2)e /a &rcosicÀ/io/2 - Université d'Alger

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préoccupèrent de la question de la oiroonoision. L'abandon
de la circoncision proposée par quelques réformateurs dont
le plus célèbre est Moïse HENDEISSOHN (I729-I786) ne fut
jamais sérieusement envisagée. En 1799 l'Obercollegium
médioum de Berlin propose sans succès le contrôle des "mo-
-helin". En 1818, à la suite de sept décès,
les autorités
prussiennes déoident que le irohel ne pourra opérer qu'en
prêsenoe d'un médecin. Puis différentes villes d'Allemagne
entre 1824 et 184? instituèrent un diplôme de péritomiste.
En France une ordonnance royale de 1844» complétée par un
décret impérial de 1862 réglementait la circonoision en
abolissant notamment la succion (metaitza) source d'infeo-
un arrêté du Consistoire Israélite
-tions. Enfin en 1888,
de Paris, définissait les conditions dans les lesquelles
la pêritomie pouvait être pratiquée, les points essentiels
de ce texte encore en vigueur sont :
1*)- présence obligatoire d'un médecin
2°)- délivrance d'un diplôme pour l'exercice de
la pêritomie. Dans chaque département doit
exister un médecin chargé de le délivrer.
obligation de respecter les règles élémentaires
de l'asepèie
4°)- pratique de la dénudation du gland à l'aide
d'instruments chirurgicaux et er. aucun cas
à l'aide des ongles.
5°)- abolition de la succion du gland. Cette
disposition n'est pas applicable en Algérie.
Afiâsi se trouve réglementée une pratique ancienne et
vénérable, qui,
bien loin d'être profanée échappe de ce
fait à bien des critiques de ses détracteurs .