VIVEMENT LE NOUVEAU CODE COMMUNAL - Le Carrefour d ...

More documents

Recommendations

Info

LE CARREFOUR D'ALGÉRIE 02 MARDI 10 AOUT 2010 ZONE INTERDITE Si vous avez des infos, des commentaires ou des réactions, n’hésitez pas à nous écrire. «LE CARREFOUR D’ALGÉRIE» Rubrique Zone interdite. Adresse: 16 Bd Benzerdjeb - Oran - Fax: 041 39 79 92 LE CARREFOUR d’Algérie MAUSOLÉE DE SIDI LAKHDAR BEKHLOUF Quelle honte! e magnifique site où Lest érigé le mausolée de Sidi Lakhdar Bekhlouf devrait inciter les responsables locaux à prendre des mesures EDITE PAR LA SARL EDIMARCOM-DIST Au Capital de 100.000 DA Direction Rédaction Administration 16, Bd Docteur Benzerdjeb ORAN Tél: 041 39 84 40 Fax: 041 39 79 92 beaucoup plus fermes avec les visiteurs et autres curieux. Et pour cause, certains de ces visiteurs n'ont aucun respect ni pour l'homme pieux que AMIS LECTEURS, Président directeur Général LAZREG Mohamed Co-Président Hadj LAZREG El Hachemi Directeur de la Publication Abdellah BOUHALI fut Sidi Lakhdar Bekhlouf ni pour le site en question où sont jetés à l'intérieur même de cet espace, détritus et mégots de cigarette. Quelle honte! AU FLN Il y a des élus et il y a des «chouchous» A u niveau du parti du FLN, les élus ne sont pas égaux. Certains sont plus chanceux si la chance a un quelconque impact sur le choix des responsables. Ceux-là sont appelés les «chouchous». Ils ont droit à tous les égards et... bien sûr les privilèges. Jugez-en par vous mêmes: Un exmaire de Aïn Defla (il a démissionné à la suite de l'élection de Bouteflika), est mouhafedh de la même wilaya, sénateur, président du groupe parlementaire au Conseil de la Nation, président de la commission des Finances, membre permanent au parlement africain et membre au comité du central du FLN. A croire que les cadres compétents au sein du parti sont rares. Pire, les militants FLN de Aïn Defla s'interrogent: «Ce Mouhafedh a-t-il le temps de s'occuper de nos préoccupations»? L Conception PAO Le Carrefour d’Algérie Bureau d’Alger Maison de la presse de Kouba Tél:021 28 95 65 Fax: 021 28 95 34 Impression Ouest Société d’Impression de l’Ouest (SIO) Zone Industrielle d’Es-Sénia - ORAN L a viande indienne est proposée comme la solution idéale contre la spéculation et la pénurie de cette denrée en ce mois de Ramadhan. Pourtant, elle pose plus de problèmes qu'elle n'en résout. Le consommateur algérien préfère une viande bien de chez nous. A défaut, il pourrait trouver des raisons à consommer une viande étrangère, mais certainement pas venant de l'Inde, un pays où, l'on est plutôt moins «carnivore». Du coup, le scepticisme commence à l'emporter et les mauvaises langues ne se font pas prier pour transformer cette polémique et les doutes sur la qualité de cette viande en petites histoires drôles. A défaut de trouver des arguments valables, l'on opte pour la fabulation. L'Inde qui occupe une place assez importante dans bon nombre de blagues locales, est, ces joursci, en tête du hit parade. Un petit avant-goût? Le voilà: C'est un homme d'un certain âge, qui entre chez un boucher. Le sujet est d'actualité et forcément le boucher et son client en parlent. - Alors, tu consommeras toi de la viande indienne? - Qui moi? Jamais. A moins que tu veut me voir chanter «Janitou» midi et soir!!! - Pourtant, on annonce qu'elle sera proposée à un prix plus que raisonnable?! - Tu parles, 400 DA le kilo? Ça n'existe pas même dans les films indous. Impression Centre SIA Diffusion Ouest SEDOR ANEP Alger 01, Avenue Pasteur Tél: 021 73 76 78 021 73 71 28 ANEP ORAN Tél: 041 33 48 95 Fax: 041 33 48 95 Ki Kount… ki wellit!!! Par Y.A. «Janitou» de retour» ILS N’ONT PAS PERÇU LEURS PAIES DEPUIS 10 MOIS 300 enseignants dans le désarroi à Chlef es 300 enseignants de l’annexe du centre national d’alphabétisation de Chlef sont dans le désarroi total, ils n’ont pas touché un sou depuis le mois d’octobre 2009, cela va faire bientôt 11 mois que les 300 enseignants chargés d’alphabétiser les citoyens analphabètes à travers le territoire de la L es horaires de travail durant le mois sacré de ramadhan applicables dans les institutions et les administrations publiques seront de 9 h à 16 h du dimanche au jeudi, in- wilaya de Chlef attendent impatiemment que les responsables daignent au moins les régulariser pour faire face aux besoins de leurs familles en ce mois de Ramadhan plus que tout autre mois qui demande un budget considérable pour faire face à leurs dépenses et pour ne pas subir les désagréments dique un communiqué de la direction générale de la fonction publique. Pour ce qui est des wilayas d'Adrar, Tamanrasset, Illizi, Tindouf, Béchar, Ouargla, Ghardaïa, Laghouat, Biskra, et des privations que va engendrer ce retard dans la non régularisation de nos 10 mois de paie. Est-ce possible qu’après 10 mois sans le sou, 10 mois de misère et d’endettement, on se retrouve face au mois où on dépense le plus toujours à courir derrière nos dus. C’est insensé! Les horaires de travail durant le ramadhan El Oued, les horaires de travail sont fixés de 8 h à 15 h, ajoute la même source. Les horaires habituels de travail reprendront après la fête de l'Aïd El-Fitr, précise le communiqué. Siteweb: www.lecarrefour-algerie.com E-mail: lecarrefourdoran@yahoo.fr Tous les manuscrits et les photos remis au journal ne peuvent faire l’objet d’aucune réclamation.
A LA UNE A bsences d’éclairage sur les abords des routes nationales, absence d’hygiène où des tonnes d’ordures ternissent l’image de la ville, chasse au petit vendeur de légumes moins chers pour les petites bourses, bureaucratie et enfin clientélisme sont autant de griefs retenus contre les gestionnaires des APC et APW. La question qui taraude les esprits actuellement, serait de savoir s'il faut partir en congé devant ces faits alors que le mois sacré du Ramadhan est à nos portes. De sources concordantes font état de pluies de plaintes qui s’abattent régulièrement sur les bureaux du département du remplaçant de Zerhouni au poste de ministre de l’Intérieur pour dénoncer le laxisme de la collectivité locale dans la gestion administrative. Les mêmes sources relèvent le caractère scandaleux des transactions financières contractées par ces élus au niveau de la collectivité locale au détriment de la gestion de la cité. On leur reproche, cependant, une dégradation avancée du cadre de vie des citoyens par l’état avancé des insalubrités qui jonchent les longs des ruelles, surtout en cette période de Ramadhan. Cette nouvelle saignée intervient à un moment où leurs états-majors respectifs sont en proie à des dissensions graves caractérisées par des vraies purges des militants. Les retraits de confiance pleuvent aussi sur les bureaux de l’administration où on enregistre actuellement plus de 500 retraits pour mauvaise gestion A PLUSIEURS COLLECTIVITÉS LOCALES DÉFAILLANTES Vivement le nouveau lors que la livraison de la première ligne du métro d’Alger souffre de plusieurs retards, le projet de seconde extension du métro vient d’être attribué à un groupement algéroallemand constitué des deux entreprises Cosider et l’Allemand Dywidag. Cette information a été rapporté, hier, par TSA et confirmé, par nos soins, auprès de la Chambre algéroallemande du Commerce et d’Industrie. Le montant du contrat en question est de l’ordre de 14,12 milliards de dinars, soit près de 150 millions d’euros. Les délais de réalisation ont été fixés à 28 mois. Dans ce groupement, le groupe public du BTPH Cosider, détient 49% suivant les dispositions incluses, rappelons-le, dans la loi de finances complémentaire 2009 notamment dans son volet traitant des conditions d’implantation d’opérateurs étrangers en Algérie. Cosider, rappelons-le, a achevé l’année 2009 avec une haus- code communal et de wilaya! des élus à un moment où le code communal et celui de wilaya devraient être incessamment soumis en examen par l’APN. Le constat est, on ne peut plus, alarmant. Plusieurs P/APC sont incriminés et les griefs retenus contre eux se résument en la clochardisation des villes qu’ils gèrent surtout pour non respect des doléances des citoyens qui font quotidiennement le pied de grue devant ces institutions uniquement dans l’espoir d’être écoutés. Les P/APC font la pluie et le beau temps dans leurs quartiers respectifs surtout après que le dossier de logements leur ait été transféré au profit de la daïra. Pour rappel et dans la wilaya de Annaba, 19 élus viennent de retirer leur confiance au maire FLN de cette commune. Il est accusé d’autoritarisme dans la gestion de l’APC et de prise de décisions contraires à l’éthique du service public et d’autres griefs qui relèvent d’une enquête administrative de la wilaya. Les divergences se sont apparues depuis que ce P/APC «refuse toute forme de dialogue avec les 23 élus que compte cette commune», alors qu’on croit savoir que le Conseil communal traverse une vraie crise née de ce différend qui perturbe la bonne gestion de l’administration locale. Le relèvement de fonction des secrétaires de kasma par certains walis comme thérapie de secours n’a pas eu l’effet escompté par les élus comme dans plusieurs wilayas du pays, ce qui d’ailleurs a incité ces mêmes walis à gérer en solo. Le cas a été relevé dans la wilaya de Chlef où le P/APC Flniste qui cumule des mandats à la tête de cette assemblée grâce au soutien indéfectible et son accointance avec l’ex-wali de Chlef, aurait été carrément refusé d’accès chez l’actuel wali pour sa gestion scandaleuse de cette ville. Son autoritarisme et son manque d’initiative ont complètement plongé la ville dans une sorte de léthargie avancée. Le même scénario se répète à Béjaïa où le maire Flniste perd ses marques de noblesse après la contestation de ses collaborateurs. Il est vrai que cette ville reste acquise au RCD et FFS mais toutefois il faut savoir que le P/APC serait lâché par ses pairs pour mauvaise gestion de cette commune caractérisée selon eux par un total immobilisme de l’assemblée. Au FNA, Moussa Touati reconnaît la chose et nous confirme que sur les 136 maires, le P/APC de Relizane a été arrêté récemment et purge sa peine en prison pendant que 02 autres maires à Alger viennent d’être suspendus de leurs postes par le wali. A Alger et plus précisément dans la capitale, ce sont les P/APW qui sont sur la sellette pour manque de sérieux et de crédibilité, comme c’est la cas pour celle de Zéralda dont cette problématique a été soumise à M. Addou, wali d’Alger pour y trancher. Actuellement, l’APC gère les plages où la course au gain est plus que nécessaire sans assurer le reste. Fouad N. L ALORS QUE SA PREMIÈRE LIGNE SOUFFRE D’ÉNORMES RETARDS LE CARREFOUR D'ALGÉRIE MARDI 10 AOUT 2010 On n’en peut plus ! 03 Par Ahmed Meskine e vœu de tout salarié qui n’attend que les fins de mois pour vivre et faire vivre sa famille, c’est de voir son salaire augmenter pour se permettre une épargne conséquente. Salaire en hausse c’est bien, mais prix en baisse c’est mieux. A quoi il sert en effet de mener un combat sans répit, de réunir cette fameuse tripartite, de multiplier les dossiers et les rencontres syndicats/gouvernement/entreprise, pour se voir avaler d’une main ce que l’autre main tend au travailleur. Les prix s’affolent à la moindre augmentation et ce qui devait permettre de regarder ailleurs que vers son ventre, ne dure que le temps d’une chimère. Les commerçants ont appris à aspirer les suppléments en un tour de main comme des magiciens d’un spectacle de mauvais goût. En l’absence d’encouragement à la production et de politique fiscale privilégiant les produits nationaux, les produits étrangers envahissent le marché créant ainsi un engouement du consommateur pour les « made in ». Avons-nous réellement besoin de tous ces produits alors que nous peinons à relancer l’appareil de transformation complètement mis à genou ? Les PME dont on semble tellement s’inquiéter pour leur capacité à créer des emplois et leur participation à l’effort national, ont été laminées au profit de la facilité accordée à l’importation. Qui en a profité ? Certainement pas le salarié qui s’est retrouvé dans le rôle du dindon de la farce, saigné au point, soit de se mettre à rechercher une source de revenu additionnelle, soit de tendre la main aux corrupteurs et succomber ainsi à la tentation de s’enrichir par n’importe quel moyen et vite. Que fait le gouvernement au lieu de produire de la richesse comme son rôle l’exige ? Il se suffit de « pondre » des textes ou de se faire rappeler à l’ordre par le président. A quoi cela sert-il ? A rien, sinon à faire du bruit pour justifier son existence. Maintenant que les prix sont libres, il y a tout de même une action à mener au niveau des marges, de la conformité des achats et des ventes. Si l’on veut mettre de l’ordre dans le marché, il ne suffit pas de soumettre un commerçant à une autorisation d’exercer, ce qui revient à enrichir les agents chargés de la délivrer. Il faut aussi suivre la qualité, le calcul des prix, la présentation et tout ce qui peut contribuer à ramener un peu de sérénité dans le commerce. Il faut que l’Etat bouge… Car ici-bas, on n’en peut plus ! La 2ème ligne du métro d’Alger confiée à Cosider-Dywidag se de 22% de son chiffre d’affaires, se situant à près de 65 milliards de dinars durant le même exercice. Cette performance est tirée essentiellement de la participation de Cosider dans les différents projets inscrits au plan quinquennal précédent. Pour revenir au projet de la seconde ligne du métro d’Alger, le groupement algéro-allemand, née de cette belle alliance entre Cosider et Dywidag, était en concurrence avec quatre autres groupements et quatre groupes internationaux, selon la même source. Il s’agit des groupements GCTP- Zacob-Anrad (Algérie, Brésil, Portugal), Astaldi-CMC (Italie), Epos-Texeira (Espagne-Portugal) et Djahan et Djahad (Iran). Les groupes CS- CEEC (Chine), FCC (Espagne), OHL (Espagne) et Daweoo (Corée du Sud) étaient également en lice pour ce projet. Quant aux caractéristiques de ce projet, la seconde ligne du métro d’Alger est longue de 2,56 km , dont 1,8 km de tunnel, la seconde extension reliera Hai El Badr (Kouba) à Aïn Naadja II, au sud-ouest d’Alger. Elle vient s’ajouter à la première extension (Kouba) et El Harrach, dans la banlieue d’Alger, également sur une longueur totale de 2,8 kilomètres. Ce projet a été attribué en 2007 au groupement d’entreprises algéro-allemand Dywidag-Trévi- Cosider pour 23,2 milliards de dinars. Les travaux sur cette extension sont en cours. Sa livraison est prévue en 2012, selon une source de Cosider. Les résultats de l’appel d’offres pour la réalisation de cette deuxième ligne ont été publiés dans la presse nationale et confirment le choix du groupement algéro-allemand Cosider-Dywidag. Le projet de réalisation de la seconde ligne du métro d’Alger intervient quelques jours après la publication d’un arrêté interministériel fixant les critères d’éligibilité aux grands projets relevant du secteur des transports. La nouvelle réglementation souligne qu'est éligible aux grands projets, tout projet proposé à l'inscription dont le coût prévisionnel est égal ou supérieur à vingt (20) milliards de DA. L’objectif de cet arrêté étant de fixer les conditions d’accès aux grands marchés qui répondent aux normes de grands projets. La finalité première étant de maîtriser aussi les coûts des projets et éviter de se faire prendre dans le filet des surcoûts et des réévaluations des travaux. Car, le métro d’Alger, fautil le reconnaître, est classé dans le top 5 des grands projets souffrants d’énormes retards et de surcoûts générés par les réévaluations financières répétitives du projet. Hakim Aichiou
Page 1: ORAN 32 22 Lever du soleil:........
Page 5 and 6: A LA UNE ne feuille de route est en
Page 7 and 8: Tout sur Oran F idèle à ses tradi
Page 9 and 10: Centre-EstAlgérie RAMADHAN À BOUI
Page 11 and 12: SPORTS L KARATÉ Championnat d’Af
Page 13 and 14: 14 LE CARREFOUR D'ALGÉRIE MARDI 10
Page 23: MARDI 10 AOUT 2010 INONDATIONS AU P

VIVEMENT LE NOUVEAU CODE COMMUNAL - Le Carrefour d ...

Create successful ePaper yourself

Delete template?

Save as template?