28 avril 23 septembre 2012 - Montpellier Agglomération - Mailing
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<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>Sommaire1<strong>23</strong>4567<strong>Montpellier</strong>,terre de faïences :10 ans de fouillesarchéologiquespréventivesp. 3Vie quotidienneet techniques defabrication dans le<strong>Montpellier</strong> d’époquemoderne au sitearchéologique Lattara -musée Henri Pradesp. 6Les plus belles piècesde la faïencemontpelliéraineau musée Fabre de<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>p. 9Pour aller plus loin,un catalogueet des animationsgratuitesp. 12Informations pratiquesp. 14Les tramwaysles plus sexy d’Europep. 16Les partenairesp. 17“ Les découvertes archéologiquesfaites ces dix dernières années parl’Institut national de recherchesen archéologie préventive (Inrap),sous le contrôle scientifique duservice régional de l’archéologie(DRAC Languedoc-Roussillon) etpréalablement à la construction des lignes 1 et 2 dutramway de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> font l’objet d’uneexposition inédite en deux volets, au musée Fabre et au sitearchéologique Lattara – musée Henri Prades.Le choix s’est porté sur les découvertes les plusspectaculaires grâce à la mise au jour de nombreux ateliersde potiers et de faïenciers dans différents quartiers dela ville médiévale et moderne. Autour des grands foursdestinés à la cuisson des vases, des milliers de tessons depoteries ont été patiemment collectés, étudiés et restauréspar le LA3M d’Aix-Marseille Université et le CNRS. Ilspermettent aujourd’hui de donner une idée précise, ens’aidant des documents d’archives conservés à <strong>Montpellier</strong>,de la perpétuation de cet art depuis près de 800 ans.Au musée Fabre, vous découvrirez les chefs-d’œuvrede la production montpelliéraine suivant un parcourschronologique, alors qu’au musée Henri Prades vousaborderez les techniques de fabrication ainsi que l’usagedes poteries et des faïences dans la vie quotidienne.Cette exposition entre nos deux musées, désormais reliéspar la ligne 3 du tramway, fournit l’occasion de valoriserde longues recherches scientifiques tout en rendant à<strong>Montpellier</strong> la place qu’elle mérite dans l’histoire de lacéramique comme centre majeur de production de faïencependant cinq siècles !”Jean-Pierre Moure,Président de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>.www.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Dossier de presse2
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>1<strong>Montpellier</strong>, terre de faïences :10 ans de fouillesarchéologiques préventivesÀ l’occasion de la mise en service simultanée des Lignes 3 et 4 de son réseau de tramway,<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> propose une exposition en deux volets dans ses deux musées, le muséeFabre et le site archéologique Lattara - musée Henri Prades, pour rendre compte des découvertesarchéologiques faites ces dix dernières années préalablement aux travaux d’aménagement des Lignes1 et 2 de son réseau.<strong>Montpellier</strong>, terre de faïences, potiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle est le fruit de longuesrecherches interdisciplinaires, depuis les fouilles préventives menées par l’Institut national de recherchesarchéologiques préventives (Inrap), qui a mis au jour l’activité céramique et faïencière de la capitalelanguedocienne, jusqu’à l’étude de mobilier effectuée par le Laboratoire d’Archéologie médiévale et moderneen Méditerranée (Aix-Marseille Université / CNRS). Elle est surtout l’occasion de rendre à <strong>Montpellier</strong> laplace qu’elle mérite dans l’histoire de la céramique comme centre majeur de production de faïence pendantcinq siècles, et, pour le public, d’emprunter la nouvelle Ligne 3 de tramway, qui relie depuis le 7 <strong>avril</strong> lesdeux musées de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>.Un billet unique pour une offreculturelle exceptionnelle avec les muséesde <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>À noterPrésentée en 2 volets, <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>met en place un billet unique pour accéder àl’exposition <strong>Montpellier</strong>, terre de faïences.Ce billet permettra également d’accéderaux collections permanentes et à certainesexpositions temporaires des musées del’<strong>Agglomération</strong> et de la médiathèque centraled’<strong>Agglomération</strong> Émile Zola, soit 4 expositionset 2 collections permanentes accessibles avecun billet unique !• Amelin et son temps (1820-1849),dessins de Jean-Marie Amelin,à la médiathèque centraled’<strong>Agglomération</strong> Émile Zola(10 mai - 16 juin).• Alexandre Hollan, le chemin de l’Arbreau musée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>(jusqu’au 3 juin).• Jean Cocteau, unique et multipleau musée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>(12 mai - 2 <strong>septembre</strong>).www.montpellier-agglo.com• Les invités, exposition d’art contemporaindans le cadre des 30 ans du FRACLanguedoc-Roussillon, au sitearchéologique Lattara - muséeHenri Prades de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>(9 juin - 16 <strong>septembre</strong>).• Les collections permanentes du muséeFabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>et du site archéologique Lattara - muséeHenri Prades de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>.Et à partir du <strong>23</strong> juin <strong>2012</strong>, les visiteurs quiferont l’acquisition d’un billet d’entrée àl’exposition temporaire Corps et Ombres :Caravage et le caravagisme européenpourront accéder à l’ensemble desexpositions et collections permanentes sansbillet supplémentaire !<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Dossier de presse3
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>11.1 De l’aménagement du territoire à une expositionDans le cadre de la loi sur l’archéologie préventive, l’État (DRAC Languedoc-Roussillon) a prescrit desdiagnostics et fouilles préventives préalablement à l’aménagement des Lignes 1 et 2 du tramway de<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>. Les fouilles qui ont été engagées et financées par <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>,ont été confiées à l’Inrap. Sous le contrôle scientifique de la DRAC, elles ont permis d’explorer des ateliersde potiers qui n’étaient connus jusque-là que par les documents d’archives.Ainsi, deux secteurs du faubourg du Pila-Saint-Gély, un quartier extra-muros où se concentrent différentesactivités dont celles de nombreux céramistes, ont été fouillés en 2000 et 2001 sur le tracé de la Ligne 1.Ils ont livré des fours, ainsi qu’une grande quantité de matériel attribué aux potiers-faïenciers Favier (findu XVI e s.- début du XVII e s.) et Boissier (XVII e ). En 2005 et 2006, la construction de la Ligne 2 a occasionnéune nouvelle incursion au cœur de ce faubourg et a permis l’étude de l’atelier Collondres (XVIII e s.), uneimportante famille de céramistes montpelliérains. Non loin de cette zone, la fouille du collège Clémence-Royer, en 2005, a quant à elle permis de compléter ces observation grâce à la mise au jour d’un atelier enactivité pendant près d’un siècle (de la fin du XV e aux trois premiers quarts du XVI e ).À la suite de ces chantiers, la restitution au publicde ces découvertes a nécessité de nombreusesapproches complémentaires : l’étude desaménagements qui composaient les ateliersde potiers, l’identification des céramiques, lesanalyses géochimiques des argiles employéespour la confection des pots afin d’en déterminer laprovenance, les analyses archéomagnétiques pourdater les fours, le moulage de ces mêmes fourspour garder la mémoire de ces techniques… Cesont ces différents aspects, largement illustrés parle mobilier issu des fouilles, qui sont présentés ausite archéologique Lattara - musée Henri Pradesde <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>.Les données de l’archéologie ont ensuite étéconfrontées aux sources historiques, pour définirl’identité des potiers, leurs histoires et retrouverparmi les collections publiques et privées, enFrance comme à l’étranger, d’autres exemplesde cette production. Les plus belles pièces ainsiidentifiées sont exposées au musée Fabre de<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>.<strong>Montpellier</strong>, Atelier Pierre Favier jeune,Pot de monstre avec le portrait de Louis XIII, vers 1650-1660Collection Christian Bonnin, Béziers© Cliché F. Jaulmes / Musée Fabre <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>www.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Dossier de presse4
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>11.2 <strong>Montpellier</strong>, une terre de potiers<strong>Montpellier</strong> est une terre d’élection pour les potiers et nombre d’érudits en ont souligné l’importance, dès leXIX e siècle, grâce aux collections de vaisselles et de vases d’apothicairerie en faïence conservés en place oudans les musées européens. Avec le renouvellement considérable de la documentation ces dernières années,il est devenu possible de dresser une synthèse des productions réalisées par les artisans montpelliérainsdepuis le XIII e siècle jusqu’au XVIII e siècle et d’en révéler toute la diversité.À côté des faïences, qui seules avaient retenul’attention des chercheurs, <strong>Montpellier</strong>, terrede faïences présente tout un pan ignoré descréations de terre brute ou vernissée d’une trèsgrande inventivité. Ces objets élaborés dans lesmêmes ateliers répondent à tous les besoinsde la vie quotidienne d’une ville. La polyvalencedes potiers-faïenciers montpelliérains est àsouligner ; c’est une des grandes découvertes desces dernières années.<strong>Montpellier</strong>, Atelier Daniel Ollivier ou son entouragePaire d’albarelli, 1 e moitié XVII e siècle<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>, Musée Fabre,Ancienne collection Chompret© Cliché F. Jaulmes / Musée Fabre <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong><strong>Montpellier</strong>, terre de faïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle• Plus de 500 pièces issues de la productionmontpelliéraine présentées en 2 volets,soit 10 ans de fouilles archéologiques pouraménager 56 km de voies de tramway• 1 partenariat exceptionnel entre<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>, l’Inrap,le LA3M (AMU/CNRS) et la DRACLanguedoc-Roussillon entre aménagementdu territoire et culture• 1 film documentaire inéditde 15 minutes• 1 catalogue de référence de 600 pageset 800 illustrations• Un cycle de 9 conférences gratuites dansles lieux d’exposition de l’<strong>Agglomération</strong>• 2 concerts gratuits duConservatoire à rayonnement régionalde <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>autour du répertoire duXVI e au XVIII e siècle• 3 jours de démonstrations publiquesde potiers au site archéologiqueLattara - musée Henri Prades• 1 dégustation de produits du terroir(gastronomie et faïences) au sitearchéologique Lattara - musée Henri Pradeswww.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Dossier de presse5
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>2Vie quotidienne et techniquesde fabrication dans le <strong>Montpellier</strong>d’époque moderne au site archéologiqueLattara - musée Henri PradesLe volet de <strong>Montpellier</strong>, terre de faïencesprésenté par le musée archéologique de<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>, à Lattes, est consacréaux aspects archéologiques des découvertes. Les300 objets et pièces d’outillage exposés sont issusdes fouilles préventives menées sur les chantiersde construction des lignes de tramway de<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>. 40 pièces empruntéesà des musées français viennent compléter lemobilier issu des fouilles. Le parcours privilégieune présentation des objets du point de vue de leurfonction et de leurs usages. Les visiteurs plongentainsi dans la vie quotidienne des Montpelliérainsà l’époque moderne. Des gravures anciennes etdessins de Jean-Marie Amelin, illustrateur duquotidien à <strong>Montpellier</strong> au début du XIX e siècle,ponctuent l’ensemble du parcours.Réalisée par la compagnie Saluces,la scénographie du musée Henri Prades de<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> s’appuie surles dessins de Jean-Marie Amelin conservés à lamédiathèque centrale d’<strong>Agglomération</strong> Émile Zola.Vue d’un jardin sur la route de Sète© MCA - <strong>Montpellier</strong>Les invités, une exposition contemporaine en résonanceavec les découvertes archéologiquesÀ partir du 29 juin, et jusqu’au 16 <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>, les visiteurs de <strong>Montpellier</strong>, terre de faïencespourront également découvrir une exposition inédite d’art contemporain dans les salles du muséearchéologique. À l’occasion de l’anniversaire des 30 ans du Fonds Régional d’Art ContemporainLanguedoc-Roussillon, Les invités met en résonnance des œuvres issues du FRAC Languedoc-Roussillon avec les collections permanentes du site de Lattara ainsi qu’avec l’exposition temporaire<strong>Montpellier</strong>, terre de faïences et les collections permanentes du musée. De plus, trois artistes “invité”(Laurette Atrux-Tallau, Delphine Gigoux-Martin et Stephen Marsden) proposeront pour la circonstancede nouvelles créations.www.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Dossier de presse6
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>22.1 Un parcours muséographiqueà travers la vie quotidienne à l’époque moderneLes techniques de fabrication du Moyen Âge au XVIII e siècleÀ Lattes, <strong>Montpellier</strong>, terre de faïences s’attache à développer les techniques de fabrication. Le façonnage estévoqué par la présentation d’un tour à pied des ateliers Sicard d’Aubagne, de l’outillage de fortune et des moules: l’application des décors par des conques pour la glaçure, les oxydes et couleurs. Deux moulages de fours del’atelier Boissier de <strong>Montpellier</strong>, fouillé en 2000-2001, sont présentés dans la section sur la cuisson, aux côtésd’outils d’enfournement. Les défauts et accidents de cuisson présents sur certaines pièces archéologiquestémoignent des difficultés du métier.Un film inédit, réalisé pour l’exposition, présenteen 15 minutes le travail de François Siffre,descendant de l’atelier Artus-Siffre de <strong>Montpellier</strong>.Ce Montpelliérain perpétue le savoir-faire desfaïenciers des XVII e et XVIII e siècles, en retrouvantles gestes de ses ancêtres. Avec son art, il faitrevivre les plus belles heures de la manufactureroyale de <strong>Montpellier</strong>. Trois autres films sur lestechniques, empruntés à Argileum – maison dela poterie à Saint-Jean-de-Fos – conçus à partird’images fixes et de films tournés en Languedoc eten Méditerranée, sont présentés dans cette section.Un film inédit de 15 minutes présentedans le parcours d’exposition du muséearchéologique les gestes de l’artisanpotier. Réalisé par David Geoffroy,Court-Jus Production (Sugères) ;produit par <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>.Revivre le quotidien des Montpelliérainsde l’époque moderneLa visite débute dans la cuisine. Toute la batteriedes poteries culinaires y est présentée : poêlons,marmites, lèchefrites et jattes pour la préparationdes repas. Les objets les plus précieux et lespetites pièces sont regroupés dans des vitrines.Le visiteur poursuit avec l’extérieur de la maison :poteries d’eau (tuyaux, tuiles..), qui évoquent lecaptage de l’eau et son acheminement du puits àla maison : l’orjol en est la figure emblématique,accompagné de gravures et de peinturesanciennes illustrant le transport de l’eau par lesfemmes. Le jardin est évoqué par une rangée depots de fleurs et vases de jardin pour les orangerset autres arbustes d’agrément.Vase tulipe en camaïeu de bleu et brun,fin du XVII e siècle. Atelier Boissier© Ph. Groscaux, LA3Mwww.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Dossier de presse7
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>2La vaisselle de table et de service (plats,assiettes, pots à vin, bouteilles, salières, coupes)et un vaisselier avec des assiettes décorativesconstituent la partie suivante.Une section importante de ce parcours estdévolue à l’apothicairerie et à la médecine. Ledéveloppement de cette activité spécifique dela ville, est lié aux commandes effectuées auxartisans potiers et influencera tout un pan de leurcréation en faïence.L’exposition se termine dans la chambre avecsa cheminée carrelée, où figurent les poteriessanitaires (pots de toilette, navette à savon, plats àbarbe, vases de nuit), les lampes, les chandelierset les objets de piété individuelle, comme lesbénitiers et d’autres vases décoratifs.Assiette à décor marbré,Atelier vers 1660.© Ch. Durand, Centre Camille JullianAmelin et son temps (1820-1849)Les dessins originaux de Jean-Marie Amelinà la médiathèque centrale d’<strong>Agglomération</strong> Émile ZolaLa scénographie de l’exposition <strong>Montpellier</strong>,terre de faïences au site archéologiqueLattara - musée Henri Prades de<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> s’appuielargement sur les dessins de Jean-MarieAmelin, artiste local du XIX e siècle. Ils fontla part belle à l’art de vivre à <strong>Montpellier</strong>,avec des scènes d’intérieurs, des puitset différentes vues pittoresques des lescommunes de l’<strong>Agglomération</strong>.La médiathèque centrale d’<strong>Agglomération</strong>Émile Zola propose de poursuivre ladécouverte des dessins de Jean-MarieAmelin, à travers une exposition gratuiteinédite du 10 mai au 16 juin. Les dessinsprésentés sont issus de la collection léguéepar le Dr Fages en 1877. Onze grands albumsregroupent 2 477 gouaches, aquarelles,dessins à la mine de plomb ou à la plume,lavis d’encre de chine ou de sépia, simplesesquisses que Jean-Marie Amelin a exécutéesentre 1820 et 1848.www.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Dossier de presse8
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> 201<strong>23</strong>Les plus belles pièces de la faïencemontpelliéraine au musée Fabrede <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Dans les espaces de la Galerie des Colonnes,le musée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>présente un florilège de près de 250 piècesexceptionnelles de céramique issues pourpartie des fouilles, et pour leur grande majoritéde collections publiques, privées et de grandsmusées français et étrangers, au cœur descollections contemporaines de peinture etsculpture. Grâce un dispositif de meubles vitrines,disposés sur socle habillé de miroir, la matièreréfléchit le sol et les tableaux environnants,donnant l’impression que les pièces exposéesflottent dans la galerie. Un système de plateaux,qui reçoivent les objets, ainsi que le discourssignalétique, découpent cette banque quel’éclairage ponctuel piqué dans un matériauconducteur vient animer.Réalisée par la compagnie Saluces,la scénographie du musée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> met envaleur les plus belles pièces issues de la production montpelliérained’époque moderne.© SalucesÉvolution de la production locale du Moyen Âge au XVIII e siècleConstituée grâce à des prêts de grands musées français et étrangers - Sèvres cité de la céramique, Muséedu Louvre, Musée de l’Ariana à Genève, Victoria and Albert museum de Londres… - comme d’institutionslanguedociennes et provençales - Musée d’Art Sacré de Pont-Saint-Esprit, Musée du Vieil Aix, musée dela faïence de Marseille, Musée de Narbonne,apothicairerie de Carpentras, … - le volet de<strong>Montpellier</strong>, terre de faïences présenté au muséeFabre suit l’évolution stylistique et chronologiquede la production montpelliéraine, en se basantsur un corpus unique en France de documentsd’archives, de trouvailles archéologiques etd’analyse scientifique des terres.Les sections initiales, en guise d’introduction,présente l’ancrage du travail de la terre à<strong>Montpellier</strong> dès le XIII e siècle.Atelier Daniel Ollivier ou son entourageChevrette, 1 ère moitié du XVII e siècle,Museon Arlatan Musée départemental d’ethnographie, Arles© Museon Arlatan, musée départemental d’ethnographie, Arleswww.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Dossier de presse9
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> 201<strong>23</strong>Les trois parties suivantes évoquent les premières séries de vases pharmaceutiques dans la tradition desmajoliques de la Renaissance italienne et espagnole. Les premières productions de Pierre Estève au milieudu XVI e siècle en constituent le point de départ, conjointement à l’installation d’Antoine Syjalon à Nîmes ;elles permettent de réévaluer le rôle moteur de <strong>Montpellier</strong> dans l’éclosion de la faïence en Languedoc.Grâce aux modèles moulés retrouvés dans l’atelier Favier et la grotte dépotoir du XVII e siècle fouillée à<strong>Montpellier</strong>, sont regroupées les séries caractéristiques de pots canon blancs à cartouche brun, ou en bleuet jaune “a compendiario” que l’on retrouve encore en place dans certaines apothicaireries.La cinquième section regroupe les découvertes de l’atelier Boissier de la 2 e moitié du XVII e siècle : lescoupes, écuelles, plats et vases de monstre à décor en camaïeu bleu et brun qui y sont attestés. Le visiteurpourra notamment découvrir un grand plat en relief, découverte notable de ces fouilles, représentant Lesacrifice d’Abraham. Ce modèle que l’on retrouve chez les suiveurs de Bernard Palissy, en pré d’Auge oudans le sillage de l’école de Fontainebleau, offre le témoignage exemplaire de la postérité de certains moulesdans des ères chronologiques et géographiques éloignées. Ces découvertes constituent à elles seules uneavancée majeure pour l’histoire de la céramique.La sixième section présente les grandes sériesproduites par la Manufacture Royale de JacquesOllivier, et alentours, à la fin du XVII e et auXVIII e siècle. Elle marque ainsi l’apogée de laproduction de pièces de pharmacie, et permet dejuger du niveau de qualité atteint à la fin du règnede Louis XIV. Au-delà, c’est toute une nouvellegamme de céramiques pour la toilette, la tableou l’ornement qui voit le jour. Elle montre aussila production de carreaux de revêtement decheminées et de panneaux, illustrée par des sériesstylistiques provenant de châteaux et demeures dela région (<strong>Montpellier</strong>, Pézenas, etc.), et le décor àla Bérain, jusqu’alors négligé par l’historiographie.Un vaste corpus de grands plats spectaculaires austyle bien défini, qui constituent parmi les chefsd’œuvre de la production montpelliéraine, estici présenté.L’exposition s’achève sur la question desproductions à décors floraux naturalistes surfond blanc ou jaune qui, si elles sont aujourd’huijustement remises en cause, constituent une partimportante de l’historiographie de la céramique à<strong>Montpellier</strong>.<strong>Montpellier</strong>, Atelier Daniel Ollivier ou son entourage,Chevrette aux rois de France, 1 ère moitié XVII e siècle,Sèvres - Cité de la céramique© RMN / Martine Beck-Coppolawww.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>10Dossier de presse
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> 201<strong>23</strong>L’Hôtel de Cabrières-Sabatier d’Espeyran,département des Arts décoratifsdu musée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Ouvert en février 2010, après un chantier dedeux ans d’un montant de 4 365 400 € financéà 70% par <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>,l’Hôtel de Cabrières-Sabatier d’Espeyran,département des Arts décoratifs du muséeFabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>, proposedans son exposition permanente, les plusbelles pièces de faïence des collections dumusée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>.Le public de <strong>Montpellier</strong>, terre de faïencespourra découvrir, au sein de cet hôtelparticulier, un fonds exceptionnel de céramiqueset de pièces d’orfèvrerie. Il pourraégalement confronter les collections classiquesà la création contemporaine grâceà l’exposition temporaire Perturbations.Proposée au sein des salles de l’Hôtel deCabrières-Sabatier d’Espeyran depuis le31 mars, et jusqu’au 16 <strong>septembre</strong>, cetteexposition vient perturber les sages sallesbourgeoises du XIX e siècle avec des piècesde plasticiens internationauxPerturbations vient compléter l’exposition de pièces decéramiques au musée Fabre avec des œuvres contemporainesinsérées dans les salles d’un hôtel particulier.© <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Un billet à 7 € est proposé aux visiteurs au musée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>, donnantaccès aux deux volets de l’exposition <strong>Montpellier</strong>, terre de faïences, aux collections permanentesdes deux musées et à l’Hôtel de Cabrières-Sabatier d’Espeyran.www.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>11Dossier de presse
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>4Pour aller plus loin,un catalogue et des animations gratuites4.1 Un catalogue de référenceÀ l’occasion de l’exposition organisée par <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> dans ses deux musées, un ouvrage de600 pages et 800 illustrations vient montrer toute la diversité des productions locales autant que la maîtriseatteinte par les faïenciers montpelliérains, à la lumière d’un corpus unique de documents d’archives, derésultats de fouilles et de données archéométriques.<strong>Montpellier</strong> est une terre d’élection pour la céramique : nombred’érudits en ont souligné l’importance depuis le XIX e siècle, grâceaux riches collections conservées in situ dans les collectionscomme dans les grands musées européens. Les travaux fondateursde Jean Thuile, publiés en 1943, avaient déjà consacré le rôleprimordial de la capitale languedocienne dans le développement dela faïence française.Les récentes découvertes de l’archéologie préventive ont permis derenouveler en profondeur la connaissance de ce centre de productionet de dévoiler la richesse d’une industrie qui se développa sansdiscontinuité du XIII e au XIX e siècle. Les essais publiés ici appuyéssur une riche iconographie mettent ainsi en lien les résultats de larecherche archéologique avec les pièces muséales et apportent unecontribution majeure à l’étude des origines et du développement dela faïence en France, entre Espagne et Italie.<strong>Montpellier</strong>, terre de faïences,Potiers et faïenciersentre Moyen Âge et XVIII e siècleEd. Silvana editoriale, MilanPrix de vente : 36€4.2 De nombreuses animations gratuitespour compléter l’expositionCycle de conférences gratuites> Au musée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Auditorium• Vendredi 4 mai à 18hLa majolique au XVI e siècle : de l’Italie versla France - Françoise Barbe, Conservateur -Département des objets d’arts, musée duLouvre• Mercredi 6 juin à 18hDe la vanité baroque à la galerie descheminées – revêtements de faïence enLanguedoc XVII e -XVIII e siècles - HenriAmouric, Directeur de recherche au CNRS,Directeur du LA3M (Laboratoire d’ArchéologieMédiévale et Moderne en Méditerranée)• Mercredi 20 juin à 18h<strong>Montpellier</strong>, terre de faïences :cinq siècles de production de céramique dansla ville - Jean-Louis Vayssettes, Ingénieur derecherche, Service Régional de l’Archéologie,DRAC Languedoc-Roussillon• Mardi 18 <strong>septembre</strong> à 18hExposer la céramique de la renaissance :les nouvelles salles du musée national deSèvres - Cité de la céramique au Musée HenriPrades - Laurence Tilliard, Conservatrice -Département du patrimoine et des collections,Sèvres - Cité de la céramique. En collaborationavec le Comptoir des Presses d’universitéswww.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>12Dossier de presse
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>4> Au site archéologique Lattara – muséeHenri Prades de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>• Jeudi 3 mai à 18hApparition et développement de la faïenceà <strong>Montpellier</strong>, du Moyen Âge à l’époquemoderne - Lucy Vallauri, Ingénieur derecherche, Laboratoire d’ArchéologieMédiévale et Moderne en Méditerranée, CNRS,Aix-Marseille Université, UMR 7298 /Jean-Louis Vayssettes, Ingénieur derecherche, Service Régional de l’Archéologie,DRAC Languedoc-Roussillon• Jeudi 31 mai à 18hAménagements urbains et archéologiepréventive. Les fouilles récentes d’ateliersde potiers dans la ville de <strong>Montpellier</strong> -Olivier Ginouvez, Responsable d’opération,Inrap CRA de Villeneuve-lès-Béziers• Jeudi 21 juin à 18hL’artisanat verrier du Moyen Âgeà l’époque contemporaine en Languedoc -Laurence Serra, Docteur en archéologie,chercheur associée au LA3M, CNRS,Aix-Marseille Université, UMR 7298 / Alain Riols,Vice-président de l’Association Française pourl’Archéologie du Verre / Isabelle Commandré,Doctorante en archéologie, Centre CamilleJullian - UMR 7299, Aix-Marseille Université• Jeudi 20 <strong>septembre</strong> à 18hLes pots de pharmacie : objets d’art, objetsutilitaires et objets de litige - Colette Charlot,Docteur en pharmacie, maître de conférencesémérite en chimie analytique à la faculté dePharmacie de <strong>Montpellier</strong> et conservateurdu musée de la pharmacie de <strong>Montpellier</strong>> À la médiathèque centrale d’<strong>Agglomération</strong>Émile Zola• Jeudi 10 Mai à 18h30Autopsie d’une chronique médiévale : le Petitthalamus de <strong>Montpellier</strong> - Vincent Challet,Maître de conférences à l’UniversitéPaul Valéry - <strong>Montpellier</strong> 3Concerts gratuitsAvec le Conservatoire à Rayonnement Régionalde <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>.Ensemble de Musique Ancienne, composédes professeurs du Conservatoire, jouantexclusivement sur instruments anciens oucopies d’anciens.www.montpellier-agglo.com> Au musée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>• Dimanche 13 mai à 16hProgramme original de concerti, sonates...Œuvres des XVII e et XVIII e siècles, pour2 instruments solistes, cordes, claviers etbasse-continue. Cesare, Falconiero, Speer,Telemann, Vivaldi, ...Salle des Griffons - places à retirer à partir du11 mai à l’accueil du musée.> Au site archéologique Lattara - muséeHenri Prades de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>• Vendredi 12 octobre à 18h30Passions italiennes. Mélodies du XVI eet XVII e siècles pour voix et archiluth.Œuvres de Monteverdi, Caccini, Frescobaldi.Visites et animations> Au musée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>• Visites guidées individuelles à 14h et 16hLes dimanches 6 mai, 3 juin, 1 er juillet, 5 aoûtet 2 <strong>septembre</strong>. Visites gratuites dans la limitedes places disponibles.• Journées du patrimoineLe samedi 15 et le dimanche 16 <strong>septembre</strong>.Visites gratuites à 11h, 14h et 16h.• Visite-atelier pour les publics déficients auditifsÀ la découverte de la céramiqueSamedi <strong>23</strong> juin de 14h30 à 16h. Visite LSF. 5 €> Au site archéologique Lattara - muséeHenri Prades de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>• Visites guidées sur réservationAu 04 67 99 77 24 / 04 67 99 77 26• Démonstrations publiques gratuitesde potiersVendredi 18, samedi 19 et dimanche 20 mai.Tournage et moulage de poteries sigillée,gauloise et médiévale et présentation defaïences de <strong>Montpellier</strong>.Samedi 19 mai, de 19h à <strong>23</strong>h, cuisson nocturnedes poteries sur le site archéologique etbanquet de dégustation au temps de laRenaissance dans le cadre de la nuit desmusées. Entrée libre• Dégustations et ventes de produits du terroir(miel, huile, olives, vin, tomates, faïencesde <strong>Montpellier</strong>)Samedi 18 et dimanche19 août de 14h à 19h.<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>13Dossier de presse
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>5Informations pratiquesCommissariat d’expositionSite archéologique Lattara - musée HenriPrades de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Commissariat général :Lionel Pernet, directeur,Conservateur du patrimoineMusée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Commissariat général :Michel Hilaire, directeur,Conservateur général du patrimoine,et Jérôme Farigoule,Conservateur du patrimoineCommissariat scientifiqueHenri Amouric, directeur de recherche,directeur du LA3M (AMU/CNRS)Olivier Ginouvez, responsable d’opération, InrapHenri Marchesi, Conservateur régional del’archéologie, DRAC LRLucy Vallauri, ingénieur de recherche, LA3M(AMU/CNRS)Jean-Louis Vayssettes, ingénieur de recherche,Service régional de l’archéologie, DRACBillet commun musée Fabresite archéologique Lattara - musée Henri PradesPendant la durée de l’exposition, tout billet acheté au musée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> (àl’exception de celui pour l’Hôtel de Cabrières-Sabatier d’Espeyran seul) donne droit à une entrée ausite archéologique Lattara - musée Henri Prades. Au site archéologique Lattara - musée Henri Prades,un billet à 6 € donne également droit à une entrée aux collections permanentes du musée Fabre.Un billet à 7 €, vendu au musée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>, permet d’accéder à l’exposition,aux collections permanentes des musées et à l’Hôtel de Cabrières-Sabatier d’Espeyran.Chaque billet est valable jusqu’à ce que les deux musées aient été visités.www.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>14Dossier de presse
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>5Musée Fabrede <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>> HorairesTous les jours de 10h à 18h sauf le lundi.Ouvert les 14 juillet et 15 août.> TarifsAvec accès aux collections permanentes :Plein tarif : 6 €Pass’Agglo : 5 €Tarif réduit : 4 €Billet famille : 12 €Avec accès aux collections permanentes et àl’Hôtel de Cabrières-Sabatier d’Espeyran :Plein tarif : 7 €Pass’Agglo : 6 €Tarif réduit : 5 €Billet famille : 12 €> AccèsSortie autoroute A9 conseillée :<strong>Montpellier</strong> Est.Suivre direction “Centre historique”,entrer dans <strong>Montpellier</strong>,suivre “Le Corum”.Parking conseillé : “Corum”.Tramway L1 : arrêts “Comédie” ou “Corum”.Tramway L2 et L4 : arrêt “Corum”.Accessibilité complète aux personnes en situationde handicap39, boulevard Bonne Nouvelle34000 <strong>Montpellier</strong>Tél. : 04 67 14 83 00www.montpellier-agglo.com/museefabreSite archéologique Lattara -musée Henri Pradesde <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>> HorairesLundi, mercredi, jeudi et vendredi :10h-12h et 13h30-17h30.Samedi et dimanche :14h-19h.Fermeture hebdomadaire le mardi.Fermé les 1 er mai, 14 juillet et 15 août.> TarifsPour accès unique à<strong>Montpellier</strong>, terre de faïences au muséearchéologique et aux collections permanentes :Plein tarif : 3,5 €Pass’Agglo : 2 €Tarif réduit : 3 €Pour accès aux deux volets de l’expositions :Plein tarif : 6 €Pass’Agglo : 5 €Tarif réduit : 4 €Billet famille : 12 €> AccèsPar l’autoroute A9,prendre la sortie 30 “<strong>Montpellier</strong> Sud”,ou la sortie 31 “<strong>Montpellier</strong> Ouest”,suivre la direction de Lattespuis la direction “Site archéologique Lattara”.Tramway : L3 : arrêt “Lattes centre”390, avenue de Pérols34970 LattesTél. : 04 67 99 77 20www.montpellier-agglo.com/museearcheowww.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>15Dossier de presse
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>6Les tramways les plus sexy d’EuropeLe 7 <strong>avril</strong> <strong>2012</strong>, <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> a mis en service simultanément 2 nouvelles lignes de tramway,soit <strong>23</strong> km de voies supplémentaires, pour un montant total de 530 M€. Conçus comme de véritablesœuvres d’art, le design des Lignes 3 et 4 de tramway vient de nouveau surprendre par son originalité.2.1 Des tramways hautecouture dessinés parMonsieur Christian LacroixPour la réalisation de ses lignes de tramway,<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> a choisi de travailleraux côtés de grands designers et de donner ainsiune image forte à ce mode de déplacement quimodèle le paysage urbain. Les Lignes 1, 2, puis3 et 4, représentent par leur design les 4 éléments :l’air, la terre, la mer et le feu. Elisabeth Garousteet Maria Bonetti ont ouvert la voie avec leshirondelles de la Ligne 1 pour l’air puis avec lesfleurs de la Ligne 2 pour la terre. C’est ensuite autour de Christian Lacroix de laisser libre cours àson imagination pour la conception du design desLignes 3 et 4, représentant respectivement la meret le feu.Gentil monstre marin, la robe du designer Arlésien qui habille les rames de la Ligne 3 rappelle la proximitéde l’<strong>Agglomération</strong> de <strong>Montpellier</strong> avec les rivages maritimes. Le dégradé de couleur choisi, allant du froidau chaud, évoque le tracé de la troisième ligne, et s’accompagne d’éléments marins et d’animaux, “brodésen trompe l’œil”. La Ligne 4, qui irrigue le centre historique de <strong>Montpellier</strong>, se pare d’un habit tout feutout flamme. Reflétant le soleil languedocien et l’histoire de la ville, ses rames sont ornées de gravuresanciennes, des Trois Grâces ou encore du Château d’eau du Peyrou, sur un fond de lamé brodé rehaussé derocailles et de bijoux.2.2 Des trajets plus directs et plus courtsAvec les Lignes 3 et 4, le réseau de tramway de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> prend une autre dimension. Ses83 stations desserviront 45% des emplois et 50% de la population de l’agglomération.Dès la construction de la première ligne de tramway, <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> a conçu son projetdans le cadre d’un réseau, correspondant aux axes principaux du territoire, existants ou futurs, enterme de densité de population, d’emplois ou d’équipements. Avec bientôt quatre lignes, le tramway de<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> innerve le territoire et bascule véritablement vers cette logique de réseau. C’estl’axe majeur de la politique des déplacements de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> pour donner plus de cohérenceaux développements urbains des communes de l’<strong>Agglomération</strong>, caractérisé par la formule du schéma decohérence territoriale (SCOT) : “la ville au bas de chez soi, la métropole au bout du tramway”.www.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>16Dossier de presse
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>7Les partenairesL’Inrap, partenaire de l’exposition<strong>Montpellier</strong>, terre de faïencesConformément à ses missions, l’Inrap “concourt à l’enseignement, à la diffusion culturelle et à la valorisationde l’archéologie auprès du public”. Associé à de nombreuses expositions chaque année afin de permettreau public de partager les résultats de la recherche, l’institut a naturellement souhaité s’impliquer dans laréalisation de l’exposition <strong>Montpellier</strong>, terre de faïences au musée Fabre et au site archéologique Lattara –musée Henri Prades de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>.De la fouille au muséeGrâce à un partenariat exemplaire avec<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>, le LA3M (CNRS) et laDRAC Languedoc-Roussillon, l’Inrap a pu inscrireles recherches archéologiques qu’il a menées àl’occasion des travaux d’aménagement des lignes1 et 2 du tramway de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>dans une perspective ambitieuse de diffusion. Lesdécouvertes et les études postérieures menéespar ses archéologues participent ainsi d’un projetréunissant la communauté scientifique autourd’une thématique inédite. Le soutien et la volontéde l’État comme de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>dans la mise en œuvre des diagnosticsarchéologiques et des fouilles, pendant 10 ans,ont ainsi permis à l’archéologie préventive depleinement assumer sa mission de restitution aupublic de son patrimoine tout en accompagnant ledéveloppement de la ville.2002-<strong>2012</strong> : l’Inrap a dix ansL’Institut national de recherches archéologiquespréventives célèbre dix années de découvertesarchéologiques. De 2002 à 2011, ses archéologuesauront réalisé 16 978 diagnostics sur 112 241hectares et conduit 2 <strong>23</strong>7 fouilles en Francemétropolitaine et dans les DOM. Cette intenseactivité de “sauvegarde par l’étude” du patrimoinearchéologique touché par l’aménagement duterritoire s’est accompagnée d’une moisson dedécouvertes remarquables et d’un renouvellementconsidérable de la connaissance du passé. En<strong>2012</strong>, l’Inrap est la plus importante structure derecherche archéologique en Europe et compteplus de 2 000 collaborateurs.Une active politique culturelleMission nouvelle de l’Inrap, la diffusion culturelles’est développée selon un spectre très large.Pour présenter les fouilles au public, 700 “portesouvertes” sur des chantiers et 600 conférencesont été organisées. 42 ouvrages ont été publiés,250 expositions ont été coproduites en partenariatavec les collectivités et les aménageurs, denombreuses initiatives de production ont permis laréalisation et la diffusion de courts, longs et moyensmétrages documentaires. Le site internet proposede multiples ressources (reportages, dossiersthématiques, atlas, iconothèque) et attire 100 000visiteurs par mois. L’Inrap a organisé 9 colloquesen partenariat avec de grandes institutions. Enfin,l’institut est à l’origine des Journées nationalesde l’Archéologie, manifestation du ministère de laCulture et de la Communication, dont la 3 e éditionse déroulera du 22 au 24 juin <strong>2012</strong>.Contacts InrapInrap, direction du développement culturel et de la communicationMahaut Tyrrell, chargée de communication médias01 40 08 80 24 - mahaut.tyrrell@inrap.frInrap, direction interrégionale MéditerranéeCécile Martinez, chargée de développement culturel et de la communication04 66 36 04 07 - 06 87 01 62 86 - cecile.martinez@inrap.frwww.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>17Dossier de presse
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>7LA3MLe Laboratoire d’Archéologie Médiévaleet Moderne (LA3M)Le Laboratoire d’Archéologie Médiévale et Moderneen Méditerranée (UMR 7298, AMU / CNRS),laboratoire de référence sur l’histoire des échangesmatériels et immatériels et de l’artisanat, mèneune archéologie de terrain, adossée à l’enquêtehistorique, ethnoarchéologique, iconographiqueet archéométrique… De plus, partenaire privilégiédu monde muséographique, le LA3M a réalisé oucoréalisé, en près de quarante ans, pas moinsd’une cinquantaine d’expositions scientifiqueset grand public sur le domaine concerné. LeLA3M est l’une des dix équipes de rechercherassemblées par la Maison Méditerranéenne desSciences de l’Homme.L’implication du LA3M dans l’expositionAu cours des treize dernières années, le LA3Ms’est particulièrement impliqué dans les fouillesdes ateliers de potiers faïenciers mis en lumièreà <strong>Montpellier</strong>. Sa participation a débuté sur lechantier, de 1999 à 2000, avec l’expertise etl’analyse des fours. Par la suite, l’implication del’équipe du LA3M a porté sur tous les terrains :relecture des archives ; études du matérielcéramologique ; travaux de restauration de pièceset céramique ; campagnes photographiques ;codirection du catalogue ; participation à laréalisation muséographique, ainsi qu’à lascénographie. Henri Amouric et Lucy Vallauri sontco-commissaires scientifiques de l’exposition.La Maison Méditerranéennedes Sciences de l’HommeLa Maison Méditerranéenne des Sciences del’Homme (MMSH), département d’université d’AMU(Aix-Marseille Université), est également une Unitéde Service et de Recherche d’ AMU et du CNRS.La MMSH est un Centre de recherche spécialisésur le monde méditerranéen, qui rassemblesur son site dix unités mixtes de rechercheen sciences humaines et sociales 1 . Parmi lesnombreux champs disciplinaires couverts figurel’archéologie médiévale et moderne, spécialitédu LA3M. En complément d’une Médiathèquepluridisciplinaire d’une exceptionnelle richesse, laMMSH abrite la Bibliothèque d’Antiquité d’Aix, quifait autorité dans le domaine, et où l’on trouveranotamment la bibliothèque du LA3M. La MMSHest également membre du Groupement d’Intérêtscientifique “Réseau National des Maisons desSciences de l’Homme”.“Les sciences humaines et sociales au cœurde l’interdisciplinarité pour la Méditerranée”Investie d’une mission de structuration de larecherche, la MMSH coordonne, dans le cadredes “Investissement d’avenir”, le laboratoired’excellence Labexmed, qui implique seize unitésde recherche, soit près de 500 personnels et800 doctorants. Le programme de rechercheprévoit trois volets d’action :1 - le développement des réseaux euroméditerranéensde recherche et de documentationsur la Méditerranée ;2 - la mise en place d’ Ateliers Thématiques deRecherches Interdisciplinaires (ATRI) ;3 - la mise en place d’un dispositif numériquequi permettra à LabexMed d’appuyer soninfrastructure scientifique sur les DigitalHumanities. Le LA3M fait naturellement partiedes laboratoires impliqués.1Les 10 laboratoires réunis à la MMSH sont les suivants : Centre d’Étudedes Mondes Africains (CEMAf-Aix) ; Centre Camille Jullian Archéologieméditerranéenne et africaine (CCJ) ; Centre Paul-Albert Février (CPAF) ;Institut d’Ethnologie méditerranéenne, Européenne et Comparative(IDEMEC), Institut de Recherche sur l’Architecture Antique (IRAA) ;Institut de Recherches et d’Études sur le Monde Arabe et Musulman(IREMAM) ; Laboratoire Méditerranéen de Sociologie (LAMES) ; Laboratoired’Archéologie Médiévale et Moderne en Méditerranée (LA3M) ; LaboratoireMéditerranéen de Préhistoire Europe Afrique (LAMPEA) ; Temps, Espaces,Langages, Europe Méridionale, Méditerranée (TELEMME).CONTACT PRESSE LA3MLA3M / Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme (AMU / CNRS)Sylvie Laurens-Aubry04 42 52 40 42 - laurens-aubry@mmsh.univ-aix.frwww.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>18Dossier de presse
<strong>Montpellier</strong>Terre defaïencesPotiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII e siècle<strong>28</strong> <strong>avril</strong><strong>23</strong> <strong>septembre</strong> <strong>2012</strong>7La DRACLa direction régionale des affaires culturelles(DRAC)Service déconcentré du ministère de la cultureet de la communication, elle met en œuvre lapolitique culturelle et patrimoniale de l’État, sousl’autorité du préfet de région, en lien avec lescollectivités territoriales.La DRAC exerce une fonction de soutien, deconseil, d’expertise et de contrôle.Ses axes d’intervention sont :• Connaître, protéger, restaurer et valoriser lespatrimoines,• Soutenir la création et la diffusion artistique,• Contribuer à l’aménagement cultureldu territoire,• Favoriser l’enseignement artistique spécialisé,• Développer l’accès à la culture de tousles publics,• Soutenir le développement de l’économiede la culture et des industries culturelles.La DRAC est l’interlocutrice privilégiée des élus,artistes, professionnels, associations et de tousles acteurs du secteur culturel.Pour conduire ces actions, le directeur régionalet la directrice régionale adjointe sont entourésd’une équipe aux compétences scientifiques,techniques, artistiques et administratives.La DRAC est organisée en trois pôles : architectureet patrimoines, création et diffusion artistique,et politique des publics. Elle est dotée d’unsecrétariat général et de fonctions supports. Lepôle architecture et patrimoines regroupe lesservices monuments historiques et architecture,archéologie, ethnologie, musées, patrimoine écrit.L’action du service régional de l’archéologie(SRA)Il met en œuvre les mesures nécessaires àl’inventaire, la protection, l’étude, la conservationet la promotion du patrimoine archéologique. Ilveille à l’application de la législation relative àl’archéologie. Il assure le contrôle de la recherchearchéologique en délivrant les autorisationsnécessaires à toute investigation et en vérifiantsa qualité. Il procède à l’inventaire du patrimoinearchéologique, prend toute mesure nécessaire àla bonne conservation des sites et des objets. Ilmet en œuvre la réglementation de l’archéologiepréventive : il peut prescrire des diagnosticsnécessaires à l’évaluation du patrimoine menacépar des aménagements, puis des fouilles ou desmesures de conservation.Parmi les nombreux dossiers actuellement suivispar le SRA, deux aménagements importantsconcernent l’agglomération de <strong>Montpellier</strong>, ils’agit du doublement de l’autoroute A9 et de laligne à grande vitesse Nîmes-<strong>Montpellier</strong>. Surces deux tracés, l’Institut national de recherchesarchéologiques préventives (Inrap), réalise sousle contrôle du SRA toute une série de diagnosticsarchéologiques qui permettent de reconnaître lessites qui seront touchés par les travaux. Toutesles périodes chronologiques sont représentées :des campements paléolithiques, les vestiges devillages néolithiques, des occupations de l’âge duFer, des établissements agricoles gallo-romainset de nombreux témoignages de la mise en valeurdes terroirs traversés au Moyen Âge. Les sitesles plus intéressants donneront lieux ensuite àl’exécution de fouilles préventives qui permettrontde les documenter en détail et au final de restituerau public de nouveaux pans de l’histoire régionale.Contacts DRACVéronique Cottenceau, chargée de la communication04 67 02 35 21 - veronique.cottenceau@culture.gouv.frHenri Marchesi, conservateur régional de l’archéologie04 67 02 32 71 - henri.marchesi@culture.gouv.frwww.montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>19Dossier de presse
<strong>Montpellier</strong>TerredefaïencesPotiers et faïenciersentre Moyen Âge et XVIII e siècle© Musée Fabre de <strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>. Clichés F. Jaulmes.<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong> - Direction de la Communication - 04/12CONTACT PRESSE<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>Frédérique Touraine : 04 67 13 60 20 / 06 75 92 55 25f.touraine@montpellier-agglo.com<strong>Montpellier</strong> <strong>Agglomération</strong>50, place Zeus – CS 3955634961 <strong>Montpellier</strong> Cedex 2www.montpellier-agglo.comStation tramway ligne 1 : Léon Blum