Dossier de presse 2012 - Les Suds à Arles

Du 9 au 15 juillet
de 10h à 4h
7 jours / 6 nuits
CONFERENCES
DE PRESSE
ARLES
31 mai, à 18h30
Théâtre Antique
MARSEILLE
8 juin, à 11h
Maison de la Région
61, rue Canebière
PARIS 10 e
11 juin, à 20h
Jamel Comedy Club
42, Bd Bonne Nouvelle
CONTACTS PRESSE
Florence Roumy
f.roumy@suds-arles.com
06 17 17 92 67
assistée de
Aude Marcet
presse@suds-arles.com
06 51 51 34 87
SUDS, à ARLES
Maison des Suds
66, rue du 4 septembre
13200 Arles
tél. 04 90 96 06 27
fax. 04 90 96 79 48
www.suds-arles.com
Bonjour,
Arles, le 31 mai 2012
Chaque année, le festival accueille quelque 60 000 festivaliers et plus de 200
artistes pour une centaine de concerts et de rencontres au cœur de la belle
cité arlésienne.
Grande fête populaire conjuguée à une exigence artistique revendiquée, le
festival fait vibrer toute la ville au rythme des plus grandes voix et sonorités du
monde, des plus festives aux plus intimistes, sur des répertoires sacrés ou
profanes, électriques ou en acoustique. Pendant une semaine, de 10h à 4h du
matin, artistes reconnus et talents en découverte s’invitent à Arles.
La programmation se dévoile au festivalier en une flânerie musicale qui l’entraîne
d’une Scène en Ville aux Causeries musicales, d’un Apéro-découverte
propice aux rencontres conviviales à une Sieste Musicale à l’ombre des arcades
de l’Espace Van-Gogh ou à un Salon de Musique au cœur des collections du
Musée départemental Arles antique.
En soirée, un Moment très Précieux dans l’intimité de la Cour de l’Archevêché
précède les grandioses Soirées Suds du Théâtre Antique ; et tandis qu’en tout
début de semaine, les Créations dans les Musées et les Bodegas Ethniques
de la centenaire société taurine La Muleta permettent de s’immerger dans
l’ambiance du Festival, dont l’expérience résolument underground des Nuits des
Forges, friche industrielle reconvertie en salle de concert originale avec concerts
en live et créations vidéos, est à ne manquer sous aucun prétexte !
Afin de vivre le festival de l’intérieur, 42 stages de danse, musique ou chant sont
également proposés au public. De l’initiation au niveau professionnel ainsi qu’une
nouveauté avec les ateliers jeune public, ils sont animés par des artistes et des
pédagogues reconnus en leur domaine pour découvrir autrement les
Musiques du Monde.
Pour sa 17e édition, le festival est à l’écoute des Suds rebelles et pluriels
> Une attention particulière sera portée à l'Algérie, à l’occasion des 50 ans de
l'indépendance
> Dans le cadre du programme Nomadisme & Deltas, développé en
coproduction avec Marseille-Provence 2013 et le Plan Rhône, nous invitons
cette année le delta du Nil.
> La Méditerranée reste fortement représentée : l’Espagne, la Grèce, Israël, et
le Midi de la France
> Bien sûr les autres continents seront aussi présents : l’Afrique, l’Asie et
l’Amérique Latine !
> Des créations inédites, spécialement conçues pour le Festival
Le programme complet est en téléchargement sur www.suds-arles.com
Vous y trouverez des visuels haute définition et le formulaire d’accréditation à
compléter et à renvoyer avant le 3 juillet 2012
login : suds / mot de passe : presse2012
Le service presse reste à votre disposition pour organiser votre venue cet été ou
toute interview en amont ou pendant le festival.
En vous remerciant par avance pour l’écho que vous saurez donner à notre
manifestation,
L’équipe du Festival

SOMMAIRE
EDITOS p 3
SUDS à ARLES, nos missions p 7
CREATIONS dans les MUSEES p 9
Museon Arlaten, Collectif HEBENTIK & MIXEL ETXEKOPAR
Musée Départemental Arles Antique, VINCENT SEGAL
Château d’Avignon, CIE RASSEGNA & ANNIE EBREL
SOIREES SUDS au Théâtre Antique… du 10 au 13/7
AVISHAÏ COHEN / TIGRAN HAMASYAN p 13
ZEBDA / LA MAL COIFFEE p 15
ANOUSHKA SHANKAR / ARCANGEL p 16
EL GUSTO / HOURIA AÏCHI p 17
Nouvelle scène des ALYSCAMPS… le 14/7
MAWAWIL p 19
MOMENTS PRECIEUX, Cour de l’Archevêché…du 10 au 13/7
PIERS FACCINI & BADGE TOUNKARA p 20
ANTONIO PLACER & JEAN MARIE MACHADO p 21
ISABELLE COURROY & SHADI FATHI p 22
KIMURA & ONO p 22
NUITS DES FORGES aux Parc des Ateliers…du 11 au 14/7
YOM & THE WONDER RABBIS > VJ Jérémie Dres / Dj Click p 25
BOMBA ESTEREO / Dj Uzun p 26
AZIZ SAHMAOUI & UNIVERSITY OF GNAWA > VJ Viktor Furiani
Dj RKK p 27
BA CISSOKO > VJ Mathieu Crette & VJ Tomaz / Dj Uzun p 28
Le 14 juillet de la Ville d’Arles avec CHE SUDAKA p 30
LES SCENES EN VILLE p 31
LES RENDEZ-VOUS (gratuits) p 36
JOURNEE BUISSONNIERE p 42
NOMADISME & DELTAS / LE PLAN RHONE p 43
Les STAGES de chant, danse & musique p 45
Les + du Festival p 46
PARTENAIRES & SOUTIENS p 48
TARIFS & POINTS DE VENTE p 50
FORMULAIRE D’ACCREDITATION p 51
INFO PARTENAIRES p 52

Cette 17 e édition du Festival Les Suds, à Arles se propose une
nouvelle fois d’ouvrir au monde, de partager des émotions et des
réflexions, d’encourager la convivialité et la fête.
Les imaginaires et les solidarités qui se construisent avec les
artistes invités ont pour ambition d’apprivoiser les peurs et de
valoriser les différences.
Sur l’ensemble de ses scènes, le Festival présente un état des
lieux de ces musiques qui interrogent des identités sans cesse
renouvelées, tant elles puisent à la source de leurs nombreuses
racines. Leurs rhizomes, aurait dit Edouard Glissant.
Car c’est bien ce qu’offrent nos musiques, dites « du monde », inspirées ici par une
population aux multiples origines, et un territoire passionnant, riche d’un patrimoine
romain, roman, industriel mais aussi naturel.
Face positive de la mondialisation, elles osent croiser ouvertement les esthétiques et
les origines, le singulier et le pluriel, l’espace et le temps, le passé et le présent pour
créer la musique du futur la plus étonnante, comme avec le projet raga-flamenco
d’Anoushka Shankar !
La Méditerranée est particulièrement au cœur de notre propos : avec Avishaï
Cohen d’Israël qui chante le ladino de l’Age d’or andalou ; Mawawil, formation inédite
en France du delta du Nil (pour Marseille-Provence 2013) ; Katerina Fotinaki & Orestis
Kalabalikis (Nous sommes tous des Grecs, a dit récemment Edwy Plenel).
L’Espagne toujours fortement représentée, avec Arcángel et Sandra Carrasco pour
l’Andalousie mais aussi la Galice avec Antonio Placer ; et surtout, en cette année des
50 ans de l’Indépendance de l’Algérie, avec El Gusto, le Buena Vista algérien, qui
réunit musiciens juifs et arabes cinquante ans après leur séparation… et Houria Aïchi,
qui rend hommage aux grandes chanteuses de son pays. Plus près de nous, Lo Cor de
la Plana qui nous présente son dernier album et Calendau, l’épopée lyrique de Frédéric
Mistral mise en musique par Henri Maquet.
Bien sûr les autres continents sont présents : l’Afrique avec Perrine Fifadji et
Ba Cissoko qui parfume sa musique de salsa ou de son cubain ; l’Amérique Latine
justement, avec deux groupes très actuels : l’énergique Che Sudaka et l’électrocumbia
de Bomba Estéreo ; l’Asie avec le passionnant duo Kimura & Ono.
Aussi, l’inspiration arménienne du prodige pianiste Tigran Hamasyan ou encore Bo
Houss de Mayotte… Enfin, du Midi de la France : Zebda, Mixel Etxekopar & le collectif
Hebentik, La Mal Coiffée.
Ainsi, de Nuits de transes aux Forges en matinées de réflexions, de Siestes
Musicales en Moments très Précieux à l’Archevêché, du premier soir avec Vincent
Segal qui -très inspiré par les collections du musée et le buste de César- offre une
création spéciale, jusqu’aux rituelles Soirées Suds au Théâtre Antique sans oublier la
Journée Buissonnière à Salin-de-Giraud, où nous partageons notre culture
méridionale… nous vous souhaitons de vivre avec tous les artistes du Festival, une
semaine de bonheurs musicaux de l’ici et de l’ailleurs, du proche et du lointain.
Marie José Justamond
Directrice de Suds, à Arles

Venue des quatre coins du monde, une pléiade de musiciens se donne
rendez-vous cet été sous les étoiles du théâtre antique de la cité arlésienne
pour la 17 e édition du Festival Les Suds. Evénement musical incontournable,
dont la renommée n’est plus à faire, ce festival accueille chaque année
60 000 spectateurs enthousiastes qui partageront avec les 200 artistes
présents une centaine de concerts.
Exceptionnel mélange d’artistes reconnus et de talents en découverte, cette
grande fête musicale fait vibrer toute la ville sur des répertoires festifs ou
intimistes, sacrés ou profanes, électriques ou acoustiques. Capitale des
cultures du sud, Provence-Alpes-Côte d’Azur est aussi leur lieu d’échanges
et de partages.
Nous saluons les organisateurs pour la qualité et l’engagement de leur
travail. Nous souhaitons à tous, artistes invités de tous horizons et auditeurs
passionnés ou simples curieux, de passer d’excellents moments à Arles lors
de ce 17 e Festival des Suds.
Michel Vauzelle
Président de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur

Sur les différentes scènes de ce Festival devenu au fil du temps une
référence dans le monde de la musique, des interprètes reconnus
internationalement comme de jeunes artistes partagent chaque été avec un
public chaque année plus nombreux leur passion de la musique.
Dans une ambiance unique qui doit beaucoup au charme d’Arles et à la
qualité de l’accueil des organisateurs, chaque été, le festival des Suds
devient une capitale mondiale des musiques des suds. Les 60.000
spectateurs qui fréquentent ce festival, témoignent largement du succès
mérité de cette manifestation dont la qualité reconnue de tous n’a cessé de
se renforcer au fil des années.
Je me félicite du partenariat déjà ancien qui s’est engagé entre le festival et
le Conseil Général des Bouches du Rhône pour le plus grand rayonnement
de notre territoire.
Jean Noël Guerini
Sénateur des Bouches du Rhône
Président du Conseil Général

Pour cette 17 ème édition des Suds, plus de 200 artistes et des dizaines de
milliers de festivaliers vont se rencontrer pour partager des émotions nées de
la diversité des créations proposées.
Les Suds, c’est aussi un grand moment de fraternité, d’échanges et de
convivialité, des flâneries musicales, des soirées au théâtre antique, des
ballades au fil du Rhône et les Moments Précieux dans la cour de
l’Archevêché.
Le festival reste proche de tous les continents. Mais l’édition 2012 se
tournera plus particulièrement vers le monde arabe, avec la présence de
l’Algérie et de l’Egypte. Nous découvrirons aussi l’Espagne, le Mali, le Japon,
la Grèce, la Colombie…
Je veux redire notre attachement à l’expression des multitudes culturelles
des continents du sud de la planète, notre attachement à la paix sur le
pourtour de la Méditerranée et la reconnaissance de toutes les cultures. Le
printemps arabe tente de s’affirmer malgré les souffrances, les blessures, les
tentatives de dictatures, toutes nos pensées vont à ces peuples qui se
libèrent.
Je remercie chaleureusement toute l’équipe des Suds à Arles qui, autour de
Marie-José Justamond, assure avec passion et créativité la réussite du
festival.
J’adresse également un grand merci aux partenaires institutionnels et privés
qui rendent possible chaque édition des Suds. Les collectivités territoriales,
Conseil Régional et Conseil Général, ont toujours soutenu avec une force
particulière ce festival. Le ministère de la culture et la Direction régionale des
affaires culturelles ont toujours répondu présents. Je les en remercie.
Au nom des élus arlésiens, je souhaite à tous, artistes, stagiaires,
organisateurs, partenaires et spectateurs, une belle édition 2012.
Très sincèrement,
Hervé Schiavetti
Maire d’Arles
Vice-président du Conseil général des Bouches-du-Rhône

SUDS, à ARLES a vu le jour au mois de janvier 1996.
Née à l’initiative de passionnés et de professionnels de la
culture méditerranéenne, Suds a pour but d’affirmer
l’identité des pays de la Méditerranée et plus largement
des Suds ; de promouvoir, diffuser leurs cultures,
développer leur attractivité et contribuer à leur pleine
reconnaissance dans l’espace européen et international.
A travers son festival de musiques du monde organisé en
juillet, aujourd’hui internationalement reconnu, et par ses
actions culturelles menées à l’année sur le territoire, Suds
entend favoriser la diversité culturelle telle que définie par l’UNESCO dans la
Déclaration universelle de 2001 et adoptée par tous les états membres, à savoir un
« patrimoine commun mondial de l’humanité au bénéfice des générations présentes et
futures ».
En effet, à l’heure où la mondialisation des échanges tend à uniformiser les repères
sociaux et culturels, la découverte de l’Autre est source d’enrichissement et
l’acceptation des différences, indispensable au développement d’un mieux vivre
ensemble.
Ainsi, sur un mode convivial mais avec une exigence artistique revendiquée, le Festival
suscite de nombreuses occasions de rencontres avec des artistes venus du monde
entier : concerts intimistes, festifs ou majestueux dans le magnifique décor architectural
qu’offre la cité arlésienne ; sans oublier des stages pour tous et, de nombreux temps
d’échanges riches de sensations ou d’enseignements…bien au-delà du domaine
strictement musical.
Permettre le foisonnement des idées, la densité et la diversité des émotions et les faire
partager au plus grand nombre, telle est l’ambition de cette manifestation.
Par ailleurs, Suds développe des collaborations avec d’autres instances culturelles
régionales, nationales ou internationales, particulièrement au sein de trois réseaux
professionnels : Zone Franche, le Pôle Industries Culturelles & Patrimoines et
l’European Forum of Worldwide Music Festivals.
A travers son équipe, Suds est également sollicité pour des jurys (Prix de l’Océan
Indien, Centre National de la Variété, Babel Med Music, Saison 13…), des expertises,
des débats ou des formations pour les professionnels du secteur, en France ou à
l’étranger.
Suds s’investit également au sein de l’Office de Tourisme d’Arles, du Conseil de
Développement du Pays d’Arles ou du Parc Régional de Camargue.
Si l’organisation d’un festival tous les ans en été constitue la partie visible et reconnue
d’un projet plus global qui vise à valoriser la diversité des cultures d’ici et d’ailleurs, nous
avons choisi d’ancrer fortement cette démarche dans la riche réalité de notre territoire.
En effet, SUDS, à ARLES œuvre pour une action culturelle soucieuse des réalités du
territoire arlésien. L’histoire des populations en Camargue, la jeunesse des quartiers et
les identités profondément méditerranéennes constituent une richesse sur laquelle
repose les fondements de l’engagement de Suds tout au long de l’année.
7

Cette démarche se manifeste alors par un accès démocratique aux pratiques et à la
découverte des disciplines artistiques d’ici et d’ailleurs. Chaque année, plus de 500
enfants, jeunes et parents y participent avec enthousiasme et, par un mouvement du
Soi vers l’Autre, construisent un vivre ensemble conscient de la diversité.
Les Suds, à Morel est un projet significatif, permettant d’accompagner des élèves d’une
classe SEGPA du collège Morel à Arles vers la pratique des musiques du monde (en
2011-2012 : rythmes et chants arabo-andalous, chants hispaniques, lutherie en
Provence). L’équipe éducative du collège se réapproprie alors les thèmes développés
lors des interventions musicales, pour enrichir le programme scolaire.
Certains collèges du département (en 2011-2012 : Aubagne, Marseille et Arles)
accueillent chaque année des concerts pédagogiques programmés par Suds. Plusieurs
étapes permettent à des centaines de collégiens d’apprivoiser les musiques
méditerranéennes, les instruments en Provence, le voyage des percussions de l’Afrique
à l’Amérique latine.
Au regard de son histoire et des populations qui le composent, Mas Thibert est un
village où l’enjeu d’une ouverture sur les cultures d’ailleurs est réel. Suds propose à
l’ensemble de ses habitants une saison culturelle consacrée en 2011-2012 aux cultures
afro latines. Sont alors programmés des ateliers de percussions brésiliennes, des
stages de danse, de calligraphie et cuisine, et un concert de musique brésilienne.
La Radio des Suds est un média éphémère réalisé lors de chaque édition pour donner à
entendre la réappropriation de cet outil démocratique et citoyen par des jeunes
arlésiens. Pendant l’année, plusieurs séjours sont organisés avec d’autres acteurs
culturels en Seine St Denis, à Marseille ou encore dans le Gard, et deviennent ainsi des
opportunités pour ces jeunes de poser leur regard radiophonique sur d’autres territoires.
Des stages de danse hip-hop sont proposés à des jeunes des quartiers de Griffeuille, le
Trébon et Barriol. Le Rhône dans la Cité rassemblera les arlésiens et les jeunes
danseurs de Villeurbanne autour d’une création qui réunira l’amont et l’aval du Rhône,
pour une réappropriation culturelle commune du fleuve.
Le Conseil Général des Bouches-du-Rhône, le Plan Rhône, le Contrat Urbain de
Cohésion Sociale, l’ACSE et la Ville d’Arles soutiennent ces actions culturelles. Une
collaboration étroite avec les éducateurs, les centres sociaux, les pôles de formation,
des établissements scolaires et associations de quartiers rend possible leur mise en
œuvre et consolide cet ancrage territorial auquel nous sommes tant attachés.
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. . . . . . . . . . . . . . . . CREATIONS DANS LES MUSEES
Entrée libre, dans la limite des places disponibles
En collaboration avec les Musées et les domaines départementaux, des
créations originales placées sous le signe de la découverte, de l'originalité et du
patrimoine, puisqu'elles s'inscrivent toutes dans des lieux exceptionnels pour leur
histoire et leur architecture : le Museon Arlaten, le Musée départemental Arles
antique et le Château d'Avignon en Camargue (route des Saintes-Maries-de-la
Mer).
Le Museon Arlaten
Construit sur les vestiges archéologiques du forum
romain au cœur de la ville d'Arles, ce musée
départemental d'ethnographie est installé dans l'hôtel
Laval-Castellane, témoin de l'architecture provençale
des XVe et XVIe siècles. Le poète provençal Frédéric Mistral y a réuni les collections
dès 1896. Le montant du Prix Nobel de Littérature qui lui est attribué en 1904 lui
permet alors l'aménagement du bâtiment où il présente instruments de musique,
costumes ou mobilier afin d'affirmer sa vision de l'identité locale. Fermé jusqu’en 2014
pour travaux de rénovation, le Museon descend dans la rue et accueille les Suds
autour de son bâtiment ou sur d’autres scènes…
>>> LUNDI 9 JUILLET
> de 19h à 19h30 : performance musicale et dansée devant et autour du Museon
par les artistes du collectif HEBENTIK (Pays Basque)
> à 22h, Cour de l’Archevêché
PILOTAR(H)ITZA par et de Mixel ETXEKOPAR & le collectif HEBENTIK
avec Mizel Theret, Michel Iturria, Jean Christian Irigoyen, Pierre Thibaud,
Pierre Vissler et deux improvisateurs bertsulari
Le jeu est-il aussi inutile qu’indispensable ?
Il ne sert apparemment à rien, et pourtant jour et nuit nous sommes après lui,
qu'il soit pelote, jeu de mot ou de théâtre. Où est là dedans le beau, où se cache
l'humanité ?
Pourquoi jouer, dans un monde rempli de heurs et de malheurs? Et si là se
cachait la clé de la vie, la rosée du matin qui repousse la mort ?
Dans ce spectacle-création, jeu, musique, danse et verbe improvisés se mêlent.
Joueur, chanteurs et chorégraphe dialoguent au son de la xirula (dont Mixel
Etxekopar nous a déjà régalés lors d’un Moment Précieux avec François Rossé
en 2005) et autres instruments traditionnels pour une histoire poétique de la
pelote basque…
Le mouvement du joueur de pelote peut-il devenir danse ? L'écho du rebond de
la pelote peut-il devenir musique ? Pour les acteurs du spectacle, cela ne fait
aucun doute !
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Mizel THERET, danseur-chorégraphe basque marche depuis longtemps sur ces
chemins de création par la recherche de l'intemporel dans la culture populaire du
Pays Basque (il créa de nombreux spectacles avec la compagnie professionnelle
EKARLE)
Michel ITURRIA, joueur de pelote de Mauléon, ex professionnel de cesta punta
sur les jai alai des Etats-Unis d'Amérique. Il transmet aujourd'hui l'amour de la
pelote aux jeunes de Soule; il a lui même depuis sa plus tendre enfance ce don
particulier qui affère à chacun de ses gestes une grâce particulière.
LES BERTSULARI chantent, en Euskara, et improvisent dans l'instant une
poésie versifiée qui rebondit comme la pelote de façon imprévisible ; ils
interviendront au cours du spectacle, pour faire le lien, souvent fragile
aujourd'hui, entre pelote et langue basque.
Mixel ETXEKOPAR (xirula, clarinette, contrebasse), musicien Xirulari de Soule,
organisateur du festival XIRU est à l'origine de l'idée de ce spectacle.
Il affectionne les ponts, ceux qui relient l'ancien au nouveau.
Jean Christian IRIGOYEN - Galtxetaburu, accordéoniste de Gamarthe (Basse
Navarre), transporte avec lui la musique de son pays, en la confrontant avec
celle du monde.
Pierre THIBAUD, gascon de Gironde, percussionniste, frappe les tambours de
Gascogne et fait surgir un charme percussif bien à lui.
Pierre VISSLER, souletin de Montory, se plait à écouter son pays, sa langue qu'il
a apprise et ses gens. Pour ce spectacle il a enregistré des sons liés à ce monde
de la pelote et il les utilise en direct.
>>> SAMEDI 14 JUILLET
LO COR DE LA PLANA
> Devant le Museon, à 12h30 (durée 30 min)
On ne pouvait résister…
A l’occasion de la sortie de leur nouvel album, Marcha !, Manu Théron,
Benjamin Novarino Giana, Denis Sampieri, Sébastien Spessa et Rodin
Kaufmann nous invitent à découvrir leur nouvel opus, toujours chanté en langue
d’Oc, toujours un peu protestataire et surtout plein d’humour. A cappella ou
soutenus par des percussions, les cinq chanteurs sont les hérauts d’une vocalité
méridionale sans cesse réinventée !
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Le Musée départemental Arles antique
Ce musée présente une des plus riches collections archéologiques
de France, allant de la préhistoire à l'Antiquité tardive en passant
par la protohistoire ou le Haut Empire. Témoin de l'inépuisable
richesse des monuments que livre le sol de la ville d'Arles, le
musée réunit aujourd'hui l'ensemble de ses collections dans une
architecture novatrice et fonctionnelle qui permet d'assurer non
seulement une muséographie cohérente et esthétique, mais aussi
ses autres missions : conservation, restauration et accueil des publics en mettant en
place notamment de nombreuses visites et ateliers. On lui doit, entre autres, la
magnifique exposition des collections du Louvre « de l’esclave à l’empereur » et
surtout, l’exposition des découvertes archéologiques du Rhône, avec notamment le
désormais très célèbre buste de César, récemment hébergé au Louvre !
>>> LUNDI 9 JUILLET
> à 21h30 - CREATION avec le soutien de la
Entrée libre, dans la limite des places disponibles
VINCENT SEGAL, solo (France)
Deux ans après son duo avec le maître de la kora malienne Ballaké Sissoko pour
un Moment Précieux d’anthologie dans la Cour de l’Archevêché, il revient à Suds
pour une création solo sur mesure !
Armé de son violoncelle et de sa belle sensibilité, il s’inspire des collections
archéologiques du musée (il avait visité l’exposition consacrée aux découvertes
du Rhône…) et de toute la programmation du Festival…
Musicien du XXIe siècle, ce grand violoncelliste et compositeur formé au
Conservatoire, aime se jouer des frontières. Avec Bumcello, -M-, ou Sting, c’est
au fil des expériences et de ses voyages qu’il s’est forgé un univers somptueux
et très personnel.
Artiste complet et mélomane éclectique, champion des musiques inclassables, il
a fait ses classes dans des contextes aussi divers que Chuck Brown, le P-Funk
All Stars, l'I.R.C.A.M., et l'Olympic Gramofon de Julien Lourau !
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Le Château d'Avignon
Situé entre Arles et les Saintes-Maries-de-la-Mer, le domaine du
château d’Avignon est une propriété du Département. C’est vers
1740 que Joseph-François d’Avignon, noble arlésien, transforme
un vieux mas en un château à l’architecture classique qui porte
désormais son nom et devient au XIX e siècle le siège social d’entreprises agricoles. Le
domaine renaît en 1893 grâce à Louis Prat-Noilly, un riche négociant en vin
marseillais, qui le réaménage entièrement pour en faire un rendez-vous de chasse
équipé de tout le confort moderne. Chaufferie, complexe hydraulique toujours en
activité, pompes à eau et chaudière… en plein cœur de la Camargue, on dispose
d’électricité, d’eau chaude, de baignoires et du chauffage central dans un décor
luxueux inspiré du XVIII e siècle.
Chaque été, le Château d’Avignon en Camargue développe une thématique autour de
son exposition d’art contemporain. En 2012 : « Se souvenir de la mer»
>>> SAMEDI 14 JUILLET
Un Thé au Château – Avec la complicité des Cafés de la Major
Entrée libre
> à 15h : visite libre du parc et ses dépendances
> à 16h : concert
COMPAGNIE RASSEGNA & ANNIE EBREL : D’UNE MER A L’AUTRE
Interprète de gwerz, Annie Ebrel est considérée comme « la » voix féminine
bretonne actuelle. Au chant breton viennent se mêler ceux de la Cie Rassegna,
installée à Marseille.
Le temps d’une création, ces artistes venus de deux mondes si éloignés a priori,
inventent une passerelle liant les côtes bretonnes aux calanques arides de la
Mare Nostrum. Leur plaisir de chanter ensemble est patent, leur rencontre est
originale et précieuse !
La Cie Rassegna, c’est un ensemble de personnalités héritières de différentes
traditions musicales populaires de Méditerranée. Des voix aux timbres puissants
et marqués qui se posent sur des sonorités d’instruments traditionnels. Avec
Marseille comme port d’attache, la Cie accomplit des travaux de recherche,
d’arrangement, de composition et de transmission de ces musiques.
Chanteuse traditionnelle, Annie Ebrel s’est formée au contact des groupes et
chanteurs de fest noz. Forte de la variété de ses multiples expériences et de ses
recherches, elle est aujourd’hui considérée comme la plus belle voix bretonne.
Elle interprète ici le gwerz, chant épique et tragique. Suds l’avait déjà accueillie
aux côtés des chanteurs bretons Yann Fanch Kemener et Erik Marchand.
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. . . . . . . . . . . . . . . . . . . SOIREES SUDS au Théâtre Antique
Du 10 au 13/7 à partir de 21h30
Tarifs : de 22 à 35 €
> Nouveau en 2012 : le Pass Soirée à 50 €
avec un Moment Précieux, une Soirée Sud et une Nuit des Forges
Magnifiquement restauré, d’une beauté et d’une acoustique exceptionnelles, le
Théâtre Antique abrite 2000 places assises et un orchestra de 500 places pour danser
sous la voûte étoilée, ou s’installer au plus près des musiciens ! Les Soirées Suds se
déclinent en deux temps : un premier concert de 45 min avec un artiste en découverte
en France ou en Europe et, après une pause de 30 min pendant laquelle vous pourrez
vous rafraîchir aux buvettes, un concert de 90 min avec un artiste de renom !
Certains concerts font l’objet d’une captation audiovisuelle.
A l’issue des concerts, rejoignez La Muleta pour une Bodega ethnique les 9 et 10/7
ou une Nuit des Forges du 11 au 14/7
>>> MARDI 10 JUILLET
Retrouvez LA HORDE dans le Jardin d’été, à l’entrée du Théâtre Antique
Cet ensemble puissant de hautbois languedociens et d’instruments d’harmonies se
réapproprient de manière originale les traditions méridionales et méditerranéennes….
AVISHAI COHEN, Israël
Repéré par Chick Corea ou Herbie Hancock comme l’un des meilleurs contrebassistes
de jazz actuels, ce compositeur talentueux et inventif renoue avec ses racines judéoandalouses.
Désormais, il chante des mélodies émouvantes en ladino mais aussi en
hébreux ou en anglais.
Familier des rythmiques atypiques, sa voix suave séduit...
Son titre Morenika, remarquable d’intensité, en est la plus belle illustration !
Phénomène de musicalité et d’énergie, cet artiste charismatique fédère aujourd’hui
bien au-delà des frontières du jazz !
Il est accompagné sur scène de Omri Mor au piano, et Amir Bresler à la batterie.
Ce jazzman a un parcours assez atypique.
Né en Israël en 1971, il a d’abord fait des études de piano à l’Académie de musique et
arts de Jérusalem. A 14 ans, il se met à la basse électrique lorsqu’il découvre Jacob
Pastorious et Stanley Clarke… Emigrant très jeune aux Etats-Unis, son histoire est
jalonnée de noms prestigieux, à commencer par Chick Corea, qui a découvert ce
musicien assez intrigant. Les deux artistes joueront pendant un temps côte à côte,
avant de s’éloigner.
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Avishaï a poursuivi depuis une carrière brillante, mêlant jazz, soul et même reggae
dans son disque Colors (2000). Le magazine Bass Player l’a classé parmi les 100
bassistes les plus importants du XX e siècle.
Depuis son premier album Adama (1998), ses enregistrements sont régulièrement
acclamés, tels Lyla (2003), Aurora (2009) ou le remarquable Seven Seas (2011). Son
dernier album paru en 2012, s’intitule Duende : l’âme, ce sentiment indéfinissable
qu’aime tant ce musicien et composition hors pair !
TIGRAN HAMASYAN, Arménie > Première partie
Avec le soutien de l’association des Arméniens d’Arles et de sa région
Pianiste virtuose inspiré tant par Erik Satie, par la poésie que par la musique populaire
arménienne, ce compositeur marie avec une aisance hallucinante, la riche tradition de
son pays et la musique classique ou contemporaine.
De pièces lyriques en performances jazz, sa musique ouvre sur des paysages sonores
fabuleusement oniriques…
D’abord en solo au piano, il s’entoure du bassiste Sam Minaie et de Nate Woods à la
batterie.
Né en 1987 à Gyumri en Arménie, il a grandi dans une famille où la musique jouait un
rôle important. Dès l’âge de trois ans, il commençait à retrouver au piano des chansons
des Beatles, de Louis Amstrong, de Led Zeppelin ou de Queen ! Très tôt, ses goûts en
matière de jazz ont été influencés par la période fusion de Miles Davis puis il découvrit
le jazz classique sous l’égide de son professeur, qui avait lui-même étudié avec Barry
Harris.
Etudiant en musique classique et pianiste jazz, il émigre avec sa famille à Los Angeles.
Bien vite, il s’illustre dans des concours de piano et remporte notamment le grand prix
Thelonious Monk Jazz Piano en 2006, sous la présidence d’Herbie Hancock et la
deuxième place en 2006 au concours international de jazz Martial Solal à Paris.
Grâce aux prouesses dont il fait montre et une discographie restreinte, mais
impressionnante, Tigran poursuit son chemin, à pas de géant !
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MERCREDI 11 JUILLET
En partenariat avec
ZEBDA, France
Reformé, le célèbre collectif toulousain s’invite pour un Second tour…
Toujours « motivé », le groupe saisit le politique et le social à bras-le-corps et dégaine
des textes engagés sur l’inégalité des chances, les discriminations ou le racisme
ordinaire. Entre gravité et ironie mais avec cette même alegría qui a fait leur grand
succès, ces artistes de scène offrent une fête populaire à l’accent revendiqué de tous
les Suds !
Sur des tempos toujours aussi dansants et des titres comme Le dimanche autour de
l’église, ils délivrent un véritable antidote à la résignation ambiante et à la tentation de
repli. Un groupe pour faire la fête : profitez-en !
Après de longues années de silence, Zebda commence une seconde vie : Magyd,
Joël, Rémi, Mouss et Hakim retrouvent ensemble la scène ! L’idée leur est venue au
début de l’été 2010 : l’esprit libre, ils se sont assis autour de la table. La discussion ne
dura pas plus que le temps de dire leur envie et de poser un seul principe : ne pas se
perdre dans un come-back au rabais et revenir avec un nouvel album. Soit une
véritable épreuve du feu…
« Magyd a sorti 40 textes de cinq pages chacun avec une idée de mélodie pour
chaque, Hakim trouvait spontanément la réplique et, moi j’essayais de trouver
comment trois voix, nous pouvions installer la magie, le son, le rythme. Très vite, on
s’est aperçu que Zebda tenait dans cette alchimie du chant à trois. Nous avons
compris que quoi que nous fassions, séparément ou ensemble, nous étions Zebda ! ».
LA MAL COIFFEE, Pays d’Oc > Première partie 45 min
Myriam Boisserie, Hélène Arnaud, Karine Berny, Marie Coumes et Laetitia
Dutech
Première partie 100% féminine avec ces cinq chanteuses de caractère unies dans un
même souffle et une même langue, chantante par nature !
Elles réinventent une polyphonie charnelle et originale tirée de la tradition populaire
languedocienne. Arrangées par Laurent Cavalié (Du Bartas, Le Comité, Le Combi
trio…), ces compositions soutenues par le rythme puissant des percussions sont d’une
grande richesse mélodique et distillent une énergie entraînante !
Avec 3 albums à leur actif depuis 2007, elles remplissent les salles partout où elles
passent.
La Mal Coiffée s’est produite plus de 200 fois en concert suite à la sortie du premier
album Polyphonies Occitanes (Modal / L’autre distribution) en 2007
Après un deuxième album en 2009, A l’agacha est paru en 2011, Òu ! Los òmes !
(Sirventés/l’Autre Distribution) en 2012.
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JEUDI 12 JUILLET
En partenariat avec la
ANOUSHKA SHANKAR, raga-flamenco > 2 dates en France !
Fille et disciple du maître du sitar Ravi Shankar, demi-sœur de Norah Jones, Anoushka
Shankar célèbre les noces du raga et du flamenco !
Digne héritière d’une musique indienne classique, elle s’était déjà frottée à l’électro ou
aux sons plus contemporains. Avec Traveller, son projet raga-flamenco, cette belle
musicienne et compositrice crée un lien subtil entre traditions hindoustanie et
flamenca, réussissant le pari d’un dialogue spirituel entre deux musiques très
respectueuses l’une de l’autre.
Avec Sandra Carrasco au chant et El Piraña aux percussions, que l’on voit également
aux côtés de Paco de Lucía, Melon Jimenez à la guitare flamenca, Pirashanna
Thevarajah aux percussions indiennes, Sanjeev Shankar au shehnai et tanpura.
Pour ce projet, elle a eu recours au producteur espagnol Javier Limón, célèbre pour
son flamenco-frontière.
Comment fait-elle pour magnétiser à ce point le public, alors qu’elle reste immobile, assise sur
un tapis, son corps disparaissant presque derrière son volumineux sitar ? La réponse est dans
la force qu’irradie sa musique, dans les vibrations des cordes du sitar qui accompagne sa
méditation, son cheminement spirituel, mais exprime aussi bien une multitude de sentiments et
d’états d’âme. Dans son nouveau projet, elle suit une démarche proche de celle de son père, le
maître Ravi Shankar (toujours en activité à 91 ans), qui dans les années 60 confronta son art
aux musiques blues-rock anglo-saxonnes, Beatles en tête. Elle s’est penchée sur une autre
tradition, celle des Gitans d’Andalousie, pour donner naissance à une des sensations world
2011 : Traveller.
François-Xavier Gomez, Libération
Suds avait déjà accueilli en 2005, Ravi et Anoushka Shankar grâce à la Fondation
Luma.
ARCÁNGEL, Andalousie > Première partie 45 min
L’une des voix les plus originales du flamenco d’aujourd’hui !
A la croisée de la tradition et de l’avant-gardisme, ce jeune cantaor à la voix
mélodieuse se plaît à entraîner le flamenco vers de nouveaux chemins. Avec une
connaissance parfaite de la tradition, il a accompagné les plus grands de la danse
flamenca avant de se lancer en solo. En duo ici avec le guitariste Dani de Morón sur
un répertoire purement flamenco, sa voix aux mélismes maîtrisés et sa belle
présence scénique sauront séduire les aficionados… et même au-delà !
Né à Huelva en 1977, il interprétait dès l’âge de dix ans et à la perfection, les
fandangos locaux. C'est ainsi qu'il remporta à plusieurs reprises le prix annuel du
cercle flamenco La Orden de Huelva organisé pour les jeunes de la région. Il partit très
vite travailler à Séville où il entra en contact avec le monde de la danse, qui le forma. Il
chanta pour Cristina Hoyos, Israel Galván, Javier Barón, El Pipa et surtout Eva la
Yerbabuena dont la compagnie l'a accueilli durant de nombreuses années.
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Il fut consacré par la Biennale de 1998, et sollicité par une infinité d'artistes.
Il se lance alors dans une carrière en solo qui culmina avec son premier disque
Arcángel. À la mort de Paco Toronjo, il s'est imposé comme le plus grand connaisseur
des fandangos de Huelva et surtout des styles alosneros.
Arcángel est aussi un artiste au vaste répertoire, capable de faire vibrer sa voix selon
les écoles de Caracol, El Pelé, Enrique Morente, El Pinto ou Carmen Linares…
>>> VENDREDI 13 JUILLET
EL GUSTO, Algérie
Version algérienne du Buena Vista Social Club, ce grand orchestre d’une vingtaine de
musiciens arabes et juifs se retrouve cinquante ans après les événements liés à
l’indépendance de l’Algérie…
Sur scène, comme dans le film que leur a consacré Safinez Bousbia, ils célèbrent
chaleureusement leurs retrouvailles ! Il faut dire qu’ils ont fait les grandes heures du
chaâbi de la Casbah d’Alger, cette musique populaire et festive inspirée du répertoire
arabo-andalou (dont nous connaissons ya rayah, célèbre reprise de Rachid Taha).
On y retrouve Robert Castel, Maurice El Médioni ou encore Rachid Berkani ou
Abdelkader Chercham.
Avec cette merveilleuse musique, El Gusto illustre le bonheur retrouvé d’être
ensemble, au-delà des appartenances religieuses ou communautaires…
Un art de vivre qu’ils savent faire partager !
Cet orchestre de la musique arabo-andalouse dont il s’inspire notamment, représente
les différentes écoles de la musique chaâbi (populaire) des années 40 et 50. Ces
musiciens sont des vieux maîtres du chaâbi, compagnons de rangs de la première
école de musique de ce genre musical fondée par Hadj el Anka, que Safinez Bousbia,
jeune algéro-irlandaise, a réuni. En effet, lors d’un voyage à Alger, elle entre dans une
échoppe de la Casbah, attirée par un miroir, et fait la rencontre de l’un d’entre eux…
Elle a retissé le fil qui les reliait alors, la musique chaâbi !
Véritable patrimoine, cette musique née au milieu des années 20, s’inspire des poésies
écrites au XV e siècle qui se sont mêlées aux chansons populaires des pêcheurs, des
dockers et des barbiers de la Casbah d’Alger. Issu des influences berbère, andalouse
et des chants religieux, c’est El Anka (1907-1978) qui invente « ce son magique qui
résonne ». Cette musique nouvelle touche tous les habitants : Musulmans, Juifs,
Italiens, Espagnols, tous vivent au rythme du chaâbi !
Pionniers de cette musique mais aussi auteurs de certaines de ses plus belles
mélodies, ces papys du chaâbi retrouvent enfin la reconnaissance dont ils ont été
privés il y a 50 ans, avec la guerre d’Algérie…
L’orchestre se compose de banjos, derbouka, taar, violons, pianos, mandoline,
bangos, accordéon, contrebasse et chanteurs.
Retrouvez le film EL Gusto, mardi 10/7 à 14h30 à l’auditorium du Musée
départemental Arles antique et « Un Rêve algérien » le 14/7 à 10h dans l’amphi
de l’Espace Van Gogh ! (entrée libre, dans la limite des places disponibles)
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Deux rencontres auront lieu autour de l’Algérie :
> Le Lundi de Mediapart avec Edwy Plenel le 9/7 à l’Auditorium du Musée
départemental de l’Arles antique,
> dans le cadre du Forum Attac du 14/7 à l’Espace Van Gogh :
avec Brigitte Benkemoun à l’issue du film projeté à 10h et à 17h, avec Pierre Daum
HOURIA AÏCHI, Algérie > Première partie 45 min
CREATION Renayate
En coproduction avec Accords Croisés et avec le soutien du Conseil général des
Bouches-du-Rhône
Venue en 2010 avec L’Hijâz’Car pour une réinterprétation originale des chants des
Aurès, elle rend ici hommage aux grandes voix féminines algériennes !
Du raï de Cheikha Rimitti au Asri algérois de Meriem Fekkaï, des voix kabyles de
Chérifa ou Djura aux légendaires aurésiennes Zoulikha ou Beggar Hadda, elle traverse
générations et styles avec son imaginaire et sa technique vocale chaouie, si
particulière.
Elle est accompagnée au ney par Ali Bensadoun, au piano par Smaïl Benhouhou, aux
percussions par Amar Chaoui et Mohamed Abdennour au mandole et aux
arrangements.
Ce projet est né en partie, de l’admiration profonde qu’a Houria Aïchi pour certaines
grandes voix féminines algériennes. Emue par le courage et la détermination de ces
femmes qui ont mené une vraie carrière de chanteuses, dans un environnement à la
fois hostile et admiratif. Beaucoup d’entre elles ont dû quitter ou rompre, contre leur gré
avec leur famille. Outre l’admiration que je leur porte, je dois dire que j’ai été sensible
au fait que, par leur persévérance dans le chant, elles aient fait « bouger les lignes »,
confie Houria.
Chantant depuis toute enfant, à Batna dans ses montagnes berbères natales, aux
portes du Sahara, Houria Aïchi a suivi des études secondaires à Constantine,
fréquenté l’université à Alger et achevé sa formation de sociologue en France. Pour
son propre plaisir ou celui de ses amis, jamais elle n’a cessé de chanter tout en
entreprenant un travail de collectage des textes et musiques relevant de la tradition
orale. Elle interprète ces chants séculaires des femmes de l’Aurès avec une voix qui ne
peut que séduire. Soucieuse de faire évoluer les formes traditionnelles tout en restant
fidèle à ses racines, Houria Aïchi a créé le spectacle Les Cavaliers de l’Aurès que
Suds avait accueilli au cœur des collections du Musée départemental Arles antique en
2010 (et que l’on retrouve dans l’Anthologie des Moments Précieux des Suds, CD-
DVD, world village/harmonia mundi, juin 2012).
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. . . . . . . . . . . . . . . . . . LES ALYSCAMPS
NOUVELLE SCENE !
à 19h30, de 15 à 22 €
>>> SAMEDI 14 JUILLET
Dans le cadre du programme « Nomadisme & Deltas » pour Marseille-Provence
2013, en partenariat avec la Fondation Orange, le Plan Rhône et le Ministère de la
Culture égyptien
Dans l’Antiquité, les corps des défunts descendaient le fleuve Rhône en bateau
pour être inhumés aux Alyscamps (Champs Elysées, en provençal). Aujourd’hui
encore, cette grande nécropole gallo-romaine abrite de très nombreux sarcophages.
Installée à l’entrée de la romantique allée des Alyscamps, cette nouvelle scène sert
de cadre magique aux musiques du delta du Nil invitées…
MAWAWIL, Égypte > Inédit en France !
Autour de Gamalet, grande dame du chant, ces musiciens interprètent le mawwal, un
style musical connu en Egypte dès le XVI e siècle. A partir d’une poésie savante que
s’est réapproprié le monde rural, ces récits chantés ou déclamés en dialectes se font
l’écho de la vie des paysans et des traditions : chants d’amour ou de noces, récits de «
saints » ou louanges au Prophète…
Débutant toujours par une mélopée au long prélude improvisé et ornementé, le souffle
ininterrompu de l’arghoul et les rythmes hypnotiques des percussions envoûtent
l’auditoire, au-delà de la barrière linguistique… Une musique lyrique et populaire à la
fois qui résonne en un écho singulier avec le chant gitan !
Avec Gamalet Shiha, Sara Ahmed et Hend Ahmed au chant, Ahmed Abd El Ghany
au kawala (flûte de bambou à 6 trous), Ragab Sadek au derbouka, Salem Ghamri au
hana (percussion), Mohamed Abou Elatta au rabab (violon à 2 cordes) et Amin
Ibrahim Aly, grand joueur d’arghoul, clarinette double en bambou qui remonte au
temps des pharaons et dont on ne compte plus qu’une poignée de joueurs dans tout le
pays.
Quelques membres de Mawawil accompagneront musicalement la Causerie
Nomadisme & Deltas du vendredi 13 juillet au Musée départemental Arles antique, à
16h30, avec Ahmad el Maghraby, ancien attaché culturel d’Egypte en France et
directeur de MAKAN, centre égyptien pour la culture et l’art au Caire, et avec Jacques
Maigne, grand reporter et écrivain voyageur.
Ensemble, ils aborderont la réalité des musiques égyptiennes au-delà de son image
folklorisée et évoqueront l’actualité politique de ce pays et des évènements au Caire.
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. . . . . . . . . . . . . . . . . . . LES MOMENTS PRECIEUX
Cour de l’Archevêché
Du mardi 10 au vendredi 13 juillet à 19h30
De 15 à 22 €
avec la
Entre abbatiale romane et palais du XVII e siècle, la Cour de l’Archevêché devient une scène
intime et majestueuse à la fois, où la musique profite d’une acoustique et d’une écoute
exceptionnelles.
Le public jouit d’une proximité sans pareille avec les artistes afin de partager au plus près
leurs sensations et de s’immiscer totalement dans leurs divers univers musicaux…
Afin d’intensifier cette relation intime avec et entre les artistes, nous présentons cette année
des duos inédits ou rares…
>>> MARDI 10 JUILLET
PIERS FACCINI & BADJE TOUNKARA Angleterre, Mali > INEDIT
Que ce soit aux côtés d’immenses stars comme Ben Harper ou sur ses propres
chansons folks, plus intimistes et d’une incroyable finesse, les compositions de Piers
Faccini sont toujours aussi brillantes. Et quand la voix aérienne se tait, c’est le n’goni
du griot malien Badjé Tounkara qui prend la parole, en un duo de cordes sensibles.
The River vogue délicatement entre blues du Mississipi et traditions mandingues de
l’Ouest africain… Magnifique !
Né en Angleterre d’une mère anglaise et d’un père italien, Piers Faccini arrive en
France à l’âge de cinq ans, effectue ses études et débuts artistiques en Angleterre
mais est désormais signé sur un label français. Sa musique est universelle tant elle
puise à la fois aux sources américaines de Jeff Buckley ou Ben Harper et dans la
musique malienne de Ali Farka Touré ou Boubacar Traoré. Ses collaborations avec
des musiciens venus d’horizons divers tels que Vincent Segal, Ibrahim Maalouf…
ouvrent sa musique sur le monde.
Passionné depuis toujours par la forme guitare-voix, le blues restant le pilier de sa
musique, il est aussi peintre et photographe.
Sélectionné en France pour le Prix Constantin en 2009, pour son troisième opus Two
Grains of Sand, le songwriter anglais s’est entouré de son ami guitariste Seb Martel et
du grand griot malien Badjé Tounkara pour The River ; une itinérance pop bluesy du
Niger au Mississipi, initialement créée pour le Festival Africolor puis Banlieues Bleues.
Badjé Tounkara, né en 1965 non loin de Bamako a été initié à la musique par son
père, Mody Tounkara, fameux joueur de n’goni et directeur-adjoint de l’Ensemble
Instrumental du Mali. C’est lui qui lui a mis entre les mains cette petite guitare
traditionnelle et lui a fait apprendre tout le répertoire griot. Très vite, Badjé a joué avec
les plus grands noms de la musique malienne comme Salif Keita ou Baba Maal.
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Depuis 2008, il offre une musique qui revendique un son épuré et rythmé, rappelant les
syncopés des griots traditionnels, mélangés à des arrangements entre blues et
musique du désert et affirmant un style entre traditions et modernité. Composer à la
frontière entre deux mondes, deux continents, dans un métissage de styles devient la
pierre angulaire de son travail. Installé en France depuis 2002, il se produit également
en Europe avec son groupe sous la forme d’un quatuor.
>>> MERCREDI 11 JUILLET
ANTONIO PLACER & JEAN-MARIE MACHADO, Espagne/Galice-
France
La rencontre entre ces deux musiciens-poètes était évidente !
Premier volet d’un triptyque qui explore le thème de l’exil, Republicalma raconte la
solitude du migrant. La voix majestueuse du ténor épouse les notes nomades du piano
sur des compositions personnelles puissantes ou de grands standards : un poème
d’Aragon sur une musique de Jean Ferrat, une réadaptation de Volver ou la sublime
version en galicien des Passantes de Georges Brassens...
Un dialogue intimiste qui transforme ce moment en une balade sur des chemins de
traverse…
« Depuis l’aube de mes jours, l’exil a été ma marque de fabrique et mon maître intérieur. Il
m’a appris le chemin de mon âme, ma voie, mon chant, mon indécelable. Aujourd’hui,
grâce à ses enseignements, j’ai retrouvé ma force vitale la plus profonde. Mon
cheminement est incompréhensible et puissant. Je suis un cheval sauvage qui ne sait que
galoper au service du féminin, de la vie et de l’instant présent. Il faut se reléguer,
s’expatrier, s’éloigner pour devenir l’instrument d’un monde invisible qui souffle, chante,
frappe à l’intérieur de nos entrailles. En s’exilant, on met son âme à l’abri… »
Antonio Placer.
Ténor galicien exilé en France, musicien, poète, auteur, compositeur, Antonio Placer
écrit musiques et chansons au gré des cultures qu’il a croisées tout au long de son
parcours. « Atlantiterranéen » de cœur, « annartiste » d’esprit, il s’amuse des langues
et chante ses poèmes en espagnol, galicien, français et autres esperantos de sa
composition. Approfondissant son univers singulier, il poursuit la quête d’une langue et
d’une musique intimes, miroirs de son intérieur, partant du particulier pour aller vers
l’universel. Tour à tour et tout à la fois barde, troubadour ou trouvère, il n’est jamais
seulement chanteur ! Sa voix, tragique, émouvante, parfois fiévreuse, se marie
harmonieusement avec les notes de l’ami Jean-Marie Machado au piano.
D’origine portugaise et italo-espagnole aux inspirations méditerranéennes
constamment renouvelées, Jean-Marie Machado est un pianiste de jazz, de formation
classique, et un habitué lui aussi du mélange des genres et du partage des émotions.
Fondateur d’un trio emblématique, soliste lumineux, iconoclaste, empêcheur de
« jazzer » en rond, il est rétif à toute forme de postulat et autre enfermement
stylistique. La rencontre et le dialogue sont pour lui des moteurs à mille temps.
Leur duo est un véritable dialogue de virtuoses, l’engagement « physique » d’Antonio
Placer étant soutenu au piano tantôt avec une rondeur délicate de notes qui s’égrènent
tantôt avec ferveur et mordant.
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JEUDI 12 JUILLET
ISABELLE COURROY & SHADI FATHI, France-Iran
Entre ces deux musiciennes virtuoses s’invente le langage commun d’une musique
mélodieuse, limpide et harmonieuse. Une boucle rythmique est lancée et leurs
instruments se mettent à tutoyer le ciel en un Immobile voyage fascinant !
Spécialiste de musique contemporaine occidentale, aucun son de kaval n’aura bercé
l’enfance d’Isabelle Courroy qui a suivi un parcours de flûtiste traversière classique.
Elle s’est formée aux techniques de jeux traditionnels des kaval, (flûtes obliques des
Balkans) en se rendant auprès des musiciens bulgares, grecs et turcs. Privilégiant les
liens dynamiques qui relient la tradition à la création, son jeu interroge à la fois
l’archaïsme et la modernité.
Elle est à l’origine du quintette Aksak, musiques créatives des Balkans, en compagnie
des mêmes musiciens depuis 1989. En duo avec Djamid Chemirani depuis 2006 sur
des sons fixés par le compositeur Zad Moultaka, elle évolue également dans le cadre
de l’ensemble Multitudes avec Bruno Allary, et participe à la création de Zaman
Fabriq, quintette marseillais qui associe au beat box, chant soufi de Haute Egypte et
flûtes kaval.
Dans le cadre de la 17 e édition du Festival, Isabelle Courroy donne également un
master class de flûte kaval.
Née à Téhéran, de famille kurde, c’est auprès de Mehrdad Karim-Khavari, membre de
la confrérie Ghaderyeh du Kurdistan que Shadi Fathi s’est initiée au daf.
Disciple de Ostad Dariush Talai, elle a étudié la setâr, qu’elle a adopté comme
compagnon de route et dont elle devenait, dès l’âge de quinze ans, interprète soliste et
concertiste. A la même époque et comme l’exige la tradition de la musique persane,
elle aborde l’univers des rythmes par l’apprentissage du zarb. Installée en France
depuis 2002, elle intègre de nombreux projets et retourne régulièrement en Iran où elle
puise à la source de son art.
>>> VENDREDI 13 JUILLET
KIMURA & ONO, Japon > INEDIT
En partenariat avec la Japan Foundation
Ces jeunes musiciens de shamisen et shinobue ont l’imagination du jazz et l’énergie
du rock !
S’inspirant de la culture traditionnelle du théâtre japonais, ils tirent leur inspiration d’un
style semi improvisé du Nord du Japon (région de Tohoku), qu’ils mêlent à des rythmes
soul & blues occidentaux. Extraordinaire à bien des égards, leur musique est à la fois
totalement asiatique et complètement actuelle, conduisant à la transe !
Littéralement « 3 cordes parfumées », le shamisen est une guitare traditionnelle
japonaise à cordes pincées, utilisée dans le théâtre japonais. Initialement joué par des
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musiciens aveugles, le tsugaru shamisen est un style qui se prête facilement à
l’improvisation. Simple accompagnement aux chanteurs, le shamisen n’est que plus
tard utilisé comme instrument soliste.
Le shinobue, petite flûte traversière en bambou, est utilisée au Japon dans divers
styles et accompagne les festivals de kabuki. Percée de 7 trous de jeu, elle donne une
gamme diatonique majeure et une altération permettant de jouer les modes les plus
usités en musique japonaise.
Shunsuke Kimura a voyagé aux quatre coins du Japon pour trouver diverses
mélodies, styles et rythmes traditionnels qu’il a assimilés à ses propres compositions.
Ethérée, sa musique exprime l’image poétique de la Nature et des saisons dans une
délicate nuance de couleurs et de sons. Compositeur reconnu, il est souvent sollicité
notamment pour des spectacles contemporains de kabuki.
Etsuro Ono est issu du Nord-est du Japon, une région célèbre pour sa musique
traditionnelle. Il a étudié auprès du maître de shamisen Chisato Yamada et n’a pas
tardé à gagner ses premiers prix. Il est considéré comme l’un des plus grands joueurs
actuels.
Leur passion commune pour le Tsugaru-shamisen leur a permis de gagner des prix de
musique traditionnelle japonaise et les critiques ont partout acclamé leurs
performances aux USA, en Italie, Malaisie, Corée ou encore au dernier WOMEX, le
World Music Expo à Copenhague en 2011.
>>> DIMANCHE 15 JUILLET
KATERINA FOTINAKI & ORESTIS KALABALIKIS, Grèce
Lire page Journée Buissonnière
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L’ANTHOLOGIE DES MOMENTS PRECIEUX DES SUDS,
à ARLES
Une superproduction arlésienne
Suds à Arles, world village/harmonia mundi
& Monsieur Christian Lacroix !
Un coffret CD-12 titres, DVD-13 titres et un livret documentaire
réunissant 25 groupes invités au fil des éditions du Festival,
révélateurs de la richesse de nos musiques et de la belle générosité
de ces interprètes !
Tissée d’émotions, d’instants impromptus, complices ou décalés et
habillée par la grâce colorée du célèbre créateur arlésien Christian
Lacroix, cette Anthologie, en édition limitée, est en vente depuis
juin 2012.
24
Avec
OMAR SOSA, LES FRERES JOUBRAN, ANGELIQUE
IONATOS, MAYRA ANDRADE, FRANCOISE ATLAN
& L’ENSEMBLE CONSTANTINOPLE, PASCALS,
VINCENT SEGAL & BALLAKE SISSOKO, RAJERY,
AVSHALOM FARJUN & AVI AGABABA, GONG
LINNA, LE TRIO PASSOS-CARNEIRO-RAMOS,
ROCIO MARQUEZ, HOURIA AICHI & L’HIJAZ’CAR,
LUCILLA GALEAZZI, STIMMHORN, MOTION TRIO, A
FILETTA, GULCAN KAYA, JORGE PARDO, CHIN NA
NA POUN, DIEGO AMDOR, 34 PUNALADAS,
WASIFUDDIN DAGAR, GUYLAINE RENAUD &
BENAT ACHIARY et CLARAS LUCES.

. . . . . . . . . . . . . . LES NUITS DES FORGES
PARC DES ATELIERS SNCF
à 5 min à pied du Théâtre Antique
du mercredi 11 au samedi 14 juillet
de 23h à 4h, de 8 à 15 €
avec le soutien de
Cette friche en cours de réhabilitation abrite déjà les expositions photographiques des
Rencontres d’Arles, la Grande Halle rénovée par la Région, et se prépare à recevoir
prochainement la Fondation LUMA sur un projet architectural signé Frank Gehry ! Un lieu où
l’on produit de l’art, des idées et des expositions.
Afin de répondre à l’esprit des lieux, Suds a souhaité investir ce lieu magique et apporter sa
contribution à cette démarche de développement de l’image sous toutes ses formes, en
proposant des créations associant musiques du monde & images.
Souvent spécialement conçues pour Suds et en complicité avec les groupes invités, ces
créations mixées en direct et projetées sur trois grands écrans, mêlent images filmées
en direct, vidéos, photographies et s’ouvrent aux dernières technologies en la matière…
Avec des sets de Dj’s & Vj’s dès 23h, l’atelier des Forges se transforme en une salle de
concert à ciel ouvert ! Un espace bar-restauration scénographié permet également de
partager un verre sous les étoiles en attendant la fin du spectacle au Théâtre Antique et le
concert en live vers 00h30…
>>> MERCREDI 11 JUILLET
YOM & THE WONDER RABBIS, France
Attention, l’enfant prodige de la clarinette klezmer est de retour !
Il avait séduit le public seul sur la scène du Théâtre Antique, en première partie de Cesaria
Evora, en 2009. Il pose désormais en super héros pour nous embarquer dans un road trip
psychédélique le long du Danube, des Balkans à la Turquie via la Roumanie…
Une musique où les mélopées lyriques du klezmer se teintent d’électro et de post rock avec
batterie, basse et claviers planants !
Jeune surdoué de la clarinette, instrument dont jouait également son grand-père, Yom se
démarque de ses petits camarades du Conservatoire en découvrant d’autres horizons
musicaux. Après plusieurs expériences musicales collectives, il se lance en solo en rendant
hommage au maître Brandwein, en un respect et un affranchissement de la tradition
remarqués…
Révélé il y a trois ans avec son premier album New King of klezmer, sur lequel il enfilait avec
aisance le costume clinquant de son idole, le gangster musical Natfule Brandwein, Yom
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s’était aventuré sur un terrain plus personnel avec le magistral Unue, en ayant pris soin de
s’entourer d’une remarquable brochette d’invités : Denis Cuniot, Wang Li (tous deux vus à
Suds) ou Ibrahim Maalouf, Farid D…
Aujourd’hui, accompagné de son nouveau groupe les Wonder Rabbis, il révèle la passion qui
lui donne tant de pouvoirs : le klezmer
CREATION VIDEO : Tablographie with Love
VJ en 2011 pour So Called, JEREMIE DRES est un performeur vidéo qui conçoit en temps
réel, au gré des algorithmes et des décibels. Tablographie est un programme de composition
visuelle pour performance sonore : il assemble des décors faits d’objets incongrus dans
lesquels évoluent des personnages décalés de façon autonome et au gré des décibels… Le
dispositif prend ainsi vie à travers les nappes musicales, s’écartant des formes de vidéo
traditionnelles figées puisqu’il développe des images vivantes en temps réel.
Avec Tablographie with love, il décline ici des paysages oniriques à la manière dada, qui
s’adaptent parfaitement à l’univers de Yom !
à 23h et après le concert : DJ CLICK
Plébiscité partout dans le monde, cet explorateur alchimiste produit une musique sans
visa et répand son style : le digital folk soit de l’urbain dans le rural et un peu d’humain dans
la mécanique électronique !
BOMBA ESTEREO, Colombie
>>> JEUDI 12 JUILLET
Après la vague électro tango, l’électrocumbia !
Un cocktail tropical à base de cumbia colombienne, musiques populaires, rock et hip hop
assorti de beats électros ! Mené par Simon Mejía et incarné par la charismatique Lili Saumet,
ce groupe-phénomène développe sur scène un sens aigu de la fête en vivo !
Simon Mejía, fondateur et leader du groupe, avait déjà fait l’expérience de cet univers
musical dans un projet mené par Héctor Buitrago du groupe Aterciopelados, qui en 2003
réunit Dj’s et producteurs autour d’une compilation qui, à partir de samples, mêlait musique
tropicale et beats électroniques. Le résultat de ce projet connu sous le nom de Entrecasa fut
l’album Colombeat, où Simon participait alors avec le groupe A.M.770 et la chanson Ritmika,
qui fut choisie comme le titre de promotion du disque !
Après huit ans de carrière, Bomba Estéreo est considérée comme l’une des formations
colombiennes indépendantes les plus exportées à l’international. En 2010, ils tournèrent
dans plus de 40 villes en Europe, Asie, Usa et Amérique Latine et obtinrent le titre de
« Meilleur Nouveau Groupe du Monde » attribué par le canal de musique globale MTV3.
C’est le fruit du travail de Simon Mejía qui, pour ce nouveau groupe, a cherché des
vocalistes différentes. La rencontre avec Lili Saumet et le titre explosif Fuego auquel elle
donna son originalité, profila le son qui décida de la carrière de ce groupe !
26

C’est avec Julian Salazar à la guitare, Kike Egurrola à la batterie, que fut enregistré leur
second album Estalla. Au top 10 latino des ventes par Itunes, leur son avant-gardiste a été
reconnu par la critique au prestigieux festival Sonar en Espagne et ils ont représenté leur
pays à la Foire Expo de Shanghai en Chine. Poursuivant leur chemin de par le monde et
continuant de récolter récompenses et prix pour leur musique, Bomba Estéreo est
aujourd’hui le groupe colombien non-commercial indépendant le plus important !
Leur CREATION VIDEO illustre l’ambiance psychédélique des soirées cumbias sur les
plages colombiennes…
On les retrouve aussi auteurs d’un documentaire fort, Jende Ri Palenge, projeté le 11/7, à
l’auditorium du Musée départemental Arles antique, à 14h30 (lire page Les Rendez-Vous)
à 23h et après le concert : DJ UZUN
Avec le soutien du Cap à Aulnay
On ne le présente plus !
Toujours en quête des futurs hits électroworld, ses mix multiculturels font danser sans répit
les festivaliers et tous les festaïres des ferias d’Arles…
>>> VENDREDI 13 JUILLET
AZIZ SAHMAOUI & UNIVERSITY OF GNAWA, Maroc-France
La beauté du chant et les rythmes gnawas vagabondent vers le jazz tandis que les cordes
du n’goni vibrent sur quelques fulgurances électriques en un groove puissant et envoûtant !
Ex de l’Orchestre National de Barbès, ce musicien visionnaire s’empare des musiques
populaires du continent et jette un pont entre les deux Afriques, entre les traditions gnaoua,
chaâbi, d’Afrique Noire et le jazz.
Au Maghreb, ce musicien est une véritable source d’inspiration pour beaucoup de musiciens
de la nouvelle génération. Aziz a grandi à Marrakech et c’est là qu’il s’imprègne des
musiques traditionnelles et des groupes émergents de la nouvelle scène marocaine : Nass el
Ghiwane (Transes, un documentaire sur ce groupe est projeté lundi 9/7 avec Aflam, place de
la République), la musique amaziria, le chaâbi et plus particulièrement la musique des
Gnaouas.
Après quelques années de pratique en solo, à 14 ans, il forme son groupe, travaille le chant
et les instruments à cordes. Plus tard, il accompagnera la diva Najat Atabou. Installé en
France depuis la fin des années 80, il devient l’un des fondateurs et compositeurs d’un des
groupes phare des années 90 à Paris : L’Orchestre National de Barbès (ONB). Il fait
découvrir au public et aux professionnels un nouveau style musical qui mêle les rythmes
maghrébins dans toute leur diversité au jazz et à la fusion. Avec l’ONB, il a sillonné les
scènes du monde entier et leur premier album s’est vendu à plus de 100 000 exemplaires !
27

Il a collaboré avec les meilleurs artistes de jazz du moment : Nguyen Lê avec le groupe
Maghreb and Friends, Michael Gibbs et le WDR ou le groupe de fusion Sixun. En 2005, Joe
Zawinul invite Aziz pour l’enregistrement de son double album live Vienna night au Birdland
de Vienne en Autriche. Il a dès lors et jusqu’à la disparition du maître en 2007, été membre
permanent du groupe Zawinul Syndicate.
En 2011, il enregistre un premier album solo (réalisé par le producteur Martin Meissonnier)
avec son nouveau groupe University of Gnawa, composé de Alune Wade à la basse, Cheick
Diallo à la kora et aux claviers, Hervé Samb à la guitare, Adhil Mirghani aux percussions et
Lamine Touré aux calebasses ; tous les membres de ce groupe chantant également.
Pour ce premier opus, Aziz a écrit un répertoire personnel, en arabe, empreint de maturité.
Si les textes ne parlent pas d’amour et d’eau fraîche, la voix chaleureuse et pacifique d’Aziz,
les mélodies entraînantes, les rythmes solides, le groove puissant et les arrangements
soignés en font une musique festive et généreuse, servie par des musiciens de talent.
CREATION VIDEO de VJ VIKTOR FURIANI
Egalement plasticien, il conçoit des sculptures vidéo en temps réel. Un univers poéticopsychédélique
bien adapté à leur musique et des images à couper le souffle !
à 23h et après le concert : Tropikoriental avec DJ RKK- Rémy Kolpa Kopoul
Journaliste, voix inégalable de Radio Nova, découvreur de talents, il officie sans relâche
derrière les platines pour animer les meilleures nuits parisiennes ou les festivals, de par le
monde !
BA CISSOKO, Guinée-France
>>> SAMEDI 14 JUILLET
Maître de la kora électrique, également chanteur, Ba s’entoure de ses compères de toujours
: Sekou Kouyaté à la kora, Kourou Kouyaté à la basse, Abdoulaye Kouyaté à la guitare et
Dartagnan aux percussions. Transgressant la tradition pour mieux l’honorer, les subtiles
mélodies mandingues dansent avec la salsa, la rumba, le funk, le jazz, le rhythm’n’blues, et
même le scat !
Héritier d’une longue tradition qui voit et entend la mémoire des hommes, ces chants
racontent une histoire de tous les jours, qui tissent au final l’Histoire avec un grand H :
l’argent, les élections, la fraternité, les marchés, l’amour bien entendu, les différences et le
désir d’harmonie…
Né à Koundara à 600 km de la capitale guinéenne, ce joueur de kora, et plus récemment de
kamélé n’goni (harpe-luth à 8 cordes), est un fils de griot élevé dans la tradition mandingue.
Il a reçu l’enseignement musical sous la houlette de son maître M’Bady Kouyaté et pour
parfaire son expertise de la kora, a entamé au début des années 80, un périple initiatique de
village en village mandingue. De retour à Conakry en 1986, il fonde un quartet de koras tout
en animant les traditionnels baptêmes et mariages.
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Dès lors il va se distinguer en renouvelant l’approche de son instrument tout en affinant sa
connaissance de l’art et des bonnes manières des conteurs.
Puis, enrichi de rencontres diverses avec Tamalou, Ana Neko (ex Dobet Gnaoré), Orange
Blossom, Ray Lema, Yvi Slan… Ba fait fructifier toutes les expériences acquises en chemin.
Il crée son groupe en 1999, avec ses cousins Kourou et Sékou Kouyaté. Parcourant les plus
grandes scènes de festivals et lieux emblématiques des musiques du monde à travers le
monde, leur démarche allie modernisme et tradition.
Sekou Kouyaté, surnommé le « Jimmy Hendrix de la kora », entraîne les instruments
traditionnels des griots vers des sonorités nouvelles et électroniques.
Abdoulaye Kouyaté, virtuose de la kora et de la guitare, a rejoint le groupe en 2008 : il était
précédemment dans le Circus Baobab.
Ibrahim Kourou Kouyaté dit « Kourou basse », joue du bolon (basse africaine) et de la
basse !
Alhassane Camara, dit Dartagnan, a passé son enfance à frapper les percussions sur la
plage de Conakry. D’abord au Circus Baobab, il a rejoint également le groupe.
CREATION VIDEO de MATHIEU CRETTE & VJ TOMAZ
Bien connu des Festivaliers, ce duo de VJ’s inventifs s’est déjà illustré aux Forges avec
Toumani Diabaté et plus récemment en 2011, avec Staff Benda Bilili.
à 23h et après le concert : DJ UZUN
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. . . . . . . . . . . . . LE 14 JUILLET DE LA VILLE D’ARLES
à 22h45, Place de la République, gratuit
avec
Après le feu d’artifice tiré à 22h30 des quais du Rhône par la célèbre compagnie de
pyrotechniciens du GROUPE F
CHE SUDAKA, Argentine-Colombie-Barcelone
Attention, une bombe partie de la capitale catalane vient faire partager sa fougue
bouillonnante transformant la place de la République en une méga latino-reggaepunk
party !
Avec plus de 1000 concerts en 10 ans partout dans le monde, c’est le groupe le
plus prolifique de la scène alternative barcelonaise…
Jouant avec l’énergie explosive d’un Gogol Bordello et la joie contagieuse de La
Mano Negra, groupes dont ils revendiquent l’héritage, ces six musiciens et
chanteurs ne s’économisent pas sur scène ! Des samples survitaminés, une
guitare puissante, une batterie frénétique, un accordéon aux influences cumbia,
rumba ou son cubain accompagnent le show des frères Leo & Kachafaz qui
mènent la danse !
Ainsi, les musiciens argentins et colombiens qui ont débarqué en 2000 sur le port
de Barcelone sans papiers fêtent leur 10 ans d’existence, réussissant le pari de
faire de ce groupe une référence musicale et ce, au niveau international. Avec
beaucoup de travail, de créativité et de confiance en leurs capacités musicales et
humaines, ils ont gagné le respect du public et de l’industrie musicale. C’est l’un
des groupes les plus puissants et fous de Barcelone, la Trippie Town !
Récompensé en cinquième position par le magazine espagnol Mondo Sonoro
dans la catégorie World Music pour leur dernier album, en live on peut s’attendre
à ce qu’ils donnent tout ! Che Sudaka c’est une philosophie de la vie où tout est
possible (l’un des titres de leur album) !
Avec
Kachafaz, alias Kachafaz Jackpot, voix et mégaphone et Leo, alias Lion
paternoster, à la guitare espagnole et chant : en provenance de Mar de la Plata,
en Argentine
Sebastian, alias Cordoba, bassiste en provenance de Córdoba en Argentine
Sergio Morales, alias Cheko, aux claviers, accordéon, samples en provenance
de Bogota, en Colombie
Jota, à la guitare et au chant, en provenance de Bogotá, en Colombie.
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. . . . . . . . . . . . . . . . LES SCENES EN VILLE
Gratuit, du mardi 10 au vendredi 13/7
A l’ombre des platanes, des concerts au cœur de deux quartiers emblématiques de la ville
avec des artistes en découverte ou en formation inédite…
Place Paul Doumer, à 11h30 et à 18h - durée 1h
>>> MARDI 10 JUILLET
RHIZOTTOME, France
S’emparant des airs de bal qui font virevolter sur les parquets cirés, le saxophoniste Matthieu
Metzger et l’accordéoniste Armelle Dousset les « re-composent » à leur manière sensible
pour les rendre encore plus légers. Parfois accompagné par un orgue de barbarie ou une
talk-box délirante, le dialogue entre leurs instruments est intime, presque charnel.
Armelle Dousset est née en 1987 et vit à Poitiers. Elle s’intéresse de près à toutes les
formes possibles d’expression artistique. Après une licence d’arts du spectacle en mention
cinéma, elle intègre la formation d’Artiste Chorégraphique II du Centre National de Danse
Contemporaine d’Angers. Parallèlement, elle poursuit son parcours de musicienne en créant
le duo Rhizottome. Depuis 2009, elle entretient une relation fusionnelle avec le Japon,
inventant un solo (haigorei) qu’elle dansera dans les cabarets underground de la région de
Tokyo. A travers ce parcours hétéroclite qu’elle revendique, elle n’a de cesse de se pencher
sur ces matières à penser, qui se retrouvent tantôt dansées, tantôt tissées en musique.
Matthieu Metzger a étudié au Conservatoire le saxophone classique, le jazz et le solfège.
Quelque questionnement sur ce qui se passe avant et entre les oreilles l’amène au concours
Général de Musique et à une Maîtrise de musicologie sur Meshuggah.
De la bidouille électronique en s’électrocutant parfois, au rock âpre et sombre, via
l’enregistrement par nécessité musicale par urgence ou besoin et toujours en autodidacte, ce
musicien grouille de projets.
>>> MERCREDI 11 JUILLET
CALLE FLAMENCA, France
Né de la rencontre en terre andalouse, à Jerez de la Frontera, entre le guitariste Guillaume
Franceschi et le chanteur Mateo Campos, le duo s’adjoint les percussions d’Enrique
Santiago et le baile de Karine Gonzalez
Sur des compositions originales inspirées du répertoire jondo, ils livrent un spectacle tout en
sincérité et sentimiento !
Une des spécificités de Calle Flamenca est sans aucun doute le métissage que cet art offre.
Avec des musiques originales, instrumentales, chantées et dansées, ce groupe allie les
couleurs du flamenco contemporain aux bases rythmiques des différents styles traditionnels.
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Vue dans Vengo ou sur la scène du Théâtre Antique à l’occasion du spectacle musical de
Tony Gatlif en 2007, Karine Gonzalez est une artiste aux multiples visages. Après 10 ans
de piano, de solfège et de musique classique, elle a naturellement trouvé dans le flamenco
le langage idéal car il est à la fois musique et danse et… parle à ses racines, l’Espagne.
Formée au baile flamenco à la fameuse école madrilène Amor de Dios, elle aime aussi
confronter le flamenco à la danse soufie et plus largement à la danse orientale.
>>> JEUDI 12 JUILLET
MIRODA, France
Sur des poèmes de la poétesse et dramaturge brésilienne Hilda Hilst, leur musique
acoustique, minimaliste et vibrante, est une balade nostalgique et douce comme un
murmure… Les pages du recueil se tournent, les doigts glissent sur une guitare, le chant
s’envole et le spectateur se laisse alors emporter au gré des morceaux en un moment
musical d’une grande intimité !
Création musicale acoustique, Miroda c’est avant tout une rencontre : celle du trio composé
par la chanteuse Milena Rousseau et des guitaristes David Krupinski et Singhkeb Panya.
Sur la route, le trio initial s’enrichit de nouvelles inspirations avec Guillaume Arbonville
(batterie et percussions), Anne Moret (trompette), Alexis Bocher (violoncelle) et Louise
Plesnage-Coffin (trombone).
A l’origine, David Krupinski cherchait des textes pour accompagner ses compositions ; il
tombe sur les poèmes de Hilda Hist qui semblent faits pour lui. Il commence à chercher alors
une voix pour chanter ces poèmes, une chanteuse pas forcément lusophone mais « une
artiste qui allait se laisser porter par le son des mots » : Milena Rousseau, dont la voix
épouse déjà d’autres langues au sein du groupe de musique tsigane, Rodjeni.
>>> VENDREDI 13 JUILLET
TRIO SAFAR, France
Une magnifique ode au voyage oriental…
Leur rencontre est une symbiose explosive et virtuose du jazz et des musiques
traditionnelles du Proche Orient. Les respirations de l’accordéon du célèbre musicien
voyageur Christian Maes se mêlent aux cordes mélodieuses de l’inventif Abdelhalim
Alkhatib au oud ou qanun, et aux rythmes soutenus des percussions d’Etienne Gruel (de
L’Hijâz’Car). C’est sublime !
La collaboration musicale de Christian Maes et Abdelhalim Alkhatib commence en 2003 à
Amman et à Beyrouth lors de la création de la formation Les Orientales. Après plusieurs
années de concerts en France, au Canada, en Jordanie et au Liban, l'année 2010 est
l'occasion d'un enregistrement : le duo qanun-accordéon est rejoint par Etienne Gruel aux
percussions.
L'expérience continue avec le Trio Safar, animé par l'envie de créer un espace musical
improbable, ouvert et intense. Un pont entre deux cultures où les résonnances du qanun se
mêlent aux respirations de l’accordéon soutenues par les accents des percussions.
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Christian Maes
Artiste voyageur au gré des rencontres, musicien autodidacte, il s’ouvre à toutes les
expériences, de l’Irlande à la musique improvisée, de l'Amérique du Nord à la Jordanie, en
passant par le cinéma (Van Gogh de Maurice Pialat). Il tient dans sa boîte à frissons tous les
folklores de la terre, dont il développe la transe avec art et respect en s’inspirant des
courants musicaux les plus actuels. Il est également le concepteur du premier accordéon
diatonique "quart de ton".
Abdelhaleem Al Khatib
En autodidacte, il commence la musique très jeune et devient rapidement l'un des plus
prometteurs joueurs de qanun du monde arabe. Son style, brillant, inventif et novateur, en
même temps que ses talents de compositeur en font rapidement un musicien très demandé.
Il a signé de nombreuses compositions pour les télévisions jordanienne et libanaise,
enseigne le qanun et le oud à Amman, Jordanie. Il est, avec Christian Maes, l'un des
fondateurs de la formation « Les Orientales ».
Etienne Gruel
Autodidacte, il rencontre les maîtres Djamchid, Keyvan et Bijan Chemirani, Pablo Cueco,
Nathalie Rive et Latif Chaarani qui lui permettent d’avancer dans la connaissance des
techniques du zarb, de la derbouka, du req, du daf. Plusieurs voyages en Afrique du Nord,
en Iran et à Cuba enrichissent sa culture musicale et ses pratiques instrumentales avec le
cajón notamment. Ainsi naîtront plusieurs groupes et créations au sein du collectif
strasbourgeois L'Assoce Pikante avec Maliétès, Boya, l’Hijâz Car et l’Electrik GEM.
Place Voltaire, à 17h30 – durée 1h15
>>> MARDI 10 JUILLET
LES HORDELIQUES, Languedoc-Roussillon
Philippe Neveu, Bruno Salenson et Jacky Philip aux hautbois languedociens, Patrick
Vaillant à la mandoline, Vincent Vidalou aux tible et tenora, Jean-Luc Imbert et Linda
Giacometti aux tubas, accompagnés de percussionnistes, trombonistes et souba.
Autant de talentueux instrumentistes, compositeurs inventifs et fins connaisseurs des
répertoires traditionnels méridionaux et méditerranéens…
A coup sûr ce sera « hordélique » !
Philippe Neveu, musicien improvisateur, spécialiste amoureux du hautbois languedocien,
pratique une musique traditionnelle méditerranéenne enracinée dans l’histoire et projetée
dans l’avenir…
Bruno Salenson est spécialisé dans la facture d’instruments traditionnels languedociens et
provençaux comme le hautbois du Languedoc, les flûtes, bodegas, basson, saxobois,
taragot… Il est également copiste d’instruments anciens.
Patrick Vaillant : chef de file du Front de Libération de la Mandoline, son bagage traditionnel
et son goût de l’improvisation, l’originalité de son jeu comme de ses compositions, ont fait de
lui un mandoliniste internationalement reconnu. Avec une inspiration traversée de
Méditerranée et de jazz, ce pionnier de la recherche et de la relecture des musiques
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traditionnelles lui ont permis des ancrages très divers : musique improvisée, jazz, ballet,
théâtre…
Il a fondé le Melonious Quartet, premier quatuor de mandoline moderne en France, dirige la
compagnie Mandopolis et fait partie du trio Chin Na Na Poun avec Daniel Malavergne et
Manu Théron.
Vincent Vidalou : membre fondateur de la Cobla Mil.Lenaria, tournée vers l’innovation, il est
un activiste de la musique traditionnelle catalane. Musicien et professeur au Conservatoire
National de Région à Perpignan, il assure en 2012 la direction artistique de LA HORDE,
ensemble amateur et professionnel de musiciens de hautbois et instruments d’harmonie qui
sévit pendant la semaine du Festival depuis 2010.
>>> MERCREDI 11 JUILLET
BO HOUSS, Mayotte
Prix de l’Océan Indien 2011
Coup de Cœur Chanson de l’Académie Charles Cros 2012
Verbe chaleureux à la manière d’un Abd Al Malik, ce rappeur allie traditions et son urbain.
Intégrant des styles de l’île comme le m’godro, à une musique hip hop en mahorais qu’il
réadapte et recompose avec les outils numériques, il forge ce groove urbain caractéristique
de sa musique. Bien loin du hip hop américain aseptisé, ce jeune porte-parole de la nouvelle
mouvance mahoraise chante un hip hop citoyen !
Influencé depuis son plus jeune âge par la culture hip hop, ce jeune artiste de 24 ans s’est
forgé au fil des rencontres et des échanges une musique métissée de cultures locales et
contemporaines. La sortie de sa mixtape en novembre 2008 fait l’effet d’une véritable bombe
à Mayotte. Toute la jeunesse se retrouve autour de ce nouveau son, qui sait allier tradition et
modernité, à l’image de Mayotte aujourd’hui. Le travail assidu et l’art de la mise en scène
permettent à Bo Houss, de son vrai nom Houssamouddine Kordjee, de proposer des shows
qui enflamment le public et les professionnels de passage dans l’île.
C’est d’ailleurs grâce au vote du public qu’il a pu participer à la finale régionale de l’édition
2009 de « 9 semaines et un jour » et pu ainsi représenter Mayotte aux Francofolies de la
Rochelle en juillet de la même année. Dans la foulée, il est élu meilleur artiste de l’année aux
trophées « Hishima » et meilleur album hip hop 2010, ce qui l’inscrit définitivement dans une
démarche professionnelle. Son second album intègre de nouveaux musiciens afin de
proposer un pur concert de musiques actuelles.
Certains titres figurent dans la compilation « Francophonies 2011 » éditée par l’OIF ainsi que
dans celle de l’ADCEP pour les 30 ans de la Fête de la Musique, regroupant les 50 artistes
qui ont marqué l’histoire de la musique outre-mer.
Grâce au Prix de l’Océan Indien, il a pu suivre une semaine de coaching conduite par le
Studio des Variétés. Sa belle prestation au Babel Med Music de Marseille en début d’année,
marque une reconnaissance pour cet artiste en révélation !
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JEUDI 12 JUILLET
PERRINE FIFADJI, Bénin
Corps chantant et voix dansante, Perrine Fifadji oscille entre Afrique et Occident, entre griot
et gospel, tout en faisant le choix du mouvement et de l’ouverture.
Ce spectacle de danse contemporaine, chanté d’une voix puissante sur une musique à
l’instrumentation variée (sitar, flûte, harmonium indien, bols tibétains, guitare, senza et
percussions), traverse des territoires encore à découvrir. Bouleversant !
D’origine béninoise, elle a toujours cherché à concilier ses deux amours : la danse et le
chant. Dès 1988, à Bordeaux, elle commence à se former en danse modern jazz. A partir de
1995, elle chante dans différents groupes reggae-rock de la scène bordelaise dont avec le
collectif Aspo avec lequel elle enregistre deux albums. En 1998, la rencontre avec Robert
Sénou et Caroline Fabre, qui dirigent le Centre de Danse « L’Alternative Kouabo », lui donne
l’occasion de renouer avec ses racines africaines. Elle va alors parfaire sa formation de
danseuse-enseignante en danse africaine et afro-contemporaine. Dans sa quête, elle fait
s’épanouir son chant dans la langue Fon du Bénin.
En 1999, Guy Lenoir de MC2A (Migrations Culturelles Afrique Aquitaine), après l’avoir
remarquée sur scène, l’invite à participer à plusieurs créations.
Awada Kpé Kpé ou La Chrysalide, voit le jour en 2007 : l’union du chant et de la danse
immergée dans un univers instrumental original !
>>> VENDREDI 13 JUILLET
LORD MOUSE & THE KALYPSO KATZ, Berlin-Trinidad
Ce big band de seize musiciens porte haut, et fort, et avec humour, les couleurs du calypso.
Le groupe électrise par les facéties vocales de ses délicieuses choristes emplumées et de
son énergique chanteur et compositeur. Réactualisant le genre depuis Berlin, repérés par
Radio Nova, ils viennent souffler sur Arles leur musique tropicale et jubilatoire…
Le calypso - ou kaiso - genre musical issu de la communauté urbaine d’origine africaine
de Trinidad et Tobago, très en vogue dans les années 50, grâce notamment au tube
planétaire des Andrews Sisters “Rum and Coca-Cola”, mais aussi à Robert Mitchum et Harry
Belafonte, est aujourd’hui très peu diffusé, même dans son berceau des Caraïbes.
Lord Mouse and the Kalypso Katz réunit une communauté grandissante de fans. Big Band
de seize musiciens (piano, percussions, brass band) venus de tous pays et basés à Berlin, le
groupe électrise le public partout où il se produit.
Comprenant des musiciens des quatre coins du monde, le groupe se compose de 6
danseuses et choristes aux doux noms de Die Schicke Ulrike, Tiger Tam ou Chiquita Anita,
de nombreux cuivres, d’un piano, de percussionnistes et surtout des acrobaties vocales de
Lord Mouse. Avec une performance scénique ahurissante, une participation importante du
public et des performances de qualité sur scène, le groupe transforme ses concerts en
événements !
Parmi les tubes, In the Jungle, une sombre histoire de job, d’argent et de bananes dans la
jungle néolibérale ou encore Chicken Calypso, qui reprend la course effrénée d’un poulet
SDF sous la hache du boucher…
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. . . . . . . . . . . . . . . . . LES RENDEZ-VOUS GRATUITS
Des rendez-vous à ne pas manquer !
Toute la semaine ou ponctuellement, des occasions de rencontres conviviales avec les
artistes de la programmation, du cinéma, des causeries…
Et pour ceux qui viennent en famille, les Soirées Suds au Théâtre antique sont gratuites pour
les moins de 12 ans et côté stages, le Festival propose cette année des ateliers Jeune public
LA RADIO DES SUDS
Du 9 au 14 juillet sur 102.9 FM et en streaming sur suds-arles.com et mediapart.fr
Antoine Chao, directeur d’antenne de cette radio éphémère, et son équipe orchestrent
la diffusion des concerts (en direct ou différé), les interviews d’artistes et des
reportages.
> On les retrouve dès 10h, au Bureau du Festival pour Les Petits Déj sur un
Plateau : un direct ouvert au public, qui peut en profiter pour venir ici boire un café.
Animé par un duo de choc, Benjamin Minimum (Mondomix) et Philippe Krumm
(Trad Mag, France Musique), la Radio reçoit des artistes en live et des personnalités
des musiques du monde ou du monde de la musique.
> à 19h, en direct de la Maison de Quartier de la Roquette, on peut aussi assister aux
émissions réalisées dans le cadre du Plan Rhône par de jeunes Arlésiens, partis à la
découverte du delta, du fleuve et de la Camargue… Ces reportages radiophoniques
sont l’occasion pour eux d’appréhender autrement l’usage et l’utilité des médias.
Soleil FM rediffusera certaines émissions de la Radio des Suds sur 96.3 FM.
LES PETITS DEJEUNERS ORIENTAUX
Du 9 au 14 juillet, dès 10h - Ecole du Cloître/Bureau du Festival
Avec Les Cafés de la Major à Arles
Chaque matin, pour commencer la journée en douceur, un petit déjeuner oriental est
servi dans la cour des bureaux du Festival. L’occasion de se retrouver entre festivaliers
ou stagiaires mais aussi d’y croiser l’équipe du Festival, des journalistes et les artistes
invités au direct de la Radio des Suds, de 10h à 12h !
LES APERO-DECOUVERTES
Du 9 au 13 juillet, à partir de 12h30
Librairie Actes Sud-Restaurant l’Entrevue, Place Nina Berberova
Avec la complicité de la S.A. Cristal Limiñana de Marseille
Un des temps forts du festival !
Présenté par la directrice du Festival, ce rendez-vous convivial est une autre occasion
de découvrir les artistes de la journée : coups de cœur et anecdotes entre deux ou
trois morceaux joués en direct, le tout autour d’un verre et en toute simplicité.
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LES SIESTES MUSICALES avec
Du 9 au 14 juillet de 14h30 à 16h - Espace Van Gogh
Au programme : transats, farniente méridional et découverte de futurs talents des
musiques du Sud, à l’ombre des magnifiques arcades de l’Espace Van Gogh…
Lundi 9/7 avec Benjamin Mélia & invités
Multi instrumentiste inventif et curieux, il explore la musique traditionnelle des Pays
d’Oc qu’il joue selon des techniques contemporaines…
Mardi 10/7 avec Reno Daniaud
Ce joueur de chaturangui (guitare slide indienne à 22 cordes) et élève de Debashish
Bhattacharya, invite à un voyage dans l’univers du Raga indien…
Mercredi 11 /7 avec Enco de Botte
Résident permanent à la Maison du Chant à Marseille, exceptionnellement
accompagné de deux musiciens, ce quatuor réinterprète des chants de Méditerranée,
occitans et corses.
Jeudi 12/7 : Duo Saaj
Ce duo instrumental de musique classique de l’Inde du Nord, servie par une
remarquable complicité entre le sitar et les tablas, laisse sous le charme…
Vendredi 13/7 avec Emmanuelle Bunel & Les Zitounes
Ce groupe arlésien de 10 femmes chante en polyphonie et a cappella, un répertoire de
chants du monde
Samedi 14/7 : Mani Carneiro
Ce musicien invite à une langoureuse balade à travers différents styles de musique
brésilienne…
LES MASSAGES DU MONDE
Pendant les Siestes, Mathieu propose un massage selon les
méthodes indienne, orientale ou occidentale.
LES DOCUMENTAIRES MUSICAUX
Du 9 au 14 juillet, à 14h30 - Auditorium du Musée départemental Arles antique
Lundi 9/7 Mouss & Hakim, origines contrôlées de Samia Chala et Thierry
Leclère, 2011, 52 min, VF.
On y retrouve bien entendu Mouss et Hakim des Zebda et leur public avec en filigrane
cette question : que faisons-nous de l’héritage culturel de nos parents ? Une histoire de
l’immigration algérienne qui n’est plus un « problème » mais simplement une histoire
d’hommes…
Mardi 10/7 El Gusto de Safinez Bousbia, 2012, 1h33, VOST en français
A la manière de Nick Gold et de son Buena Vista Social Club, Safinez Bousbia réunit
ceux que l’Histoire a séparés il y a 50 ans ! Des artistes juifs et arabes qui ont fait les
grandes heures du chaâbi, cette musique populaire qui résonnait joyeusement dans la
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Casbah d’Alger. Dans ce film comme sur la scène du Théâtre Antique le 13 juillet, ils
célèbrent leurs retrouvailles avec humour et émotion !
Mercredi 11/7 Jende Ri Palenge de Santiago Posada & Simon Mejía, Colombie,
37min10, VOST en anglais
« Nous sommes un quartier africain, nous sommes ici à Palenque par accident, nous
devrions être sur le continent africain, en Angola… ».
Suivant trois musiciens, deux des membres de Bomba Estéreo (programmé aux
Forges le 13/7) retracent l’histoire de ce petit village de Colombie fondé par les
esclaves Noirs, aujourd’hui symbole de liberté et de résistance…
Jeudi 12/7 Flamenco, flamenco de Carlos Saura, 2010, 90 min, VOST en
français
Nouveau chef-d’œuvre musical du célèbre réalisateur ibérique sur le flamenco actuel !
Réunissant les grands maîtres que sont Paco de Lucía, Manolo Sanlucar, José Mercé,
il fait la part belle aux jeunes talents de cet art envoûtant ! On y retrouve Estrella
Morente accueillie au Théâtre Antique en 2011 mais aussi Arcángel ou Rocío Molina
programmés cette année.
Vendredi 13/7 Croisées Métisses de Laurent Benamou et Valentin Langlois,
2011, 52 min, VF
Portrait de Lindigo, l’un des groupes phare du maloya réunionnais, en tournée au
Brésil. Entre prestations scéniques explosives et mystiques, ce documentaire permet
de mieux comprendre ces deux cultures, aussi familières que surprenantes, d’une rare
richesse.
Samedi 14/7 Amandla ! A Revolution in Four Part Harmony de Lee Hirsh,
Afrique du Sud, 2002, 103 min, VOST en français
Ce documentaire fort traite du rôle de la musique dans la lutte contre l’Apartheid.
Combinant archives, entretiens récents et pièces musicales, ce sont 40 ans de
résistance en musique avec Mariam Makeba, Nelson Mandela, Vusi Mahlasela, entre
autres.
LES SALONS DE MUSIQUE avec France Musique
Du mardi 10 au samedi 14 juillet, de 16h30 à 17h30 - Musée Départemental Arles
Antique
Installé au cœur des collections du musée, le Salon de musique est une rencontre de
culture musicale avec des musiciens d’horizons divers et des journalistes spécialistes
de musiques du monde.
Mardi 10/7 avec ROCIO MARQUEZ : découverte en France par le Festival en 2010,
cette exceptionnelle cantaora a une parfaite connaissance de la technique vocale
flamenca, qu’elle enseigne à Séville et chaque été à Suds lors d’un master class. Avec
Patrick Labesse, journaliste au Monde, ils nous livrent quelques secrets du cante
jondo.
Mercredi 11/7 : Le chanteur guinéen BA CISSOKO et son guitariste, Abdoulaye
Kouyaté, se livrent à Soro Solo, journaliste spécialiste du continent africain que l’on
entend dans L’Afrique Enchantée sur France Inter !
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Jeudi 12/7 : YOM, auto-proclamé roi de la clarinette klezmer pose son costume de
super héros et se met à nu pour raconter sa passion de la musique… Il sera interviewé
par Philippe Krumm, journaliste spécialiste des musiques du monde (Trad Mag,
Accordéon accordéonistes, France Musique)
Vendredi 13/7 : Ahmad El Maghrebi et Jacques Maigne nous embarque sur le Nil et
vers Le Caire… lire pages Nomadisme & Deltas.
Samedi 14/7 : Calendau, épopée lyrique d’après le texte de Frédéric Mistral
interprétée par Fangalo de Pèu : 9 chanteurs et un guitaron.
Elsa Bonal, Ethel Bouquin, Julie Dischly, Jérôme Gallician, Gaëlle Lévêque,
Regina Pastotter, Mélodie Perrin, Fanny Tulasne et Henri Maquet s’approprient à
leur manière le héros littéraire…
Au programme : harmoniques, vrai-faux canons, ritournelles entraînantes, valse
mâtinée de ska, bourrées revisitées par Bartok ou farandole… cette création musicale
donne une nouvelle incarnation à la saveur initiale du texte !
Des échanges avec Patrice Gauthier, Majoral du Félibrige, éclaireront le monde
mistralien et la vision hautement moderne du Prix Nobel de Littérature.
LE LUNDI DE MEDIAPART avec EDWY PLENEL
Lundi 9 juillet de 16h30 à 18h - Auditorium du Musée
Départemental de l’Arles Antique
Partenaire du Festival depuis la création en ligne du Journal Mediapart, avec
notamment l’édition Plein Suds consacré au Festival, Edwy Plenel et les Lundis de
Mediapart prennent leurs quartiers d’été au Festival !
Une conférence-débat sur le thème : Vérité et réconciliation : pour une nouvelle
fraternité franco-algérienne.
CINE AFLAM
Dans le cadre de Caravane des Cinémas Arabes en Région
Lundi 9 juillet, place de la République, à 23h
TRANSES de Ahmed el Maanoui, Maroc, 1981, 1h27
L’itinéraire géographique et culturel du groupe musical Nass el
Ghiwane. La transe, expression populaire rituelle chez les Gnaouas
d’Essaouira se transforme en un délire laïque et moderne dans les
concerts filmés à Carthage, Agadir ou Paris.
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LES CAUSERIES MUSICALES
Dans le cadre du programme Nomadisme & Deltas pour Marseille-Provence 2013
et du Plan Rhône
Du Rhône au Nil avec Dominique Serena & Bernard Picon le lundi 9/7 à 10h et
Ahmed el Maghreby & Jacques Maigne vendredi 13/7 à 16h30 : lire page 43
« Nomadisme & Delta s ».
LA BODEGA ETHNIQUE à La Société Taurine La Muleta, à 23h
Plus qu’un After, ces soirées à la centenaire société taurine sont des moments où toute
la grande tribu des Suds -festivaliers, artistes, journalistes, équipe du festival- se
retrouvent pour partager un verre et danser sur nos musiques !
Lundi 9/7 avec les DJ’s Puta ! Puta !
Un duo arlésien au son mondial, un peu rock, un pu hip hop, un peu occitan et pas
mal non-conformiste…
Mardi 10/7 avec DJ RKK-Rémy Kolpa Kopoul
Voix incontournable de Radio Nova et infatigable conneXionneur de musiques
d’ailleurs nous a concocté un mix élektropikal !
LA BUVETTE DU THEATRE ANTIQUE
Du 10 au 13 juillet, dès 20h30
Avant ou entre les deux concerts, venez déguster les vins de la Maison Camille
Cayran, les crus du Mazet des Croses, un café frappé avec les Cafés de la Major, un
thé à la menthe agrémenté d’une pâtisserie orientale avec l’ASTI ou le champagne
Perrier-Jouët de nos partenaires !
LA HORDE
avec Rivatges
Mardi 10 juillet, entrée du Théâtre Antique, à 21h30
Dirigé par Vincent Vidalou, cet ensemble puissant de hautbois populaires et
d’instruments d’harmonie donne un souffle nouveau au répertoire traditionnel…
Sur des musiques de carnavals, un air des Pays d’Oc, oriental et même basque, une
espagnolade nîmoise et des compositions originales signées Patrick Vaillant, ils
offrent une vision actuelle des traditions méridionales, et des parentés qu’elles
entretiennent avec leurs voisines méditerranéennes !
LES PRESENTATIONS PUBLIQUES DE FIN DE STAGES
Samedi 14 juillet, divers lieux, à partir de 11h
Cette journée est pour certains participants aux stages, l’occasion d’une scène ouverte
afin de partager avec le public, le plaisir de jouer, danser ou chanter ! Stagiaires et
spectateurs réunis où chacun, quel que soit son niveau, peut esquisser un pas de
danse, s’essayer au chant ou entrer dans la danse…
> à 11h : place de la République, face à face danseurs-musiciens
avec les stagiaires de Percussions du Brésil et Danses africaines (durée : 2 fois
20 min)
> à 11h à 15h, harmonia mundi boutique : exposition de calligraphie chinoise
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à 11h30, place Voltaire : Danses d’ici et d’ailleurs
avec les stagiaires de Danse hip hop, Danses orientales et Danse Kathak
(durée : 3 fois 15 min)
> à 12h, Museon Arlaten : Balèti en Pays d’Oc (durée 20 min)
> à 13h30, place de la Redoute, Repas de Quartier & Apéro des stagiaires
avec intervention des participants au stage Fanfare des Balkans à l’Orient (durée
20 min)
> à 15h30, Cour des Podestats (Mairie) : Leçons de chant
avec les stagiaires de Chants populaires italiens, Polyphonies géorgiennes &
bulgares, Voyage au centre de la voix et autour du monde (durée 3 fois 30 min)
> à 16h, place Voltaire : Flamenco & bal latino avec les stagiaires de Cajón, un
mano a mano Palmas/Baile flamenco, Salsa cubaine et Tango argentin (durée
entre 20 et 30 min chacun)
> à 18h30, place Voltaire : Le Rhône dans la Cité avec les jeunes stagiaires de
Danse hip hop sous les directions artistiques de Miguel Nosibor et Habiba
Zaouali Chergui (durée 20 min)
FORUM ATTAC
14 juillet altermondialiste avec Attac-Pays d’Arles
> à 10h, Grand Amphi de l’Espace Van Gogh
Un Rêve algérien, un documentaire de Jean-Pierre Lledo, 2003, 1h50
Pour les Algériens, Henri Alleg, c’est d’abord un journal mythique, l’Alger
républicain. C’est aussi l’un des premiers torturés à révéler les pratiques de
l’armée française. Quand cet homme accepte l’idée de mourir pour un pays qui
n’est pas le sien, il a 36 ans…
Brigitte Benkemoun, journaliste, rédactrice en chef de Mots Croisés (France 2),
également auteur de La petite fille sur la photo. La guerre d’Algérie à hauteur
d’enfant (Fayard, 2012) interviendra pour évoquer sa propre histoire familiale…
> à 17h, Jardin-patio de l’Espace Van Gogh
Une autre Algérie était-elle possible ?
Rencontre avec Pierre Daum, journaliste indépendant auteur notamment de Ni
valise, ni cercueil (Actes Sud, 2012) revient sur le passé colonial de la France et
l’Algérie de ses exilés, européens ou juifs, partis après 62 ou ayant choisi de
rester…
LE REPAS DE LA HAUTURE
Samedi 14 juillet, place de la Redoute, à 13h
Apportez votre pique-nique en profitant le matin de l’un des plus beaux marchés de
Provence, la table, l’ombre et la musique sont fournies ! Sous les vieux platanes et à
deux pas des arènes, ce rendez-vous réjouira vos papilles et vos oreilles avec la
présence de la scène musicale arlésienne, notamment avec Guy do Cavaco & son
groupe et la présentation du stage de fanfare.
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. . . . . . . . . . . . . . LA JOURNEE BUISSONNIERE
Dimanche 15 juillet, gratuit, de 11h jusqu’en fin de journée
Et en complicité avec la Mairie annexe de Salin-de-Giraud,
l’association Femmes Solidaires, le Comité de Féria,
et le Club taurin Paul Ricard de Salin-de-Giraud
La traditionnelle journée de clôture du Festival, dans le charmant village des Salins, est
un rituel inébranlable du Festival et un clin d’œil à une autre culture du Sud, celle de
notre Provence. Un dimanche tout en bonne humeur où tellinade*, apéro et traditions
camarguaises riment avec musiques, le tout à deux pas de la mer pour se rafraîchir en
cette journée torride de fin de festival !
* la telline est un délicieux petit coquillage typiquement camarguais.
Théliné était également le premier nom grec de la ville d’Arles.
Dans le cadre du partenariat développés avec Vinci-Autoroutes, pour une conduite
responsable et du programme Agir avec la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, 2
navettes en bus sont mises gracieusement à disposition des Festivaliers :
> départ d’Arles, devant la Maison des associations, à 10h et 12h
> retour de Salin, quartier des arènes, vers Arles à 16h et 18h
> à 11h, Moment Précieux, église de Barcarin
KATERINA FOTINAKI & ORESTIS KALABALIKIS, Grèce
Vingt-trois siècles de chansons grecques !
Un voyage musical dans le monde hellénique, du fragment de musique le plus ancien
connu en passant par les hymnes byzantins ou les chants de Crète. Sur des airs de la
mer ionienne ou de la mer Egée, des sérénades athéniennes au rébétiko, ces deux
guitaristes-chanteurs plongent dans leurs racines…
> de 12h à 12h30 : abrivado – boulevard des arènes
> à partir de 12h30 : apéro et tellinade* en musique avec la BANDE A
FANTOUK, une fanfare spécialement constituée pour l’occasion par les musiciens
des Beaux Dimanches et de Loca Luna !
Pendant l’apéritif, l’association Femmes Solidaires animent des ateliers pour les
enfants !
> à partir de 13h30 : Repas sous les platanes : poulet pebrounado (aux poivrons),
dessert, fromage, fruits, pain, vin - A réserver sur place 15 €
> à 17h : bandido – boulevard des arènes
> à 18h : Etang des Aulnes, Saint-Martin-de-Crau
Une programmation du Conseil général des Bouches-du-Rhône
à laquelle Suds s’associe depuis 2006
COMPAGNIE RASSEGNA & ANNIE EBREL, France
D’une mer à l’autre ou quand les chants méditerranéens rencontrent ceux de la
Bretagne…(lire pages Créations dans les Musées)
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. . . . . . NOMADISME & DELTAS
avec MARSEILLE-PROVENCE 2013 & LE PLAN RHONE
Dans le cadre du programme « Nomadisme & Deltas » pour Marseille-Provence
Capitale Européenne de la Culture en 2013, SUDS propose entre 2009 et 2013, un
voyage dans les deltas d’Europe et de Méditerranée : Guadalquivir, Pô, Danube, Nil et au fil
des éditions, le Rhône. Les deltas, terres-refuge pour les tribus nomades -souvent tsiganes-
ont donné naissance à des cultures singulières…
Le Plan Rhône, avec la Compagnie Nationale du Rhône, la Région Provence-
Alpes-Côte d’Azur et l’Etat, nous accompagne cette année encore avec pour objectif une
réappropriation de la culture du Rhône par les riverains... amont et aval solidaires et riches
de leur singularité, comme le montre la création dansée entre jeunes Arlésiens et
Villeurbannais (69).
En 2013, du samedi 13 au dimanche 14 juillet, de 20h à 7h du matin, la musique
du monde s’invitera au cœur du centre ancien, des grandes places publiques aux lieux
patrimoniaux via quelques jolis patios particuliers, pour une grande nuit blanche…
Cette édition 2012 invite le DELTA DU NIL, avec :
MAWAWIL, samedi 14 juillet, à 19h30
En partenariat avec la Fondation Orange et le Ministère de la Culture égyptien
Autour d’improvisations mélodiques et une poésie chantée en dialectes par la grande
Gamalet, ces « Gitans du Nil » racontent la vie quotidienne du monde rural en une
singulière résonance avec le chant flamenco gitan…
LES CAUSERIES MUSICALES
Ni salon ni conférence universitaire, ces temps d’échanges tissés d’anecdotes
permettront d’approfondir notre connaissance de la réalité des deltas du Rhône et du
Nil.
> Lundi 9 juillet, au Bureau du Festival, à 11h
Sur la base de récits et poèmes de Frédéric Mistral, Dominique Serena,
Conservateur du Museon Arlaten, se pose sur les rives du fleuve Rhône et décrypte
le quotidien de ceux qui y vivent et travaillent : des négociants ou gens de marine
jusqu’à la traversée du fleuve pour rejoindre les Saintes-Maries-de-la-Mer par
Mireille, haut personnage mistralien.
Bernard Picon, spécialiste des zones humides et deltaïques, portera son regard
de sociologue sur notre fleuve et sur les deltas déjà évoqués dans les éditions
précédentes : le Guadalquivir, le Pô et le Danube.
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vendredi 13 juillet, Musée départemental Arles antique, à 16h30
Ahmad el Maghraby, ancien attaché culturel d’Egypte en France est directeur de
MAKAN, centre égyptien pour la culture et l’art au Caire. Jacques Maigne, grand
reporter est aussi un écrivain voyageur. Ils seront accompagnés par des membres
de Mawawil.
Ensemble, ils aborderont la réalité des musiques égyptiennes au-delà de son image
folklorisée et évoqueront l’actualité politique de ce pays et des évènements au
Caire.
LES BALLADES AU FIL DU RHONE avec le CPIE Rhône-Pays d’Arles
Mardi 10 et mercredi 11 juillet, de 10h à 12h et de 16h30 à 18h30
Le nombre de place étant limité, inscription préalable indispensable auprès du CPIE
au 04 90 98 49 09 – Tarif : 10 €
Des quais d’Arles jusqu’en tête de delta du Rhône, une navigation musicale et
naturaliste avec un musicien, un historien et un spécialiste de la flore et faune
endémiques à notre delta…
Le matin avec Francesca Bresci, chanteuse italienne, membre du groupe Giovanna
Marini Trio et l’après-midi avec Henri Maquet, luthier, ethnomusicologue.
PARTAGE DES EAUX : Le Rhône dans la cité
Samedi 14 juillet, place Voltaire, à 18h30
Les jeunes danseurs hip hop d’Arles et de Villeurbanne (69), réunis sous les directions
artistiques de Miguel Nosibor et Habiba Zaouali-Chergui, proposent un regard
croisé sur leur fleuve, d’amont en aval. Cette création dansée est le fruit de stages que
Suds conduit à l’année dans le cadre de ses actions culturelles, en complicité avec les
centres sociaux arlésiens.
HISTOIRES DE FLEUVES, HISTOIRES DE DELTAS
Les émissions des jeunes de la Radio des Suds, sur 102.9 FM et suds-arles.com
Au sein de l’équipe dirigée par Antoine Chao, un groupe de jeunes Arlésiens réalise
pendant la semaine des reportages radiophoniques consacrés à la culture du Rhône,
aux aventures humaines que le fleuve inspire ou abrite secrètement, à ses histoires…
44

. . . . . . . . . . . . . . . . LES STAGES & MASTER CLASS
et LES ATELIERS JEUNE PUBLIC
Avec le soutien de
42 stages de danse, chant, musique ou art de vivre sont proposés à un large public,
pour partager avec un artiste reconnu dans son domaine une passion ou,
tout simplement pour le plaisir d’apprendre !
Nouveauté cette année, des ateliers Jeune Public !
Programme détaillé et inscription sur www.suds-arles.com/les-stages2012.html
et au 04 90 96 06 27
DANSE
FLAMENCO > Rocío Molina, Melinda Sala, Federico Ordoñez
SEVILLANES > Federico Ordoñez
DANSER AVEC SON DOUBLE > Shiro Daïmon
HIP HOP > Miguel Nosibor, Kouïder Zaouaga
DANSES AFRICAINES > Fatim Berthé
KATHAK > Maitreyee Mahatma
DANSE ORIENTALE D’INSPIRATION SOUFIE > May Kazan
DANSES ORIENTALES > May Kazan, Florence Le Dinh
SALSA CUBAINE > Juan Sierra Fernandez
TANGO ARGENTIN > Milonga del Angel
BALETI EN PAYS D’OC > Marie Picard
CHANT
A TRAVERS CHANTS > Emmanuelle Bunel
CHANTS POPULAIRES ITALIENS > Francesca Breschi
IMPROVISATIONS VOCALES > Jean-Yves Pénafiel
CANTE FLAMENCO > Rocío Márquez
POLYPHONIES GEORGIENNES & BULGARES > Brigitte Cirla
VOYAGE AU CENTRE DE LA VOIX & AUTOUR DU MONDE > E. Pesnot
MUSIQUE
FLUTE KAVAL > Isabelle Courroy
OUD > Ahmad Al Khatib
GUITARE BRESILIENNE > Paulo Da Luz
ENSEMBLE ARABO-ANDALOU > Fouad Didi
FANFARE des BALKANS > Daniel Malavergne & Tosha Vukmirovic
PERCUSSIONS du BRESIL > Laurent Rigaud & Paulo Da Luz
PALMAS & CAJON > Juan Manuel Cortés
ART DE VIVRE
YOGA & MUSIQUES > Ronald Mack
CALLIGRAPHIE CHINOISE > Isabelle Baticle
CUISINES DE CAMARGUE > Roger Merlin
NOUVEAUTE ! Les ateliers jeune public : hip-hop, Là-bas c’est où ? et jeux du
monde.
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. . . . . . . . . . . . . . . . . . LES + DU FESTIVAL
En 2012, le Festival s’engage dans une démarche responsable
> Pour une conduite responsable avec
Acteur engagé dans la lutte contre l’insécurité
routière, la Fondation Vinci Autoroutes
s’associe cette année au Festival afin d’encourager les festivaliers à adopter une
conduite responsable : conseils aux conducteurs et actions de sensibilisation aux
risques liés à la consommation d’alcool et à la somnolence au volant seront menées en
scènes de nuit du Festival : Théâtre antique et Atelier des Forges.
> un Festival éco-responsable avec AGIR,
un programme de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Le carnet du Festival est imprimé sur papier PEFC (forêts
gérées durablement) avec des encres végétales ; il est disponible au Bureau du
Festival ou à l’Office de Tourisme d’Arles (bd des Lices). Le programme détaillé est à
retrouver sur notre site www.suds-arles.com et en pages « Infos pratiques ». Sur notre
Facebook ou sur le blog des Suds, on peut partager les bons plans hébergement ou
co-voiturage…
Pendant la semaine, n’hésitez pas à circuler à pied ou en vélos-taxis électriques avec
Taco & Co ! Les artistes du Festival sont transportés quant à eux, dans des véhicules
Peugeot hybrides ou électriques.
Sur les concerts, le public à utiliser les cendriers mis à votre disposition et à respecter
le tri sélectif.
Suds met également en place d’autres outils afin de participer à une gestion écoresponsable
du Festival : toilettes sèches, éclairages LED, gestion de l’eau, vaisselle
compostable et origine biologique des aliments de restauration.
Le tee-shirt et le sac de l’édition 2012 du Festival
Fabriqués en coton biologique par une entreprise locale, on peut se les procurer à
l’Office de Tourisme ou encore à LA ROSE A POIS, boutique de vêtements de
création installée rue Réattu. Une série collector sera cette année encore réalisée par
Audrey Garcia qui a créé sa propre marque, Les Accessoires d’Audrey.
Taco & Co ou la version arlésienne du pousse-pousse : des vélos électriques
circulent dans la ville et offre un service de transport écolo, rapide et économique ! Le
mode de déplacement idéal entre deux scènes.
Réservation au 06 50 29 60 00 ou sur www.tacoandco.fr
Eco Fabrik propose des meubles de décoration écologiques ou vintage et des
solutions éco-design pour l’événementiel fabriqués à Arles… Retrouvez-les en divers
lieux du Festival (Bureau du Festival, Forges) ou sur www.eco-fabrik.com
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CD-DVD & LIVRES DES ARTISTES
A la fin des concerts des Moments Précieux, Cour de l’Archevêché, et au Théâtre
Antique, Actes Sud propose également à la vente les albums des artistes et bien sûr
l’Anthologie des Moments Précieux des Suds, à Arles éditée avec le label world
village d’harmonia mundi et habillée par Christian Lacroix !
Tous les jours aux Apéro-Découvertes sont présentés des livres, CD ou DVD en
présence de leurs auteurs. Retrouvez une large sélection de livres sur les artistes et
les musiques du monde à la Librairie Actes Sud.
LES RENCONTRES MUSICALES A SUD MUSIQUE
Tlj, de 14h à 19h30, musiciens et facteurs d’instruments se retrouvent au magasin Sud
Musique (rue Gambetta) pour faire des essais et échanger dans une ambiance
chaleureuse. De la démonstration à la Jam session, tout est possible !
Une initiative de Calle Flamenco (Guillaume Franceschi & Mateo Campos) et Mano
a Mano avec les associations Label Andalou et Yaka de Gitana.
ARLES 365°
Vous cherchez un hôtel, une info pratique, le programme des expositions
photographiques des Rencontres d’Arles ou le plan de la ville… rendez-vous à l’Office
de Tourisme, boulevard des Lices ou sur www.arlestourisme.com pour organiser votre
été arlésien !
L'équipe des SUDS, c’est
Marie José Justamond, directrice
Stéphane Krasniewski, administrateur
Jessie Linton, assistante administration
Florence Roumy, chargée de communication
Aude Marcet, assistante relation presse
Justine Bernardoni, assistante communication web
Loïc Bastos, chargé de projets
Neige Neyron, assistante stages
Camille Rossignol, assistante actions culturelles
Margaux Vidal, chargée des publics
Valérie Julien & Guillaume Dubois, régisseurs du Festival
Lucie Chaudière Wheeler, assistante régie
Joanne Journée, gestion signalétique
Nadège Molines, accueil public Théâtre Antique
Michèle Rome et l’ensemble de nos volontaires sans qui le festival ne saurait exister !
Le Bureau du Conseil d’Administration de l’association
Rémi Jumeau, Président
Brigitte Bonnefoy, vice-présidente
Valérie Michel, secrétaire générale
Elisabeth Soulet, trésorière
Bernard Déliane, trésorier adjoint
Christian Royer, membre du CA chargé des partenariats privés
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. . . NOS PARTENAIRES. . .
INSTITUTIONNELS
Région Provence Alpes-Provence Côte d’Azur
Conseil général des Bouches-du-Rhône
Ville d’Arles
Ministère de la Culture / DRAC
Plan Rhône :
Cie Nationale du Rhône - Région Provence Alpes-Provence-Côte d’Azur & l’Etat
PROFESSIONNELS
Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique (SACEM)
Centre Nationale des Variétés (CNV)
Administration des Droits des Artistes Musiciens Interprètes (ADAMI)
Fonds pour la Création Musicale (FCM)
GRANDS PARTENAIRES & FONDATIONS
Fondation LUMA
Marseille-Provence 2013
Fondation Orange
Arte actions culturelles
Fondation Vinci
Fondation Ecureuil
CLUB DES ENTREPRISES PARTENAIRES
Peugeot Arles
Mediatransport
Mutuelles Rhôn’Alpilles
Société des Eaux d’Arles
Géant Casino
Maison Camille Cayran
Union des Club Taurins Paul Ricard / Champagne Perrier-Jouët
Sud Musique
Digitick
Bijoux GAS
Miroiteries CTV-Arles
PARTENAIRES CULTURELS
Musée départemental Arles antique
Museon Arlaten
Château d’Avignon, domaine départemental en Camargue
Parc Naturel Régional de Camargue
Actes Sud
CPIE Rhône-Pays d’Arles

ACTION CULTURELLE
Contrat Urbain de Cohésion Sociale :
ACCM - Etat - Région Paca - CG 13
Conseil général des Bouches-du-Rhône :
Dispositifs Collège Culture Territoire - 13 Initiatives Jeunes - Actions éducatives et la
Direction de la jeunesse
Ville d’Arles - Contrat éducatif local
Direction départementale de la Cohésion sociale
Académie Aix-Marseille
SOUTIENS MEDIAS
Mondomix - France Musique - Télérama - Arte live web - Mediapart - Radio Nova
France 3 Alpes - TV Sud - LCM
Trad Mag - César - La Provence - La Marseillaise
Fanzyo - 3DFM- Soleil FM - Arles 365°
Suds est membre de
Zone Franche, l’EFWWMF et du Pôle Industries culturelles & Patrimoines
NOS COMPLICES
Graphistes Associés * Pôle Sud Multimédia * Agence Sansblanc * Affichage
méditerranéen * harmonia mundi/world village * Watt 4 you * Greenstocker *
Eco Fabrik * L'Office municipal du Tourisme de la Ville d'Arles * Société
Taurine La Muleta * La Mairie de Salin-de-Giraud * Le Comité de Feria de
Salin-de-Giraud * L'association Femmes Solidaires * Fréquences éphémères *
Radio Sommières * ATTAC * UPOP * ADDAP 13 * MECS du Mas de
Villevieille et des Matins Bleus * Pôle Formation du Pays d'Arles * Collège
Morel * Centre Social Mas Clairanne * Espace Familial de Vie Christian Chèze
* Association Musique et Danse de Mas Thibert * Ecole primaire de Mas
Thibert * Centre socioculturel Les Tuiles Bleues * Collèges Mistral, Saint-
Charles * ASTI * Cultures du Coeur * Yaka de Gitana * Petit à Petit * Les
Rencontres Internationales de la Photographie * Association Le Méjan * Ecole
du Cloître * Ecole intercommunale de musique du Pays d'Arles * Antenne
Universitaire d'Arles - IUP Administration des Institutions Culturelles * CPIE
Rhône Pays d'Arles * Parti Communiste Français section Arles * Tapenade *
L'Atelier Saugrenu * Viagem Samba * Club Taurin les Andalouses * Festival
Villes des Musiques du Monde * Ateliers d'Ethnomusicologie de Genève * Cité
de la Musique de Marseille * Association Reneissenço * LERM * SA Cristal
Limiñana de Marseille * Mazet des Croses * Hôtel d'Arlatan * Hôtel Nord
Pinus * Hôtel de l'Amphithéâtre * Hôtel Atrium * Hôtel du Forum * Hôtel Le
Relais de la Poste * Hôtel Mercure Arles Camargue * L'Entrevue * Le Grillon *
Le Gallia * L’association des commerçants de la Place Voltaire * Les Cafés de
la Major * La Rose à Pois * Les Films du Présent * Cultura * Farandole *
Radio Grenouille.

TARIFS PASS SEMAINE
120*€ > Tous concerts
Soirées Suds au Théâtre Antique + Moments Précieux dans la Cour de l’Archevêché +
Nuits des Forges au Parc des Ateliers + Alyscamps
90€ > Soirées Suds au Théâtre Antique + Nuits des Forges aux Ateliers
80€ > Moments Précieux + Alyscamps
50€ > Nuits des Forges au Parc des Ateliers
60€ > Spécial stagiaires (valable uniquement au moment de l’inscription aux stages)
NOUVEAU ! TARIF PASS PAR SOIREE
les 11, 12 ou 13 juillet
50€ > Moment Précieux + Théâtre Antique + Ateliers des Forges
TARIF BILLET à l'unité
> Moment Précieux, Cour de l'Archevêché
22€ : Tarif plein
15**€ : Tarif réduit
> Scène des Alyscamps, Mawawil
22€ : Tarif plein
15**€ : Tarif réduit
> Soirée Suds, Théâtre Antique
35€ : Le Carré*
30€ : Tarif plein
25€ : Tarif groupes (nous contacter)
22€ : Tarif réduit (étudiants, moins de 18 ans, demandeurs d'emploi et RSA - sur
justificatif)
> Nuit des Forges, Parc des Ateliers
15€ : Tarif plein
8€ : Tarif réduit
*place assise non numérotée en zone réservée au Théâtre Antique jusqu'au début du concert
** étudiants, moins de 18 ans, demandeurs d'emploi et RSA - sur justificatif
- Gratuit pour les moins de 12 ans -
Billetterie à l’entrée des spectacles, 1h30 avant le début des concerts dans la limite des places
disponibles.
Tous les autres concerts & rencontres pendant la semaine du festival (Créations dans les
Musée, Scènes en Ville, Siestes Musicales, Salons de Musique, etc.) sont gratuits et ouverts
à tous (sous réserve des places disponibles)
POINTS DE VENTE
sur www.suds-arles.com & www.digitick.com (en paiement sécurisé)
> Partout en France : Cultura, Fnac, Carrefour, Géant, Auchan, E. Leclerc, Virgin
> à Arles : Office de tourisme d’Arles : www.arlestourisme.com
Musiques, Arles : réservation et paiement par CB au 04 90 96 59 93
Librairie Actes Sud : 04 90 49 56 77
50

FORMULAIRE D'ACCRÉDITATION
Festival LES SUDS, à ARLES
du 9 au 15 juillet 2012
Les journalistes qui se rendent à Arles pour couvrir le festival sont invités à retourner le
formulaire ci-dessous au service de presse impérativement avant le 3 juillet 2012.
Pour faciliter l'accueil des journalistes, le service de presse se propose de les aider dans
l'organisation de leur interviews et séjour à Arles (réservations hôtelières...).
N’hésitez pas à nous contacter !
Les accréditations sont à retirer au Bureau du Festival à partir du 9 juillet tous les
jours dès 10h ou au guichet presse sur chaque concert du soir.
Nom . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Prénom . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Support média . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Carte de presse n°. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Adresse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Tél. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fax . . . . . . . . . . . . . . . . .
E-mail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . @. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Web . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Demande d’interviews :
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Demande d’autorisation photo, audio ou vidéo : . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. .
Durée du séjour du : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . au : . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . .
Lieu du séjour . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . .
Merci de renvoyer ce formulaire avant le 3 juillet impérativement
Une confirmation vous sera renvoyée par le service presse
par mail à presse@suds-arles.com
par fax au 04 90 96 79 48
ou par courrier à l'attention de Florence Roumy / Aude Marcet
Service de Presse - SUDS, à ARLES - Maison des Suds
66, rue du 4 septembre - 13200 ARLES
Tél. 04 90 96 06 27
51

La Région,
partenaire historique des Suds à Arles
Musiques du monde méditerranéen, mais aussi musiques issues de toutes les migrations et de toutes les cultures du monde
s’expriment largement en Provence-Alpes-Côte d'Azur au travers d’un nombre important d’ensembles musicaux, de festivals,
de spectacles et manifestations de toutes sortes, de fêtes, de rencontres et d’activités régulières portées par des associations
culturelles.
La Région Provence-Alpes-Côte d'Azur a souhaité orienter son action vers toutes les formes musicales. Aussi,
s’emploie-t-elle à valoriser, à développer et à soutenir les musiques de tous horizons. C’est la raison pour laquelle
elle soutient Les Suds à Arles à hauteur de 190 000 €.
La Région est en effet le partenaire principal et historique du festival Les Suds qu’elle soutient depuis sa création. De
plus, en 2006, la Région a passé une convention avec le Festival, et s’est doté depuis 2009 d’un secteur de
valorisation des cultures régionales dans leur grande diversité.
Egalement, depuis 2010, la Région accompagne ce festival dans sa démarche de développement durable et d’ecoresponsabilité
dans le cadre du programme AGIR+.
En accompagnant ainsi Les Suds, la Région entend favoriser les échanges culturels et artistiques et mettre en avant
les richesses des musiques du monde sur son territoire.
Le Conseil Artistique à la création permet d’accompagner l’ensemble de la filière musicale dans toute sa diversité. A ce titre, il
existe deux Conseils Artistique à la Création :
Le Conseil artistique à la création (CAC) Musiques actuelles
Le CAC est un dispositif de soutien aux artistes professionnels ou en voie de professionnalisation mis en place par la Région
Provence-Alpes-Côte d’Azur dans le cadre de sa politique culturelle et du Plan régional des musiques actuelles.
Ses objectifs sont les suivants :
-Soutenir la création artistique sur le territoire
-Accompagner le projet artistique dans son développement
-Favoriser la pluralité des esthétiques et leur émergence
-Renforcer la structuration du tissu artistique régional et la mise en réseau des opérateurs.
Cette aide peut intervenir sur la production musicale et son enregistrement, la production spectacle et sa diffusion et sur
l’action culturelle.
Au total, en 2011, ce sont 36 projets régionaux qui ont été aidés dans le cadre du CAC Musiques actuelles pour un
montant de 200 000 €. Pour la deuxième fois cette année, la Région a édité avec l’ARCADE une compilation de titres de ces
36 artistes de Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ce CD est distribué gratuitement dans tous les marchés nationaux (MIDEM,
transmusicales….) et dans tous les lieux de diffusion musicale de la Région. Il constitue un véritable appui de diffusion
pour la professionnalisation de ces artistes.
Le Conseil artistique à la création (CAC) musiques traditionnelles et du Monde
La Région Provence-Alpes-Côte d'Azur soutient les musiques et danses traditionnelles et du monde, issues de la culture
régionale et des cultures présentes en Région. Ses objectifs sont les suivants :
-Le soutien des projets artistiques de création et de diffusion
-L’animation des réseaux en partenariat avec l’Arcade
-Le conseil, l’orientation les projets dans la définition et la pertinence de leurs contenus
-La valorisation des acteurs de la pratique amateur comme professionnelle
Par la mise en pratique de ces orientations, elle entend :
-Favoriser l’expression de la diversité des cultures régionales de Provence Alpes Côte d’Azur
-Encourager la rencontre entre les partenaires de ces cultures et les mouvements de la création contemporaine
-Inscrire les cultures vivantes dans les moments d’échange de l’espace euroméditerranéen.
Au total, en 2011, ce sont plus de 20 projets musicaux qui ont été aidés dans le cadre du CAC musiques traditionnelles et du
monde.
L’aide aux festivals, lieux et manifestations…
De nombreux festivals et lieux de diffusion programmant des musiques et danses du monde bénéficient du soutien de la
Région : on peut citer le Festival de Martigues, Les Nuits Métis, les Joutes de Printemps de Correns, le Festival de Robion,
les Nuits de l’Inde, La Cité de la Musique de Marseille, l’Eolienne, festival au Fil des Voix de Vaison-la-Romaine, Ushpizin,
Alhambra Andalou, etc.
La Région Provence-Alpes-Côte d'Azur a également conventionné avec 3 festivals – Marsatac et Babel Med Music à Marseille
et Les Suds à Arles.
Les éco-festivals AGIR +
Depuis 2009, la Région participe par ailleurs à l’accompagnement des éco-festivals sur le territoire régional. Cette année avec
AGIR +, la Région poursuit son soutien aux festivals soucieux de réduire leur empreinte écologique comme Babel Med Music
ou Les Suds à Arles.
Contact presse : Valérie Miletto 04 91 57 51 53 - 06 80 24 59 96 – vmiletto@regionpaca.fr

La Sacem au Festival Les Suds à Arles :
« Créations dans les musées » de Vincent Segal
Lien www.sacem.fr www.suds-arles.com
Tags Sacem / musique / les suds à arles / festival / musique du monde / vincent segal
Communiqué de presse, mardi 29 mai 2012
La Sacem, partenaire fidèle du festival Les Suds à Arles où les musiques du monde s’invitent et enchantent la ville aux
rythmes de rendez-vous musicaux, propose cette année une rencontre privilégiée avec le violoncelliste Vincent
Segal, dans le cadre des « Créations dans les musées ».
Vincent Segal, célèbre violoncelliste et compositeur formé au Conservatoire, aime se jouer des frontières :
avec Bumcello, -M-, Cesaria Evora ou encore Sting, au fil des expériences et des voyages, il s’est forgé un
univers somptueux et très personnel. Deux ans après son duo avec le maître de la kora malienne Ballaké
Sissoko, il revient aux Suds pour une création solo sur mesure ! Armé de son violoncelle et de sa belle
sensibilité, il s’inspire des collections archéologiques du Musée de l’Arles Antique et nous invite à un
moment d’exception.
Retrouvez plus d’informations sur sud-arles.com et sur sacem.fr
� Lundi 9 juillet 2012 à 21h30 au Musée de l’Arles Antique
L’action culturelle de la Sacem dans le domaine des musiques actuelles contribue à la création, production et diffusion d'œuvres
nouvelles. Renouvellement des répertoires, soutien au spectacle vivant et aide à la professionnalisation des jeunes auteurs et
compositeurs, constituent les priorités de cette politique de promotion de la vie musicale.
Ses actions :
� Aide à l’autoproduction phonographique
Créé il y a 7 ans, ce programme offre à des auteurs compositeurs une aide pour autoproduire leur premier et/ou deuxième
enregistrement. De plus, un partenariat avec Francophonie Diffusion pour la promotion des artistes auprès de plus de 600 radios à
travers le monde est proposé. Environ 60 projets sont soutenus chaque année.
� Accompagnement de carrière
Depuis 7 ans, ce programme s’articule autour de différents volets d’intervention : aide à la création (bourse d’écriture, soutien à la
production phonographique, résidence…) et aide à la diffusion (production de spectacles, soutien à l’export).
� Accompagnement à l’émergence
Depuis 3 ans, la Sacem propose les "Scène Sacem", dispositif innovant au service de la création et de l’émergence. Ces soirées
professionnelles dédiées aux créateurs et interprètes émergents de différents répertoires, viennent compléter les grands axes de cette
politique de promotion de la vie musicale.
� Développement à l’international
Parallèlement à un travail de fond qu’elle mène auprès de ses sociétaires hors de l’hexagone, la Sacem est partenaire ou à l’initiative
de nombreuses opérations : Prix de l’Océan Indien, Prix Découvertes RFI, Prix Alain Peters, Marché des Musiques de l’Océan
Indien (IOMA), show cases aux Francofolies de Montréal.
Contact
Presse/Cécile Waechter – 01 47 15 45 35 / cecile.waechter.darras@sacem.fr

Un projet d'envergure internationale à Arles…
Fondation à but non lucratif, la Fondation LUMA que préside Maja Hoffmann,
soutient des artistes indépendants et pionniers, les aidant à créer ou mener à bien
des projets dans le domaine de l’art et de l’image, de l’édition, des documentaires
et du multimédia. Elle est également spécialisée dans des projets intégrant
l’environnement, l’éducation et la culture dans ce qu’elle a de plus large et de plus
innovant, créant ainsi un dialogue fructueux entre des domaines qui ne se
rencontrent pas toujours aisément.
Porté par la Fondation Luma, le "Parc des Ateliers" à Arles est un projet culturel
européen ambitieux. Sur cette ancienne friche industrielle de plusieurs hectares,
située au cœur de la Ville d'Arles, le projet "Parc des Ateliers" -dont la réalisation
architecturale sera signée par Frank Gehry- se veut avant tout un lieu où l’on
produit de de l’art, des idées et des expositions.
La Fondation LUMA & le Festival Les SUDS, à ARLES
Partenaire du Festival Les SUDS à ARLES depuis 2003, en soutenant l'invitation à
des artistes d'envergure internationale (CAETANO VELOSO en 2003, RAVI SHANKAR
en 2005, le spectacle musical "Vertiges" de TONY GATLIF en 2007), la Fondation
LUMA permet cette année la venue exceptionnelle d’ANOUSHKA SHANKAR, après
que celle-ci ait accompagné son père sur la prestigieuse scène du Théâtre Antique à
l’occasion de la 10 ème édition du festival. Celle-ci se produira sur cette même scène,
le jeudi 12 juillet 2012, à 21h30, pour sa création Traveller.
Par ailleurs, la Fondation LUMA a souhaité dès 2008, soutenir le Festival dans sa
démarche de création d'une nouvelle scène : les "Nuits des Forges".
En effet, afin d'apporter sa contribution au développement de l'image sous toutes
ses formes, le Festival Les Suds, à Arles inaugurait en 2008, une invitation à des
groupes de musiques du monde associant musiques & images. Tissant un lien
nouveau et unique entre divers univers artistiques, musiques du monde ou
musiques dites actuelles, et techniques de veejaying à partir d'images vidéos,
photographies, images live, images d'archives ou créées pour l'occasion… c’est un
nouveau rendez-vous qui est offert au public au cœur du Parc des Ateliers.
Pour cette 17e édition du Festival, la Fondation LUMA est heureuse de réitérer son
soutien au Festival pour sa programmation autant que pour cette initiative au
croisement des disciplines, et porteuse de créativité.

Plan Rhône
Après les crues majeures de 1993/1994 et 2002/2003, la solidarité de bassin constatée pendant la crise
s’est exprimée à nouveau et a fait émerger la nécessité d’une stratégie globale de prévention des
inondations.
C’est dans cette optique qu’est né le Plan Rhône, programme global de développement durable à long
terme, qui va bien au-delà de la stratégie initiale de prévention des inondations.
Le Plan Rhône représente un partenariat sans précédent et ouvre une vision globale, partenariale et
concertée sur l’ensemble des problématiques sur la vallée du Rhône et appréhende l’aménagement du
fleuve dans ses dimensions environnementale, économique, sociale et culturelle.
Ainsi sur la période 2007-2013, la mise en oeuvre du Plan s’appuie sur un Contrat de Projets Interrégional
Plan Rhône (CPIER), document cadre signé par les Régions PACA, Languedoc-Roussillon, Rhône-Alpes,
Franche-Comté et Bourgogne, l’Etat, le Comité de Bassin Rhône-Méditerranée, l’ADEME, l’Agence de l’Eau
Rhône-Méditerrannée-Corse, la Compagnie Nationale du Rhône (CNR) et Voies Navigables de France ;
avec des engagements financiers de l’ordre de 680 millions d’euros.
Il est à noter que l’Europe accompagne des projets issus du volet Culture et Patrimoine grâce au Fonds
européen de développement régional (FEDER) sur l’axe 5 du Programme Opérationnel Compétitivité
régionale et emploi 2007-2013 en Région Rhône Alpes. Egalement, d’autres projets du volet Inondation,
notamment, sont financés dans le cadre du Programme opérationnel Plurirégional 2007-2013.
Dans ce cadre, les partenaires du Plan Rhône proposent de labelliser et de financer certaines des
opérations entrant dans le cadre des 6 volets thématiques suivants :
- Volet Patrimoine et culture : piloté par la Région Rhône-Alpes
- Volet Inondations, piloté par la DREAL Rhône-Alpes
- Volet Qualité des eaux, ressource et biodiversité, piloté par l’Agence de l’Eau RMC
- Volet Energie, piloté par la DRIRE et l’ADEME Rhône-Alpes
- Volet Transport fluvial, piloté par VNF
- Volet Tourisme, piloté par la DIRECCTE Rhône-Alpes.
Contacts :
Pour plus d’informations, prendre contact avec le pilote de chaque volet concerné.
Pilote du Volet Culture et
Patrimoine – Plan Rhône
Pour le volet Culture et Patrimoine, le pilote est la Région Rhône-Alpes, les services instructeurs sont les
Régions compétentes :
- à la Région Rhône-Alpes - Direction de la Culture ou Direction des Politiques Territoriales,
- auprès de l’un des 4 autres Conseils régionaux dont dépend le porteur de projets (soit Conseil
régional PACA, Languedoc-Roussillon, Franche-Comté ou Bourgogne).
1/1

© Bernard Benant • réalisation graphique : www.sansblanc.com • éxécution : graphistes associés • licences n°2 - 140355 / n°3 - 140356 • programme susceptible de modifications
* hors frais de location
ZEBDA
FRANCE
Première partie
LA MAL COIFFÉE
PAYS D’OC
ARTE bRillE sous lE solEil dEs suds
du 9 Au 15 juillET 2012
Complice du festival depuis 14 ans, ARTE sera
présente cette année encore à Arles, pour
partager le goût des musiques du monde et des
cultures méditerranéennes.
MERCREDI 11 JUILLET
à 21h30
THÉÂTRE ANTIQUE - ARLES
Lors de cette édition 2012, les Actions Culturelles d’ARTE
soutiendront la soirée du mercredi 11 juillet au Théâtre antique.
Au programme : le célèbre groupe toulousain Zebda, récemment
reformé, précédé en première partie par les cinq chanteuses de la
mal Coiffée.
> arte.tv/actionsculturelles
Rendez-vous sur ARTE avec live le soutien Web de pour suivre en direct ou revoir
en différé cette belle soirée de fête.
ARTE Live Web retransmettra également quelques autres concerts
du festival, qui resteront disponibles sur le site tout l’été et
accessibles sur tous types de tablettes et smartphones.
> arteliveweb.com
ConTACT pREssE
ClémEnCE FlEChARd / 01 55 00 70 45 - C-FlEChARd@ARTEFRAnCE.FR
de 22 à 35 €
www.suds-arles.com

La Fondation Orange a choisi de soutenir Les Suds à Arles
Le mécénat est au cœur du groupe France Télécom-Orange et de sa responsabilité sociale.
Dès ses premiers pas en 1987, la Fondation Orange s'est inscrite dans le prolongement naturel
de la mission de l'entreprise : permettre à tous de mieux communiquer.
La vocation de la Fondation Orange est de créer du lien entre les individus, en particulier de
faciliter la communication pour ceux qui en sont exclus pour des raisons diverses, de santé, de
handicap ou du fait de leur situation économique.
En luttant contre l'isolement sensoriel, en favorisant une meilleure autonomie dans la vie
quotidienne et professionnelle et en encourageant l'accessibilité à la culture, la Fondation
Orange se mobilise pour rendre le monde plus accessible.
La Fondation Orange est de tous les combats aux côtés des associations pour défendre
la cause de l'autisme : faire évoluer les mentalités et les comportements, créer des structures
adaptées, aider les familles et accompagner la recherche.
La Fondation fête cette année ses 20 ans d’engagement pour la cause de l’autisme
Différentes formes de soutien de la Fondation permettent une plus grande intégration sociale
des individus notamment par la mise en place d’un mécénat de proximité porté par les salariés
du groupe et d’un grand projet destiné à réduire la fracture numérique : Orange Solidarité
Numérique.
A l'international, l'action de la Fondation est centrée sur l'accès à l'éducation et la santé. Des
actions sont mises en place, en partenariat avec des associations locales, dans plus de 30 pays
où le groupe est présent en Europe, Asie, Moyen-Orient et Afrique.
La participation des salariés est une composante majeure du mécénat au travers du
bénévolat, du parrainage de projets et d’une politique volontariste de mécénat de compétences.
Depuis 2010, 25 chœurs de salariés partout en France découvrent la musique et chantent
chaque semaine sur leur lieu de travail.
La Fondation soutient la musique vocale depuis 1987. En plus de 20 ans, elle a permis le
développement de plus de 100 chœurs, orchestres, ensembles vocaux et maîtrises qui sont
aujourd’hui sur le devant de la scène musicale. Au delà des répertoires baroques et classiques,
la Fondation s’ouvre aujourd’hui à d’autres répertoires : création contemporaine, musiques du
monde, jazz … Elle accompagne également des festivals dans des répertoires musicaux variés
ainsi que des projets à vocation sociale et pédagogique qui permettent une plus grande
accessibilité des publics à la musique.
En 2012, La Fondation Orange a choisi de soutenir les Suds à Arles notamment pour
son nouveau programme « Nomadisme et deltas ». Ce projet artistique autour des
musiques du Nil en Egypte s’inscrit dans les nouvelles priorités de la Fondation Orange
qui ouvre son mécénat aux cultures et aux musiques du Monde
Plus d’infos sur le site : fondationorange.com

La Fondation VINCI Autoroutes pour une conduite responsable,
partenaire du Festival Les Suds 2012
La Fondation VINCI Autoroutes s’associe au Festival Les Suds 2012 à Arles afin d’encourager les
festivaliers à adopter une conduite responsable. Tout au long de l’événement, des représentants de la
Fondation VINCI Autoroutes viendront à la rencontre des participants pour leur offrir des conseils et des
outils concrets qui leur permettront de prendre la route dans les meilleures conditions. Ils les
sensibiliseront notamment aux risques liés à la consommation d’alcool et à la somnolence au volant.
Notre vocation
La Fondation VINCI Autoroutes pour une conduite responsable est née de la volonté de VINCI
Autoroutes et de ses sociétés concessionnaires (ASF, Cofiroute, Escota et Arcour) de contribuer à la lutte
contre l’insécurité routière, dans le cadre de leurs engagements en faveur d’une mobilité durable.
Elle se veut à la fois :
un laboratoire d’actions et d’idées nouvelles, favorisant des recherches innovantes ;
un observatoire des pratiques et représentations contemporaines de la mobilité sur route ;
un outil de communication et une force d’interpellation à destination des conducteurs et du grand
public, en liaison avec ses partenaires et les différentes parties prenantes : institutions, professionnels,
monde associatif...
L’action de la Fondation permet aussi aux 8 000 salariés de VINCI Autoroutes, trop souvent témoins
d’accidents tragiques, et eux-mêmes exposés au risque routier, de s’engager personnellement pour la
sécurité de chacun.
Nos missions
Les actions de la Fondation VINCI Autoroutes pour une conduite responsable s’articulent autour de trois
axes :
Progresser dans la connaissance des pratiques de mobilité spécifiques des différentes catégories de
conducteurs (professionnels de la route, professionnels sur la route, certaines classes d’âge…), pour
mieux les aider à devenir, au quotidien, les acteurs de leur propre sécurité et de celle des autres.
Mener des campagnes d’information auprès du grand public, avec pour objectif la sensibilisation au
risque routier et la promotion d’une conduite responsable.
Financer des initiatives associatives citoyennes pour promouvoir la sensibilisation des conducteurs et
des recherches scientifiques innovantes dans certains champs des conduites à risque encore
insuffisamment explorés ou mal identifiés.
http://fondation.vinci-autoroutes.com/index.html

Les Grands Garages de Camargue
Votre concessionnaire PEUGEOT en Arles
Partenaire du Festival les Suds.
Les Grands Garages de Camargue, votre concessionnaire Peugeot Arles est implantée en
zone nord de la ville d’Arles.
Il est temps d’inscrire durablement cette société dans les mémoires collectives en
poursuivant nos actions locales déjà menées et en intensifiant nos partenariats sportifs et
culturels régionaux dans le but d’affirmer notre implantation sur le terrain Arlésien.
Dans ce but nous souhaitons maintenir notre partenariat avec le festival « les suds » qui
représente un évènement à la fois populaire, électrique et culturel, valeurs dans lesquelles
notre société se reconnaît.
Dans le même esprit, nous nous engageons à participer à la deuxième édition du marathon
des Alpilles en faveur de la ligue contre le cancer.
L’ensemble de ces actions nous permet de concrétiser à la fois notre implication dans notre
image de proximité et développement économique du territoire.
Toute notre équipe est heureuse de soutenir un événement aussi exceptionnel et important
pour sa ville et sa région.
PEUGEOT ARLES, 12 Avenue de la Libération 13 200 ARLES.
TEL : 04.90.18.42.42
SITE INTERNET : www.ggc.peugeot.fr

France Musique, au coeur des festivals
partenaire des Suds, à Arles
Classique, jazz, créations d'aujourd'hui, musiques du monde...
France Musique s'intéresse à tous les genres. Outre ses émissions, elle enregistre
plus de 400 concerts par an et propose à ses auditeurs les plus beaux
événements des institutions musicales, festivals, formations symphoniques,
opéras...
L'été, France Musique démultiplie ses moyens et envoie ses équipes sur la route
des festivals.
Parmi les étapes de la chaîne prévues en juillet : LES SUDS, à Arles.
Du lundi 9 au vendredi 13 juillet à 7h45, rendez-vous dans la matinale avec
Françoise Degeorges pour suivre l’actualité du festival.
Et revivez les meilleurs moments de cette 17 ème édition les mercredis 5 et 12
septembre 2012 à 22h30 dans COULEURS D’ETE, le magazine hebdomadaire des
musiques du monde sur France Musique.
France Musique à Arles : 93.2 / 94.2
francemusique.fr
France Musique, une chaine du groupe Radio France.
Avec 2 concerts par jour, France Musique capte le meilleur du grand répertoire
classique et propose au total 700 concerts par an, dont 200 directs.
De plus, 10 heures de jazz hebdomadaires et bien d'autres rendez-vous alternatifs abordent le rock,
l’électro, la musique légère, les comédies musicales ou encore les musiques du monde.
Contact presse
Lucie Marsaud / 01 56 40 24 12 – 06 26 63 15 23 / lucie.marsaud@radiofrance.com
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