individuelle, tant sur les meubles que les immeubles dudébiteur, dans le but d’obtenir le paiement <strong>de</strong>s créances quien font l’objet.<strong>Le</strong>s personnes consentant dans l’accord homologué un nouvelapport en trésorerie au débiteur en vue d’assurer la poursuite<strong>de</strong> l’activité <strong>de</strong> l’entreprise et sa pérennité bénéficient d’unprivilège d’« argent frais » leur permettant d’être payées,pour le montant <strong>de</strong> cet apport, par privilège à toutes créancesnées avant l’ouverture <strong>de</strong> la conciliation. Ce privilège, prévupar le projet <strong>de</strong> loi initial, a été étendu par l’Assembléenationale aux personnes qui fournissent, dans le cadre <strong>de</strong>l’accord homologué, un nouveau bien ou service dans lemême objectif. Elles sont payées, pour le prix <strong>de</strong> ce bien ou<strong>de</strong> ce service, par privilège à toutes créances nées avantl’ouverture <strong>de</strong> la conciliation.L’Assemblée nationale a prévu que les personnes physiquescoobligées, ayant consenti une caution personnelle ou unegarantie autonome peuvent se prévaloir <strong>de</strong>s dispositions <strong>de</strong>l’accord homologué.La procédure <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’entrepriseL’innovation majeure du projet <strong>de</strong> loi est la création d’uneprocédure <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong> qui a pour vocation <strong>de</strong> traiter leplus en amont possible les difficultés du débiteur. Ce <strong>de</strong>rnierpeut <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r l’ouverture <strong>de</strong> cette procédure lorsqu’il justifie<strong>de</strong> difficultés susceptibles <strong>de</strong> le conduire à la cessation <strong>de</strong>paiements. Cette procédure est <strong>de</strong>stinée à faciliter laréorganisation <strong>de</strong> l’entreprise afin <strong>de</strong> permettre la poursuite<strong>de</strong> l’activité économique, le maintien <strong>de</strong> l’emploi etl’apurement du passif.Cette procédure se caractérise, lorsque certaines conditionssont remplies (cf. infra) ou, à défaut, sur autorisation du jugecommissaire à la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> du débiteur ou <strong>de</strong> l’administrateur,par une forte contractualisation qui se traduit par uneparticipation <strong>de</strong>s créanciers à l’élaboration et à l’adoptiondu plan <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong>, par l’intermédiaire <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux comités<strong>de</strong> créanciers : le Comité <strong>de</strong>s établissements <strong>de</strong> créditréunissant tous les établissements <strong>de</strong> crédit, et le comité <strong>de</strong>sprincipaux fournisseurs (auquel participe tout fournisseurdont le total <strong>de</strong>s créances représente plus <strong>de</strong> 10% du total<strong>de</strong>s créances <strong>de</strong>s fournisseurs). L’Assemblée nationale aprécisé que le plan proposé par le débiteur, discuté avecles comités <strong>de</strong> créanciers et adopté par eux peut notammentcomporter <strong>de</strong> nouveaux crédits, <strong>de</strong>s avances ou apports, ainsique <strong>de</strong>s conversions <strong>de</strong> créances. Cette liste n’est paslimitative et le plan peut aussi comporter <strong>de</strong>s remises <strong>de</strong><strong>de</strong>ttes, totales ou partielles, ou <strong>de</strong>s délais <strong>de</strong> paiement. Ladurée du plan n’est enfermée dans aucune limite.A noter que le nouveau texte prévoit expressément, dans lecadre <strong>de</strong> la procédure <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong>, que les créancierspublics (fisc, sécurité sociale) peuvent dans certaines limites(exclusion du principal <strong>de</strong>s impôts indirects et <strong>de</strong>s cotisationssociales salariales) consentir <strong>de</strong>s abandons totaux ou partiels<strong>de</strong> leurs créances.Après avoir constaté que les intérêts <strong>de</strong> tous les créancierssont suffisamment protégés, le plan est homologué par letribunal. La décision d’homologation rend applicables à tousleurs membres les propositions acceptées par chacun <strong>de</strong>scomités <strong>de</strong> créanciers. En conséquence les propositionsacceptées par le Comité <strong>de</strong>s établissements <strong>de</strong> crédit qui sonthomologuées s’appliquent à tous les établissements <strong>de</strong> crédit.En ce qui concerne plus particulièrement les comités <strong>de</strong>scréanciers, le projet <strong>de</strong> loi précise notamment que :- relèvent <strong>de</strong> la procédure <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong> avec intervention<strong>de</strong> comités <strong>de</strong> créanciers, les débiteurs dont les comptes ontété certifiés par un commissaire aux comptes ou établis parun expert-comptable et dont le nombre <strong>de</strong> salariés ou lechiffre d’affaires sont supérieurs à <strong>de</strong>s seuils fixés par décretou, à défaut, sur autorisation du juge commissaire à la<strong>de</strong>man<strong>de</strong> du débiteur ou <strong>de</strong> l’administrateur lorsque lesseuils ne sont pas atteints ;- les comités <strong>de</strong>s créanciers sont constitués dès le début <strong>de</strong>la procédure ;- chaque comité <strong>de</strong> créanciers se prononce sur le planproposé à la majorité <strong>de</strong> ses membres représentant aumoins les <strong>de</strong>ux tiers du montant <strong>de</strong>s créances <strong>de</strong> l’ensemble<strong>de</strong>s membres du comité, tel qu’il a été indiqué par le débiteuret certifié par son commissaire aux comptes ou, à défaut,établi par son expert-comptable ;- le montant <strong>de</strong> la créance déclarée par un membre d’uncomité qui correspond au montant indiqué par le débiteurn’est pas vérifié. L’arrêté du plan par le tribunal vautadmission <strong>de</strong> cette créance ;- si le débiteur ne propose pas <strong>de</strong> projet <strong>de</strong> plan dans lesdélais fixés, la procédure est reprise pour préparer un planselon la procédure prévue en cas d’absence d’intervention<strong>de</strong> comités <strong>de</strong> créanciers (cf. infra). Il en est <strong>de</strong> même lorsquel’un ou l’autre <strong>de</strong>s comités ne s’est pas prononcé sur unprojet <strong>de</strong> plan dans les délais, qu’il a refusé les propositionsfaites par le débiteur ou que le tribunal n’a pas arrêté <strong>de</strong>plan.Lorsque la procédure <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong> ne donne pas lieu àintervention <strong>de</strong>s comités <strong>de</strong> créanciers, <strong>de</strong>s règles, reprisesdu régime actuel du redressement judiciaire, s’appliquent :plan arrêté par le tribunal pouvant comporter les mêmesmesures, notamment en ce qui concerne les limites en casd’octroi <strong>de</strong> délais par les crédit-bailleurs (expiration <strong>de</strong> cesdélais à la date <strong>de</strong> levée <strong>de</strong> l’option d’achat, impossibilité<strong>de</strong> lever cette option en l’absence <strong>de</strong> paiement <strong>de</strong> toutes lessommes dues en vertu du contrat <strong>de</strong> crédit-bail, limitationà dix ans <strong>de</strong> la durée du plan...).Par ailleurs, les personnes physiques coobligées ou ayantconsenti une caution personnelle ou une garantie autonomepeuvent se prévaloir <strong>de</strong>s dispositions du plan.A noter que le nouveau titre du Livre VI du Co<strong>de</strong> <strong>de</strong> commerceconsacré à la procédure <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong> comporte un certainnombre <strong>de</strong> dispositions (ouverture <strong>de</strong> la procédure, situation<strong>de</strong> l’entreprise pendant la pério<strong>de</strong> d’observation, vérificationet admission <strong>de</strong>s créances, revendications et restitutionsen matière mobilière...) qui s’appliquent dans les autresprocédures (redressement judiciaire, liquidation).Rapport ASF – juin 200556
On relève en particulier que les créances non déclaréesdans les délais ou n’ayant pas fait l’objet d’un relevé <strong>de</strong>forclusion ne sont plus éteintes. D’autre part, le délaid’exercice <strong>de</strong> l’action en relevé <strong>de</strong> forclusion a été ramenéd’un an à six mois par l’Assemblée nationale.Sont exclus <strong>de</strong> l’inventaire <strong>de</strong>s biens du débiteur personnephysique les meubles meublants situés à son domicile. <strong>Le</strong>bénéfice <strong>de</strong> l’arrêt du cours <strong>de</strong>s intérêts légaux etconventionnels, à compter du jugement d’ouverture <strong>de</strong> laprocédure, est étendu aux personnes physiques cautions,coobligées ou ayant donné une garantie autonome.La procédure <strong>de</strong> redressement judiciaireLa procédure <strong>de</strong> redressement judiciaire est ouverte à toutdébiteur qui, dans l’impossibilité <strong>de</strong> faire face au passifexigible avec son actif disponible, est en cessation <strong>de</strong>paiements. Elle est <strong>de</strong>stinée à permettre la poursuite <strong>de</strong>l’activité <strong>de</strong> l’entreprise, le maintien <strong>de</strong> l’emploi et l’apurementdu passif.<strong>Le</strong> dispositif prévu renvoie aux règles applicables en matière<strong>de</strong> plan <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong> sans intervention <strong>de</strong>s comités <strong>de</strong>créanciers, c’est-à-dire en fait un régime proche duredressement judiciaire actuel. Mais il est aussi renvoyé àla procédure avec participation <strong>de</strong> comités <strong>de</strong> créanciers,qui est donc aussi possible.<strong>Le</strong>s cautions personnelles, coobligés et les personnes ayantconsenti une garantie autonome ne peuvent se prévaloir <strong>de</strong>sdispositions du plan.L’Assemblée nationale a réintroduit dans le projet <strong>de</strong> loi lapossibilité pour le tribunal d’ordonner la cession partielleou totale <strong>de</strong> l’entreprise si le débiteur est dans l’impossibilitéd’en assurer le redressement, que supprimait le projet <strong>de</strong>loi initial pour l’introduire en cas <strong>de</strong> liquidation judiciaire(cf. infra). Ces cessions peuvent concerner <strong>de</strong>s contrats <strong>de</strong>crédit-bail.Aux cas d’inopposabilités <strong>de</strong> droit <strong>de</strong>s actes intervenuspendant la pério<strong>de</strong> suspecte ont été ajoutés par l’Assembléenationale les avis à tiers détenteurs, saisies-attributions etoppositions, ainsi que les autorisations, levées et reventes<strong>de</strong> stock-options.La procédure <strong>de</strong> liquidation judiciaireLa procédure <strong>de</strong> liquidation judiciaire est ouverte auxdébiteurs qui sont en cessation <strong>de</strong>s paiements et dont leredressement est manifestement impossible. Elle est <strong>de</strong>stinéeà mettre fin à l’activité <strong>de</strong> l’entreprise ou à réaliser lepatrimoine du débiteur par une cession globale ou séparée<strong>de</strong> ses droits et <strong>de</strong> ses biens.<strong>Le</strong>s dispositions actuellement prévues dans le cadre <strong>de</strong> laprocédure <strong>de</strong> redressement judiciaire pour les cessionsd’entreprises permettant le maintien d’activités susceptiblesd’exploitation autonome et <strong>de</strong>s emplois qui y sont attachéssont reprises dans la procédure <strong>de</strong> liquidation.Une procédure <strong>de</strong> liquidation simplifiée est prévue lorsqu’ilapparaît que l’actif du débiteur ne comprend pas <strong>de</strong> bienimmobilier, et que le nombre <strong>de</strong> ses salariés et le chiffred’affaires sont inférieurs à <strong>de</strong>s seuils fixés par décret.Autres pointsL’Assemblée nationale a adopté une disposition selon laquelleles créanciers ne peuvent être tenus pour responsables <strong>de</strong>spréjudices subis du fait <strong>de</strong>s concours consentis, sauf en cas<strong>de</strong> frau<strong>de</strong>, d’immixtion caractérisée dans la gestion dudébiteur ou si les garanties prises en contrepartie <strong>de</strong> cesconcours sont disproportionnées à ceux-ci. Pour le cas oùla responsabilité d’un créancier est reconnue, les garantiesprises en contrepartie <strong>de</strong> ses concours sont nulles. Lors dudébat, le Gar<strong>de</strong> <strong>de</strong>s Sceaux a indiqué que le <strong>de</strong>rnier cas<strong>de</strong> responsabilité ne remettait pas en cause les créditsimmobiliers consentis en échange d’une hypothèque sur latotalité du bien alors qu’ils n’en financent qu’une partie.L’Assemblée nationale a autorisé la déduction fiscale <strong>de</strong>l’assiette <strong>de</strong>s impôts <strong>de</strong>s abandons <strong>de</strong> créances consentisou supportés dans le cadre d’un plan <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong> ou <strong>de</strong>redressement.L’entrepreneur peut déclarer insaisissable sa rési<strong>de</strong>nceprincipale ainsi que les meubles meublants <strong>de</strong> cette mêmerési<strong>de</strong>nce. Cette nouveauté constitue le prolongement <strong>de</strong> laloi « Initiative économique ».La présentation <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s lignes du texte voté parl’Assemblée fait apparaître <strong>de</strong>s avancées intéressantes,notamment possibilité <strong>de</strong> déduction d’abandons <strong>de</strong> créances<strong>de</strong> l’assiette fiscale (cf. supra), possibilité pour les créancierspublics d’abandonner le principal <strong>de</strong> certaines créancesdans le cadre <strong>de</strong> la procédure <strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong>.L’Association <strong>de</strong>meure cependant vigilante compte tenunotamment <strong>de</strong> la nouvelle donne du dispositif <strong>de</strong> la procédure<strong>de</strong> sauvegar<strong>de</strong> avec intervention <strong>de</strong> comités <strong>de</strong> créanciers,et <strong>de</strong>s inconvénients qu’elle recèle à l’égard <strong>de</strong>s créanciers.Elle reste également très attachée à ce que soit levé, àl’occasion <strong>de</strong> cette loi, l’un <strong>de</strong>s obstacles à la titrisation <strong>de</strong>sopérations <strong>de</strong> crédit-bail : il s’agit <strong>de</strong> rendre obligatoirepour l’administrateur la poursuite <strong>de</strong>s contrats titrisés. Responsabilité environnementaleLa Commission européenne a adopté le 23 janvier 2002une proposition <strong>de</strong> directive sur la responsabilité environnementale.Ce texte, qui vise à prévenir et à réparer lesdommages environnementaux, concerne potentiellementtoute activité agricole ou industrielle. Il établit un cadrecommun <strong>de</strong> responsabilité pour garantir l’homogénéité<strong>de</strong>s actions préventives ou réparatrices aux dommagesenvironnementaux.L’ASF s’est impliquée dans ce dossier avec le souci d’obtenirune clarification du rôle du financier, en particulier lecrédit-bailleur immobilier, dans la mise en jeu <strong>de</strong> cetteresponsabilité. En effet, même si le projet initial <strong>de</strong> laL'ACTIONPROFESSIONNELLE57Rapport ASF – juin 2005
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