L'Echo de la Réhab - N°27 - 2020 : Souciance Fiction - Février 2021
27ème numéro de l'Echo de la Réhab (10 ans déjà!), qui reprends nos échanges et réflexions non sans lien avec une actualité 2020 particulièrement présente.
27ème numéro de l'Echo de la Réhab (10 ans déjà!), qui reprends nos échanges et réflexions non sans lien avec une actualité 2020 particulièrement présente.
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J’aime la nuit rêveuse…
Les étoiles palpitent,
mes prières égrenées
au sein de la nuit
avec une immense ferveur.
Les étoiles scintillent d’une
lumière surnaturelle. La nuit,
nid du doux rêve et refuge de
l’âme, dans ce silence
pénétrant.
La nuit calme où les vents
tourbillonnent par cet hiver
suprême, où les fêtes
approchent à grands pas.
Partage avec mon créateur,
de ces nuits remplies de
silence où je prie Allah
qui me soutient.
Eloge souveraine à toutes
ces nuits, nuits du
renouvellement de chaque
L'Echo de la Réhab - N° 27
Souciance Fiction
solitudes
Kévin
Des mouvements antiracistes en
France aussi, et contre la
violence policière qui a tué en
France aussi… et le virus dans
tout ça ? Il parait qu’il est là
pour un sacré bout de temps… Il
fait chuter la pollution… Peutêtre
plus pour longtemps car
l’économie est dans un triste
état partout… et quand
l’industrie repartira (?) la
pollution suivra… Il y a des pays
(USA, brésil) qui ont sacrifié la
population au profit de
l’économie… En France, les
lendemains ne chanteront peutêtre
pas…
Jean-Paul
Le cœur lourd, le cœur chagrin. Grain
de folie d’un rêve qui se brisa en éclat.
Quel éclat ? Une vraie lumière d’étoile
jaillit loin d’un foulard oublié, secoué,
sorti d’un placard, rien de plus. La folie
cachée de ce monde trop loin et
inaccessible, rêve d’amour, envolé
irréel, créé par mon imaginaire. Être
ensemble, ce rêve chéri de cette belle
folie gardée précieuse comme un trésor
aux mille facettes de l’amour éternel.
Le tout mêlé à ma profonde solitude
de l’abandon entre mes 4 murs.
Non signé
Dans ma bouche le goût amer du café
qui m'abreuve d'une soif matinale.
Accompagné d'une cigarette pour un
réveil enfumé.
Je m'extasie du beau temps, le vent
dans les cheveux humides.
Je pars en voyage dans mes rêveries.
Un homme me serre dans ses bras
tendrement.
Effleurement sur mes lèvres.
Puis mon esprit revient à lui.
Je suis avec mon chat et son
ronronnement me rappelle que c'est
lui qui est tout contre moi. L'homme
n'était qu'un rêve et s'évapore à la
réalité qui refait surface.
La solitude me glace.
Doddie
Quentin