Dossier de presse 2012 - Les Suds à Arles

Avishaï a poursuivi depuis une carrière brillante, mêlant jazz, soul et même reggae
dans son disque Colors (2000). Le magazine Bass Player l’a classé parmi les 100
bassistes les plus importants du XX e siècle.
Depuis son premier album Adama (1998), ses enregistrements sont régulièrement
acclamés, tels Lyla (2003), Aurora (2009) ou le remarquable Seven Seas (2011). Son
dernier album paru en 2012, s’intitule Duende : l’âme, ce sentiment indéfinissable
qu’aime tant ce musicien et composition hors pair !
TIGRAN HAMASYAN, Arménie > Première partie
Avec le soutien de l’association des Arméniens d’Arles et de sa région
Pianiste virtuose inspiré tant par Erik Satie, par la poésie que par la musique populaire
arménienne, ce compositeur marie avec une aisance hallucinante, la riche tradition de
son pays et la musique classique ou contemporaine.
De pièces lyriques en performances jazz, sa musique ouvre sur des paysages sonores
fabuleusement oniriques…
D’abord en solo au piano, il s’entoure du bassiste Sam Minaie et de Nate Woods à la
batterie.
Né en 1987 à Gyumri en Arménie, il a grandi dans une famille où la musique jouait un
rôle important. Dès l’âge de trois ans, il commençait à retrouver au piano des chansons
des Beatles, de Louis Amstrong, de Led Zeppelin ou de Queen ! Très tôt, ses goûts en
matière de jazz ont été influencés par la période fusion de Miles Davis puis il découvrit
le jazz classique sous l’égide de son professeur, qui avait lui-même étudié avec Barry
Harris.
Etudiant en musique classique et pianiste jazz, il émigre avec sa famille à Los Angeles.
Bien vite, il s’illustre dans des concours de piano et remporte notamment le grand prix
Thelonious Monk Jazz Piano en 2006, sous la présidence d’Herbie Hancock et la
deuxième place en 2006 au concours international de jazz Martial Solal à Paris.
Grâce aux prouesses dont il fait montre et une discographie restreinte, mais
impressionnante, Tigran poursuit son chemin, à pas de géant !
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