Soldier retreat space

Plan datant de 1921 de Fort Mott
Il y a deux entrée secrètes, l'une en rouge passe sous
« Gregg » l'une des batteries et la seconde en orange
passe par le vieux cimetière de Pennsville.
Les deux entrées ne sont pas gardées, tout au plus
l'entrée N°1 en rouge sera dans le champ visuel de la
garde (10).
L'entrée N°1 est condamnée dans l'un des bunkers par
une porte en acier cadenassée, un coupe boulon fera
l'affaire (soulever à 10) ou un test en crochetage à 15.
L'entrée N°2 se trouve sous une pierre tombale, soldat
inconnu, la seule du cimetière. La soulever 20 peut
s'avérer difficile.
Le tunnel N°1 se prolonge sous terre. Il est renforcé
par de lourds madriers qui ont défié le temps mais est
plongé dans le noir. Le second tunnel en béton et
éclairé. Les deux couloirs se rejoignent dans une pièce
en béton plongée dans le noir. Elle comporte une poste
en acier massif pour seule issue.
Le coté de la porte comporte une console datant d'un
autre âge, le code est tout simplement Léviathan et
permet d'entrer dans un complexe secret connu par
seulement une poignée de personne.
Cette zone de Fort Mott se trouve à 25 mètres sous le
sol, elle est à l'épreuve de l'arme nucléaire. Elle se
compose d'une rotonde cernée de 3 parties. L'une en
contrebas qui ressemble à une salle de conférence
dédiée aux officiels, un nécessaire de tournage est
d'ailleurs présent, le tout datant bien entendu d'un autre
âge. La seconde partie vitrée au-dessus ressemble à la
fois à un lieu de débat privatif et d'observation de la
rotonde. La troisième partie, sans doute la plus vaste
est composée d'un vestibule ou se trouve des quartiers
– vestiaires, offices, lieux d'aisance, salles
d'entrainement et de relaxation, infirmerie – et
laboratoires sur 400m². Bien entendu tout cela est
privé d'énergie en grande partie et complètement
obsolète et généralement hors d'usage.
Le contenu du vestiaire 49 est simple, des grenades,
des fusils, des pistolets...bien sur tout cela date de
1975 mais se trouve en excellent état.
La rotonde enfin est une salle informatique ou se
dresse 2 versions militaires de l'Altair 8800 reliés à
d’immenses serveurs à bobines (cette version se
nomme informatique distribué et date des années 65).
Pour faire fonctionner ces vieux coucous il faut passer
par deux étapes, un démonter le panneau de contrôle
(Électronique 10) et replacer le processeur au bon
endroit, cela peut s'avérer foutrement complexe
puisque le modèle ici ne correspond en rien au
standard de l'Altair. Il y a donc 2 façons de réussir ou un test
d'électronique à 30 ou superposer la grille de mot-croisés sur la
carte mère de l'Altair et s'apercevoir que chaque composant
correspond aux cases noircies, sauf quatre d’entre elles
correspondant à la place du processeur.
La seconde étape intervient après le démarrage
puisqu'un mot de passe et demandé, ce dernier est
ficelle.
Transcutaneous Electrical Nerve
Stimulation
« Si le Christ était mort sur une chaise électrique, tous les petits chrétiens porteraient une petite
chaise en or autour du cou ».
Serge Gainsbourg
Parmi tous les dossiers contenu dans les serveurs, l'un
d’entre-eux porte le nom d'un des personnages (sans
doute le scientifique du groupe). Le dossier contient
des travaux de plusieurs scientifiques sur une version
militaire du TENS (en français NSTC
neurostimulation électrique transcutanée, utilisée à
l'origine pour le traitement de la douleur par impulsion
électrique. Cf.) Bref la version militaire ici est destinée
au contrôle des troupe par ce biais semble-t-il. Sans
doute un projet gouvernemental comme Mkultra qui
sera resté dans les cartons. L'un des fichiers textes
comporte cependant divers annotations du personnage.
Il semble que l'expérience est porté ses fruits mais que
le personnage ait tout fait pour en minimiser l'impact.
La fin du texte comporte l'annotation 94.
Il s'agit de l'un des derniers casiers. La clé 49 permet
de l'ouvrir. Il contient un petit carton et à l'intérieur un
casque, ainsi que plusieurs implants. Ces derniers
peuvent se poser grâce à un système de propulsion
ressemblant à une arbalète.
Happy End ?
Les personnages relient l'ensemble de leurs
conjectures et comprennent que c'est eux qui ont
fabriqué ce projet Everest et que c'est eux-mêmes qui
l'avaient enterré. C'est à ce moment que devrait surgir
le « méchant » militaire. Celui qui est l'instigateur du
déterrement du projet Everest. Sans doute ce
personnage aura-t-il fait suivre les vieux pendant toute
la durée du scénario et c'est sans doute lui qui aura
passé le coup de fil au départ de cette aventure. Sans
aucun doute sera-t-il une personne qui pense que One
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