Table des Matières

La Terre a encore son potentiel et est toujours merveilleuse si on
sait la gérer.
B : Grand-père, je te rappelle une des maximes que tu a laissée pour
tous les jeunes que tu aurais aimés connaître :
« Votre vie sera ce que vous en ferez, le monde nous rend ce que
nous lui donnons »
ou encore les paroles de Bouddha :
« L’océan, les montagnes et les immenses continents ne sont pas
des fardeaux bien lourds à porter, à côté de celui de ne pas rendre
au monde sa bonté ».
B : Le mal ne vient donc que de l’homme ?
TGP : Sur la Terre, tout ce qui est bien vient de Dieu, tout ce qui est
mal vient de l’homme. Tout sur la Terre découle de cette liberté qui
a été donnée aux humains, elle est entière pour chacun, liberté de se
construire, même pour le mal, même pour le mal des autres. C’est
une loi ! La Terre ne doit être guidée, que par les décisions des
humains, donc ils formulent leur chemin dans la droiture ou dans le
mauvais sens.
Face à la question du Bien ou du Mal, il y a une seule réponse qui est
le « Diamant de l’humanité » qui consiste à dire :
« Tout ce qui m’est bon, tout ce que je reçois de bon pour moi, je le
veux pour l’autre » cela, c’est le Bien et « Tout ce qui me fait mal, je
le veux pour l’autre », cela c’est le Mal.
Pour retenir tout mal, il faut être en paix et contrôler son propre
équilibre face aux autres.
B : Le mal est plus ou moins conscient ?
TGP : Il est, bien sûr, conscient par des forces mentales négatives
émises par des êtres envers les autres, mais en général, le mal est
une force qui échappe au contrôle du cerveau, que ce soit le cerveau
qui émet ou qui reçoit. C’est une force qui s’échappe parce que la
personne n’est pas totalement maîtresse d’elle-même, d’où
l’importance de l’équilibre. Le mal peut-être fait aussi avec
beaucoup d’inconscience à des personnes qui retiennent mal leurs
forces et ne sont pas capables de les dynamiser, comme je viens de
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