- Page 4 and 5: ensemble. À une certaine heure de
- Page 6 and 7: qui venait brusquement de refaire s
- Page 8 and 9: alors qu’il n’était pas loin d
- Page 10 and 11: culotte le long de ses cuisses, Mar
- Page 12 and 13: dans les éclairs, savourant avec v
- Page 14 and 15: continuait de tomber dans la nuit,
- Page 16 and 17: transmettre au corps inconscient de
- Page 18 and 19: d’Alberto Meda & Paolo Rizzatto,
- Page 20 and 21: lumière aveuglante de l’ampoule
- Page 22 and 23: corps rasé, perfusé, ventilé - c
- Page 24 and 25: Je n’avais d’abord rien compris
- Page 26 and 27: sauvages. J’atteignis la place de
- Page 28 and 29: potentiellement chargé d’une én
- Page 30 and 31: accoudée au deuxième étage de l
- Page 32 and 33: n’avais rien senti, je ne me rend
- Page 34 and 35: la serviette sur les cuisses, je me
- Page 36 and 37: imaginer ce qu’elle avait vécu,
- Page 38 and 39: vêtements, de gants, d’écharpes
- Page 40 and 41: éconfort en raison de l’immense
- Page 42 and 43: quelque chose de mutin, d’abandon
- Page 44 and 45: Lorsque je regagnai le petit deux-p
- Page 46 and 47: symbolique indélébile, je pouvais
- Page 48 and 49: 2 En réalité, Jean-Christophe de
- Page 50 and 51: classe, élégant, vêtu d’un gra
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je savais la vérité sur Marie. Ce
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présida la Société d’Encourage
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La décision d’exfiltrer discrèt
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Lorsque, en milieu d’après-midi,
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devant les portes de l’hôtel, on
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Japonais, serrés sur leurs sièges
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Narita, avec les conséquences impr
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Christophe de G., regarda la photo
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Les trois véhicules se suivaient s
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la zone de fret et qu’il essaiera
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place un plan incliné pour permett
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mouvement. Instinctivement, chacun
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s’étant redressé et tirant, ess
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détrempées, sur des terrains vagu
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que les trois véhicules avancent d
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de ne plus bouger. Plus un mouvemen
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douceur de ses mains étaient très
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chef d’escale de la Lufthansa ét
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oute et de relire leurs cartes à l
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à distance quand une porte, lentem
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déploya une échelle télescopique
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sur place dans un cliquetis génér
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yrouleaux de gaze, ciseaux. Il sort
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nervosité ambiante, était de plus
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plus. Devant eux, des silhouettes d
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les turbulences du ciel sont des fu
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propriétaires en compagnie de Jean
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présentes dans l’hippodrome qui
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l’hippodrome. Aux étages supéri
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intensément sans doute que je pens
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3 Au début de l’été suivant, M
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la poussa pour entrer. Le jardin ba
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une houle imperceptible qui la rida
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un telefonino à l’oreille, qui p
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avait redémarré aussitôt en dire
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cette nuit-là m’était par essen
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hasard, avec des ellipses vertigine
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voiture pour me mettre à vomir (ah
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long de mes pieds nus (j’essayais
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Nous étions partis nager, des scin
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tendrement la main vers moi dans le
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la lueur de la bougie, et nos ombre
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chambre, légers et sautillants. J
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qui rafraîchissait à peine les co
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façade dans la nuit, s’attardant
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conduisait en tenant le volant à d
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sèchement du bras quand il l’ape
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profils enténébrés du grand à-p
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petit attroupement qui s’était f
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Le centre équestre était désert,
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Marie et lui se mirent à pleurer,