Compte-rendu de l'AG de 2004

Assemblée Générale 200424 et 25 janvierSegonzacCOMPTE-RENDUEEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 1

SOMMAIREpageOuverture .......................................................................................................... 2Rapport Moral ................................................................................................... 3Rapport d’activité .............................................................................................. 6Evaluation de la mise en œuvre du Programme d’Action ............................... 13Branche Aînée ................................................................................................ 20Intervention de Michel Chauliac, médecin nutritionniste................................. 22Propositions .................................................................................................... 25Election des administrateurs........................................................................... 25Finances ......................................................................................................... 26Compte de résultat 2002-2003........................................................................ 28Budget 2003-2004 .......................................................................................... 29Bilan ................................................................................................................ 30Annexe aux comptes....................................................................................... 31Résultats du questionnaire « mesure d’impact » ............................................ 35EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 2

OuvertureNombre de votant : 80Le quorum est atteintLe Bureau de l’AG, composé de Stéphane AUDIER (modérateur), Marion TROUVE et Marc DUBOS estélu à l’unanimité.Pour : 71Contre : 0Blanc : 0Adoption de l’ordre du jour :Le Conseil d’Administration a examiné les propositions présentées par les délégués. Conformément auxStatuts, il a décidé d’en présenter certaines au débat et au vote de l’AG, et d’en rejeter d’autres.Propositions présentées à l’AG par le Conseil d’Administration :Prononciation du sigle EEUdF (proposée par Aquitaine)Remontée des comptabilités directement au SN (proposée par Rhône-Alpes Auvergne)Propositions que le CA a décidé de ne pas présenter à l’AG :Territorialité (proposée par Aquitaine)Rattachement du Gers et des Hautes-Pyrénées à la Région Midi-Pyrénées.Le CA a décidé de mettre cette proposition à l’ordre du jour de sa séance de mars, les Statuts précisant quele découpage territorial relève de la responsabilité du CA.Clarification de notre identité protestante (proposée par Yvelines)Le CA a décidé de mettre cette question à l’ordre du jour de sa séance de MarsRevues : des contenus plus pratiques (proposée par Yvelines)Pour mémoire, la réalisation des revues est confiée aux comité de rédaction et à l’Equipe Nationale, sous laresponsabilité des commissions de branche.Le Conseil d’Administration pourrait être consulté sur la ligne éditoriale des revues.Demande d’information sur l’état des autres associations de scoutisme(proposée par Yvelines)Le CA prend bonne note de cette demande d’Yvelines, qui pourra être prise en compte pour la préparationde la prochaine Assemblée Générale.Adoption de l’ordre du jour intégrant la discussion sur les propositions retenuesPour : 71Contre : 2Blanc : 1AdoptéEEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 3

Rapport moral du PrésidentMes chers amis,Comme chaque année, j’ai le privilège de pouvoir vous faire part de ma vision du Mouvement, de vous fairepartager mes inquiétudes et mes espérances. J’ai aussi la responsabilité d’expliciter le chemin sur lequel leMouvement avance.Avec le vote du RO 2001-2004, nous avons engagé le mouvement dans un projet que je résumerais ainsi :enrayer la chute catastrophique des effectifs par l’affirmation de notre projet éducatif et social, parl’amélioration de nos activités, par l’évolution de notre fonctionnement et de notre organisation. Derrière ceprojet déjà conséquent mais nécessaire, s’en dessine un autre, autrement plus ambitieux : rebondir, sedévelopper, ancrer le Mouvement dans une perspective à long terme. Dans ce projet, le présent n’est pluscentral, c’est l’avenir qui est avant tout présent. Nos actes, nos choix, les actions menées doivent en êtreporteur, s’inscrire dans la durée, viser à la pérennité du Mouvement et à la nécessaire longévité de sonaction éducative.L’année 2003 fut en cela intéressante. Année charnière dans la vie du Rapport d’Orientation, entre 2002,année de l’allant et de l’impulsion et l’année 2004 déjà sous le signe du bilan, 2003 aurait pu être une simpleannée de transition, sans enjeux majeurs. Pourtant, nombreuses furent les interpellations et les occasionsde débats, intéressant l’avenir du Mouvement.Avant tout, la stabilisation de nos effectifs pour la deuxième année consécutive a été une sourced’encouragement à la poursuite de nos efforts. Mais la légère augmentation de 1,5 % constatée au 31 août2003 n’est pas encore significative. Elle n’est peut-être due qu’au changement du système de cotisations etdemande à être confirmée.Cette année, nous avons mis en place quelques-unes des simplifications administratives inscrites auProgramme d’actions : la modification du circuit des cotisations, la proposition de cahier de comptabilitésimplifié pour les camps. Nous espérons qu’elles permettront d’alléger le travail des régions et des unités.Mais, concernant la pérennité du Mouvement, deux dossiers ont particulièrement marqué notre travail ces12 derniers mois, dossiers emblématiques d’enjeux futurs.En premier lieu, il s’agit du renouvellement de l’équipe nationale et, par-delà le travail de recrutement, de sacomposition et de l’avenir des postes de travail, nationaux et régionaux, pourvus grâce aux conventionsemplois-jeunes. Demain, si l’équipe nationale se contracte, si les permanents régionaux disparaissent,comment le Mouvement va-t-il fonctionner ? Comment va-t-il s’organiser ? Une réflexion est ainsi à menerau regard de l’évolution de nos effectifs, de nos futures ressources humaines, de l’évolution de nospratiques. Nous avons déjà et de longue date commencé à y répondre en portant nos efforts sur lastructuration des groupes locaux autour d’un Conseiller de groupe. Mais de nombreux sujets sont encore àaborder, tant du point de vue de la répartition des missions entre les échelons local, régional et national quedu point de vue de l’organisation administrative du Mouvement.L’autre gros sujet a été bien sûr l’évolution de la réglementation de Jeunesse et Sports sur les centres devacances et de loisirs.La déclaration d’année, les taux et qualification pour l’encadrement, les conséquences que cela entraînepour les locaux des unités ou la formation des responsables sont importantes. Pour autant, ces nouveautésréglementaires, même si elles présentent des difficultés, peuvent nous permettre de structurer nos groupes,d’anticiper d’une année sur l’autre et nous incitent à mettre nos locaux en conformité.Outre les conséquences pratiques de ces modifications réglementaires, c’est la qualification « centre deloisirs » qui peut nous paraître réductrice, en effet l’ambition de notre projet éducatif place notre action audelàdu loisir.Se placer dans le champ de l’éducatif nous projette vers l’avenir, celui des enfants qui font un bout dechemin avec nous, jusqu’à devenir adultes. Les enfants qui viennent partager notre aventure dès l’âge de 8ans sont invités à rester jusqu’à 19 ans parmi nous. C’est donc bien un programme de plus de 10 annéesque nous leur proposons. Et ce programme est cohérent, progressif d’une année à l’autre, d’une branche àl’autre et bénéficie d’un travail d’amélioration comme actuellement la refonte de la pédagogie aînée.Ainsi, notre action au sein des Éclaireuses et Éclaireurs Unionistes de France doit s’inscrire dans la durée.Ce qui ne veut pas dire qu’il faut rester responsable pendant 15 ans, mais que l’action de chacun d’entrenous prends sa place dans la continuité du projet éducatif et dans l’histoire du Mouvement.EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 4

En effet, c’est grâce à l’engagement des générations de cadres et de responsables qui nous ont précédésque l’action éducative du Mouvement se poursuit. A nous aujourd’hui de construire le Mouvement dedemain, de permettre à l’aventure de se poursuivre.C’est l’objectif principal de la démarche d’amélioration de la qualité, une des 3 orientations de l’actuelRapport d’orientations.Ainsi, depuis deux rentrées maintenant, les équipes de responsables sont invitées à évaluer leur pratiquepour améliorer d’année en année la qualité des activités proposées aux enfants et adolescents. Cetteautoévaluation leur permet de se situer par rapport à la proposition pédagogique unioniste. Bien sûr, leRéférentiel des bonnes pratiques unionistes place la barre assez haut, le scoutisme est une méthodeéducative ambitieuse, donc exigeante.Je sais que ce référentiel a pu choquer certains, bousculer des habitudes et des certitudes.On a pu ainsi me reprocher, au regard de certains items du Référentiel, d’ignorer la réalité du terrain, d’êtrequelqu’un d’en haut, voire même, tout Bordelais que je suis, d’être Parisien, un comble !Moi, je revendique le besoin d’être bousculé et le devoir de le faire. Oui, mon exigence, notre exigence, estgrande. Elle n’ignore pas le travail accompli par chacun, les efforts et les sacrifices fournis, les difficultésrencontrées. Mais elle est nourrie par la conviction que nous devons aller de l’avant, progresser. Telle est lanature de mon engagement, de ma volonté pour le Mouvement. Nous ne pouvons nous contenter de faireassez, juste assez. Nous devons aller plus loin et avec plus de vigueur et d’ambition ; d’abord par nécessité,pour la survie même du Mouvement ; ensuite par conviction, portés par la légitime ambition d’étendre notreaction et de la rendre plus efficace.Je sais que faire plus est souvent difficile, mais faire mieux, toujours mieux, est à notre portée, pour peu quela volonté soit présente.Le projet est là, la méthode a fait ses preuves et la nécessité est toujours grande. Je ne sous-estime pasl’ampleur de la tâche. Ne sous-estimez pas votre capacité à l’accomplir.Bonne Assemblée Générale. Bon travail.David HoneggerPrésidentEEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 5

Rapport d’activité 2002/20031 er septembre 2002 31 août 2003Des notes en italiques vous sont proposées sur les actions réalisées durant le dernier trimestre de l’année2003, hors exercice budgétaire mais permettant d’actualiser le rapport d’activité.Effectifs au 31/08/2003Nombre de Régions : 14Nombre de Groupes Locaux : 138CadresTotal BC BM BAU CGL et autres EREnfants 3 826 1 859 1 625 342Responsables 1 175 419 361 46 178 171Total 5 001 2 278 1 986 388 178 171Nb. d'unités 287 108 110 69Pour mémoire, effectifs au 31/08/2002 = 4 932Des permanents au service du MouvementLes salariés du Secrétariat National au cours de l’année 2002-2003 :Hervé RoullandChantale DejoieMichaël SchloesingNicolas ChapelleGeoffroy Perrin-WillmSidonie HenocqAurélie DebaugeJulien Deloozsecrétaire généralsecrétaire comptableresponsable formationanimateur formation et chargé des cotisationsresponsable du programmeanimatrice programmeresponsable de la communicationmaquettisteLe 31 août 2003, Michaël Schloesing, Sidonie Henocq et Nicolas Chapelle ont quitté l’équipe pour partir versd’autres horizons professionnels. Merci à eux pour leur engagement.D’autres changements ont eu lieu depuis le 31 août :Début octobre, Hervé Roulland a quitté le SN, puis l’équipe s’est reconstituée avec :Aude Millet, responsable formationAdrien Fouchier, animateur formationRémi Goguel, secrétaire généralRomain Détrie, animateur programme et internationalConcernant les permanents régionaux :Claire Marion est toujours en poste en Provence (depuis le 1/09/00)Antoine Bay est en poste en Bas-Languedoc (depuis le 15/10/01)Laëtitia Foex a été embauchée en Phare-Ouest en septembre 2002.Après la démission de Caroline Chambaud au terme d’une année passée en Rhône-Alpes, Olivier Risson apris sa succession début janvier 2003. Son contrat d’une durée de 11 mois s’est terminé en décembre 2003.Aurélia Mougenot a été embauchée en Alsace-Lorraine en septembre 2002. Elle a démissionné le 31 août2003.En octobre 2003, embauche de Céline Fenninger, extérieure à l’association, en Alsace-Lorraine.Au 1 er janvier 2004, Claire Marion est en congé maternité. Laëtitia Foex le sera à son tour mi-janvieret sera remplacée par Julie Bovet en Phare-Ouest pour la durée de son congé.EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 6

Les activités du Secrétariat NationalAdministrationDe nombreuses tâches pour l’équipe nationale, notamment : les pochettes de rentrée, la gestion descotisations, le suivi des comptes bancaires, la déclaration des camps, les assurances, le traitement desdéclarations d’accident, des bons et chèques vacances, le suivi de la gestion de la Boutique Unioniste enlien avec Promo-Scout,…Editions et publicationsAu cours de cette année, le SN et les comités de rédaction des revues ont fait paraître 3 Kotick, 3 Bivouac, 4Catalyse et 3 Lien.(soit 1 Bivouac et 1 Lien de moins que l’année précédente, et 2 Catalyse de plus)A signaler aussi la parution des documents suivants :- outils pour l’action exemplaire sur le tri sélectif des déchets- calendrier- cartes de voeux- catalogue boutique- Lien administratifAinsi que de nombreux documents pédagogiques et administratifs maquettés et photocopiés au SN :plaquettes formation et Punch, livret démarche qualité, livret visite de camp, campagnes de dons,…ImmobilierLa mise en œuvre de la réglementation jeunesse sur la protection des mineurs (décret de mai 2002)entraîne un contrôle systématique par le Mouvement des locaux dans lesquels il accueille les enfants et lesadolescents. Le lancement d’une enquête auprès des Groupes Locaux en septembre 2003 permettra aumouvement de faire un état des lieux des locaux utilisés, en vue d’élaborer une convention-type visant àclarifier et répartir les responsabilités et les financements de travaux entre le propriétaire (souvent l’Eglise) etles unités utilisatrices.Le dossier des locaux du SN n’a pas avancé au cours de l’année.Au dernier trimestre 2003, les contacts ont été réactivés avec l’ERF (propriétaire) et la Mairie deClichy. Plusieurs réunions ont eu lieu en vue d’arrêter un projet pour le bâtiment au premier semestre2004.D’autre part, des travaux de rénovation intérieure ont été effectués au RdC du bâtiment, notammentdans la grande salle.Boutique UnionisteLa Boutique Unioniste, gérée par la coopérative des Scouts de France (Promo-Scout), a réalisé un chiffred’affaire de 64 000 €, ne suffisant pas à couvrir ses charges et donc à assurer son autonomie financière.Le fonctionnement de la Boutique présente de nombreuses difficultés techniques, liées notamment à descontraintes fiscales fortes.Sur proposition des EEUdF, le Scoutisme Français a décidé en décembre 2003 de financer une étudede faisabilité technique dans le but de constituer une boutique commune à toutes les associations duSF, plus simple à gérer et plus rentable que l’actuelle Boutique Unioniste. Cette mission sera confiéeà un cabinet conseil courant janvier 2004.Site internetL’Equipe Nationale participe à l’actualisation du site internet des EEUdF qui est devenu un centre deressources important pour les responsables qui y trouvent de nombreux outils nécessaires à la vie de leurunité.Une lettre d’information mensuelle est envoyée par email à tous les responsables et cadres qui en font lademande sur le site.Au cours de l’année 2003-2004, un nouveau site sera construit et proposera de nombreusesfonctionnalités supplémentaires. Ce projet est mené bénévolement par le coordo d’Yvelines, EricPerrodon, en lien avec l’EN. Toutes les Régions et instances du Mouvement seront consultées aucours de la phase d’élaboration.Campagnes de donsTrois campagnes de dons par courrier ont été menées au cours de l’exercice, auprès des 4500 donateursque compte le Mouvement.Le produit de ces campagnes représente 95 K€ brut soit 85 K€ de bénéfice net après déduction des frais demailing. Soit 13 % de progression par rapport à l’exercice précédent.EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 7

Représentations extérieuresLes EEUdF sont représentés dans de nombreuses instances, soit au titre de leur origine protestante, soit autitre de leur habilitation « Jeunesse et éducation populaire » (dont le renouvellement est d’ailleurs en cours).Hervé était délégué suppléant au Conseil National de l’Education Populaire et de la Jeunesse (CNEPJ),instance consultative du Ministère de la Jeunesse.Michaël a rencontré deux fois des techniciens du Ministère de la Jeunesse pour négocier les évolutionsréglementaires (exploration, ski, voile, hygiène alimentaire en camp…).Les EEUdF sont également présents au CNAJEP (Comité National des Associations de Jeunesse etd’Education Populaire). Le siège national et les régions ont participé activement à la création du site « Envied’agir » du Ministère de l’Education et de la Jeunesse.Hervé était également membre du Département Jeunesse de la Fédération Protestante de France. L’équipenationale a participé au Forum de la vie associative de la FPF.Des rencontres ont eu lieu avec le Bureau et les coordinations nationales de l’Eglise Réformée de France.,ainsi qu’avec les Unions Chrétiennes de Jeunes Gens (UCJG).Les EEUdF ont adhéré à l’association « Religions en concert ».Aurélie a représenté le Mouvement au Syndicat de la Presse des Jeunes. A ce titre elle a collaboré à lapréparation du Salon du livre et de la presse magazine des jeunes de Montreuil.Elle a également participé à l’Assemblée Générale du Syndicat Professionnel de la Presse Magazine etd’Opinion (SPPMO).Scoutisme FrançaisHervé et Geoffroy ont siégés au Conseil National du Scoutisme Français, Hervé occupant la fonction device-président chargé des Collèges. Cette fonction est reprise par Rémi Goguel depuis novembre 2003.Michaël et Nicolas ont apporté leur contribution aux travaux de la commission formation du SF en prenanten charge la rédaction du livret intendance, et en participant à l’interprétation de la réglementation, à ladéfinition des titres du SF et en faisant vivre différents projets de partenariats (4° degré BAFD, 2° degrécampisme).Aurélie a participé à la création de la commission communication du SF dont elle a pris la présidence. Lacommission a notamment organisé la présence des associations du SF au Salon de l’Education à Paris etréalisé un dossier de presse et de communication sur Roverway.FormationEvolution du nombre de stagiaires entre 2002 et 2003 :Type de stageNbre stagiaires 2002/2003Dont non-validésNbre de stagiaires 2001/2002EvolutionBAFA base 265 5 155 71%BAFA perf 131 2 109 20%Licence de camp 35 2 45 -22%BAFD Base 18 6 0BAFD perf 4 0 0EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 8

Ce tableau montre une augmentation sensible du nombre de stagiaires formés, notamment en base BAFA.Il s’agit de l’ensemble des stagiaires formés en 2002/2003, incluant les stagiaires extérieurs au Mouvement,nombreux sur certains stages mais dont le nombre exact n’a pas été calculé. Par exemple sur les stagesavec la Fédération des Centres Sociaux de Paris, sur un effectif total de 80 stagiaires, seulement 24 sontresponsables dans le Mouvement.La cité de Noël a notamment battu des records d’effectifs, toujours en autogestion.Les stages campés sont au nombre de 5 sessions 1er degré, 2 perf BAFA et 1 perf BAFD.A noter l’organisation de stages en partenariat : 3 sessions de base BAFA, 2 perf BAFA, 1 Perf BAFD, 1formation de formateur, montés avec la Fédération des Centres sociaux de Paris, la BETA PI, Les Guidesde France, La Fédération du scoutisme Français.Il est très difficile de prévoir les besoins, très fluctuants selon les années. Pour exemple, cela faisait 3 ansque les qualifs "voile" étaient annulées. c'est la première fois qu'un perf AFPS est supprimé en février.Les nouveaux référentiels EEUdF de la formation (base et perf) sont mis en oeuvre par les régions et dansles stages nationaux. Mais le cahier des charges est lourd pour les équipes de formateurs et pour les grillesde stage.Sur la Cité de formation de Noël, des difficultés ont vu le jour entre des équipes de formateurs ayant desavis et des approches assez différentes. Est apparue la nécessité de mettre en place une coordination deCité ayant autorité sur les équipes de formateurs et pouvant si besoin tenir un rôle de médiateur ou d’arbitre.Sur la Cité de Noël 2003, le présidente de la COFO a elle-même rempli cette fonction.PUNCH : 98 participants (68 l’année précédente) répartis par niveau sur deux cursus (formateurs, équipiersrégionaux). La commission formation a développé l’aspect convivial du projet.Un questionnement a été relancé cette année sur la participation financière que le Mouvement demande àses bénévoles, formateurs sur les stages et responsables sur les camps. De nombreux responsables etformateurs ne peuvent ou ne veulent pas payer de participation, considérant que le fait d’être nourrit lorsd’une activité est une contrepartie très raisonnable au temps et à l’énergie qu’ils apportent au Mouvement.CampsEn lien avec les équipes régionales, le secteur formation du SN a suivi l’organisation des camps etsupervisé la mise en œuvre des visites.Camps 2003Nb camps Enfants RespBC 49 1 400 335BM 48 1 406 295BA 21 131 28TOTAL 118 2 937 6583 camps marins en BM (Bordeaux, Robinson, Passy)1 camp BC (Mousses Bordeaux)Evolution par rapport aux camps 2002 :6 camps organisés en moins (dont 5 en branche aînée)61 enfants en moins38 responsables en moinsLes visites de camps et les validations des chefs de camp stagiaires ont donné de bons résultats en 2003.Facteur facilitant : les camps ont jouit cette année d’un mois de juillet ensoleillé alors que l’été précédentavait été très pluvieux.EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 9

Les instances nationalesCommissions pédagogiquesLes commissions pédagogiques écrivent des articles dans chaque revue du Mouvement (Le Lien, Kotick,Bivouac et Catalyse). Elles ont toutes trois contribué à l’évaluation et à l’enrichissement du Référentiel desbonnes pratiques. Elles ont participé comme chaque année à l’organisation de PUNCH.Commission branche cadettePrésident : Adrien ChabocheCOBCLe groupe s’est constitué autour de son président (4 membres). La commission s’est donné comme pistesde travail :- la reprise de contact avec les équipiers régionaux- l’approfondissement de thèmes pédagogiques, comme la mise en œuvre du projet d’activité, laparticipation des enfants…- l’enrichissement du matériel pédagogique existant (concours tableaux de Pistes, jeu hygiène alimentaire…)- la réédition des dossiers pédagogiques.Commission branche moyennePrésident : Jérôme KasparianCOBMLe recrutement de nouveaux membres est resté au point mort. L’essentiel du travail de la commission s’estporté sur la réédition des outils pédagogiques, entreprise lourde et technique qui ne représente peut-êtrepas l’argument le plus attractif pour attirer de nouveaux membres dans la commission. Ce travail deréédition s’accompagne d’une démarche de « service après-vente » auprès des cadres du Mouvement, pourexpliciter les points d’évolution (formation de formateurs, rencontres d’équipiers régionaux).Commission branche aînéePrésidente : Marion Veziant-RollandCOBRACe groupe de travail s’est fréquemment réuni pour faire avancer le dossier de le rénovation du programmebranche aînée. En lien étroit avec le Mouvement (CA, AG, régions…), la commission branche aînée aélaboré la trame d’une nouvelle proposition pédagogique, tirant profit des éléments d’analyse apportés parl’état des lieux de la branche, mais aussi par des apports extérieurs (enquête auprès d’autres mouvementsscouts, rencontre d’une psychologue…).La commission branche aînée a pris en charge la formation des répondants (2 week-ends).Comité marinPrésident : Marc DubosCOMALe Comité Marin a mis en place le « diplôme de patron d’embarcation » avec la Commission Marine du SF,diplôme validé par les autorités de tutelle.Organisation d’un BAFA qualification voile à Pâques avec 22 stagiaires.Lancement d’une réflexion sur le matériel, notamment sur son entretien qui pose de sérieuses difficultés.Commission à l’internationalPrésident : Antoine RollandCOMINTERNLa commission s’est attachée à l’essentiel de sa tâche, à savoir le suivi des projets internationaux.Elle a organisé deux sessions de formation à la solidarité internationale (WE FOSOLI).Côté événements internationaux, le Mouvement a accueilli en décembre-janvier la phase « retour » du projetAINGA (partenariat avec Madagascar). Les EEUdF se sont également investis dans le projet Roverway2003 (rassemblement européen au Portugal pour les Aînés) avec une bonne représentation dans ladélégation du Scoutisme Français, y compris au sein du staff d’organisation.La Commission a assuré la représentation du Mouvement à la « Conference on Christianity in Guiding andScouting » (CCGS)EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 10

Commission vie spirituellePrésident : Jacques-Hervé LouysCOVISPILa commission Vie Spi ne s’est pas réunie au cours de cette année. Pour autant, la réflexion sur lesorientations du Mouvement s’est poursuivie, ainsi que la préparation d’outils efficaces et l’élaboration d’uneméthodologie adaptée. On notera en terme de production :- l’élaboration d’un Vade mecum pour des rencontres ERF-EEUdF- le reformatage du kit de formation à la vie spi- la participation à l’écriture d’articles pour les revues du Mouvement.Commission formationPrésidente : Manon LortalCOFOLe 12 janvier 2003, Clémence Lortal est née pendant un WE de commission, obligeant la présidente àquitter précipitamment la réunion ! L’événement méritait d’être souligné.La COFO a poursuivi son tour des Régions en organisant chacune de ses réunion dans une Régiondifférente : Aquitaine, Provence, Paris et Nord. Au programme : rencontre de l’équipe régionale, point sur laformation dans la Région, présentation des outils, suivi de l’harmonisation des référentiels de stage.Les membres de la commission formation se sont réparti les dossiers courants : jury licence de camp,commission d’appel, afin de consacrer le plus de temps possible à la partie pédagogique de leur cahier descharges.Avec Michaël et Nicolas, la commission a supervisé l’organisation de l’ensemble des stages de formation etdu week-end de formation des formateurs et cadres régionaux, PUNCH.La commission formation (en lien avec la COFO du SF) a contribué à la rédaction d’une instruction surl’hygiène alimentaire et a mis en œuvre la nouvelle habilitation nationale BAFA/BAFD.Les pages réglementaires du Lien Administratif ont été complètement réécrites sous une forme pluspédagogique (question-réponses).Commission cadres et réseau d’adultesPrésident : Hubert NicolasCOCARESALes membres de la commission se sont réunis 6 fois au cours de l'année.Les faits les plus marquants de son travail sont les suivants :Les cahiers pédagogiques adultes sont devenus l'outil de base de tous les adultes qui interviennent enappui aux responsables pédagogiques de branche. Pour les compléter, certains outils ont été élaborés, quipourraient maintenant faire l'objet d'un rajout de fiches.Production d’outils à l'usage des Equipes Régionales, des ERA, des CGL et Cadres locaux :– Référentiel de bonnes pratiques du Groupe local– Cahier des charges de l'ERA– Echéancier du parfait CGL– Comment recruter des CGL ou Cadres locaux– Parcours d'intégration des cadres locaux– Temps d'animation à l'usage des "parents-délégués" aux AREGIs– Temps d'animation pour les CGL et Cadres locaux aux AREGIs– L’Assemblée Locale : à quoi ça sert et comment l'organiser ?Le week-end réservé aux ERA ou aux faisant fonction en mai a été particulièrement réussi et a permis deconsolider le réseau de la COCARESA avec ses représentants en Région.La commission a animé les temps de formation dédiés aux adultes à PUNCH avec les ERA et quelquesCoordos.Une rencontre de travail avec le Bureau portant sur "La politique Adultes du Mouvement" a été trèsbénéfique à la fois pour les membres de la COCARESA et pour le Bureau.Un souci persiste tout de même pour la mise en oeuvre de la Politique Adultes : 7 Régions n'ont pas encoreréussi à recruter et à mettre en place un ERA au sein de l'Equipe Régionale.Un point faible : Les départs d'Isabelle Prin et de Christian Jean dit Gauthier ont porté un coup dur à l'effectifde gens engagés au sein de cette commission.La présence de la COCARESA a été significative aux AREGIS de la rentrée 2003-2004 : presque toutes lesAREGIs ont été couvertes.EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 11

Commission financesPrésident : Olivier RepesséCOFIComme tous les ans, la commission finances avait en charge le suivi du budget national ainsi que le suivi dela trésorerie et des placements financiers.La commission s’est également investie dans la formation des trésoriers régionaux, la simplification desoutils de comptabilité pour les unités et le suivi des comptes Crédit Lyonnais.La commission a fait adopter par le Conseil d’Administration, le principe des Trésoriers de Groupe Locaux,responsable de la compta à l’échelon local.La commission s’est attachée à mettre en œuvre de nouveaux outils informatiques. Toutes les entités dumouvement sont maintenant invitées à tenir leur comptabilité sur un logiciel de compta personnelle, Money,sur lequel a été développé un fichier spécifique adapté à nos activités.Pour les comptas de camps et stage, la COFI a élaboré un outil très simple d’utilisation permettantsimplement de collecter les factures et d’assurer le suivi budgétaire. Le principe consiste à proposer auxresponsables de faire la compta sur Money au retour du camp en évitant ainsi de perdre du temps pendantle camp.La commission s’est à nouveau heurtée à de grosses difficultés pour consolider les comptes del’association. Toutefois, la clôture effectuée sur un fichier informatique type et renvoyée au SN par email, apermis d’améliorer sensiblement la collecte des comptas de l’exercice 2002-2003.La commission éprouve des difficultés à recruter de nouveaux membres, dont la venue est pourtantnécessaire.Week-end de l’exécutifComme chaque année, le bureau, les coordonnateurs et les permanents se sont réunis le premier WE deseptembre pour faire le bilan des camps d’été et préparer ensemble la reprise des activités d’année.Conseil d’administrationEn plus des tâches institutionnelles (validation des ER, suivi des commissions, bilan des stages et descamps, etc.), le Conseil d’Administration s’est principalement concentré sur l’élaboration et la mise en œuvredu programme d’action national.Quelques dossiers traités lors des 4 week-end de CA (octobre, décembre, mars, mai) :– refonte de la pédagogie BAU– décision de créer et structurer la fonction de Trésorier de Groupe Local (TGL)– élaboration de l’action exemplaire 2004 sur le tri sélectif– réflexion sur les procédures de vote et décision visant à mieux tenir compte des votes blancs– réflexion sur l’obligation faite aux responsables par le législateur, de fournir un extrait de casierjudiciaire– mise en place d’une démarche de travail partenariale avec les Eglises, visant à clarifier la répartitiondes charges et responsabilités et à engager un programme de mise aux normes des locaux d’unité.Le Bureau élu lors de l’AG 2003 est constitué de :David Honegger : présidentJean-François Uski-Billieux : vice-présidentDidier Rigoulot : trésorierBenoît Lavallart : secrétaireMarc DubosAssemblée GénéraleComme chaque année, l’Equipe Nationale a pris une part active à la préparation et au déroulement del’Assemblée Générale, organisée à Crolles par la Région Rhônes-Alpes Auvergne.L’AG donne son quitus sur le rapport d’activité de l’échelon national, présenté par le secrétairegénéral.Pour : 78Contre : 0Blanc : 0AdoptéEEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 12

Evaluation de la mise en œuvre duProgramme d’action national 2001-2004CE QUE DIT LE REGLEMENT INTERIEUR« Chaque année, l’Assemblée Générale examine l’évaluation de la mise en œuvre du Programmed’Action National, préparé par le Conseil d’Administration et les Commissions Nationales »DEROULEMENT DU TEMPS – SAMEDI 24 JANVIER• Présentation de l’état de mise en œuvre du Programme d’Action National ;• Petit questionnaire sur l’impact des actions menées ;• Présentation des actions définies par le Conseil d’Administration comme prioritaires pour 2004.DES QUESTIONS ONT ETE NOTAMMENT POSEES SUR…• La lettre pour les parents incitant à s’engager localement : elle n’a pas marqué les esprits.• La remontée des cotisations : le nouveau système a l’air de bien fonctionner cette année encore.• Les cotisations et le retour des informations au niveau local : ne pas hésiter à solliciter le SecrétariatNational pour recevoir un état des cotisations.• La clarté des libellés de prélèvements sur les relevés bancaires : le SN travaille là-dessus avec leCrédit Lyonnais.• La sécurité et la qualité dans les camps : des outils ont été édités par le Scoutisme Français (explo,hygiène alimentaire)• Evaluation des visites de camp : il s’agit de peaufiner une évaluation des pratiques de camp à partir deslivrets de visites et de voir après les actions à mener.• Jeu sur le Projet Educatif : un jeu aurait déjà été travaillé pour des stages de formation. A rechercher.• Site Internet : souhait qu’apparaissent des menus dans la base de données. Serait notamment utilepour l’action exemplaire 2004.• Visites des unités : difficultés à avoir de l’information de la part des régions. Création d’un petit groupede travail mais cela n’avance pas trop non plus.LEGENDE DU TABLEAU CI-APRESPas faitC’est fait maissi peuCa se poursuitC’est faitAction définiepar le Conseild’Administration commeune priorité pour 2004Le nom en gras qui apparaît après chaque action est celui du meneur de l’action.EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 13

Evaluation du Programme d'action national 2001-20041. Le Mouvement réaffirme avec force le sens de son action : œuvrer à la construction d’une société démocratique, fraternelle, et soucieuse de sonenvironnement, en contribuant à la formation d’enfants et de jeunes épanouis, porteurs de valeurs et engagés.1.1 NOUS MOBILISONS L’ENSEMBLE DE NOS MEMBRES AUTOUR DE CETTE AMBITION.Actions votées à l’AG 2002 Déclinaisons décidées par le CA Evaluation1.1.1 Nous renforçons le sentiment d’appartenance auMouvement par :• une demande formalisée d’adhésion pour lesresponsables et les cadres ;• l’envoi, dans les 15 jours qui suivent une adhésion,d’une carte accompagnée d’un mot de bienvenuepersonnalisé pour tous les membres du Mouvement ;• l’envoi d’un message d’encouragement et de motivationen début d’année aux responsables et cadres.Action votée à l’AG 2003L’assemblée générale 2003 des EEUdF réunie à Crollesdemande à ce qu’un message d’accueil soit envoyé auxparents des « membres enfants » au moment de leuradhésion, les invitant à s’investir au niveau local.1.1.2 Nous mettons en avant la finalité de notre ProjetEducatif à travers des actions de formation, des débats, desdossiers de réflexion dans nos revues.Demande formalisée d’adhésion pour les responsables et lescadres. (Hervé ROULLAND)Envoi, dans les 15 jours qui suivent une adhésion, d’une carteaccompagnée d’un mot de bienvenue personnalisé pour tousles membres du Mouvement. J.-F. USKI-BILLIEUXEnvoi d’un message d’encouragement et de motivation endébut d’année aux responsables et cadresJean-François USKI-BILLIEUXCréation d'une séquence d'information, de formation et dedébats à propos du Projet EducatifPersonneCréation d'un jeu d'appropriation du Projet EducatifJean CUNYMise en place des nouveaux bordereaux à la rentrée 2002Oct. 2002 : Les premières cartes de membres et lettres sont partiesdans les délais annoncés.OK pour les rentrées 2001 et 2002AREGIS rentrée 2002 :NON en Bas-Languedoc, Rhône-Alpes, Phare-Ouest, Val-de-Seine,Midi-Pyrénées,OUI en Alsace-Lorraine, Nord, Aquitaine, ParisAREGI rentrée 2003 :NON en Rhône-Alpes, Val-de-Seine, IDFSEForum Internet (Hervé ROULLAND)1.1.3 Nous menons, chaque année, avec l’ensemble desmembres du Mouvement, une action exemplaire et concrètedans les domaines de l’environnement, de la démocratie oude la solidarité. Le choix de l’action est décidé en Conseild’Administration en concertation avec les EquipesRégionales.1.1.4 Nous élaborons un plan de communication pourpromouvoir notre Projet Educatif auprès des responsables,des cadres et des parents.Organisation chaque année d'une action exemplaire etconcrète dans les domaines de l’environnement, de ladémocratie ou de la solidarité. Didier RIGOULOTCréation d'un fichier d'associations partenairesAdrien CHABOCHEVote au CA de l'action pour l'été 2003Oct. 2002 : 5 régions ont ou vont commencer; 7 n'ont rien prévuOct. 2003 : rien prévu en Val-de-Seine et IDFSETravail du prochain congrèsEEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 14

1.2 NOUS TEMOIGNONS VERS L’EXTERIEUR DE NOS VALEURS ET DE NOS CONVICTIONS.Actions votées à l’AG 2002 Déclinaisons décidées par le CA Evaluation1.2.1 Nous investissons des lieux de débats publics (médias,organisations nationales et mondiales de scoutisme, causesnationales et internationales, Education Populaire, forumassociatif, ministère de la Jeunesse et des Sports, FédérationProtestante de France, collectivités locales, etc.)Organisation de l'investissement des cadres dans les groupesde travail de nos partenaires institutionnels (jury BAFA,conseil presbytéral, Maison des associations, CRAJEP, etc.)PersonneImplication des régions à chaque synode régionalHubert NICOLASAnnée 2002-2003 :Midi-Pyrénées: prévue au Programme d’Action régional avec l'ERF +scoutisme FrançaisProvence: prévu en partenariat avec le collège Scoutisme FrançaisBas-Languedoc : organisation d’un café débat « le scoutismeaujourd’hui » et participation à 3 forums associatifs.Année 2003-2004 :Régions île de France : participation au grand rassemblement del’ERF de juin 2004 à ParisAnnée 2002-2003 : OK en Ile de France, RAAAnnée 2003-2004 : OK en Ile de France1.2.2 Nous élaborons une stratégie de communication pourfaire écho de nos actions dans les médias.Proposition d'une commission communication du SFAurélie DEBAUGEEn juin 2002, validation par le conseil national du Scoutisme Françaisd’une commission communication du Scoutisme Français.Création d'un dossier de presse et de supportsméthodologiques à la publication d'articles pour les régions etles GL. Manon LORTALDossier de presse en cours. Sortie prévue avant juin 20041.3 NOUS APPROFONDISSONS NOTRE REFLEXION SUR NOTRE VISION DE L’HOMME ET SUR LA SOCIETE QUE NOUS SOUHAITONS PROMOUVOIR. NOUS IMPLIQUONS CHACUN DANS CETTEDEMARCHE.Actions votées à l’AG 2002 Déclinaisons décidées par le CA Evaluation1.3.1 Nous échangeons et nous enrichissons notre réflexionavec des intervenants extérieurs, dans nos rassemblementset instances (Conseil d’Administration, Assemblée Générale,Assemblées Régionales, WE de formation, PUNCH, Congrès,stages de formation, etc.).Nous invitons un intervenant extérieur dans chaque CA et àl’AGJean-François USKI-BILLIEUXDans chaque Assemblée régionale, un intervenant extérieurvient donner un point de vue et échanger avec lesresponsablesSébastien BOUTRY-LOUBIEDans les stages de formation et à Punch, nous invitons unintervenant extérieurManon LORTALNous invitons au Congrès national des intervenantsextérieurs pour enrichir la réflexion des responsables etcadres et permettre l’échange. Benoît LAVALLARTAG 2002 : Geneviève POUJOL, CA mars 2002 : Michel PAYEN, CAdéc. 2002 : Daniéla de MINIAC (AMGE), AG 2003 : table rondePersonne : CA juin 2002, WE exécutif 2002, CA oct. 2002, CA mars2003, CA mai 2003, WE exécutif 2003, CA oct. 2003AREGIS rentrée 2002 :Personne en Bas-Languedoc, Rhône-Alpes, Phare-Ouest, Nord,Alsace-Lorraine, Paris, Val-de-Seine, Aquitaine, Midi-Pyrénées. EnProvence : Directeur Régional Léo LagrangeAREGI rentrée 2003 :personne en Bas-Languedoc, RAA, Val de Seine, IDFSEPunch 2002 : Maria Paula de Romano (membre comité mondialAMGE) pour la Branche Aînée, Brigitte Bayada de Non-violenceActualité, 1 psychosociologue « devenir adulte 17-30 ans » et 1psychologue « savoir s’affirmer »EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 15

2. Le Mouvement améliore la qualité de ses activités2.1 NOUS AFFIRMONS NOS ATTENTES PEDAGOGIQUES A L’EGARD DE NOS MEMBRES ET RENFORÇONS LA SPECIFICITE SCOUTE DE NOS ACTIVITES.Actions votées à l’AG 2002 Déclinaisons décidées par le CA Evaluation2.1.1 Nous rédigeons et diffusons le fonctionnement deréférence d’une Unité Unioniste que le Mouvement attend deses responsables et cadres, pour chaque branche.Rédaction et diffusion d'un guide de bonnes pratiques parbranche.David HONNEGERExploitation des visites de camps pour connaître les pratiquesdes unités. Patrick BALASA la rentrée 2002, lancement, notamment dans les Assembléesrégionales, du Référentiel des bonnes pratiques du scoutismeunioniste. Au CA de décembre 2002, présentation d’un référentielpour la Branche aînée.Arégi rentrée 2003 : OK en Val de Seine, IDFSE2.1.2 Nous rééditons les supports pédagogiques existants.Nous les utilisons comme outils de travail dans les stages deformation.2.1.3 Nous créons de nouveaux supports pédagogiques :affiche de Loi, classeur de la Progression Personnelle enBranche Moyenne, livret du Répondant, livret Adultes.2.1.4 Nous mettons l’accent sur l’apprentissage et latransmission de savoir-faire et de techniques telles que lecampisme, notamment par nos actions de formation.Réédition des supports pédagogiques existantsGeoffroy PERRIN-WILLMCampagne de promotion des outils dans les revues EEUdFGeoffroy PERRIN-WILLMCréation des outils : affiche de Loi, classeur de la ProgressionPersonnelle en Branche Moyenne, livret du Répondant, livretAdultes.Geoffroy PERRIN-WILLMDossier pédagogique BM : OK rentrée 2002Tampons BC: OKDossiers pédagogiques BC : en cours (prévision Noël 2003)Livret de projet d’équipe (BM) : en attentePromotion faite pour :• Carnet d’Aventures : Kotick n°106• Dossier BM : Le Lien n°178 (4eme de couverture)• Classeur de Pistes : Le Lien n°177• Fiches Réseaux d’adultes : Le Lien n°177, Kotick et BivouacParents n°106/80• Carnet Bivouac : Bivouac n° 79• La Bible : Le Lien n°176En cours : affiches de LoiEn cours : les outils BA :dossier pédagogique, carnet perso, livretd’équipe (dénominations provisoires)Livret Réseaux d’Adultes édité à 1000 exemplairesMars 2003 : OK pour classeur PP en BMFiches techniques BM : livrées à PUNCH 2003Stages 1° sous tentes. Manon LORTAL Rien de prévu pour l'année 2002-2003Stages 2° option "savoir faire" Manon LORTALC’est fait par le biais de l’harmonisation des stagesCréation d'un fichier de compétences d'anciens et d'actifsBenoît LAVALLARTLancement en juin 2002 du fichier par MEL pour enrichissementCréation d'une banque de données d'activités sur une journéesur InternetCA de décembre 2003, modification de l’item :Sur le site du Mouvement, liens vers des sites proposant desactivités sur une journée. Rémi GOGUELExpérimentation de nouveaux fonctionnementsBenoît LAVALLARTAdoption au CA d’octobre 2002 d'un cadre d'expérimentation et d'uncas concretEEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 16

Réalisation d'une "foire aux actions concrètes" au congrèsBenoît LAVALLARTWE guilde froissartageLaetitia LAMBERTONWE de formation au campisme dans les régionsFranck ERBPour l'année 2002-2003 : 4 régions ont mis un WE ou un mini-campFroissartage dans leur programme d'action.Pour l'année 2003-2004 : 4 régions ont mis un WE ou un mini-campFroissartage dans leur programme d'action.Actions prévues en 2002-2003 : Phare-Ouest, Yvelines, Alsace-Lorraine2.1.5. Nous interrogeons les parents des enfants qui ontquitté le Mouvement pour connaître les raisons de leurdépart.2.1.6 Nous définissons une charte du projet international pournos unités.Elaboration d'une charte du projet internationalMarion VEZIANT-ROLLANDUne enquête auprès de 250 parents a été réalisée dont les résultatsn’ont pas été publiés hors du CA car les parents n’arrivent pas àexpliquer pourquoi leurs enfants ont quitté le mouvement.Adoption de la charte des projets internationaux au CA de juin 20022.1.7 Nous travaillons à l’amélioration de la vie quotidiennedans les unités.Visites formatives d'unité dans l'année et au campPierre FAISANDIERCA de décembre 2003 :Mise en place d’un groupe de travail pour définir des outilscommuns à utiliser lors des visites d’unités.Echéance : outils utilisables pour la rentrée 2004.Année 2001-2002 :IDFSE: 1 camp visité + toutes les unités vues 1 foisMidi-Pyrénées: tous les camps et mini-camps visitésBas-languedoc : tous les camps, chaque unité 1 fois minimum dansl’annéeAnnée 2002-2003 :Val de Seine : Tous les chef d’unité rencontrés plusieurs fois + visited’ER sur tous les campsIDFSE : toutes unités vues au moins 1 fois, CDC 2 fois + visite campsAnnée 2003-2004 :au programme de RAA en BC + IDFSE2.2 NOUS RENFORÇONS ET DYNAMISONS NOTRE BRANCHE AINEE. NOUS NOUS ASSURONS DE LA QUALITE DE SES ACTIVITES ET INTERROGEONS LA PERTINENCE DE SA PEDAGOGIE.Actions votées à l’AG 2002 Déclinaisons décidées par le CA Evaluation2.2.1 Nous mettons en place un groupe de travail chargé,avec l’équipier national, de l’animation de la Branche, del’évaluation de la pédagogie aînée et de la formulation depropositions.Création d'une commission Branche AînéeJean CUNYEtat des lieux de la Branche AînéeMarion VEZIANT-ROLLANDEn oct. 2002, la commission Branche Aînée existe et compte 7membres actifsL’état des lieux a été présenté au CA des 7 et 8 décembre 2002Animation d'un grand coup BA en 2004Jean CUNY2.2.2 Nous encourageons la formation des répondants et desaînés.Réflexion sur la proposition pédagogique : ce que doit être leprojet aîné, activités de l'année, organisation de la BrancheMarion VEZIANT-ROLLANDCréation d'un réseau d'Equipiers régionaux Branche AînéeJean CUNYOrganisation d'un cursus ERBA à PUNCHMarion VEZIANT-ROLLANDEn oct. 2002 : Equipier régional BA en Provence, Bas-Languedoc,Midi-Pyrénées, Val de Seine, Yvelines, IDFSE, Paris, FCB, PhareOuestOct. 2003 : Val-de-Seine recherche un ERBAPrévu à PUNCH 2002EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 17

2.3 NOUS CONCENTRONS NOS EFFORTS SUR LA FORMATION ET L’ACCOMPAGNEMENT DES RESPONSABLES.Actions votées à l’AG 2002 Déclinaisons décidées par le CA Evaluation2.3.1 Aidés par les outils de la Commission Cadres etRéseaux d’Adultes, cadres locaux, équipiers régionauxtravaillent en partenariat pour accompagner chaque unité toutau long de l’année.2.3.2 Nous menons une fois par an, pour chaque unité, uneformation sur le terrain en fonction de ses besoins et de sesattentes.Chaque unité est visitée en activité une fois par anPierre FAISANDIERCf. le 2.1.7Organisation d'une rencontre régionale des cadres locaux etrégionaux au moins une fois par anAdrien CHABOCHEAnnée 2003-2004 :Bas-languedoc : prévuVal de Seine : prévu dans le PAR (deux équipiers régionaux s’enchargent)IDFSE : prévu pour certaines unitésPour 2002-2003 : 7 régions l'ont prévu formellement, 2 régions ontdes ER ouvertes, 1 région prévoit des rencontres lors des visitesd'unité, 2 régions ont le souci de la chose mais pas de réunionannoncée, 1 région sans nouvellesPour 2003-2004 :Bas-Languedoc : une ER ouverte par trimestre + rencontre par districtet à l’AREGI 2003RAA : Fait en 2003, au programme 2004Val de Seine : 3 réunions dans l’année (idem qu’en 2002-2003)IDFSE : 3 réunions prévuesIDFSE : fait sur deux des 3 camps d’été 20033. Le Mouvement clarifie et dynamise son fonctionnement3.1 NOUS REAFFIRMONS LE ROLE MOTEUR DE L’ECHELON NATIONAL QUI STRUCTURE L’ASSOCIATION, SOUTIENT LE TRAVAIL DES REGIONS, DONNE SENS A L’ACTION MENEE.Actions votées à l’AG 2002 Déclinaisons décidées par le CA Evaluation3.1.1 Le bureau, les commissions et l’équipe nationalerencontrent régulièrement les équipes régionales, notammentpendant les Assemblées Régionales, pour les encourager, lessoutenir et participer à des actions de terrain.Aller en région pour accompagner la mise en place du PADavid HONEGGERAller en région pour promouvoir les nouveautés et décisions(cotisation, dossier, etc.) David HONEGGERChaque région a un référent dans le bureau : Le référentrencontre au moins une fois par an l’ER. L’ER rend compterégulièrement de ses activités au référent (CR de réunion,revue régionale, etc.)David HONEGGERParticiper aux actions régionales et accompagner les équipesrégionales dans leur organisation.David HONEGGERAu 10-2002 : Fait pour Alsace, Paris, Val-de-Seine, Yvelines, Phare-Ouest,Au 10-2002 : Fait pour Alsace, Paris, Val-de Seine, Phare-Ouest,Midi-Pyrénées2003 : visite COFI en RAAAu 10-2002, Equipes régionales visitées pour l’année 2002-2003 :Phare-Ouest, Midi-PyrénéesAnnée 2003-2004 :IDFSE vue en décembreArégis rentrée 2002 visitées : Aquitaine, Alsace, Nord, Paris,Yvelines, Val de Seine, Phare-Ouest, Haut-Languedoc, Bas-Languedoc, Rhône-Alpes, FCB, ProvenceArégis rentrée 2003 visitées : IDFSE, Bas-Languedoc +3.2 NOUS ALLEGEONS LA CHARGE ADMINISTRATIVE DES REGIONS.Actions votées à l’AG 2002 Déclinaisons décidées par le CA EvaluationEEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 18

3.2.1 Nous analysons et optimisons notre fonctionnementadministratif et financier, en commençant par la cotisation.Modification du cheminement des cotisations entre lesparents et le SN.Jean-François USKI-BILLIEUXConsultation des trésoriers et administratifs régionaux afin deconnaître leurs difficultés Didier RIGOULOTMise en place du nouveau système à la rentrée 2002. Les premierschiffres montrent une amélioration très nette des remontées decotisations.Juin 2002 : 4 trésoriers régionaux rencontrés au CAMai 2003 : 6 trésoriers rencontrésMise en place des fonctionnements optimisés (cot + …)Didier RIGOULOTNouveau système de cotisation en place depuis le 1er septembre2002.3.2.2 Nous expérimentons, sur la base du volontariat, une« comptabilité unique » de groupe local afin d’alléger le travailadministratif des unités.Evaluation des expériences en cours sur la "comptabilitéunique" de groupe localJean-Baptiste CARTIERCréation d'une notice sur la "comptabilité unique" de groupelocal.Jean-Baptiste CARTIEREvaluation des expériences en coursJean-Baptiste CARTIEROctobre 2002 : Réception de l'évaluation de l’expérience de la régionProvenceNovembre 2003 : réflexions sur cette expérience et mise en place duTGLMars - Avril 2003 : travail de la cofi sur le sujetMai 2003 : présentation en CASeptembre 2003 : mise en œuvre effectiveAu 10-2003 : ? Attente des résultats3.3 NOUS STRUCTURONS, DEVELOPPONS ET PERENNISONS LES GROUPES LOCAUX.Actions votées à l’AG 2002 Déclinaisons décidées par le CA Evaluation3.3.1 Nous créons dans chaque groupe local un réseaud’adultes et de parents autour d’un Conseiller de Groupe.Promotion du dossier adulte(Michaël SCHLOESING)Former les cadres à l'utilisation du dossier adulte et aurecrutementHubert NICOLASPromotion d'Assemblées locales et de réunions trimestriellesd'unité (ou GL) avec les parents Hubert NICOLASAu 10-2002 : Promotion faite sur le Site Internet, dans le Lien Expresset les journaux parents, 5 promotions en région, distribution gratuiteaux coordonnateurs et administrateursAu 10-2002, 55 conseillers de groupes, parents et cadres locaux ontété formés depuis la sortie du livret. Les régions qui ont été visitées :4 régions parisiennes, Rhône-Alpes Auvergne, Bas-Languedoc,Provence, Aquitaine, FCB, Alsace-LorraineRencontre CGL à l’Arégi 2003 d’ IDFSE3.3.2 Nous développons des partenariats locaux avec lesautres membres du Scoutisme Français.3.3.3 Nous mettons l’accent sur la communication entre lesresponsables, les parents et le réseau adulte du groupelocal, dans nos actions de formation et nos revues.Recrutement d'un ER adultes dans chaque ERHubert NICOLASUne des actions nationales dans les trois ans se fera enpartenariat avec des membres du SF.Didier RIGOULOTTémoignages de parents dans les revuesHubert NICOLASAu 10-2002, Equipiers régionaux adultes en place : Bas-Languedoc,Yvelines, Val de Seine, Aquitaine, FCB, IDFSE, Alsace-LorraineFaisant fonction : Midi-Pyrénées, Nord, RAA, ProvencePrévu 2003 : Paris, Phare-OuestAnnée 2003-2004 : Val de Seine recherche, OK pour IDFSEMais :Au 10-2002 : Région Provence : membre du collège SFMidi-Pyrénées : mise en place d'un collège SF à ToulouseEEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 19

Branche AînéeDéroulementLa Commission Branche Aînée (COBRA) a présenté l’état des lieux de la branche aînée dans le mouvement(sous forme de sketche), avant de présenter la nouvelle pédagogie (sous forme de diaporama). Puis libredébat entre le public et la COBRA, questions, critiques, remarques….ActivitésStructuration en EtapesBesoin d’échange entreéquipesPas de coéducationPas d’activités de typescout (jeux, campisme,vie spi)Omniprésence duprojetRegroupement d ’équipes enunités, souple dans leurconstitution géographique :•Local•Régional•District•3 GL•Etc3 WE par an en unitéDes équipes à différentesétapes de progressionOrganisation des activitéspar les aînés, échangesIncohérence de ladémarche vs PE dumouvementNiveau d’autonomiedifférente enfonction des équipesPas de relecture(simple bilan de camps)2 étapes distinctes ; sedécouvrir avant d’agirCréation d’étapes vsannéesPrendre le temps del’engagement personnelEtape 1:•Constitution de l’équipe•Définir et partager sesvaleursEtape 2:ProjetEtape 3:•Relecture•Témoignage•Engagement personnelCharteBilanEnvoi* Tatar GodetEncadrementProgression PersonnelleSolitude du répondantUn répondant avecbeaucoup deresponsabilitésPas de tuilageConstitution d’unitéd’équipeDes équipes deresponsables3 profils•Responsable d’unité•Responsablepédagogique•Responsable deséjourP.P. exclusivementautour du projetPas de progressionindividualiséePas de formalisationNouvelle approchepédagogiqueRéflexion personnelle(questionnaire)Faire vivre ses passions, sesenvies à l’équipe (étape 1)Tenir son rôle dans le projet:formation, responsabilités(étape 2)Relecture personnelle de sonvécu (P.P., projet, quotidien)Compagnonnage (étape 3)Promesse, Pari, EnvoiValeurs et cadreCadre symboliqueEntreprise (années80 – Tapie Sulitzer)Nouveau cadre symboliqueCadre symbolique plusFun, plus orienté valeursscoutesLes outils Pari etDéfi peu utilisésRéactualisation etrestructuration fonctionnelledes outilsRéécriture de la Loi avecles aînésEEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 20

Contenu : le débat a porté sur les points suivants :Les responsablesPourquoi ces 3 rôles de responsables ? Pourquoi dissocier le responsable pédagogique du responsable quipart en camp ? Est-ce que le responsable qui part en camp ne peut pas suivre les aînés pendant lapréparation du projet ?La COBRA a souhaité clarifier le rôle du responsable en dissociant ses 3 rôles :- chef d’unité- responsable- chef de camp.Bien évidemment, nous souhaitons que ce soit une seule et même personne qui suive les aînés dans leurprojet et qui ensuite les accompagne en camp. Mais cette séparation des rôles (des profils) permet auxresponsables des engagements variés. On pourra être responsable en Branche Aînée, même si on ne peutpas partir en camp d’été pendant 3 semaines. De même, on pourra tout à fait partir à 2 responsables pouraccompagner une équipe d’aînés.Par ailleurs, la notion d'équipe de responsables aînés a aussi son importance pour casser la solitude durépondant, permettre aux aînés l'accès à plusieurs interlocuteurs, et intégrer une approche par les genresdans les équipes de responsables, etc.Quelle formation pour les responsables ?Concernant la formation, il nous reste à rédiger un plan de formation complet en partenariat avec lacommission formation. Il semble logique de partir du cursus existant déjà pour les responsables des autresbranches, avec une approche spécifiquement « Branche Aînée » dans le contenu pédagogique. Le pointd’adaptation le plus notable consisterait en une proposition de formation par modules sur plusieurs weekend,moins contraignant qu’une semaine complète pour certaines personnes, en particulier celles quitravaillent.Est-ce qu’on n’arrive pas à trop de structuration de la branche ? Trop de responsables qui vont empêcherles jeunes de prendre leur autonomie ? Où est la liberté ?Notre projet n’est pas de recréer une unité BM avec des responsables BM, mais bien d’encadrer auminimum les aînés lorsqu’ils en ont besoin, notamment en 1 ère étape (puisqu’ils sortent juste des éclais).Petit à petit (comme c’est censé se faire aujourd’hui), les responsables s’effacent devant l’autonomie desaînés, et ne restent que comme référents.Le cadre symboliqueQu’est-ce qui ne plaît pas dans le cadre symbolique de l’entreprise ? Pourquoi en changer ?Le cadre « entreprise » qui existait ne fait pas tellement rêver les aînés, il est de plus très incomplet etvéhicule des valeurs comme « gagner de l’argent » qui ne nous paraissent pas correspondre aux valeurs quidoivent être promues dans le mouvement. Cela correspond en plus à une demande de la part des aînés.Le compagnonnageComment matérialiser l’engagement hors mouvement ? Comment ne pas perdre les aînés dans cecompagnonnage ? Quel est l’intérêt du chef d’œuvre ?Nous souhaitons que les aînés aient une occasion d’aller voir ailleurs au moins une fois, et nous sommesconvaincus que cela leur permettra d’avoir un engagement réfléchi par la suite (comme responsable ouailleurs). Nous sommes prêts à prendre le risque de les perdre. Nous ne sommes pas là pour former deschefs scouts mais des citoyens engagés dans la société.Concernant la durée de ce compagnonnage : l’aîné pourra s’engager sur le long terme s’il le souhaite. Nous,nous lui demandons au moins un minimum. Ce sera à négocier avec des associations, des partenaires, quipréfèrent souvent un engagement long terme qu’un court passage.Le chef d’œuvre doit permettre le dépassement, la participation à un événement d’envergure, la réalisationde quelque chose d’exceptionnel. Ce ne sera pas toujours possible, selon le type de compagnonnage, maisce n’est pas grave.La troisième étapeElle est très individuelle – elle manque d’engagement citoyen par rapport à la société qui nous entoureL’engagement citoyen existe par le biais des 5 domaines de développement, qui sont la référence. Et l’idéedu compagnonnage, c’est bien d’aller voir la société qui nous entoure.Même dans cette étape, il y a un rattachement clair avec le reste de l’équipe qui reste le lieu où l’on seretrouve pour partager ses engagements, ses doutes, ses questions, son vécu.Le lancementIl y a déjà 2 unités pilotes : Aquitaine et Paris, qui testent cette nouvelle pédagogie.Le lancement aura lieu lors du grand camp national aîné : CANAAN fin août 2004 (VENEZ NOMBREUX !)EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 21

Intervention de Michel Chauliac, médecin nutritionnisteResponsable du programme « nutrition-santé »«ALIMENTATION ET EDUCATION»En France, comme dans les pays développés, le problème lié à l’alimentation est surtout un problème desurcharge. Les problèmes ne sont pas les mêmes qu’ailleurs. Dans d’autres pays moins développés il s’agitplus de problème de carence sévère, de malnutrition, de décès des enfants…Si il y a encore 50 ans, en Europe, il y avait des famines liée à des événements graves comme descatastrophes climatiques ou des guerres, aujourd’hui il y a eu une amélioration de la considération de lasituation alimentaire. Celle-ci participe pour une grande part à l’amélioration des conditions de vie,notamment avec les progrès sur le plan de l’hygiène et de la médecine.L’alimentation aujourd’hui est :• Saine et sûre (protection contre les maladies et les risques toxiques…)• Disponible, accessible (baisse du coût de ce que l’on consomme.)Dans les années 60 la proportion du budget des familles consacrée à l’alimentation était de 30%contre 15% aujourd’hui, et jusqu’à 50% pour les familles les plus défavorisées.• Attrayante (cela est liée à la concurrence, qui fournie l’alimentation qui correspond le plus à ce quel’on souhaite)• Variée• Un facteur d’angoisse, de peur (en lien avec les maladies qu’elle peut transmettre)Effets du régime alimentaire (au sens de ce que l’on mange) sur la santéLa surabondance tout au long de la vie entraîne beaucoup de conséquences pour la santé. Elle entre enligne de compte comme un des facteurs qui explique l’apparition de ces pathologies fréquentes etmeurtrières telles que les maladies cardio-vasculaires (170 000 décès par an), les cancers, l’obésité,l’ostéoporose, le diabète.On assiste en France à une augmentation colossale du surpoids et de l’obésité chez l’enfant.5% des enfants en souffraient dans les années 80, 12% à la fin des années 90 et 16% aujourd’hui. LaFrance est en train de rattraper les USA.Evolution de la consommation alimentaire et des modes de vieLa surcharge pondérale est due :• à la baisse des dépenses énergétiques (on prend de plus en plus souvent la voiture pour de petitstrajets, on utilise l’ascenseur plutôt que l’escalier…).• à la cuisine : on utilise de plus en plus de plats tout prêt sans savoir vraiment ce qui les composent,on assiste à une dévalorisation du temps passé à cuisiner.• évolution de la cuisine et de la densité énergétique : il s’agit de la quantité d’énergie contenu dans lepoids ou volume de ce que l’on rajoute aux aliments (mayonnaise sur les frites, …).• mode de consommation, on modifie la structure des repas, on multiplie les prises alimentaires et onmange des portions de plus en plus grandes.CHAQUE JOUR JE CONSTITUE UNE SURCHARGE QUI S’ACCUMULE TOUT AU LONG DE MA VIEEvolution de la consommation des produitsaliment En 1950En kgs / an / habitantEn 1996En kgs / an / habitantpain 120 60Matière grasse 12 24viande 42 82Pommes de terre 150 55fromage 5 18Boisson gazeuse 9 litre 49 litresCrème dessert 0 litre 16 litresEEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 22

Que faire ? Comment agir avec les jeunes ?• A l’école : on voudrait que cette institution leur apprenne tout car on a confiance en elle et tous lesenfants y vont, le personnel est formé et il y a la cantine.Cependant l’école ne peut pas se substituer à tout le monde. Elle n’apparaît donc pas comme le lieuprivilégié de cet apprentissage• Le périscolaire (centre aéré, scoutisme…) : Il s’agit de moments où il y a plus de liberté, tempslibre... On dispose de moments privilégiés pour réaliser des activités.Quelles actions à mener ?En pratique, il faut faire attention au matériel et documents utilisés comme support d’activité car il y atoujours une action de pub ou un marché derrière. Il faut vérifier la qualité du discours transmis autravers du document (le message ne sera pas le même si le document est écrit et publié par la« collective du pain » ou le « syndicat de la biscuiterie »).Que faire avec les enfants ?• Décrypter le merchandising et apprendre aux enfants à regarder comment on propose des alimentsdifférents dans les divers magasins en fonction de la population qui s’y déplace, comment on placeles aliments dans les rayons (quels sont les aliments tout en bas dans les rayons ?)• Etudier les pubs et les méthodes ou images utilisées pour faire croire quelque chose aux enfants.• Valoriser les activités de cuisine.• Acheter avec une contrainte budgétaire : comment créer une alimentation satisfaisante avec unbudget limité.• Découvrir des autres cultures culinaires nationales ou régionales.La nourriture BIODébat avec le Docteur ChauliacLa nourriture Biologique est-elle un gage de meilleure santé ?La composition de l’aliment ne change pas entre un produit bio et non bio. Les éléments qui varient sont :- La durée de conservation, moindre pour un produit bio- L’impact sur l’environnement. Le mode de production des produits bio va dans le sens de laprotection de l’environnement, en particulier grâce à une diminution considérable de l’utilisation depesticides.- Le goût : c’est une différence majeure, les produits bio sont plus goûteux.- Le prix : les produits bio restent plus chers que les non bio. Dire qu’un produit non bio n’estnutritionnellement pas acceptable, c’est risquer de mettre à part une certaine partie de la population.Manger 5 fruits et légumes par jour, c’est l’essentiel, qu’ils soient bio ou non.Les produits de saisonLes légumes et les fruits de saison apportent-ils davantage au niveau nutritionnel ? Sont-ils de meilleurequalité ? Pourquoi sont-ils moins plébiscités ?Deux critères à prendre en compte en faveur de la consommation des produits de saison : ils ont meilleurgoût et ils sont moins chers que les produits hors saison sur le marché. Cependant, comme pour lesproduits bio, il est surtout important de manger au moins 5 fruits et légumes par jour pour la prévention despathologies et la protection de la santé. Il est plus important de diffuser des repères de ce type que d’avoirun discours moralisateur, chacun doit pouvoir adapter sa consommation à son mode de vie.On peut relier ces questions à un élément d’éducation global. Les enfants apprennent aussi l’alimentation àtravers les manuels scolaires, il existe une dichotomie importante entre l’aspect biologique et une vision plusbucolique de l’alimentation véhiculée par la géographie. Cela ne correspond pas à la réalité car les alimentsconsommés actuellement n’apparaissent pas (70% sont transformés). Il faut essayer d’avancer vers quelquechose de plus concret dans la présentation alimentaire aujourd’hui, dans les manuels scolaires.EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 23

Alimentation et « pressions » de la vie quotidienneComment peut-on lutter contre la « mal bouffe » et l’excès de produits tout prêts malgré les pressions detemps et de budget ?On peut travailler au quotidien avec les collectivités locales qui gèrent les cantines en intervenant auprèsdes commissions de menus et en tant qu’électeur. Il existe une circulaire de l’Education Nationale de juin2001 qui décrit les éléments qu’on doit trouver dans une cantine. Cette circulaire est assez suivie par lesmairies.Mais cela reste difficile car les collectivités utilisent des groupements d’achats plus économiques.Y-a-t-il une influence du mode de prise alimentaire (debout, assis, lentement, rapidement) sur l’ingestion desaliments ?Celui qui mange à toute vitesse a une perception de satiété moindre : il aura tendance à consommer plus.Equilibre alimentaire et relation à l’alimentationEst-ce un équilibre d’avoir trois repas par jour ? Est-ce un cycle journalier ou par semaine ?L’organisme ne se régule pas sur chaque repas ou sur chaque jour, l’équilibre n’est donc pas obligatoire surun repas ou une journée mais sur plusieurs jours. Ce qui est important pour la santé, c’est l’équilibre global.Doit-il y avoir un équilibre entre sucré et salé à chaque repas ?Pas spécialement par repas. De plus, on ne mange déjà pas de la même façon dans le nord et dans le sud(exemple de l'alimentation méditerranéenne), même si cela est plutôt en cours d’homogénéisationLes régimes végétariens et végétaliens sont-ils équilibrés ?Les végétaliens risquent de souffrir de certaines carences, au contraire des végétariens.Economie, culture et éducation : quel lien avec l’alimentation ?Et les produits OGM ?Il est difficile de donner des réponses précises concernant ces produits, cependant, ils soulèvent troisquestions :- Quelle composition nutritionnelle des OGM ?- Quels risques allergiques ?- Quelles perturbations sur les producteurs dans le monde entier ? Quel monde souhaitons-nous ?global ou dominé par des multinationales ?On risque en effet de retrouver les mêmes produits dans tous les pays, ce qui peut avoir des conséquencesculturelles et économiques (en rapport avec la production et les inégalités qui y sont liées).Comment éduquer à une « bonne alimentation » ? Elle implique un lien avec l’environnement, l’organisationde la cité et une adaptation de notre éducation et des infrastructures,… comment y arriver ?En effet, beaucoup de facteurs cités sont liés. Le self service dans les cantines met l’enfant en situation dechoix permanent. Le diriger vers un goût obligatoire peut être une meilleure éducation au goût et peut luidonner des repères.Quand on examine les pathologies liées à l’alimentation (anorexie et obésité par exemple), on se rendcompte qu’elles impliquent un dérèglement de l’apprentissage de l’oralité dès la petite enfance (avec latétine) ou plus tard (avec la cigarette), et l’incapacité pour la personne d’attendre quelque chose.Rapport entre nos activités et les risques liés à l’alimentationY’a-t-il un lien entre l’évolution des réglementations vers davantage de sécurité et d’aseptisation et larecrudescence d’allergies ? Peut-on grâce à nos activités et en particulier les camps agir sur cetteinteraction (en faisant consommer aux enfants du lait provenant directement de la ferme par exemple) ?S’il existe autant de restrictions, c’est que dans notre société les accidents ne sont plus acceptés. L’Etat seprotège des 2% de citoyens qui craignent le simple accident. Concernant les allergies, on évaluestatistiquement qu’elles se développent de plus en plus chez l’enfant. Mais qu’est ce que l’allergie ? Lesdiagnostics sont parfois fait à la légère. Y a-t-il réalité de l’allergie ? Il est difficile de savoir puis de repérer etd’exclure l’aliment gênant à cause des chaînes de conditionnement. Il existe bien une hypothèse ditehygiéniste : les enfants sont nourris de façon très aseptisée, ils ne développeraient pas assez de processusde défense ce qui pourrait conduire à des allergies. Elle n’a cependant jamais été prouvée.EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 24

PropositionsRemontée des comptabilités directement au SN(Proposée par la Région Rhône-Alpes Auvergne)L’AG propose que le Mouvement organise, dès 2004, la remontée des comptabilités directement vers le SN,après validation par le Trésorier de GL, et qu’il adapte en conséquence les procédures et les outilstechniques et développe les formations nécessaires à cet objectif.Le Trésorier régional conserve sa capacité d’intervention et de conseil en cas de besoin ou à la demandedes GL ou de l’Equipe Nationale, et reste chargé de la remontée des compta en cas d’absence de TGL.Les avis sont très partagés. La Commission Finances ne rejette pas l’idée mais souhaite attendre encoreavant de l’appliquer. Des délégués pensent qu’il ne faut pas attendre et que cette proposition va dans lesens de la simplification des circuits administratifs, comme cela a été fait pour les cotisations.Pour : 33Contre : 26Blanc : 21Proposition adoptéePrononciation du sigle EEUdF(Proposée par la Région Aquitaine)L’ AG propose à ses membres d’adopter la prononciation [éu] dans sa communication orale, pour le sigle denotre MouvementDes délégués expriment leur refus de voir imposée une prononciation, qui en plus tronque le nom completdu Mouvement. D’autres proposent la prononciation « Unionistes ».Pour : 15Contre : 42Blanc : 22Proposition rejetéeElection des administrateurs Les membres des « 10 », élus directement par l’Assemblée Générale :Administrateurs en fin de mandat : Hubert Nicolas, Marion Véziant, Marc Dubos, Jean-François Uski-BillieuxAdministrateurs élus :Candidats POUR CONTRE BLANCMarion Véziant 71 1 3Marc Dubos 73 2 0Jean-François Uski-Billieux 75 0 0Sébastien Boutry-Loubié 67 4 4 Les administrateurs élus en Assemblée Régionale et ratifiés par l’AG :Région Administrateur POUR CONTRE BLANCAlsace-Lorraine Franck Erb 73 0 2Bas-Languedoc Matthieu Reynet 71 2 2Midi-Pyrénées Patrick Balas 74 1 0RAA Benjamin Ingelaere 73 0 2Phare-Ouest Samuel Trouvé 74 0 1FCBPM Cédric Perrot-Audet 74 0 1Provence Marion Crouzet 75 0 0Yvelines Eric Perrodon 74 1 0EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 25

FinancesRapport FinancierL’avantage des bonnes années, puisque 2002/2003 en est une comme vous avez pu le constater au vue durésultat, est de pouvoir prendre un peu de temps pour autre chose que des études de chiffres.En premier lieu, je vais donc profiter de ce mot pour remercier Hervé, qui en tant que secrétaire général aété pendant cinq ans la cheville ouvrière de la COFI, en particulier par son important travail de formalisationdes outils et des procédures de clôture.En second lieu, je voudrais partager avec vous mes doutes sur ce vieux serpent de mer qu’est laconsolidation.Notre objectif, comme vous le savez peut-être, est de consolider au minimum 80% de notre trésorerie. L’andernier, nous avons lancé un appel sur l’importance de progresser et cette année cela a fonctionné puisquenous atteignons environ 70%.C’est justement ces 10% qui nous manquent pour atteindre notre objectif, qui me laissent dans le doute. Jesais que des comptas sont faites mais que, régulièrement, elles ne nous sont pas retournées à temps.En particulier, je trouve désolant de voir dans tous les PV d’AREGI des comptes régionaux approuvés etvotés, mais que ceux-ci n’arrivent jamais au SN sous une forme consolidable.Ensuite, je sais que tous les camps tiennent des comptas, mais qu’elles ne sont pas toutes dans noscomptes consolidés alors que celles-ci sont systématiquement vérifiées par les visiteurs.Alors que faudra t’il faire ?2 solutions : Sortir nos bâtons ou trouver des carottes :* demander au CA d’invalider les équipes régionales qui n’auraient pas transmis des comptes conformes àleurs documents d’assemblée régionale.* demander à la COFO et aux coordonnateurs de refuser les validations des stagiaires licence de camp etBAFD en cas d’absence de compta rendue (ceci est d’ailleurs déjà prévu par nos règlements internes, maisfort peu appliqué).* récompenser ceux qui rendent des comptes.* offrir des médailles.Dans tous les cas, rendre une compta est quelque chose de normal, c’est un juste retour pour le Mouvementqui vous fait confiance. Alors avouez avec moi que s’arrêter aussi près du but serait dommage surtoutquand ne reste à vaincre que quelques négligences en terme de délais (1/4 des comptas consolidées estarrivé fin décembre début janvier) et de remontées (tous ces beaux comptes qui sont au fond desarmoires !!!!! )Didier RigoulotTrésorierQuitus aux administrateursL’Assemblée Générale 2004 des EEUdF réunie à Segonzac, après avoir entendu le rapport moral duPrésident, le rapport du Trésorier et le rapport du Commissaire aux comptes, approuve les comptes del’exercice clos le 31 août 2003 tels qu’ils lui sont présentés, donne quitus aux administrateurs pour leurgestion au cours de l’exercice écoulé.Pour : 69Contre : 3Blanc : 2AdoptéEEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 26

Affectation du résultatL’affectation du résultat aux réserves plutôt qu’à un projet spécifique, permet de se laisser la possibilité del’affecter plus tard à tel ou tel projet, en fonction des besoins.L’Assemblée Générale 2004 des EEUdF réunie à Segonzac constate l’existence, pour le secrétariatnational, d’un résultat de + 20 997 € sur l’exercice 2002-2003 qu’elle décide d’affecter aux réserves.Pour : 76Contre : 3Blanc : 1AdoptéExonération des frais de tenue de compteLa proposition faite par la Commission Finances d’exonérer des frais de tenue de compte les unités qui ontrendu leur compta, suscite principalement des réactions négatives, s’appuyant notamment sur lesarguments suivants : pas de raison de récompenser les gens simplement parce qu’ils remplissentl’engagement qu’ils ont pris, pas de raison non plus de pénaliser ceux qui peut-être n’y arrivent pas, lasomme correspondante pourrait être mieux utilisée autrement.Le budget proposé par le Conseil d’Administration intègre la proposition faite par la Commission Finances,d’exonérer des frais de tenue de compte les entités (unités, GL, Régions) qui ont rendu leur compta au SNdans les délais prévus (avant le 14/12/03). Le coût de la proposition est de 150 comptes x 38 € soit 5 700 €.Pour : 17Contre : 41Blanc : 22Proposition rejetéeAdoption du budgetUn délégué suggère d’augmenter le budget de la Branche Aînée pour le lancement de la nouvelle pédago.La COBRA répond que 5000 € sont déjà affectés à CANAAN (camp national aînés), et que d’autres sourcesde financement sont prévues.Un délégué regrette que la commission Vie Spi, qui demande un budget pour faire une cassette vidéo, soitabsente de tous les rassemblements nationaux depuis deux ans.Des délégués regrettent qu’aucun bilan des Lumières de Bethléem n’ait été présenté et s’interrogent surl’enveloppe budgétaire prévue. L’EN précise que les coûts sont principalement constitués d’impressiond’affiches et de transports.Un délégué s’interroge sur l’excédent important de la formation. L’EN précise que les charges ne prennentpas en compte les salaires des permanents affectés à la formation, représentants plus d’un mi-temps.Un délégué s’inquiète de l’équilibre financier de la Boutique Unioniste, gérée par Promo-Scout, boutique desScouts de France. Le secrétaire général explique qu’un nouveau contrat de distribution est en cours denégociation avec Promo-Scout, qui devrait permettre d’augmenter le chiffre d’affaire et d’améliorer lerésultat. Mais il reconnaît que les effets de ce nouvel accord ne seront pas immédiats et n’auront pasforcément d’effets sur le budget 2003-2004. Pour autant le choix a été fait de prévoir un équilibre budgétaireet tous les acteurs vont d’efforcer d’atteindre cet objectif.Des délégués regrettent que le budget soit voté alors qu’il est déjà bien entamé (5 mois sur 12). Le trésorierrappel que le CA de décembre a approuvé ce budget et qu’une AG organisée beaucoup plus tôt ne pourraitpas valider les comptes de l’année précédente, dont la clôture demande plusieurs mois.L’Assemblée Générale 2004 des EEUdF réunie à Segonzac adopte le budget prévisionnel 2003-2004, pourle secrétariat national, pour un total de produits de 966 955 € et un total de charges de 961 955 €.Pour : 75Contre : 1Blanc : 5AdoptéEEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 27

Compte de résultat2002-2003Réalisé Budget Réalisé Ecarts2001-2002 2002-2003 2002-2003 Réa - BudSoldes Produits Charges Soldes Produits Charges Soldes Soldesen € en € en € en € en € en € en € en €FONCTIONNEMENT DU SIEGE -276 584 126 800 395 573 -268 773 162 969 387 020 -224 052 44 721Salaires et charges EN -165 421 123 800 285 873 -162 073 153 799 294 032 -140 233 21 840Amortissement / Matériel -15 492 0 15 500 -15 500 0 17 556 -17 556 -2 056Frais généraux SN -44 618 0 38 500 -38 500 4 013 30 536 -26 523 11 977Déplacements Equipe Nationale -4 853 0 6 000 -6 000 133 2 923 -2 789 3 211Adhésion aux fédérations (SF, OMMS,…) -13 608 0 13 000 -13 000 0 8 293 -8 293 4 707Impôts -3 164 0 3 500 -3 500 1 078 4 248 -3 170 331Assurances -29 428 3 000 33 200 -30 200 3 945 29 434 -25 489 4 711ACTIONS NATIONALES -7 794 93 500 103 500 -10 000 115 418 122 379 -6 961 3 039Salaires et Charges permanents Régions 1 356 93 500 93 500 0 115 418 115 249 169 169Actions développement -870 0 1 500 -1 500 0 786 -786 714Echange de salarié avec Madagascar -3 196 0 1 000 -1 000 0 1 107 -1 107 -107Fond National de Solidarité -5 083 0 7 500 -7 500 0 5 237 -5 237 2 263INSTANCES -19 218 4 562 28 556 -23 994 7 044 28 406 -21 362 2 632Assemblée Générale -2 334 4 300 6 800 -2 500 5 373 8 178 -2 805 -305Bureau -3 718 0 4 000 -4 000 0 4 168 -4 168 -168Conseil d'Administration -4 443 0 4 000 -4 000 587 6 140 -5 553 -1 553Commissions -7 852 0 11 711 -11 711 1 000 9 228 -8 229 3 482Week-end Coordos -871 262 2 045 -1 783 85 692 -607 1 176FORMATION 4 706 56 900 59 300 -2 400 74 390 74 376 14 2 414Frais généraux formation -426 0 500 -500 510 1 351 -841 -341Formation des répondants aînés -390 300 1 000 -700 1 005 1 731 -726 -26Stages de formation 12 550 50 000 40 000 10 000 63 942 53 282 10 660 660Formation internationale -2 962 2 200 7 000 -4 800 4 917 8 862 -3 946 854Punch -4 067 4 400 9 300 -4 900 4 017 7 986 -3 970 930Tournées de camps 0 0 1 500 -1 500 0 1 164 -1 164 336PUBLICATIONS -53 674 0 54 800 -54 800 133 60 382 -60 249 -5 449Comités de rédaction -424 0 1 000 -1 000 0 39 -39 961Publications diverses -12 881 0 3 500 -3 500 91 9 435 -9 344 -5 844Pochettes de rentrée 0 3 500 -3 500 0 6 877 -6 877 -3 377Revues -40 369 0 46 800 -46 800 42 44 032 -43 990 2 810RESSOURCES FINANCIERES 354 325 420 450 80 483 339 967 461 084 105 767 355 317 15 350Autofinancement 9 165 7 755 0 7 755 7 404 0 7 404 -351Calendriers 2 837 10 600 10 000 600 13 050 10 343 2 707 2 107Cotisations 188 447 224 899 40 483 184 416 245 047 49 188 195 859 11 443Campagnes de dons 74 824 75 000 0 75 000 95 991 10 076 85 915 10 915Dons hors campagnes 2 308 30 000 28 000 2 000 29 456 26 964 2 492 492Autres subventions 16 900 3 000 0 3 000 3 225 2 583 642 -2 358Subventions 58 031 65 396 0 65 396 62 296 0 62 296 -3 100Location immobilier 1 813 3 800 2 000 1 800 4 615 6 613 -1 997 -3 797DIVERS 16 396 162 000 142 000 20 000 180 885 202 595 -21 710 -41 710Antérieur 0 0 0 0 274 661 -386 -386Boutique -4 778 60 000 60 000 0 67 433 86 139 -18 705 -18 705Produits et charges financiers 18 809 54 000 34 000 20 000 43 257 38 025 5 232 -14 768Chèques Vacances 200 48 000 48 000 0 46 623 46 625 -2 -2Exceptionnel divers 2 166 0 0 0 3 114 10 756 -7 642 -7 642Ainga 0 0 0 0 20 182 20 389 -207 -207TOTAL 18 157 864 212 864 212 0 1 001 923 980 926 20 997EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 28

Budget 2003-2004adopté par l'AGRéaliséBudget2002-20032003-2004Produits Charges Soldes Produits Charges Soldesen € en € en € en € en € en €FONCTIONNEMENT DU SIEGE 162 969 387 020 -224 052 128 000 370 935 -242 935Salaires et charges EN 153 799 294 032 -140 233 124 500 267 685 -143 185Amortissement / Matériel 0 17 556 -17 556 0 26 000 -26 000Frais généraux SN 4 013 30 536 -26 523 0 27 500 -27 500Déplacements Equipe Nationale 133 2 923 -2 789 0 7 450 -7 450Adhésion aux fédérations (SF, OMMS,…) 0 8 293 -8 293 0 8 450 -8 450Impôts 1 078 4 248 -3 170 0 3 800 -3 800Assurances 3 945 29 434 -25 489 3 500 30 050 -26 550ACTIONS NATIONALES 115 418 122 379 -6 961 123 500 144 749 -21 249Salaires et Charges permanents Régions 115 418 115 249 169 92 500 92 500 0Actions développement 0 786 -786 0 900 -900Echange de salarié avec Madagascar 0 1 107 -1 107 6 000 6 000 0Fond National de Solidarité 0 5 237 -5 237 0 7 500 -7 500CANAAN 25 000 30 000 -5 000Cassette Vie Spi 0 1 700 -1 700Lumières de Bethléem 0 2 050 -2 050Action exemplaire nationale 0 4 099 -4 099INSTANCES 7 044 28 406 -21 362 5 900 38 381 -32 481Assemblée Générale 5 373 8 178 -2 805 5 600 10 000 -4 400Bureau 0 4 168 -4 168 0 4 200 -4 200Conseil d'Administration 587 6 140 -5 553 0 5 600 -5 600Commissions 1 000 9 228 -8 229 0 16 581 -16 581Week-end Coordos 85 692 -607 300 2 000 -1 700FORMATION 74 390 74 376 14 89 200 91 750 -2 550Frais généraux formation 510 1 351 -841 0 850 -850Formation des répondants aînés 1 005 1 731 -726 1 000 1 700 -700Stages de formation 63 942 53 282 10 660 80 200 71 200 9 000Formation internationale 4 917 8 862 -3 946 5 000 10 000 -5 000Punch 4 017 7 986 -3 970 3 000 6 500 -3 500Tournées de camps 0 1 164 -1 164 0 1 500 -1 500PUBLICATIONS 133 60 382 -60 249 0 64 840 -64 840Comités de rédaction 0 39 -39 0 800 -800Publications diverses 91 9 435 -9 344 0 5 240 -5 240Pochettes de rentrée 0 6 877 -6 877 0 6 000 -6 000Revues 42 44 032 -43 990 0 52 800 -52 800RESSOURCES FINANCIERES 461 084 105 767 355 317 463 755 102 700 361 055Autofinancement 7 404 0 7 404 7 755 0 7 755Calendriers 13 050 10 343 2 707 13 200 9 300 3 900Cotisations 245 047 49 188 195 859 245 000 51 500 193 500Campagnes de dons 95 991 10 076 85 915 96 000 10 100 85 900Dons hors campagnes 29 456 26 964 2 492 30 000 28 000 2 000Autres subventions 3 225 2 583 642 3 000 0 3 000Subventions 62 296 0 62 296 65 000 0 65 000Location immobilier 4 615 6 613 -1 997 3 800 3 800 0DIVERS 180 885 202 595 -21 710 156 600 148 600 8 000Antérieur 274 661 -386 0 0 0Boutique 67 433 86 139 -18 705 65 000 65 000 0Produits et charges financiers 43 257 38 025 5 232 45 000 37 000 8 000Chèques Vacances 46 623 46 625 -2 46 600 46 600 0Exceptionnel divers 3 114 10 756 -7 642 0 0 0Ainga 20 182 20 389 -207TOTAL 1 001 923 980 926 20 997 966 955 961 955 5 000EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 29

BILAN au 31/08/2003ACTIF 31/08/200331/08/2002 PASSIF 31/08/2003 31/08/2002Brut Amort. Et Prov Net NetImmobilisations corporellesTerrains 9 909 9 909 9 909 Fonds associatifs sans droit de reprise 271 100 271 100Constructions 107 345 33 974 73 371 75 515 Réserves 140 712 122 554Autres immobilisations corporelles 88 950 79 147 9 802 16 925 Résultat de l'exercice 20 997 18 157Immmobilisations financières FONDS PROPRES 432 809 411 811Prêts 8 077 2 286 5 791 10 823ACTIF IMMOBILISE 214 281 115 407 98 873 113 172PROVISIONS POUR RISQUES 82 556 85 371Stocks 65 868 6 439 59 429 34 700Créances 94 297 94 297 48 784Emprunts et dettes assimilées 75 893 46 499Disponibilités 483 714 483 714 418 527 Fournisseurs et comptes rattachés 57 717 29 906Dettes fiscales, sociales et autres 34 800 65 824Charges constatées d'avance 6 593 6 593 6 820 Produits constatés d'avance 65 388 18 833Charges à répartir sur plusieurs exercices 6 256 6 256 36 241 DETTES 233 798 161 062ACTIF CIRCULANT 656 728 6 439 650 289 545 072TOTAL ACTIF 871 014 121 848 749 165 658 249 TOTAL PASSIF 749 165 658 249EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 30

ANNEXE AUX COMPTESL'exercice a une durée de 12 mois, couvrant la période allant du 01.09.2002 au 31.08.2003.Le Bilan fait apparaître un total de 749 165 €. Le compte de résultat dégage un bénéfice comptable de 20 997 €.Les notes et tableaux ci-après font partie intégrante des comptes annuels.I- Faits significatifs de l'exercicePlusieurs faits sont à signaler :- Une stabilité du nombre d’adhérents qui sont quand même passés de 4932 à 5001. Ceci est encourageant etmarque un changement de dynamique important. Le baisse prévue des effectifs lors de l’établissement dubudget 2002-2003 s’est transformée en stabilité.- Boutique Unioniste gérée par Promo-Scout, coopérative des Scouts de France : non facturation de foulardssur les deux derniers exercices, résultant d’une erreur de gestion. Ces foulards pour un montant de 3 061 € en2001-2002 ont été présentés à la facturation sur l’exercice sans avoir été pris en compte l’année dernière.- Prêts et aides : Au 31/08/2002, les avances de trésorerie accordées aux unités s’élevaient à 10 824 €. Devantla difficulté à recouvrir certaines de ces sommes une provision pour dépréciation de créance a été passée surl’exercice à hauteur de 2 287 € ainsi qu’ une perte de 2 795 €. Concernant cette perte, il est à noter que 3 303€ ont été pris en charge par la région Bas-Languedoc afin de solder une partie du problème.- La fermeture de la base de Cléron a entraîné la restitution à l’association des avoirs de la base. Ces avoirs ontété intégrés au bilan dans les dépôts.- Baisse de la rémunération de nos placements cette année encore.- Stocks dépréciés : nous disposons sur la Boutique d’un stock considérable de documents pédagogiquesmarins, notamment, dont la valeur actuelle est quasi nulle. Une provision pour dépréciation de stock de 6 439€ a été constituée pour prendre en compte cette dépréciation.- 2 changements de présentation sont à signaler :o En charges externes, figuraient jusqu’à présent les impressions faites pour la fabrication desclasseurs, fiches, carnets… La part de ces dépenses restant utilisables sur l’exercice suivantfigurait à l’actif du bilan en charges à étaler (28 572 € au 31/08/2002). La majeure partie de cesimpressions est destinée à la revente par l’intermédiaire de la Boutique, la part en stock au31/08/2003 figure désormais en stocks pour 23 358 €.o Du fait des nouvelles modalités d’encaissement des cotisations, les produits correspondantsparaissent connaître une forte augmentation sur l’exercice. C’est le reflet des nouvelles modalitésd’encaissement de ces dernières ce qui explique aussi l’augmentation du poste « autres charges »qui enregistre leur reversement pour 48 208 €.II- Principes, règles et méthodes comptablesPrincipe de présentation des comptes :Le Bilan et Compte de résultat présentés concernent uniquement le Siège national .Les unités, groupes locaux et régions ne constituent pas des entités juridiques distinctes du Secrétariat National.En conséquence, les comptes de l'association devraient présenter l'ensemble des opérations de ces entités.Le Conseil d’administration, relayé sur le terrain par les membres du S.N., a doté la plupart des régions et unitésdes moyens matériels permettant de faciliter la tenue de la comptabilité et son transfert vers le S.N..Malgré les efforts réalisés depuis plusieurs années, le SN constate l’impossibilité, cette année encore, deconsolider. Le S.N. n’a pas les moyens humains et financiers de se substituer aux défaillances des uns et desautres malgré l’amélioration de la situation mais cherche malgré tout des solutions.A défaut de consolidation et à titre de complément d'information sur les comptes de ces unités et groupes locaux,on peut préciser les points suivants :a) Concernant le Bilan :Les actifs de ces derniers comprennent :Matériel de camp pour environ 3 k€, valeur à neuf, par unitéMatériel de bureau et pédagogiques, pour mémoireCréances sur les familles, pour mémoireSolde du compte courantEEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 31

Les dettes peuvent comprendre :Les cotisations et les calendriers dus à la région, pour mémoireDes factures fournisseurs, pour mémoireLa consolidation des comptes des unités et régions aurait donc pour effet de majorer les actifs corporels de lavaleur nette comptable des matériels, et les actifs financiers.Au 31.08.2003, l’association compte 14 régions, 138 groupes locaux et 287 unités, chacun disposant d'un comptebancaire au moins.Au 31.08.2003, la position bancaire consolidée de l'association, hors Secrétariat national, se décomposait commesuit :Titre Nombre Mt unitaire Montant totalSolde Crédit Lyonnais en valeur 1 161 793 €(tous nos comptes au Crédit Lyonnais)Solde CCP 3 077 €Livret A 80 031 €Disponibilités bancaires dans le Bilan -483 714 €Total général 761 187 €b) Concernant le Compte de résultat :- La majeure partie des produits des unités est constituée par les recettes perçues à l'occasion des camps(participations des familles). Les frais liés aux camps constituent la majeure partie des charges des unités.- La majeure partie des produits des régions est constituée par la part régionale des cotisations, les participationsdes familles liées aux activités régionales et les subventions. Les frais sont directement liés aux activités deformation, rassemblements et revues régionales.Pour ces raisons, aucune consolidation ne peut être certifiée. Mais à titre indicatif, la présentation du rapportfinancier sera accompagnée d’un tableau consolidé des éléments reçus.III- Complément d'information sur les comptes de BilanL'évaluation des éléments inscrits en comptabilité a été pratiquée par référence à la méthode dite des coûtshistoriques.III-1 Variation de l'actif immobiliséDébut exercice Acquisitions Diminutions Fin exerciceTERRAINS 9 909,34 € 0,00 € 0,00 € 9 909,34 €Auriol 6 097,96 € 0,00 € 0,00 € 6 097,96 €Saint Véran 1 524,49 € 0,00 € 0,00 € 1 524,49 €Toulaud 2 286,74 € 0,00 € 0,00 € 2 286,74 €Monument de Walbach 0,15 € 0,00 € 0,00 € 0,15 €CONSTRUCTIONS 107 345,91 € 0,00 € 0,00 € 107 345,91 €Saint Véran 25 694,79 € 0,00 € 0,00 € 25 694,79 €Toulaud 144,83 € 0,00 € 0,00 € 144,83 €Rue Curton 81 506,29 € 0,00 € 0,00 € 81 506,29 €AGENCEMENTS 22 930,46 € 0,00 € 0,00 € 22 930,46 €Auriol 22 930,46 € 22 930,46 €MATERIEL ET MOBILIER 92 699,20 € 2 881,46 € 29 560,72 € 66 019,94 €Matériel de transport 10 671,43 € 0,00 € 0,00 € 10 671,43 €Matériel de bureau 41 488,27 € 179,00 € 25 217,90 € 16 449,37 €Matériel informatique 20 972,91 € 544,46 € 2 187,65 € 19 329,72 €Matériel d’imprimerie 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 €Matériel éducatif 2 656,73 € 2 158,00 € 2 155,17 € 2 659,56 €Matériel marin 16 909,86 € 0,00 € 0,00 € 16 909,86 €TOTAL 232 884,91 € 2 881,46 € 29 560,72 € 206 205,65 €EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 32

III-2 Variation des amortissementsLes taux d'amortissement retenus sont :- pour les immeubles : 2 % (durée d'amortissement 50 ans)- pour les agencements : 5 % (durée d’amortissement 20 ans)- pour le matériel autre qu'informatique et le mobilier : 10 % en linéaire (durée d'amortissement 10 ans)- pour le matériel informatique : 33 % en linéaire (durée d'amortissement 3 ans)- pour les logiciels : 50 % (durée d'amortissement 2 ans)Début exercice Dotations Sorties Fin exerciceCONSTRUCTIONS 31 830,64 € 2 144,14 € 0,00 € 33 974,78 €Saint Véran 15 927,89 € 514,05 € 0,00 € 16 441,94 €Toulaud 144,83 € 0,00 € 0,00 € 144,83 €Rue Curton 15 757,92 € 1 630,09 € 0,00 € 17 388,01 €AGENCEMENTS 22 930,43 € 0,03 € 0,00 € 22 930,46 €Auriol 22 930,43 € 0,03 € 0,00 € 22 930,46 €MATERIEL ET MOBILIER 75 773,41 € 10 004,63 € 29 560,71 € 56 217,33 €Matériel de transport 10 671,44 € 0,00 € 0,00 € 10 671,44 €Matériel de bureau 30 465,94 € 6 002,54 € 25 217,90 € 11 250,58 €Matériel informatique 15 069,45 € 3 810,92 € 2 187,64 € 16 692,73 €Matériel éducatif 2 656,72 € 191,17 € 2 155,17 € 692,72 €Matériel marin 16 909,86 € 0,00 € 0,00 € 16 909,86 €TOTAL 130 534,48 € 12 148,80 € 29 560,71 € 113 122,57 €III-3 Détail des réservesAffectation du résultatExercice Résultat ProjetRéserves Prov. Congrès/1573Antérieur 1 681,47 € 1 681,47 €1995/1996 33 243,91 € LCA 15 244,90 € 17 999,01 €1996/1997 28 660,42 € Développement 28 660,42 €1997/1998 67 118,67 € LCA 33 996,13 € 33 122,54 €1998/1999 30 029,59 € 30 029,59 €1999/2000 -17 812,89 € Développement -3 048,98 € -14 763,91 €2000/2001 -20 366,49 € Affectation pour -49 241,03 € -20 366,49 € 49 241,03 €provision Congrès2001/2002 18 157,00 € 67 398,00 € -49 241,03 €2002/2003 20 997,24 € 20 997,24 €TOTAL 140 711,68 € 25 611,44 € 136 097,45 € 0,00 €III-4 ProvisionsUne provision est maintenue au bilan :‣ la provision pour travaux au siège national s’élève à 82 556 € après reprise pour travaux sur la toiturenotamment.III-5 Comptes internesEn l’absence de consolidation, les comptes actif et passif du bilan présentent des comptes internes, dont les plussignificatifs sont :‣ A l’actif, « Prêts et avances » pour 5 791€ après prise en compte de la perte détaillée §I.‣ Au passif, « Placements des régions » (et unités) pour 73 188 €.L’association n’a aucun endettement externe.EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 33

IV- Eléments concernant le Compte de résultatIV-1 Cotisations :Le nombre d’adhérents au 31.08.2003 était de 5001.IV-2 Provisions :Sans objet.IV-3 Valorisation des contributions volontairesLes contributions volontaires n'ont pas été intégrées dans le compte de résultat, l'association ayant bénéficié descontributions suivantes :Travail d'encadrement des unités par les responsables(Il y a 1175 responsables dans l'ensemble des unités)3 109 000 €Détail du calcul des contributions volontairesCoëfficient 250Valeur du point 5,04Salaire mensuel brut = coefficient x valeur du point 1 260 €Salaire mensuel avec charges = salaire mensuel brut + 40% 1 764 €Pour les responsablesTemps de travail annuel = 1 camp de 3 semaines + 20 week-ends d’une journéesoit1,5 moisNombre de responsables en fin d'exercice 1175Contribution volontaire = nb personnes x nb mois x salaire mensuel 3 109 050 €arrondi à 3 109 000 €V- Autres informationsDettes garanties par des sûretés réelles :Crédit bail :Engagement financier :AucuneAucunAucunVI- EffectifsAu 31.08.2003, l'association employait 14 salariés dont 10 étaient sous convention emplois-jeunes.EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 34

Résultats du questionnaire « mesure d’impact »1. Vous sentez-vous fiers d’appartenir aux EEUdF :A un peu...............................................................................................8.8B beaucoup........................................................................................62.6C à la folie ..........................................................................................27.5D pas du tout........................................................................................1.1Réponses en gras2. Je trouve que les courriers du président m’apportent :A de la motivation...............................................................................8.6B coûtent cher....................................................................................18.5C quel courrier ?.................................................................................32.1D une valorisation de mon action ».................................................38.3Pas de réponse ........................................................................................2.53. Quelle action pour l’environnement ferais-je en priorité durant le camp :A organiser un forum............................................................................8.0B utiliser des toilettes chimiques...........................................................5.7C organiser un tri sélectif6...............................................................62.1D acheter bio......................................................................................20.7Pas de réponse ........................................................................................3.44. Parmi ces personnes, combien connaissent notre association dans votre ville ou votre région : Maire ouadjoint - Journaliste local - Inspecteur jeunesse et sports – Pasteur - Responsable Scouts de France ?A 0 .......................................................................................................2.4B 1 .....................................................................................................12.9C 2 .....................................................................................................29.4D >3 ...................................................................................................52.9Pas de réponse ........................................................................................2.45. Quel message l’intervenant nous a-t-il transmis lors de la dernière AG ?A l’éducation populaire a raison d’être................................................14.8B Dieu t’aime........................................................................................8.0C les conduites addictives sont le signe d’un mal-être .................59.1D l’alicament n’est qu’un produit marketing...........................................5.7Pas de réponse ......................................................................................12.56. Quelle proposition ne permet pas de mesurer pour vous la qualité d’une animation scoute ?A l’ambiance générale........................................................................22.2B le plaisir des enfants.......................................................................7.8C la préparation préalable ..................................................................26.7D le nombre de participants................................................................33.3Pas de réponse ......................................................................................10.07. Dans le projet éducatif, quelle valeur n’est pas citée ?A le civisme..........................................................................................4.5B le développement durable...............................................................47.8C la générosité ...................................................................................40.3D l’égalité homme/femme...................................................................7.58. Parmi les supports pédagogiques, lequel n’a pas été édité récemment ?A le dossier méthode Branche moyenne ..............................................4.3B le livret adulte....................................................................................7.4C le référentiel de bonnes pratiques ...................................................16.0D l’affiche loi BC...............................................................................71.3Pas de réponse ........................................................................................1.19. L’aide d’adultes et de cadres locaux est utile aux groupes locaux :A rarement ...........................................................................................2.2B ponctuellement................................................................................26.4C jamais ...............................................................................................2.2D tout au long de l’année .................................................................68.1Pas de réponse ........................................................................................1.110. Pour vous, la réaffirmation du rôle moteur de l’échelon régional dans le PAN est-elle :A fondamentale ..................................................................................28.7B utile.................................................................................................32.2C désormais plus adaptée à la situation .............................................14.9D Sans objet......................................................................................20.7Pas de réponse ........................................................................................3.411. La part administrative de votre tâche est pour vous :A en augmentation constante.............................................................36.3B toujours pareille...............................................................................31.9C en diminution du fait des simplifications ....................................17.6D c’est quoi l’administratif .....................................................................9.9Pas de réponse ........................................................................................4.412. Quel outil m’a permis le plus d’améliorer la qualité de mes activités (l’année dernière) ?A les formations suivies......................................................................38.5B les documents pédagogiques..........................................................14.3C l’auto-évaluation à partir du référentiel de bonnes pratiques ....20.9D la visite de l’équipe régionale ou nationale ......................................15.4Pas de réponse ......................................................................................11.0EEUdF - Compte-rendu AG 2004 - page 35