à noter : fermeture des bureaux CSC-E du 23 juillet au 3 août inclus.

Commission
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pas la possibilité de continuer leur
formation s’ils n’ont pas un quota
suffisant de congés-éducation). La
conséquence directe est une diminution
du nombre de périodesélèves
et donc un risque non négligeable
de pertes d’emploi pour le
personnel enseignant.
3. Octroi du congé-éducation aux
enseignants. Pour répondre à
la volonté du Gouvernement de
renforcer la formation en cours
de carrière des enseignants, il est
indispensable de leur donner les
moyens de suivre ces formations.
élargir l’octroi des congés-éducation
au personnel enseignant paraît
dès lors être la piste la plus
appropriée. Cette demande ne
concerne pas que le personnel
enseignant de Promotion sociale
mais également tous les acteurs
de l’enseignement ; c’est une piste,
par exemple, pour les porteurs
d’un baccalauréat qui désirent obtenir
un master.
4. Mise en place d’une réglementation
pour l’e-learning. L’enseignement
à distance dispensé via
une plate-forme d’enseignement
en ligne qui permet à tout étudiant
de se former, de chez soi et à son
rythme, est en plein développement.
Aujourd’hui, n’importe qui
peut ouvrir un module de formation
en ligne ; aucune règlementation
n’existe ! Il est urgent de
cadrer cet accès et de se pencher
sur la formation des enseignants
impliqués dans le processus, sur la
répercussion statutaire de ce type
d’enseignement sur la carrière,
sur la comptabilisation des prestations,
….
5. Décumul des enseignants. Actuellement,
un enseignant assumant
une charge complète dans
le plein exercice peut prester
au maximum un tiers d’horaire
en fonction accessoire (‘cumul’)
dans l’enseignement de Promotion
sociale. Dans ce cas, ses rémunérations
(nonobstant le gel
de l’ancienneté barémique) sont
amputées de 25 % par rapport à
CSC-Educ n°60 / juin 2012
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Aujourd’hui n’importe qui
peut se proclamer formateur
en ligne !
un collègue, qu’il soit en fonction
principale, issu du secteur privé,
indépendant ou autre. A travail
égal, salaire égal : pourquoi sanctionner
pécuniairement un enseignant
‘en cumul’ ? Et particulièrement
en période de pénurie..? Qui
plus est, outre la discrimination,
cette disposition n’a aucun impact
sur le budget de la FWB (en effet,
la dotation des établissements est
indifféremment imputée).
6. Suppression de l’imputation des
mises en disponibilité à la dotation.
Une discrimination existe entre
la réglementation applicable à
la Promotion sociale et les établissements
de plein exercice dans la
mesure où le coût des heures de
mise en disponibilité par défaut
d’emploi est imputé à la dotation
et donc à charge des établissements
de Promotion sociale et non
à charge de FWB.
7. Harmonisation des plages horaires
de la Promsoc supérieur avec
les HE.
8. Valorisation des prestations de
soirée et de week-end du personnel
administratif et PAE.
9. Adaptation des règles de fonctionnement
des organes de
concertation aux spécificités de
la Promsoc et abandon du conseil
de participation.
La CSC-E interroge ses affiliés
Si vous travaillez
en Promotion sociale,
aidez-nous à améliorer votre avenir
sans tarder,
faites-nous part de votre vécu,
de vos interrogations,
de vos préoccupations,
positionnez-vous
sur ces revendications,
réagissez via l’adresse :
csc-enseignement.promsoc@acv-csc.be
Marie Lausberg