1 Exemple pi ne saurait per mcare en AIsace-Lorrai - Mairie de ...

Edition de Toulouse
SAMEDI 23 AOUT 191S — 28 a Annâ9 — N° 9.713
10 §§a ORQkUE DE DÉFENSE SOCIALE ET RELIGIEUSE 10 OU DIRECTION, 25, rue Roquelain© - TOUWUS*
1 Exemple
pi ne saurait per
Le bolchevisme est le triomphe du pire.
A l'autre bout de l'Europe, le magnifique
» Idéal », comme disait Jaurès, s'est réali-
sé ; l'ère proinise est arrivée. Depuis tan-
tôt deux ans, nous pouvons contempler a
loisir le Paradis révolutionnaire.. C es*
nne réplique de l'Enfer, que cet, Edeni ou
j„,w ^nuvW> mpiirt de taira sur le plus
L'ACTUAKITK
tout raî'peuple meurt de taira^ sur le pins
fertile des territoires, ou toutes est ar_
ociétés moder-
Stéë," où, faute de savoir
ganismes «««ï^^^^laMnl
nés, les maîtres de 1 heure ^ ^ " 1 t
plus, comme moyens de 8ou^*r m ® nI '
que l'oubliette et le peloton d exécution.
Ce régime sanglant et mortel qu'on a
Jurtemeât défini « une affection tétanique
o vn imtio ^n,i>-o !ï*o!„ _ . + c ' 1 allants SUlVia SOU
dence connus, défendeur.
Il est réclamé au sieur Joachim, qui n'est
autre que le fils cadet de l'ex-kaiser, une som-
me de 288 fr. 51 due pour lavage de linge,
diaprés une note : qui lui a été .présentée le
28 octobre 1918. Le défendeur est cité à com-
LesEvénaments û*
LES USINES KRUPS» SERONT-ELLES
SOCIALISÉES ?
Zurich, 28 août.
On mande d'Essen que la direction de l'usi-
ne Krupp a l'intention de socialiser, dici
peu, tous les ateliers et fonderies.
CONSTITUTION
DU OOMITÉ DES AFFAIRES EXTÉRIEURES
Berlin, 22 août.
L'Assemblée nationale a constitué le Comité
des affaires extérieures prévu par Particle 35
de la Constitution. Scheidemann en est le
président, Haussmann le vice-président. Les
socialistes y sont représentés par Braun
(Franconie), • Hildenbrand, Stucklen et Wel-
se ; le centre par Herschmel, Pfiffér, Triborn;
les démocrates par Schyfîer et von Bicbogen;
les nationaux allemands par Grasfe et Traubj
le parti populaire allemand par Heinze.
La commission chargée de l'examen de la
question des responsabilités s'est également
constituée aujourd'hui, sous la présidence du
démocrate Pétersen. Le députe Spahn, du
centre, a été nommé vice-président. Les séan-
ces seront publiques.
L'EXODE DES CAPITAUX PROVOQUE
UN SCANDALE A BERLIN
Bàle, 23 août.
On télégraphie de Berlin :
Les journaux berlinois annoncent que le pré-
sident de police Emst et le conseiller d'Etat,
le docteur Weiss, vice-directeur de la police
criminelle de Berlin, se sont rendus à Wei-
mar pour faire un rapport au gouvernement.
Il s'agirait d'une tentative de faire passer plu-
sieurs millions de marks en Suisse et qui au-
rait échoué.
Sejon certaines informations, la personne
incriminée serait très haut placée. ; elle au-
rait cherché à mettre en sûreté une partie im,-
portante de sa fortune, et, d'après les der-
niers renseignements, il s'agirait d'une di-
zaine de millions.
ATTENTAT BULGARE
CONTRE LA VOIE FERRÉE
Belgrade, 23 août.
Dans la nuit du 18 août, les Bulgares ont
fait brûler le pont de .bois provisoire entre
tes stations de Vranje et Vranjha Banja, sur
la ligne ferrée Nisch-Skoplye, à MO kilomè-
tres au sud de Nisoh. à l'endroit où ce che-
min de fer passe le plus près de la frontière
bulgare.
L'enquête a étaoli que deux individus par
lant bulgare arrosèrent le pont de pétrole et
l'incendièrent.
Ce pont est long dé 20 mètres et passe au-
dessus du lit à eec d'un torrent ; les com-
munications entre Nisch et Salonique sont
interrompues pour Quelques jours.
C'est en ce même endroit que les Bulga-
res ont coupé la communication avec Salo-
nique lors de l'attaque ae 1915, en faisant
sauter le pont du chemin de fer.
Le Patriarche du Liban à Paris
Paris. 28 août.
Mgr Hoyek, patriarche du Liban, est arrivé,
ce matin, à Paris, à 11 heures 15, à la gare
de Lyon. Il était accompagné de Mgr Khoury*
archevêque maronite de ïyr ; Mgr Bobarak,
archevêque maronite de Beyrouth ; Mgr Fe-
gbali, vicaire patriarcal, et de Mgr Mogabgab.
arebevéque de Zahle, représentant du patriar-
che grec catthollque.
Le patriarche a été reçu par M. Gout, mi-
nistre plénipotentiaire, représentant M. Pi-
chon. ministre des affaires étrangères : le
commandant Bastard, représentant M. Ley-
gues. ministre de la marine ; Mgr Odelin, vi-
caire général de l'archevêque de Paris, repré-
sentant le cardinal Amefte ; Mgr Phares, évê-
que maronite, représentant du patriarche à
Paris ; Mgr Attie, archimandrite, représen-
tant, à Paris, le patriarche grec catholique, et
les membres des colonies libaniennes et ty-
iennes de toutes confessions.
Une réception a eu lieu dans le salon de
.'arrivée ; une gerbe de fleurs naturelles a été
offerte au prélat. Elle était enguirlandée de
rubans aux couleurs françaises et libanaises,
vert et blanc.
Le patriarche Hoyek, qui est depuis ce ma-
tin à Paris, porte aussi le titre de patriarch®
maronite d'Antioche et de tout l'Orient.
Ce n'est pas seulement un chef -spirituel,
comme le sont, en Europe, les dignitaires de
l'Eglise catho'lioue. Il a ausei le caractère
d'un chef laïque et joignant autrefois à ces
deux qualiès des pouvoirs militaires. Le prin-
cipe de l'élection des prélats s'est perpétué',
en Orient, et le patriarche maronite est dé-
signé par les suffrages des évêques ; Rome
se borne à lui envoyer le pallium, insigne
des hautes dignités, et sanctionne ainsi son
élection. Enfin, pour noter tous les caractères
de la charge du patriarche et pour mettre eu
relief toutes les causes de sa puissance, il ne
faut -is oublier que, seul de tous les patriar-
bes orientaux, le chef de la communauté
maronite n'était point soumis, du temps de
la domination ottomane, à l'agrément, de la
Eiorte. Mgr Hoyek vient, non seulement au
nom des maronites, mais au nom de toutes
les communautés libanaises, dont il est le
représentant qualifié, demander l'autonomie
complète du Liban agrandi restauré dans ses
frontières naturelles. Il vient demander pour
le Liban la protection de la France. On
n'ignore pas le rôle important qu'ont tou-
jours joué les maronites dans cette partie de
l'Asie-Mineure ; Ils constituent la majorité<
des populations montagnardes et, de tous
temps, les relations les olus étroites ont exis-
té entre la petite nation libanaise et la Fran*
ce.
L'ESPAGNE RESTREINDRA
SES EXPORTATIONS
Madrid, 2g août.
Le ministre du ravitaillement a dôolar
qu'il est fermement décidé a n'autoriser l'ex-
dû au prestige qu'exercent les volontés
fortes sur les volontés faibles
depuis deux ans.'
Mais avons-nous vraiment des raisons de
nous défier .de notre masse Ouvrière ? Des
meneurs veulent lui persuade-r qu'elle peut
avoir tout sans rien donner. Croit-on qu'el-
le ne discerne pas l'erreur et qu'elle va se
laisser duper ?
En vérité, le pays tout entier considère
avec une sympathie généreuse ©t avec sé-
rieux tout ce qui touche aux questions ou-
vrières. L'ouvrier le voit ou le sent. C'est
•pourquoi il n'obéira pas aux suggestions
d'un louche internationalisme et que toute
propagande anti-militariste se découvrant,
.a ses yeux, anti-française, nous le verrons
nnalement signifier aux bolcheviks de
chez nous que la France n'est pas la Rus-
sie. Le bolchevisme, fleur monstrueuse
dune terre que la neige assiège, ne s'ac-
climatera jamais sous notre ciel égal et
i ^î?' , ne trouvez-vous pas que les an-
traverse | nonces judiciaires, d'ordinaire^! arides peu-
vent, aussi avoir une éloquence vengeresse ?
Le sieur Joachim. ci-devant prince df Pousse
actuellement sans domicile ni résidtncTcon-
LE GRAND DÉSIR DES ÉLECTEURS
Le conseil général de la Vendée a adopté
un ordre du jour où il salue d'abord l'arri-
vée de M. Clemenceau. Puis :
« Il lut exprime le désir de le voir user de
toute son influence pour que, sitôt après la
discussion du traité de paix, les membres de
la Chambre des députés aillent rendre comp
te de leur mandat à leurs électeurs. »
fiouvel Incident Franco-Italien
Borne, 22 août.
L'Agence Stefani publie la note suivante
relative à des incidents dont on n'avait pas
encore fait mention :
Les journaux ont publié des nouvelles exa-
gérées ôt inexactes en ce qui concerne les. in-
cidents des environs de Tarente. entre des
troupes françaises et italiennes. Pour rétablir
la vérité des faits, on annonce que l'épisode
qui a donné origine au bruit tendancieux se
réduit à un incident sans importance. Depuis
le commencement de la guerre, il existe aux
environs da Tarante, à Buffoluto, un camp
français polir '.es troupes d'Orient de passage.
Le soir du 15 août, des militaires français,
qui discutaient avec deux ouvriers italiens,
sortirent armés de leur camp et. tirèrent des
coups de fusil. Une bagarre s'ensuivit. Le
commandant du camp français et le comman-
dant italien d'une poudrerie voisine accouru-
rent et rétablirent l f ordre. Deux militaires
français et un ouvrier italien ont été blessés.
Le bataiHon colonial, auquel les militaires
français appartenaient, a' quitté déjà Tarente,
et le commandant du camp français a donné
aux autorités italiennes des explications oui
ont été bien accueillies. Cet incident n'eut au-
cune Influence sur les bonnes relations de
camaraderie qui ont toujours existé à tarente
entre les militaires français et italiens.
UNE MISE AU POINT
nowice, mais elles ont été repoussées.
Sur le territoire occupé par les insurgés
sont arrivées deux brigades allemandes.
Le commandement général a proclamé par-
tout l'institution de cours martiales. La com-
munication est interrompue entre la Haute-
Silésie et la Pologne.
REPRISE DES POURPARLERS
GERMANO-POLONAIS
Zurich, S& août.
Le bureau Europa Press annonce que les
pourparlers germano-polonais, dont la rup-
ture avait été annoncée hier, ont été repris
le même jour a 6 heures du soir. Le général
Dupont et les autres membres de la mission
militaire interalliée de Berlin y prennent
part. L'Allemagne a déclaré qu'elle ne pourra
plus tolérer les exigences des Polonais dans
la Haute-Silésie. La Haute-Silésie est encore
allemande et l'Allemagne seule a le droit d'y
maintenir l'ordre, le traité de paix n'étant
pas encore ratifié. Cette façon de voir a été
partagée par le général Dupont, chef de la
mission militaires-Interalliée.
Le bureau Europa Press annonce, en outre,
que le ministre des affaires étrangères, M.
Muller, et le ministre de la défense nationale,
M. Noske, prendront désormais part aux
pourparlers.
ASOORD ENTRE LES ALLEMANDS
ET LES POLONAIS
Berne, 22 août.
Une dépêche de Berlin annonce qu'un ac-
cord est intervenu entre les Allemands et les
Polonais. Les Alleij.ânds s'engagent à ne plus
rien faire en Haute-Silésie, ni expulsions,
I ni terrorisation ; ils attendront les conclu-
sions que fera la commission interalliée qui
sera nommée sons peu et qui comprendra
probablement les membres des missions al-
liées à Berlin.
DÉCLARATIONS DE M. KORFANTY
nqu
s ÔtC lt Reddition
Paris, 22 août.
La commission d'enquête Chargée d'exami-
ner les circonstances de îa reddition de Mau-
beug'e a continué co matin l'audition des té-
moins. Elle a entendu successivement le gé-
néral de Lacroix, ancien vice-président du
conseil supérieur de la guerre, et le général
Ville, qui commandait en 191-4 un des secteurs
de là forteresse.
a: maie Supérieure
Paris, 22 août.
Sont autorisés a, prendre part au concours
spécial de ral9 pour l'admission à l'Ecole
Normale Supérieure et l'obtention des Bourses,
de licence, les jeunes gens dont, les noms
suivent, Inscrits dans les Académies ou dans
les centres militaire? de préparation ci-après
désignés :
Section des Lettres —
pellier : M. Dubois.
Académie de Toulouse
Académie de MonV
: M. Madaule.
Snt?;^^ 6 5nif r J£ SS 11 ^ 0 , pïît àe S0S " i Portation d'aucun article' alimentaire, ajou
tant que si l augmontation de 50 % des droits
d'exportation sur les cuirs, les peaux et les
chaussures n'amenaient pas un abaissement
du prix de ces matières sur les marchés espa-
gnols, malgré l'excès de production actuelle,
il en viendrait à interdire absolument toutet
exportation.
CRÈVE DES GENS DE MER
Barcelone, 22 août.
Les chauffeurs-pilotes et caphSines des na-
vires marchands He Barcelone se sont mis
en a-rève. Les équipages de? compagnies
transméditerranéennos ont commencé à dé-
barquer.
Les dernières informations annoncent que
la grève sera totale ; elle est motivée par le
refus des armateurs d'augmenter les salaires.
SITUATION INQUIÉTANTE
AU MAROC ESPAGNOL
Tanger, 22 août.
Une nouvelle rencontre entre les forces re-
belles et les forces indigènes espagnoles a eu
lieu dans les environs d'El-Koar. Les parti-
sans espagnols furent repoussés.
La semaine dernière, une escorte de six
hommes, partie de Tétouan à la fin de la
journée pour proter des vivres à un poste voi-
sin, situé à vingt minutes de marche, fut to-
talement égorgée.
Tétouan, située au centre de la région soi-
. disant pacifiée vit toujours dans une com-
1 plète insécurité. A la nuit tombante, il y a
péril de mort à s'aventurer hors de la ville
et l'autorité militaire interdit toute, sortie. Le
courage des troupes métropolitaines mérite
tous éloges ; sans leur résistance, de nom-
breux postes eussent dû être abandonnés, la
plupart des soldats indigènes refusant de sor-
tir ou ne sortant que pour ne plus revenir.
Si les forces régulières étaient en majorité
composées de soldats métraplitains, le succès
des opérations serait plus probable. Une
preuve de l'importance du butin fait par Bai-
souli'est çjue le prix des fusils a sensible-
niient diminué dans le ftiff.
,. Rome, 22 août
voici quelques précisions sur les incidents
auxquels fait allusion la note officieuse ita-
Le plus tôt sera le mieux. C'est l'opinion Uenne antérieurement publiée, et qui ont été
de tous les électeurs 1 considérablement exagérés ou dénaturés par
certains journaux italiens :
Dans la nuit du 15 août, des voleurs s'étant
DES JUGES A BERLIN
E. LEBRETOH.
TARIP. DES ABONNEMENTS
Introduits dano le camp de Buffoluto, tes
soldats français, mis en alarme, se jetèrent
à leur poursuite ; les malfaiteurs étaient ar-
més de revolvers; des coups de feu furent
échangés et un soldat français fut blessé au
visage ; des soldats: du camp, émus de Vm
dis mois
x mois. ,
n an
». HUIT francs
SEIZE franos
TRENTE franoa
Les quittances recouvrées par la Poste sont
iajorôes de cinquante centimes pour frais
l recouvrement
v
" erafints militaires,,, r.,-. 125 par mpif.
Il y a, malheureusement pour certains Ber-
linois, quelques Juges encore à Berlin : et
c'est de quoi vient de s'apercevoir un riche
capitaliste de cette ville qui, pour édhapper cident et convaincus que le camp avait été
aux indiscrétions du fisc, s'est avisé de faire l'objet d'une agression de la part d'un groupe
transporter a Baie, avec l'aido de quelques d'habitants, sortirent et manifestèrent • leur
complices, pour vingi millions dp valeurs. mauvaise humeur, en prenant partie que!'
Les fraudeurs venaient de prendre le train

SAMEDI 83 AOUT 1919
Prix -tes Bain» i caeo-^ïgsoi oC/Neili^, î©!*«t*-
S liMatsîii, Kcine^Coo»t*nte v«£ Kuuuioni. Mlonei-
Aoge Ai Stiwinï). SoBUteeM» tSU)h«s).
Panam* douAeux bèMt UL-L i*&bel OQ. Uhonrasl).
Prix de Ci«n : - -oiii'.-j (O. Neli), Bem.-vdeit»
«Situni»;. La .jamediiaiiat» (J«nniags). Lojaiiy (O.
Tii-oiuaij, Syiyite -JUreU). ZeuolluaiAe (lta.naonl.
Prix ae Samte-Oi*» : >..-•..----./ y*. A. d» Four-
oas;. Fai#--»i Aiiiaiide ÉM. ïtëfcfc).
Prl x.de Bayouât : Sajoaiï-4a.r.JU-
Bcurie-oûton — itunastéry-Trou-
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1&40 7-6
1806 354
1887.348
23.596
83.128
348.6L4
548.537
41/. 897
632.594
700.144
808.817
981 447
1004.S53
1130.090
1163.800
1246687
1262.931
ir«2 801
1516.420
"1697.483
1817.100
1910.114
£4.890
12.220
375.761
562.800
427.663
634.666
715.573
815.048
935.^48
1022.070
1143.566
1191.242
1253.547
1276.090
1397.101
1530 836
1762.154
1955.348
1934.216
36.798
128,211
386.599
&76.909
453.678
65.608
7u6.171
819.789
970.943
1059.137
1147.069
1220.466
1354.237
1347.990
1417.468
1583.773
1765.798
1838.108
1974.414
T avers les lourijaux
uiieiiiitiiiaiiaiiiiMitiiiiiiiiiiiiiii
Prix de la Sotfété d'Encouragé «ent pour
Sent Uu tri i£?nté). - Distance. 3.000 me-
^premier orlx départemental (arabes angle
arabes et «létul-saa» anglo-arabes qualifiés; -
f iw, francs (en outre 100 francs à 1 éleveur),
£Su°r Sut entiers, hongres et juments de
r e t 4 ào» de deinJ-sans. de pur sang arabe.
Se pur -ans et de deml-sang anglo-arabes
comptant «u moin» » de sang arabe, nés
dan* le département des tlautes-Pyrenees. -
Distance. 2.000 niètre 6 environ.
Prix Absolus — 8.000 francs, pour chevaux
de troi« 'ans de pur sans, comptant au moins
«i &t à la démobilisation
inférieurs : les chevaux.
ment à la démobilisation de leurs -camarart»
inférieurs : les chevaux.
Celle-ci se fait lentement depuis des
et dans des conditions qui ne laïssem"rasmui
de prêter à la critique. ^ 8
Résumons brièvt-ment les réclamations da
nos lecteurs.
UB
Les chevaux réformés sont mis en vent»
par petits paquets, dans tes centres de
garnison ou les chefs-lieux d'arrond-Ssenient
et de cantons. Les agriculteurs ont dans ces
ventes, un droit de priorité : c'est-à-dire
qu'on doit satisfaire à leurs demandes da
préférence à celles des autres aciieieurs Mais
voici le vice de l'organisation : c'est qu 6
beaucoup d'agriculteurs se sont soudainenient
mués en marchands de chevaux. Mu is cïe
leur bon de priorité, ils achètent, achètent et
non plus, maintenant, pour les réels te-oinâ
de leur exploitation, mais tout simplement
pour revendre quelques semaines plus ta d'
avec un bon bénéfice.
Ce n'est certes pas ce que les règlement*
ont voulu. Mais les règlements, com e l'e-ifér
sont pavés de bonnes intentions. Seulement m
les tourne. On vient de voir comme it L t si
dès maintenant, il était possible de faire' im»
tournée chez certains propriétaires qui ont
3tô des chevaux pour leur-, bp'
soins personnels, on aurait bien de la peino
retrouver les traces des animaux e«tr ;i
dans leurs écuries sous ce couvert us nr-t
pris, sur les champs de foires, tant de de^tî
nations diverses !...
prit.
tr ment de beaucoup d'autres' acheteurs^hnn'
n-êtes ui n'ont pas, eux, ce droit d- n i r i
et qui, par suite, n'ont pu encore faire. l araîùV
sition de la malheureuse bête convoité"
On nous signale, à ce sujet, le cas 'd'un
M. S.... camionneur rue de, la Bourse ft T/MÎ
louse. k qui la réquisition 'a enlevé' à. 1s
çlaration de guerre, tous ses chevaux n»i >
fait très bravement toute la campagne 'et mil
de retour chez lui. depuis des mois Ve Si
trouver à se remonter par aucun moven
graïte
g " U y a là ^ ^tiee fia.
\»J»« fonctionner cette
priorité dans certains lieux, alors qu'on l'ai'
lit dans d autres ? H ' ^
['autres ?
Lisez les jouma-ix des Ha.ntes-Pvrênées
y verrez ou'p.n ROnth~ ^-k".E."ïr s -,
l'O-
gravis, pendant la gueire, S. rex'èmple du
Christ,
H
Ce souvenir a rendu plus émotionnant en
core cet exercice qu'une foule énorme
suivi avec ine foi admirable.
Après la procession du Saint-Sacrement le
bruit a couru d'une double amélioration, sur-
l^? s rétat d ' une j* sun ' e Aile et d'une
miette. Nous avons nous-même causé avec
la jeune fille et sa mère. Toutes deux nous
ont confirmé le fait d'une amélioration oui
équivaudrait presque à une guêrison. Elles
nous ont prié de taire encore les noms ius-
qu après l'examen du Bureau des constata-
tions. Nous avons eu également le bonheur
d'accompagner à l'asile où U est descendu
un réformé de guerre, venu d'Amiens, dont
la cécité nous a é:é très nettement affirmée
par son entourage et par l'intéressé et qui
venait de recouvrer la vue. Cette dernière
guérison a soulevé un enthousiasme indes-
criptible. Nous aurions attendu prudemment
l'examen du Bureau des constata ions, mais
il nous est impossible de ne ipas dire ce que
nous avons nous-même vu. — J. ROUZAUD.
Samedi 23 août
Programme des cérémonies s
, A ,7. 11 à la Grotte : messe pour le repos
tte lame des membres de l'Hospitalité de N -
U. de Salut. Avis et recommandations, par le
T. R. p. Joseph Mautoon.
A 9 heures, au Rosaire : messe solennelle
de Requiem pour tous les morts de la guer-
re, spécialement pour les anciens pèlerins de
Lourdes tombés au champ d'honneur Allo-
cution par S. G. Mgr Schœpfer, évêque de
Tarbes et Lourdes. — Après l'absoute : inau-
guration d'une plaque de marbre offerte par
le Pèlerinage National en mémoire des Pèle-
rins de Lourdes morts pour Dieu et pour la
Patrie pendant la guerre de 1914-1918.
A 1.1 h. 30, à la Grotte : récitation d'un pre-
mier chapelet.
A 2 heures, à la 6alle de la Pénitencerie .
conférence sacerdotale, réservée aux prêtres
A 4 heures, à la Gro.te : départ de la pro-
cession du T. S. Sacrement ; acclamations à
la Sainte Eucharistie.
A 5 h. 30, à la Grotte : récitation d'un deu
xdème chapelet, sous la présidence de S G
Mgr Sahcepfer, évêque de Tarbes et Lourdes'
A 6 heures, au Rosaire : sermon annuel en
faveur de Notre-Darno de Salut et Salut du T
S. Sacrement.
A 8 h. 15, à la Grotte : récitation d'un troi-
sième chapelet : procession aux flambeaux
sorte.
FnfT,?"? d9UX , p - pids et deux mesures ?
les vîntes /if ^ a,nt que traT1 ^vent, dans
J£n« M

SAMEDI 5» AOtJ'f WTS
• çant que des crédits Importants seront affec
PIS ( prochainement à l'encouragement de la
Le Voyage
oincare
laguenau
LA SITUATION POLITIQUE DE LA HONGRIE
° AU CONSEIL SUPRÊME
Paris. 23 août.
Au dé) ut de la séance du Conseil Suprême
*e"ue ln>r, M Hoover a confirme l'aecoad in-
tervenu entré la aéSteation polonaise et la
délégation allemande a Berlin, sur la néces-
sité d envoyer sur place une commission d en-
cans la matinée. M. Hoover et M. Loucheur
s'étaient rendus à Versail.es, ou ils avaient
conféré avec M von Lersner, sur les moyens
>ropres à remédier à la crise survenue dans
a production de la houille en Haute-Silésie.
Les représentants des grandes puissances
se sont occupes également de la situation po-
litique en Hongrie. Us ont décidé d'adresser
un télégramme à la mission interalliée qui en
donnera connaissance aux autorites hongroi-
ses.
Ce télégramme est ninsi conçu :
« Les puissances alliées et associées ont le
plus grand désir de conclure avec le peuple
hongrois une paix durable ; mats ehes e B a-
ment cu'elles ne sauraient le iaire tant que
Le
9 h.
quei uent pavoisee,
lu Poincaré et sa
les rues, qu'embaumait ,—— . , ux
et de verdure. Des drapeaux a la . am deux
citer ^^^^SS^WSS. *
glots
caréVlexprime"»" satisfaction.
qui le mâirê'souhaite la bienvenue M. Poin-
. ,-ai confiance. a-Ml dit. d.ns nos tende-
mains,
umait une jonenee t e ne-us ^ poluique et leur ambition, sont
GUI ,p3-ï* rc-i^i l'vu n^
Le Ravitaillement civil
PRIX NORMAUX. — Voici Jes différents (prix arrê-
tas par la commission départementale dans sa. réu-
COMITÉS ET GROUPES
J
Perplexités
Et dire qu'il y a des malades qui vivent très
Dimanche 84 ! 5aal dan* la Perplexité, l'anxiété, l'inquiêtu-
août, a. 2 h 30. un grand concert sudivl d'u» bal 1 ?„ 6 oa - '
uazette Judiciaire
CONSEIL DE GUERRE
Séance du 32 antlt 1919
Présidence de M. le colonel Bastier
vot MILITAIRE . — Le cavalier Chartes Bolïot, du
16* chasseurs à cheval, est comiiaib'e d'avoir dérobé
a Colooviers, dans la Journée du 3 Juillet, une
paire de brodequins militaires cornues pour le
ttste-Joan Libéros, receveur de la société des service au cavalier Ménage dudlt régiment,
membres de l'enseignement primaire laïque yn an île prison avec sursis. Défenseur : M?
et public do la Haute-Garonne, a Montjean ; jvrahawot.
AVIS D'OBSÈQUES
Madame E. ROSSINBS ; Monsieur R.
ANDRIEU ; Monsieur et Madame J. MIRABAIL,
née PJÛSSTNES J Monsieur BONNOT et ses
fils ; les familles ROSSINFS ont l'honneur de
faire connaître è leurs amis et connaissances
que l'inhumation de la dépouille mortelle du
Docteur Hervé ROSSINES
Aide-Major de première classe
aura lieu le samedi 23 août 1919, à 3 h. J.
On se réunira à la gare Matablau, à 3 h. Mi.
U ne sera pas fait d'autre invitation.
Pompei Funèbres Général as 7. r. Lafayetts. T 10-3»
EAU
des C ARMES
BOYER
Refusez les Imitations
AVIS DE DÉCÈS
Madame Elie GAUTIER, née DUPUY ; Mon.
sieur e* Madame Paul GAUTlh.lt ; Monsieur
Céranl GAUTIER ; Mademoiselle \vom.e
G VU11ER ont înonneur de faire part à leur,
arnî^ et connaissances de la perte doulou-
reuse au'lls ont éprouvée en la personne de
Mademoiselle Léoeitlne DUPUY
îAiir tante et grand'tante, déoédée à Lagarri-
ffiïe par Labastide-d'Anjou (Aude), le 18 août
lW a l'âge de 85 ans,
Lé présent avis tient lieu da lettre de faii»
part.
mmmtmmmmmmÊmitmm
— POMPE» FUNEBRES 68NERA1.EB _
(Convois, transpo: ;, cercueils, lettre», etc.
Organisations da services pour soldat*.
i, Bue Lafayette — XHéphone 10-St
pOTXronnes mortuaires -. Choix & domlcUt!
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

lAMKDI 83
«ERViOS (.UOTtOlKN GRATUIS
A. B. 92g. — Câ6 engagés volontaires ont si-
tué leur contrat pour quatre années de ser-
vice ; Ils sont tenus de les accomplir. Us sui-
vront le son de leur classe de mobuisation
êuand ils auront rempli les obligations de
rengagement. t .„ « «„ ->
1479, Leetoure, un démobilisé. — 1° Article à
de Plnstruotion du 18 Juin 1919 pour applica-
tion du décret de même date ; 2» Le montant
de l'allocation provisoire d'attente est déter-
miné d'aprte le taux de l'invalidité reconnue
par la commission de réforme, et suivant le
tarif annexé à la loi du 91 mars 1919 ; u est
©avarie na'r trimestre échu, sans majoration
pour enfants et sans cumul avec l'allocation
Se soutien de famille. „„,„„,, n
E. C 26-52, Lourdes. — C'est une erreur ; 11
n'existe pas de prescription de cette nature.
.
««lui fl« rotre fils, Ainsi çtié l'arte otfleiel de
|on déoô.s. — Remis 1 fr. 95 pour la statue de
ifrunne d'Arc. Renif-rolements.
Antoine, Meirtaub-n, 38. — Réponse affir-
mative. Dans les conditions exposées, le père
et la mère ont droit, conjointement, & l'allo-
cation annuelle de ÔOQ francs. — Renais i fr.
au journal. Remerciements.
i. B. Muret, 791. — 1° L'allocation Journa-
lière spéciale se cumule avec la haute pays
d'ancienneté, le cas échéant, mais elle est ex-
clusive de la solde journalière ; 2* Ne con-
fondez pas haute paye de guerre avec haute
paye d'ancienneté ; celle-ci, seule, devant s'a-
jouter à l'allocation de 2 fr. (Instruction du
S février 1915.) — Remis î îr. peur la statue
de Jeanne d'Arc. Remerciements.
Un potlu, Miresoix (Ariège;. — 1° Les pri-
sonniers de guerre reçoivent la prime men-
suelle de lô francs, non de 20 francs ; Si* De-
mande du casque doli être adressée au com-
mandant du dépôt d'affectation, en indiquant
le dépôt dans lequel l'intéressé désire le re-
cevoir. — Remis 1 fr. aux mutilés. Remercie-
ments.
Ludiès. — 1» L'allocation temporaire des pe-
tits retraités doit vous être attribuée : faites-
en la demande à m mairie de votre résidence
et pré-semez votre titre de pension ou de gra-
tification , 2* Non • le pécule de 1.000 francs
n'est, accordée fi la veuve que lorsque la ma-
ladie cause du décès a été contractée pendant
que le militaire bénéficiait de l'indemnité de
combat. — Reçu offrande. Remerciements.
Leoteur de l'« Express », M. 8. 1486. — Ré-
ponse affirmative sur les trois questions. Pé-
cule de 1.000 francs à demander à la mairie.
Allocation de 800 francs pour ascendants à
demander au sous-iptendant par l'entremise
de la mairie. — Remis 1 fr. aux mutilés. Re-
merciements.
6848, 14 A. A. O. — Lorsque cessera la réqui-
sition des chemins de fer, vous demanderez
à la Compagnie dont vous dépendez à rejoin-
dre votre régiment, ce sera le moyen de vous
mettre en règle avec vos obligations militai-
res ; si des difficultés se présentent, vous en
demanderez la solution au bureau de la pla-
ce; à défaut de place, à la gendarmerie loca-
le. Remis 2 fr. pour la statue de Jeanne
d'Arc ; remerciements.
Lecteur de r « Express ». — 1» L'allocation
rtyeji la miee «a du soqtten
doit cesser
de famille. S' Non parce que vous n'en 3tîf*
pas titulaire au jour de la démobilisation.
O. H. cl. 17, S» art. 84* batt, Oarcaseonne. —
D n'existe pas de majoration de classe "pour
Persgagé volontaire de 4 ans gui n'est pa£ »r-
Remis 1 fr.
rivé son contrat,
ié Jëanhè d'Arc
au ternie
pour la statue
monts. . „
H, E. — Je ne connais aucun attribut dls-
tlnctif destiné aux engages volontaires pen-
dant la guerre.
S. G., Vlncennes. — Le droit au pécule de
1.000 francs ne s'est pas fixé sur la tète dos
père et mère des deux militaires tombés au
Champ d'honneur, parce que les ayants-droit,
dans le cas de décès de militaire avant le 2#
f
écemfoe 1018. sont ceux «ui étaient vivants
oette date : ceux dont il s'agit, morts en
août 1913 et septembre Wlè, n'ont pu recevoir
ce pécble et leur troisième fils n y a aucun
droit. Pour plus amples informations, voyez
l'Instruction du 6 février 1919, /. Off. du 9
février.
A. P. O. 1914. — 1° Le droit à la permission
de détente cesse, pour les militaire» de l'inté-
rieur, 10 jours avant la date fixée pour le
commencement de la démobilisation de leur
classe. Ils ne peuvent donc bénéficier de la
permission qu'autant que leur toux de départ
se présente avant cette limite. 2' 11 n'est pas
nécessaire que quatre mois soient écoulés
d'une permission a l'autre. C'est le rang
d'inscription dans l'unité qui règle seul le
tour de départ.
i. T. 297. — 1» SI vous avez atteint l'âge de
53 ans, vous avez droit à une allocation an-
nuelle de 800 fr. 8" Il vous est permis de de
mander pour vous l'allocation principale de
1 fr. 76 et, pour l'ascendant, la majoration de
0 fr. 75. S'adresœr à la mairie. 8* Oui, lors-
que ce transfert sera autorisé. Remis 1 fr.
pour Jeanno d'Arc ; remerciements.
Beffimandan! I.
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b Du 22 août.
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£1 .40 ; 5 %, de 87.75 à 87.80 ; 4 % libéré 1917,
Se 71.65 à 71.70 ; 4 % libéré 1916, 71.40.
Emprunts de villes (Ville de Paris). — Obli-
gations 1865 4 %, 564 ; 1875 4 %, 482 ; 1899 2 %
métropolitain, 2S2 ; 1905 2 3/4 %, 339.50.
, Valeurs françaises. — Foncières 1879 3 %,
481 ; Foncières 1865. 8.60 %, 327 ; 1865 cin-
'quième 67.25 ; Communales 1912, 200 ; Est
obligations 3 % anciennes, 355 : Lyon à la
Méditerranée Fusion nouvelle, 318 ; Midi obli-
; *fatlon3 4 %, 393 ; Nord obligations 3 % nouvel-
les, 329 ; Orléans action ex-coup. 134, 990 :
Orléans obligations 3 % anciennes, 339 ; Ouost
."Obligations S % anciennes, 338.
Valeurs diverses (actions) — Société Mé-
ridionale transp. de Force nouvelle 500, 731 ;
Mines de Carmaux, ex-coup. 76, 3050 ; Verre-
ries de Carmaux ex coup. 69, ex-1" répartition,
'gisez hier 1178 : L'Epargne ex-coup. 41, 430 ;
Pyrénéenne ex «, 500.
Valeurs diverses (obligations). — Ciieanin
'de for du sud-ouest 4 %, 388 ; Galeries Tou-
lousaines, 417 ; Ob. Pyrénéenne 3 %, 451.
Changes. — Espagne, 151.50 ; Londres, de
33.09 à 31.05.
et la Goutte
L'QPlNWN MÉDICALE '
3 Administré a l'occasion des poussées alguSa
dans ta goutte, PURODONAL n'a aucun reten-
tissement fâcheux, comme 'es sallcyiates. rien ûes
effets dangereux, redoutables parfois, du col-
' chique et de ta colchidine. Les douleurs perdent
rapidement de leur acuité, et ia durée même de
lia Doussée est parfoi» très uolahiement abrégée.»
D' F Mon.EL.
Ilédecln-major de 1" ci en retraite, ancien mêdecla
- des hôpitaux de la marine et des colonies
« J'ai fait usage de » UKUDUMAL sur UD
nomme d'ftge moyen, souffrant d'attaques répé-
tées de goutta Le résultai rut tre> bon pendani
une attaque aiguë parce que le malade ressentit
moins de douleur*» qu'hahittielienicni et en con-
tinuant la cure. J'ai pu oonstater que les attaques
'venaient de moins en moins et avec un long
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Marché de mercredi. — Cours pratiqués :
Blé, 58 fr. ; seigle, 44 fr. ; orge, 44 fr. ; fèves,
tO fr. ; haricots, 120 fr. ; maïs, 44 fr. ; avoine,
ôO fr, ; pommes de terre, 18 fr„ le tout l'hec-
tolitre.
Vin, 140 francs l'hecto.
Bœuf, 3 fr. 35 ; vache, 2 fr. 55 • veau, 4 fr 50$
porc. 5 fr. le kilo.
Foin, 30 fr. ; paille, 20 fr. les 100 kilog. i
bois de chauffage, 38 fr. le stère.
Vic-Fezensac
Foire du 16 août. — Une foule considérable
d'étrangers s'était donné rendez-vous à notre
ancienne foire si renommée. Voici les prin-
cipaux cours :
Poulets, de 18 à 20 fr. ; poules, de 20 à 23 fr.5
canards, de 20 à 25 fr. ; dindons, de 40 à m
fr. la paire ; lapins, de 8 à 10 fr. ; œufs.
3 fr. 50 la douzaine ; vins blancs, 260 à 289
fr. ; vins rouges, 280 à 300 fr. les 228 litres.
Une baisse assez sensible est signalée sur les
animaux. Peu d'affaires sur les grains, les
propriétaires maintenant des cours très é]e«
vés, particulièrement sur les avoines.
LOT-ET-GARONNE Aiguillon.
Marchés aux fruits. — A nos derniers mar-
chés, les apports en fruits ont sensiblement
diminués. Voici les cours pratioués ;
Lundi ISt, août : Apport, 217 kilog. Pèches,
50 fr. ; brugnons, 80 à 90 fr. ; prunes d'enté,
30 fr.
Mardi 18 août : Apport, 400 kilog. Pêches.
80 fr. ; brugnons, 120 fr. • prunes d'ente, 30 a
35 fr ; poires, 15 fr. ' . „
Mercredi 20 août : Apport, 314 kilo». Pêo"^,«
100 fr. ; prunes d'ente, de 25 à 32 fr. ; bru
gnons, 105 fr.
Le tout, les 50 kilog., poids net.
te Gérant : AMÉDÉE BESSON
Imprimerie spéciale.
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