un guide d'identification détaillé des espèces CITES les plus ...

Espèce / Noms Communs Statut Identification Espèces
Semblables
Dawkins / Creative Commons
Python breitensteini
Python de Bornéo à queue courte
Borneo short python
Borneo blood python
Owen Jensen / Creative Commons
Python brongersmai
Python sanguin
Malayan short python
Malayan Blood Python
■ CITES :
Annexe II
■ UICN (2008) :
pas évaluée
■ Maroc : n’est
pas un Etat de
l’aire de répartition
■ CITES :
Annexe II
■ UICN (2008) :
pas évaluée
■ Maroc : n’est
pas un Etat de
l’aire de répartition
■ Apparence globale : python trapu et corpulent à grosse tête dont la queue est
courte et effilée ; P. breitensteini, P. brongersmai et P. curtus sont les seuls pythons
présentant un sillon naso-préoculaire.
■ Description : motifs complexes et couleur variable ; normalement ocre avec
des tâches brunes, animaux à concentration en mélanine élevée sont rares ;
dessus de la tête pâle ; bande foncée mince proéminente sur le dessus de la
tête devenant plus large et rejoignant le motif foncé qui se trouve au niveau du
cou ; tâche mince et pâle sur la nuque ; côtés du museau plus foncés que le
dessus de la tête ; marque noire devant l’œil ; rayure pâle allant de l’arrière des
yeux jusqu’au menton ; soit l’animal présente une série de marques foncées sur
le dos devenant plus foncées et se regroupant sur la partie postérieure du
corps, soit sa surface supérieure est complètement foncée ; petites tâches pâles
le long de la ligne médiane du dos ; grosses marques à bordure noire le long
des flancs ; partie ventrale blanc cassé ; queue foncée présentant parfois une
ou deux tâches pâles irrégulières ; les écailles pariétales antérieures sont fortement
connectées sur la zone médiane ; sillon naso-préoculaire recouvert d’écailles
petites à granuleuses qui vont de l’œil jusqu’à la narine.
■ Parties commercialisées : produits de cuir.
■ Dimensions : longueur totale jusqu’à 2,1 m, normalement pas plus de 1,2 m ;
poids : jusqu’à 15-20 kg.
■
■ Note : autrefois classé comme une sous-espèce du python malais (P. curtus).
■ Apparence globale : python trapu et corpulent à grosse tête dont la queue est
courte et effilée ; P. breitensteini, P. brongersmai et P. curtus sont les seuls pythons
présentant un sillon naso-préoculaire.
■ Description : couleur très variée ; beaucoup de spécimens de couleur différente
dans le commerce ; couleur de fond riche allant du rouge vif au orange et
au rouge rouille plus terne (parfois jaune ou brun) ; la couleur de la tête est variable
et peu changer du pâle au foncé en quelques heures ; présente normalement
une ligne pâle mince allant de l’arrière de la tête à la nuque ; bande pâle
mince allant de l’arrière des yeux à l’angle de la mâchoire ; menton et surface
ventrale du cou blancs ; des tâches jaunes et ocres et des rayures courent le
long du corps ; des tâches noires et ocre s’étendent jusqu’aux flancs ; ventre
blanc marqué souvent par des petites tâches noires ; dessus de la tête foncé de
couleur gris charbon, gris pâle, brun ou brun rougeâtre ; bande postoculaire
blanche qui descend et remonte en partant du rebord postérieur de l’œil ; les
juvéniles sont ocres avec des marques noires ; les individus atteignent leur couleur
adulte entre 2-3 ans d’âge ; les écailles pariétales antérieures sont fortement
connectées sur la zone médiane ; sillon naso-préoculaire recouvert d’écailles
petites à granuleuses qui vont de l’œil jusqu’à la narine.
■ Parties commercialisées : vêtements, produits de cuir, chaussures, peaux.
■ Dimensions : longueur totale jusqu’à 2,6 m ; poids : jusqu’à 14-22 kg.
■
■ Note : autrefois classé comme une sous-espèce du python malais (P. curtus).
Voir Keogh et al
(2001), Biol. J.
Linn. Soc. 73
(1) : 113 – 129
pour des détails
sur l’identification
des espèces
de pythons
sanguins (P.
breitensteini, P.
brongersmai et
P. curtus).
Le python sanguin
(P. brongersmai)
a plus de 166
écailles ventrales
alors que le python
de Bornéo à
queue courte (P.
breitensteini) et le
python malais (P.
curtus) en ont
moins de 166 ; il a
deux écailles
supra-labiales sur
chaque orbite
alors que les deux
autres espèces
n’en ont qu’une ;
voir Keogh et al
(2001), Biol. J.
Linn. Soc. 73 (1) :
113 – 129 pour
des détails sur
l’identification des
espèces de pythons
sanguins
(P. breitensteini,
P. brongersmai et
P. curtus).
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