de l’instrumentationet de l’harmonie. <strong>La</strong> suite de l’oratorio alterne airspour soliste, gracieux et lumineux, et chœurs éclatants.Autre séquence mémorable : la descriptioninstrumentale du bestiaire biblique. Le chef PhilippeHerreweghe a réuni sa fidèle équipe : le CollegiumVocale de Gand (réputé pour ses interprétations deBach) et l’Orchestre des Champs-Elysées, jouantsur instruments anciens. Les parties vocales solistesseront tenues par Christina <strong>La</strong>ndshammer,James Gilchrist et York Felix Speer. A. PecqueurSamedi 29 novembre à 20h au Théâtre des Champs-Elysées. Tél. 01 49 52 50 50. Places : 5 à 82 €.MarissJansons////// Orchestre symphonique ///////////////////////////////////////Avec son Orchestre de la RadioBavaroise, l’excellent chef lettondirige Mozart et Bruckner auThéâtre des Champs-Elysées.Les amoureux du répertoire symphonique retrouverontavec plaisir le chef Mariss Jansons au Théâtre desChamps-Elysées.Mariss Jansons aime toujours ouvrir ses concertsavec une symphonie de l’époque classique. Onl’avait ainsi récemment entendu diriger l’une desSymphonies « Londoniennes » de Haydn dans un© D. R.© Alvaro Yanez© A. Van Tao - M. Ribes - Virgin Classicsla terrasse / NOVembre 2008 / N°162 / 63classiquestyle élégant, bien que très éloigné de l’approchedes ensembles sur instruments anciens. A la têtede son Orchestre de la Radio Bavaroise (l’une desdeux formations, avec l’Orchestre du Concertgebouwd’Amsterdam, dont il est le chef principal),il donne ainsi au Théâtre des Champs-Elyséesla Symphonie n°36 « Linz » de Mozart – un bijoude mélodies gracieuses et de rythmes allègres. Ilconduit ensuite la Symphonie n°4 « Romantique »de Bruckner, l’une des œuvres les plus accessiblespour qui veut découvrir l’univers polyphoniqueintense mais complexe du compositeur autrichien.On pourra regretter que Mariss Jansons se cantonnetoujours aux mêmes partitions rabâchées durépertoire. Mais il n’est pas interdit de se réjouir àl’idée de voir l’un des chefs les plus inspirés à la têted’un outil tout simplement somptueux. A. PecqueurDimanche 30 novembre à 20h au Théâtre desChamps-Elysées. Tél. 01 49 52 50 50.Places : 5 à 85 €.Jean-ChristopheSpinosi////// Voix et ensemble orchestral /////////////////////////////////Entourés de l’Ensemble Matheusdirigé par Jean-Christophe Spinosi,Philippe Jaroussky et Marie-NicoleLemieux interprètent le StabatMater et le Nisi Dominus de Vivaldi.Jean-Christophe Spinosi et l’Ensemble Matheus sontau Théâtre des Champs-Elysées pour Cosi fan tutte deMozart du 12 au 22 novembre puis le 6 décembre pourun programme Vivaldi.Après une échappée lyrique et mozartienne à lafaveur d’une nouvelle production de Così fan tutte(voir brève), Jean-Christophe Spinosi et l’EnsembleMatheus reviennent, toujours au Théâtre desChamps-Élysées, mais cette fois sur la scène etnon plus dans la fosse, célébrer leur amour deVivaldi. C’est en effet au compositeur vénitien queles noms du chef et de l’ensemble sont le plusintimement associés depuis le succès rencontrésur scène, au concert et au disque par <strong>La</strong> Veritàin cimento, Orlando furioso et autre Griselda. Pointde théâtre ici, mais toujours, dans l’œuvre religieuse,cette verve vivaldienne que Jean-ChristopheSpinosi porte avec ferveur. Comme pourle récent enregistrement, chez Naïve, des mêmespartitions (le célèbre Stabat Mater et le psaumeNisi Dominus), les fidèles Philippe Jaroussky(contre-ténor) et Marie-Nicole Lemieux (contralto)sont de la partie.J.-G. LebrunSamedi 6 décembre à 20h au Théâtre des Champs-Élysées. Tél. 01 49 52 50 50. Places : 5 à 92 €.Brice Pauset////// Monodrame pour voix, piano et informatique /////////Accompagnée par MichaelWendeberg, Salomé Kammerinterprète les Exercices du silence,création de Brice Pauset (né en1965) dans le cadre du Festivald’automne.Fin connaisseur de la musique, des arts, plusgénéralement de la pensée du Grand Siècle,© Paolo Roversi / DGBrice Pauset a nourri sa nouvelle œuvre des lettresde Louise du Néant, mystique angevine ettémoin de la « crise de la conscience européenne »qui se fait jour à la fin du xvii e siècle. Confiés àune voix (celle de Salomé Kammer, très engagéedans le répertoire contemporain) et un piano (celuide Michael Wendeberg, ex-soliste de l’Ensembleintercontemporain), ces Exercices du silence poursuiventl’interrogation du monde et de l’âme quele compositeur a engagée dans son œuvre, souventportée aux confins du dicible et du silence.Comme dans nombre de ses œuvres précédentes,Brice Pauset s’appuie dans ce monodrameen quatorze scènes sur un environnement d’informatiquemusicale élaboré avec Olivier Pasquet,« assistant musical » à l’Ircam. J.-G. LebrunSamedi 6 décembre à 20h à l’amphithéâtrede l’Opéra Bastille. Tél. 08 92 89 90 90. Places : 14 €.OPéRAWelcometo the Voice////// Création /////////////////////////////////////////////////////////////Le chanteur Sting est à l’affichede l’opéra-rock de Steve Nieve,programmé au Théâtre du Châtelet.Sting au Théâtre du Châtelet : un événement à ne pasmanquer.Sous l’impulsion de son directeur Jean-Luc Choplin,le Théâtre du Châtelet poursuit sa programmationà la fois populaire et originale, délibérément« crossover ». Après le succès du ballet Edwardaux mains d’argent, place à Welcome to the Voice,un opéra de Steve Nieve, avec en guest star, Sting.Le chanteur de Police incarne un fils d’ouvrier quitombe sous le charme d’une chanteuse d’opéra.Mise en scène par Muriel Teodori, l’œuvre (égalementdisponible en CD chez Deutsche Grammophon)s’inscrit parfaitement dans le style duspectacle à l’anglo-saxonne, efficace mais passimpliste. <strong>La</strong> distribution réunit des stars du jazzet du rock (comme Elvis Costello) et des chanteursclassiques (comme Marie-Ange Todorovitch). Dansla fosse, l’Ensemble Orchestral de Paris est dirigépar Wolfgang Doerner, un chef connu pour sesconcerts avec l’Orchestre Pasdeloup. A. PecqueurLes 20, 21, 24, 25 novembre à 20h et le 23 novembreà 16h au Théâtre du Châtelet. Tél. 01 40 28 28 00.Places : 25 à 120 €.Cosìfan tutte////// Nouvelle production ////////////////////////////////////////////L’acteur Éric Génovèse met en scènel’opéra de Mozart, dirigé par Jean-Christophe Spinosi à la tête del’Ensemble Matheus.Parce que son talent est multiple, Jean-ChristopheSpinosi n’a aucunement l’intention de se laisserenfermer dans un répertoire. L’associe-t-onau renouveau de l’interprétation de Vivaldi ? Il luiconsacre au Théâtre des Champs-Élysées tout unprogramme (à ne pas manquer, le 6 décembre),précédé de six représentations de Così fan tutte.//// VOUS CHERCHEZ UN JOB éTUDIANT, éCRIVEZ-NOUS SUR la.terrasse@wanadoo.fr ////Qu’il dirige une rareté de Rossini (<strong>La</strong> Pietra del paragoneau Châtelet en 2006), un monument empoussiéréde l’opéra comique français (Véronique deMessager en janvier dernier) ou un chef-d’œuvrede Mozart, Jean-Christophe Spinosi s’en emparetoujours avec une fougue, une envie irrépressible.Pour cette nouvelle production de Così, il s’appuiesur une distribution familière avec notammentVeronica Cangemi en Fiordiligi et Luca Pisaronien Guglielmo. <strong>La</strong> mise en scène est confié à ÉricGénovèse, sociétaire de la Comédie-Française quiavait monté, l’an dernier, sa première productionlyrique avec Rigoletto à Bordeaux. J.-G. LebrunLes 12, 14, 18, 20 et 22 novembre à 19h30, le16 novembre à 17h au Théâtre des Champs-Élysées.Tél. 01 49 52 50 50. Places : 5 à 130 €.Le Voyageà Reimsde Rossini////// Nouvelle production ////////////////////////////////////////////L’Opéra de Massy inaugure saquinzième saison lyrique avec cetopéra éclatant et drôle de Rossini,marquant son dernier ouvrage dugenre en italien.Une délégation de personnalités européennesen partance pour assister au Sacre de Charles Xse trouvent bloquées et attendent leurs bagagesà l’auberge du Lys d’or… Un huis clos propiceà libérer le sens du délire et le regard amusé etdésabusé du compositeur sur une société « enconcentré ». L’ouvrage est pourtant avant tout unhymne au chant et à la fantaisie qui impose auxchanteurs virtuosité et adaptabilité. Cette largeco-production (qui associe de nombreuses maisonsd’opéras françaises : Avignon, Bordeaux,Toulouse, Vichy, Marseille, Montpellier, etc…)est initiée par le Centre Français de PromotionLyrique. Sa mise en scène est confiée à NicolaBerloffa et sa direction musicale à Luciano Acocella.Avec l’Ochestre National d’Île-de-France,le Choeur de l’Opéra Théâtre d’Avignon et desPays de Vaucluse et, en solistes, les jeunes voixde Hye Myung Kang , Kleopatra Nasiou, ElenaGorshunova, Oxana Shilova, James Elliott, JudPerry, etc…J. LukasVendredi 7 novembre à 20h et dimanche 9 à 16hà l’Opéra de Massy (91). Tél. 01 60 13 13 13.Places : 26 à 70 €.<strong>La</strong> Flûteenchantée////// Reprise //////////////////////////////////////////////////////////////Le chef d’œuvre mozartien est àl’affiche de l’Opéra Bastille dans lamise en scène de <strong>La</strong> Fura dels Baus.Le chef Thomas Hengelbrock va sans nul doute dépoussiérer<strong>La</strong> Flûte enchantée à l’Opéra Bastille.Amateurs des productions académiques de <strong>La</strong>Flûte enchantée, avec oiseleur, dragon et combatentre le bien et le mal, passez votre chemin. <strong>La</strong>mise en scène du collectif catalan <strong>La</strong> Fura delsBaus fait de l’opéra mozartien un ovni métaphysi-Tous vos spectacles préféréssont à la FnacRéservations FnacMagasins Fnac, 0 892 68 36 22(0,34TTC/mn)et© J. Tcharyiski

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