Table des Matières

manière à ce que ces règles apparaissent aux yeux de tous et
donnent à tous une raison d'aimer consciemment.
Est-ce un hasard, si quelques années plus tard elle exerça dans
le paramédical, accompagnant les malades en soins palliatifs,
assistant les derniers instants de personnes en phase terminale ?
Est-ce un hasard si une rencontre inattendue l’amena sur le chemin
où elle reçut quelques réponses ? Prédestinée ? Son humilité
l'empêche de se voir ainsi, mais la connaissant un peu... Je dirais
qu'il n'y a pas de hasard. Elle est née pour transmettre... C'est le
contrat qu'elle à conclut avec les « Grands » avant de venir ici, voilà
ce que j'en dis... pour être à l'image de son pseudonyme :
« Alma d'Alba »... âme de l'aube...
Il lui va très bien, parce qu'elle fait renaître une aube, celle d'un
savoir perdu, de vérités porteuses de sens et de vie.
Alma d'Alba, raconte :
« Je restais à chaque fois fascinée par le temps d’avant la mort, qui
me paraissait toujours comme primordiale, comme le moment le
plus intense de la vie. Que pouvait-t-il se passer dans le cerveau
d’un humain au moment de son trépas ? Dans quel état de
conscience se trouvait-il plongé ? Quelle limite réelle entre la vie et
la mort ? Et après ? Et vivre ? Comment faut-il vivre, pour vivre
mieux ?
Ma rencontre avec une médium discrète, comme il en existe peu,
me permit de recueillir l’enseignement de désincarnés me
permettant d’élargir mes connaissances en matière de Vie. »
Ses ouvrages rapportent comme des récits les communications
avec de grandes femmes et hommes désincarnés ; qu’elle entretint
par le canal de Lucie. Son œuvre est capitale pour la compréhension
de l’inconnaissable et le sens de la Vie.
(Mathias Ollivier)
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