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© NBA
Unis pour se mesurer aux meilleurs jeunes
». Un rythme intense auquel
puis
un peu plus d’un an.
« Rassembler un maximum de
petites filles autour de notre
sport »
Après le
programme Junior
NBA, les meilleures
jeunes basketteuses
africaines pourront
intégrer la ligue
américaine
WNBA.
Après ces quelques années de dur labeur,
les champions et championnes en herbe
auront la possibilité - pour les plus talentueux
et talentueuses - de se frotter directement
au gratin du basket américain en
rejoignant les bancs d’une prestigieuse
université voire en allant directement titiller
LeBron James, Elena Delle Donne
et consorts sur les parquets de NBA et
WNBA. «
gés
de quitter le continent pour rejoindre
», ne cache pas
le directeur. C’est pourquoi en avril prochain,
la NBA Africa League va voir le jour.
Une compétition inédite en Afrique, réunissant
12 clubs venus de 12 pays différents.
«Il y avait tellement d’engouement, qu’on
équipes», assure Will Mbiakop. «Mais il ne
événement grandiose. Nous voulons créer
-
.»
«Notre volonté, c’est surtout de rassem-
de notre sport», insiste Will Mbiakop. Et
pour cela, la NBA peut compter sur l’engagement
des deux superstars citées plus
haut, la Mozambicaine Clarisse Machanguana
et la Sénégalaise Astou N’Diaye, qui
épaulent la ligue en Afrique depuis qu’elles
se sont retirées des parquets. «C’est une
cipent
aux programmes Junior NBA, mais
elles vont aussi dans les quartiers pour
partager leur parcours et inspirer la nouvelle
génération. L’idée est de leur montrer
simplement pour leur permettre de réussir
dans la vie.» WS
© NBA
EN SAVOIR PLUS SUR WWW.WOMENSPORTS.FR N°16 • Avril - Mai - Juin 2020 WOMEN SPORTS 31