un guide d'identification détaillé des espèces CITES les plus ...
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Espèce / Noms Comm<strong>un</strong>s Statut Identification Espèces<br />
Semblab<strong>les</strong><br />
ACIPENSERIFORMES<br />
Public Domain (above)<br />
Marco Viringa / Creative Commons (below)<br />
Acipenser baerii<br />
Esturgeon sibérien<br />
Siberian sturgeon<br />
Daniel Döhne / GFDL<br />
Marco Viringa / Creative Commons<br />
Acipenser gueldenstaedtii<br />
Esturgeon russe, Osciètre<br />
Russian Sturgeon<br />
Page 101<br />
■ <strong>CITES</strong> :<br />
Annexe II<br />
■ UICN (2008) :<br />
Vulnérable<br />
■ Maroc : n’est<br />
pas <strong>un</strong> Etat de<br />
l’aire de répartition<br />
■ <strong>CITES</strong> :<br />
Annexe II<br />
■ UICN (2008) :<br />
En danger<br />
d’extinction<br />
■ Maroc : n’est<br />
pas <strong>un</strong> Etat de<br />
l’aire de répartition<br />
■ Apparence globale : la forme du corps <strong>des</strong> esturgeons est allongée ; ils ont <strong>un</strong><br />
museau long et aplati m<strong>un</strong>i de barbillons sensoriels et <strong>un</strong>e bouche située en<br />
<strong>des</strong>sous ; cinq rangées de plaques osseuses (« écussons ») sont disposées sur<br />
toute la longueur du corps, <strong>un</strong>e se trouve le long du dos, <strong>un</strong>e sur chaque flanc<br />
et deux sur la partie ventrale.<br />
■ Description : museau allongé ; quatre barbillons devant la bouche ; le dos va<br />
du gris clair au br<strong>un</strong> foncé ; le ventre va du blanc au ja<strong>un</strong>e clair ; 10-19 écussons<br />
dorsaux, 32-59 écussons latéraux, 7-16 écussons ventraux ; petits écussons<br />
en forme d’étoile entre <strong>les</strong> écussons principaux ; lèvre inférieure clairement<br />
fendue au centre.<br />
■ Parties commercialisées : œufs : tous <strong>les</strong> spécimens d’esturgeons rapportés<br />
dans le commerce au Maroc ont été sous la forme d’œufs (caviar) ; bien qu’il y<br />
a certaines différences physiques entre <strong>les</strong> œufs de chaque espèce, l’identification<br />
définitive du caviar par espèce exige l’utilisation de techniques moléculaires<br />
en laboratoire.<br />
■ Dimensions : longueur totale : 2 m ; poids : jusqu’à 100 kg.<br />
■ Apparence globale : la forme du corps <strong>des</strong> esturgeons est allongée ; ils ont <strong>un</strong><br />
museau long et aplati m<strong>un</strong>i de barbillons sensoriels et <strong>un</strong>e bouche située en<br />
<strong>des</strong>sous ; cinq rangées de plaques osseuses (« écussons ») sont disposées sur<br />
toute la longueur du corps, <strong>un</strong>e se trouve le long du dos, <strong>un</strong>e sur chaque flanc<br />
et deux sur la partie ventrale.<br />
■ Description : le dos est gris olivacé, <strong>les</strong> flancs sont <strong>plus</strong> clairs, le ventre est<br />
blanc ; 7-19 écussons dorsaux, 24-44 écussons latéraux, 6-13 écussons ventraux<br />
; lèvre inférieure clairement fendue au centre.<br />
■ Parties commercialisées : œufs : tous <strong>les</strong> spécimens d’esturgeons rapportés<br />
dans le commerce au Maroc ont été sous la forme d’œufs (caviar) ; bien qu’il y<br />
a certaines différences physiques entre <strong>les</strong> œufs de chaque espèce, l’identification<br />
définitive du caviar par espèce exige l’utilisation de techniques moléculaires<br />
en laboratoire.<br />
■ Dimensions : longueur totale : 2,4 m ; poids : jusqu’à 115 kg.<br />
Des hybri<strong>des</strong><br />
entre cette espèce<br />
et l’esturgeon<br />
russe (A.<br />
gueldenstaedtii)<br />
sont élevés en<br />
aquaculture (voir<br />
Szczepkowski et<br />
al (2002), Arch.<br />
Polish Fisheries<br />
10: 63-72) ; pour<br />
<strong>plus</strong> d’informations<br />
sur <strong>les</strong><br />
techniques moléculairesd’identification<br />
<strong>des</strong> esturgeons,<br />
voir :<br />
http ://<br />
www.cites.org/<br />
common/prog/<br />
sturgeon/<br />
id_sturgeon_iucn<br />
.pdf<br />
Des hybri<strong>des</strong><br />
entre cette espèce<br />
et l’esturgeon<br />
sibérien (A.<br />
baerii) sont élevés<br />
en aquaculture<br />
(voir<br />
Szczepkowski et<br />
al (2002), Arch.<br />
Polish Fisheries<br />
10 : 63-72) ; pour<br />
<strong>plus</strong> d’informations<br />
sur <strong>les</strong><br />
techniques moléculairesd’identification<br />
<strong>des</strong> esturgeons,<br />
voir :<br />
http ://<br />
www.cites.org/<br />
common/prog/<br />
sturgeon/<br />
id_sturgeon_iucn<br />
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