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LE RETOUR DU CHRIST DANS LA BIBLEUN FAIT IMPORTANTCet événement est annoncé dans les Ecritures par 1527 textes dans l’Ancien Testament et 319dans le Nouveau, soit 1 verset sur 25.Jésus accorde lui accorde une grande place dans son enseignement :a) Dans ses discours eschatologiques (Mt 24 et 25 ; Mc 13 ; Lc 17 et 21).b) Dans quelques paraboles : l’ivraie, le filet, les 10 vierges, les talents, les 2 serviteurs, lejuge inique, la porte fermée.Dans le Nouveau Testament, 3 termes sont employés pour désigner la venue du Seigneur :a) Parousia = arrivée, présence personnelle, avènement (1 Thes 5.23).b) Epiphaneia = apparition, éclat, splendeur (1 Tim 6.14).c) Apocalypsis = révélation, dévoilement (1 Co 1.7).CE QU’ILS EN ONT DIT« Quelle que soit la façon dont on comprend la venue du Christ, le message évangélique mesemble encore plus important dans notre période actuelle qu’il pouvait l’être autrefois. Il inciteles hommes à communiquer entre eux dans la compréhension, à s’aimer, quelles que soient lesdivergences. Il donne une force bien nécessaire actuellement si l’on veut soulever le carcan quinous oppresse. »(Louis Leprince-Ringuet, Science et bonheur des hommes, p. 255s)« La parousie est la conclusion nécessaire de l’histoire de l’humanité, l’achèvement de l’œuvrede la rédemption, le triomphe définitif de la cité de Dieu, la justification de la Providence,l’affirmation du christianisme comme vérité absolue et la manifestation du Christ comme Roi del’univers. »(Abbé J. Thomas)« Postulée dans l’Ancien Testament, annoncée dans le Nouveau Testament, elle estsubstantiellement partout ; on ne peut pas plus l’extraire de l’Ecriture qu’on ne peut arracherd’un papier à lettre les dessins inhérents à la pâte même et qu’on observe par transparence. »(Pasteur Wilfred Monod)« Le triomphe de l’Eglise est rattaché dans l’Apocalypse comme dans le premier évangile auretour de Jésus-Christ. Annoncer ce retour victorieux, en décrire les glorieux effets, c’est là lebut essentiel du livre de la Révélation, comme aussi la meilleure consolation laissée par leMaître à ses disciples. »(Edmond de Pressensé, Histoire des trois premiers siècles de l’Eglise chrétienne, vol. II, p. 320)