20 - Bibliothèque de Toulouse

£l(lïiJtOÙ- U '3 m ImSi'S
MARS 1925 - 84 e Année - N° 11.698
•rte Cfafeooe pesai : C H* «JK 20*
Otgane âe Défense Sociale et Religieuse
IDERESn! TION 25, Rue RocfTœlaija©, TOULOUSE 20* PRIX DES k IEMEITS
S noie 6 KSIB 1 a»
Francs et Colonies 18 fr. 3b fr 68 tr.
Etranger 30 fr. 55 fr 105 îr«
laifarii) I^éVoiatioqijaire
COTSOUP Louis XIV, après avoir longue- 1 Cartel des gauches s en lavait les mains
B»em réfléchi, acceptait le testament de
Charles H, lui permettant d'établir son
peti'-fiis. Philippe V, sur le trône d Espa-
gne, il n'agissait pas comme nos vils poli-
ticiens qui, refusant en 1917, l'offre de
paix séparée de l'Autriche catholique, ont
jaiaeé se prolonger la guerre de deux ans,
pou: satisfaire leur passion anticléricale,
M se sont opposés, formellement, au dé-
gnembiement de l'Allemagne luthérienne,
gffMérani .une nouvelle invasion.
Comme an père qui songe à l'avenir de
sa race, et qui travaille pour ses descen-
dants plus ehcore que pour lui-même, le
grand Roi recherchait, au contraire, le
moyen d'assurer, pour des siècles, les rela-
iaons cordiales et la pais entre la France
et l'Espagne. Et cette politique a porté ses
Iruits.
. La Révolution devait bouleverser ce chef-
d'œuvre (Se diplomatie, et l'Empire, héritier
'des guerre? révolutionnaires, trouva dans
la gramme d'Espagne le commencenaent de
m fin. Mais, grâce à la Restauration, nos
ÎKH?S rapports avec 1 Espagne ont été réta-
blis et consolidés. %ussi bien, si, durant
toute la guerre, nous avons été dispensé
de mobiliser sur la frontière des Pyrénées,
t'es* à Louis XIV que nous le devons
d'abord. Mais c'est aussi à son descendant,
au grand ami de la France, au Roi Alphon-
se XIII.
C>st, sans doute, pour remercier ce roi-
iehevalier, que le Ci rte! des gauches s'est
gravement compromis, naguère, avec les
révolutionnaires espagnols ; ce qui faisait
dire à Primo de Rivera que l'ordre serait
impossible aussi longtemps que l'anarch'e
règ*îerail en France. C'est aussi la presse
du Cartel qui mena grand tapage autour
'do Sorismo. et d Unamuno, agitateurs,
fchasrés d'Espagne, dont l'un est srermano-
phih acharné. Ft c'est encore cette presse
du Bloc de gauche qui élève au rang des
dieux de la déro-^ratie et du droit cet écri-
ivain révolution ira ire an pantoufles BlaSîo
Ibaûez, auteur d'une brochure aussi creuse
qu'insipict- , dirigée contre son roi et par
laquelle il s'est attire le mépris de ses com-
Hctrlotes.
Ajoutons qn'apr.'is î'échee éprouve en
Espagne, la ooign^o d'anarchistes qui
s'était repliée en France, comptant sur
l'appui « 'a protection des amis du Cartel,
tm livrée aussitôt, par les autorités « bio-
cardes », à la iusti*e espagnole Ah ! si îe
eoup avait réuss', ç'eftt été un autre ac-
cueil C«"wi anarchistes fussent devenus, a
lev tour des dieus de la démocratie et d".i
'droit. Quel triomphe et quel apothéose 1
Le tout scellé par le baiser de M. Herrio 1 ».
Mais le coup de force ayant échoué, le
Quant à M Blasco lb»fiez, l'écrivain agita-
teur, il s'est désolidarisé, lui aussi, d'avec
ces pauvres diables danarrhos. Et main-
tenant, savez-vous ce qu'il fait î Un rédac-
teur des Nouvelles littéraires, qui s'est en-
tretenu récemment avec lui, noua l'apprend
en ces termes :
« Quand on descend, entre les poivriers,
les oliviers et les mimosas, vers cette gare
de Ment m Garivan qui est située à quel-
ques pas de la frontière italienne, on aper-
çoit souiain. entre les arbres, une haute
villa de couleur violente et d'architecture
compliquée qui, d'un peu loin, domine la
mer et la côte sinueuse. On continue à
avancer et l'on aperçoit, auprès de ce cu-
rieux bâtiment encore en construction, trois
ou quatre vil'&s, demeures actuelles de
Blasco Un/fte*.
Choses de Hongrie J» tes in sous-Marms
« Et là, confortablement installé, Blasco
Tbane? dirige paisiblement les travaux en-
trepris dans sa vaste propriété, tout en
rédigeant le troisième volume de ses Sou-
venirs ie Voyage autour du monde... »
Eh ! bien, ce n'est pas tout à fait déniai-
sas!...
Allez vous faire « casser la figure », jeu-
nes gens, et voilà comment vos chefs, vos
meneurs, passeront leur temps, quand vous
gémirez au fond des geôles î
On comprend après cela l'indignation
qui soulève l'Espagne, et que l'on trouva
résumée dans un petit livre du célèbre écri-
vain espagnol J.-M. Carrêtero.
« Tartann révolutionnaire », c'est le
titre de l'ouvrage, n'est pas un pamphlet,
nvis une critique sérieuse et documentés,
tracée d'une p'ume fulgurante, et dont 'e
style sobre n'est pas trop alourdi par la
traduction. Ce petit volume, qu'on trouve
dans les kiosques, est à répandre Car, vrai-
ment, il n est rien do plus odieux que l'atti-
tude de ces bourgeois repus, qui prêchent
la révolution, jouent les agitateurs et « se
tirent ie« flûtes » au moment critique. De-
pute 50 ans, en France, c'est de ce vicieux
état de choses que vivent nos politiciens.
Avec le Cartel des gauches, notre pays est
tevenu l'asile de tous les indésirables, Pé-
masquens, dans la mesure du possible, ces
chambardeurs professionnels
Tous ceux qui veulent avoir une idée du
gen^e de vie d'un Tartarin révolutionnaire
liront le livre de M. J -M Carrctero Ma's
sachons, toutefois, que M Blasco Tbafiez
est toi modèle de vertu si on le rapproche
des politiciens déioagogues qui opèrent
chez noas. «
Pierre ItCAT
La Chambre des Magnats va donc diapa-
raître bientôt.
Tel est. en effet, le sens d'un projet de
ioi que vient de déposer le gouvernement
hongrois. Le même projet préconise la
création dan» le but de remplacer les
Magnats d'une Chambre Haute. Inutile de
dire tfue déjà 1M approbations et les pro-
testations se sont élevées.
r«»te t-f/uvelle Assemblée, qui ne pourra
comprendre phia dè 40 membrea, sera com-
posée de la façon suivante :
Ie De membres choisis parmi les nota-
bilités religieuses, civiles et militaires ;
2° De personnalités, nommées à vie, dont
l'âge ne pourra pas être inférieur à 85 ans ,
3° De membres élus, pour une période de
dix ans et au scrutin secret, par les corps
scientifiques, économiques, littéraires, eom-
nv^rt.-.a^s, industriels et agricoles.
Enfin la quatrième catégorie des mem-
bres de la Chambre Haute eera constituée
des membres de droit, qui seront les prin-
ces de "a branche Habsbourg-Hongrie âgés
de plus de 35 ans.
Ces dispositions ne changent cependant
rien à la question dynastique, qui reste
toujours posée. La situation paradoxale
que présente la Hongrie, royaume sans roi,
ne peut et ne doit s'éterniser. I,'intérêt des
Magyars est d'y mettre, le plus tôt possible,
| un terme.
LE PROBLEME DE LA SECURITE
' OM V TROUVE DES ANIMAUX
FANTASTIQUES
Paris, 16 mare.
On lit dans le Petit Journal, sous la signa-
ture de René Le Cœur :
e On vient de ramener des poissons incon-
nus qui vivaient au fond de la mer des Sar-
gasses, entre les Açores et les îles du Cap-
Vert, bien loin sous les algues rougeâires —
les sariMisses, stagnâmes, t-n épaisse nappe, à
trois maires environ de la surface des ea-ix.
• Et cette histoire de poissons inconnus don-
ne à penser aux cervelles nourries dos mer-
veilleux récits de Jules Verne et de Paul d'Ivoi.
Nous prenons tous un plaisir délicieux à en-
tendre conter c Peau d'Ane ». Lequel d'entre
nous ne S'est pas demandé, avec une palpi-
tante ci:rii*>iié : jusqu'où plongent les abîmes !
de la mer î Que sont-ils î Quels monstres fan-
tastiques y vivent î Quels animaux pr xli-
gieux, effarants et redoutables traversent les
basses solitudes aquatiques ?
o A 1.200 mètres de profondeur, il n'arrive
plus aucun rayon solaire. C'est le commence-
ment de la grande nuit. A 5.000 mètres la tern-
oérature est voisine de zéro. Lu pression dé-
passe 5 t 600 atmosphères. On a. sondé jus-
qu'à 10.000 mètres Aucune plante ne peut
vivre dais ces abîmes vertigineux et silerj*
oieux. 11 n'y a plus de courants
« Sur un so! vaseux grouillent en buissons,
des espèces de bêtes végétales : les gorgones,
les actinies aux huit bras, les ver? iiorrib'es
qui ont un millimètre d'épaisseur et trente
mètres de lonjr !
« Plus haut se meuvent d'effarants crusta-
cés en îaeen d'araignées dent les pattes ont
près de S0 centimètres I des crabes géants d'un
mètre d'envergure, des cloportes Sa 0 m. £2.
Plus haut encore passent dos céphalopodes
et des poissons d'Apocalypse : les pieuvres au
Mb au M il
s' s El ~c iens ,^^0:4" i il n
L'indécision du parti conservateur a re- i - — -~ Q - qu .- une " barrique," les chimè.
donné un nouvel élan à la propagande res jes eurypharynx a tête énorme, en îornrM
de sac et dont lé restant n'est qu'une mio?e
lariôre ; des t êtes sans yeux et d'autres pour.
lteHimiste, qui en avait vraiment besoin.
Néanmoins, les doutes que nous tonnions fog^T® nature de prunelles fantastiques,
ici, il y a un mois, sur l'issue des efforts 1 , jjt puis, d'instant en instant apparaissent
Î^,^. rvthmn I au milieu de la nuit des mers profondes, de
saisissantes lumières imprévues : voici le
des partisans du jeune archiduc Othon
nous les maintenons toujours.
Nous sommes persuadés que la restaura-
tion de la monarchie légitime nous serait
favorable à nous, Français , mais le goût
« petit français ». qui annihila le bon
sens de M Ri bot. pendant la guerre,
n'éclairera pas l'o :prit de M. Herriot. Pour-
tant nous aurions bien besoin de la montée
sur le trône de l'archiduc Othon, alors que
pennatuîes éclairantes, 'Ses vérétilles rougîs,
l'opistboproctus et le sternoptyx lumineux ;
voici des espèces de poulpes qui émettent un
feu blanc rouge ou vert pour attirer, en fa-
çon de miroir et d appeau, îa proie convoit .e. |
, Des combats se livrent ainsi au fond des
mers Peut-être y passent-ils les effroyable
survivants des é'poquss antédiluviennes : !e
plésiosaure ou l'icthvosaure. Peut-être le fa-
meux serpent de mer rencontré par des offi-
ciers et des savants digne* de foi vit il dans
le « nocte de garantie » va livrer l'Autriche ces abîmes d'où il remonte, de temps à autre,
à l'Allume à moios aue celle-ci mais pour l'étonnement des humains. Qui peut
d l AJemsgne, a moins que ceiie-ci, ma s ^ ralment connaître !e fond des mers î Et sait-
c est peu probable, ne prenne 1 initiative de I m q ,^] 5 montres inconnus s'éb ittent au fon/1
silencieux et noir des abîmes iason&é© î »
KOTE- EXPRESS
tu Frssça J n 1 ils-î sîi
'A Thevre où les bons esprits, notamment M.
Louis Marin, M. Louis Dubois, M. Gabriel Bon-
mtot, à. Ut suite de M. Paul, Le Faivre, mettent
en circulation, à travers les deux continents, cette
pensée que la dette française est compensée par
mue créance français* au moins équivalente, U
con. ient, pensons-nous, de célébrer sans réserve
h> conduite récemment observée à Boston, aux
Etats-Unis, par un jeune gentilhomme français,
'M Henri de Castelîane. Car on peut dire de lui
qu'en l'occurrence, U a magnifiquement servi .a
¥rance.
Voici tes faits : l'Université Harvard, de Bos-
ton, a, fin février, rayé de ses registres le nom
d'Henri de Castelîane, parce qu'il refusait d'ap-
prendre l'allemand, et, à la suite de cette radia-
tion, le jeune homme a quitté les Etats-Unis et
s'est embarqué pour Paris.
' Fils du comte Stanislas de Castelîane et d'une
'Américaine, miss Nathalie Terry, M. Henri de
Ccstellane suivait, depuis trois ans et demi, les
tours de l'Université Harvard, Les grades de cet
établissement n'étant accordés qu'aux étudiants
1*J Usent couramment le français et l'allemand,
•* f «i donna l'ordre d'apprendre cette dernière
«Wgue, dont il ignorait tout. U refusa catégori-
quement, alléguant des « raisons d'ordre patrio-
tique ».
En vain plusieurs professeurs prirent-Us son
Parti, essayant de le défendre contre les autorités
Wiversitaires : ces professeurs essuyèrent un
*chec, et, au bout de quelques jours, on demanda
5 feune homme s'il était arrivé à dire quelque
«ose en allemand.
* O"'. répondit-il, j'ai appris à dire : leb werde
F"* deutsch sprechen. » Ce qui, en langage
eoutre.Rhin, peut dire : « Je ne parlerai pas
wttemand, a
Henri de Castelîane reçut aussitôt tordre
G* quitter Vuniversité. Mais cette disgrâce ne fit
V accroître auprès de ses camarades sa légitime
Popularité. Les étudiants lui offrirent un banquet
"•oestre avant son départ, et c'est accompagné
J** une foule de jeunes Américains que ce Ion
fj^fois gagna le transatlantique qui devait te
"•njener France.
Et, sans doute, est raodus in rébus. La connais-
*»c« de la langue allemande peut être utile à
Pius d'un Français, même du point de vue du
**nthnent national, et notamment de la technique
Batilaire,
Mois ne convient-il pas qu'à l'encontre de la
**utraUté affectée, par-delà l'Océan, entre le tran
et l'allemand, il se soit trouvé un Français
rappeler, à nos alliés de 1917, que nous fû-
2ï joueurs en 1918, que les Allemands nous
««•ent assaillis, saccagés, riUâs, volés, incendiés.
ic.L violentés, calomniés, que nous nous en
•"«venons, et que beaucoup des nôtres continuent
Uri appeler Boches, ou bien Huns ?
^J" e dans le nouveau continent, 1 leçon peut
fjjre efficace dans l'c.icien, où tant de gens
iient qu'a y a eu la guerre...
rsul TAILLIEZ.
Un Attentat en Espagne
M smu,L „ Barcelone, 16 mars,
do, „ 9 i ! s f ^créta i r>i d'Etat au travail,
lors« S C iïï 1 I! ren ^, tlu Thôfttre-Mamado,
*e Ta \vae ^^bes éclatèrent dans um coin
APRES LA DÉCLARATION « INOPPOR»
TUNE > IT « MALAOROiTE » DES ARCHE-
VEQUES ET CARDINAUX, LA COMMISSION
DES FINANCES DU SÉNAT, 8'KTANT DE
NOUVEAU RÉUNIE, A DONNÉ A L'AMBAS-
SADE DU VATICAN >

ta journée Parlementaire
AU PALAIS BOURBON
LE SUFFRAGE FEMININ
ET LE RAPPORT DE M. PLANDlN
, Pari», 16 nui*
On a distribue aux députée le rappori i>ré»
same par M Pierre-Etienne Flandin au nom
de la commission du Suffrage universel «ut
les diverses pioiositious de loi relatives au
suffrage des femmes
Le texte, qu'il expose à ia Chambre est le
«au van- : 1
Article premier, — Le droit de vote et d'éli-
gibilité est accordé aux femmes françaises
pour les élections municipales et cantonales
dans les mêmes conditions que celles exiges
des nommes.
Article 2. — A titre transitoire, il sera éta-
bli, pour l'année 1925, dans chaque commune
«aie liste électorale spéciale. Seront inscrites
d'office, dans les huit Jours qui suivront la
Î woiuulgation de la présente loi, touies les
emmes âgées d'au moins 25 ans qui réuni-
ywit les conditions d'inscription prévues par
«F :ois et règlements en vigueur en ce qui
concerne les électeurs. La Bête électorale sera
publiée dans les trois jours. Toutes les re-
eUmatione seront reçues dans un délai de
dix Jours. 1! sera statué sur elles par la com-
mission dans un délai de deux jours. Notifica-
tion de la décision 1e la commission sera
laite aux intéressées dans un délai de trDis
Jours. Le juge de paix saisi devra statuer
dans les cinq jours et donner avis de sa déci-
sion dans les deux joint*. La liste électorale
sera close le 30 avril.
lie? CoqMit* dû ïiavail
VERS LA CREVE GÉNÉRALE EN GRÈCE
Athènes, 16 mars.
te gouvernement grec est à la veille d'être
dans l'obligation de taira face a des événe-
ments Importants
En effet, les diverses associations ouvrières
de Grèce ont décidé de 9é joindre aux chemi-
nots jrrévistes.
Si cette menace est mise a exécution, la
Grèce sera menacée d'une grève générale.
FIN DE L'AGITATION
mÏÏZ LES MÉTALLURGISTES ITALIENS
Milun, 16 mars.
L'ordre de cesser la grève, parvenu de
Borne dans la nuit, à la suite d'un accord
entre les représentants des industriels et ceux
des syndicats fascistes semble devoir arrêter
met l'agitation des ouvriers métallurgistes,
qui devait s'étende», aujouid'bué, & toute
Jltalie.
LA GRÈVE DES CHEMINOTS OOMMUNI8TS8
DE BERLIN
Vienne, 16 mars»
1*B ouvrier» des chemina de for sent m
gtèvé ; ils ont tenu, hier, une assemblée tu-
«& mineuse au cours de laquelle ils ont pré-
jsenié plusieurs résolutions radicales.
^JLa majorité se déclare pour la grève gâué-
A la sortie, les manifestants altèrent se
1tat), Bangor (Lister)
Mutuel. — Pesage ; gagnant, 56 50 • placés :
Le Pélican 25 50 . Le Pactole, 43 ; Grand
Duc, 37.
Mutuel. — Pelouse : gagnant, 26 • placés :
Lé Pélican, 11 30 ; Le Pactole. 18 SÔ ; Grand
DUC, 18.
Prix de Cuyaneourl, 5 000 fr. t distance,
2.100 mètres environ. — l. Prince Ling, a M.
Eugène Pamall (Pantall < 2, Palet d'or, a M.
3. Achille FouW (Herbert) ; 3 Avalanche, a
Mlle 1. Davies (Jenaings).
Mutuel. — Pesage • gagnent. 88.
Pelouse • gagnant. 15.
Prix des Villarmains, 16.000 fr. 2.200 mè-
tres. — 1. ldolo-di-Savoia, a Lord Derby (Va-
tard): a Fundy, à M X. Balry (Herbert); 3.
Hivarol, à M Jean Prat (Garuer).
Non plncés : Lo Fanfaron (Ferré), Lowô
(Greenwell), Taliaa (Lespinas), palace (Ogez),
Valmiki-II (Hervé), Kifkif (Hnbbs) Sîyx
(Brierre), Montrose (Lister), Lacaslta' (Gar-
ner).
Mutuel : Pesage : gagnant 136, places Idole-
di-Savoia 30 Fundv 25, Rivairol 19.
Pelouse • gagnant 55 50, placés !dolo-di-S&-
voia 14, Fundy 13. Rivaroî 9 50.
Deuxième handicap optionai, 20.000 francs,
1.600 mètres. — L Porte-de-Fer, au baron
Baevens (Ferré) j 2. Meath, au baron E. de
Rothschild (Mac Gée- ; 3. Volubilis, à M. E.
Martinez de Hoz (Semblât).
Non placés : Le-Bey (Jennings), Flamboyan-
te (Sautour), Avant-Coureur 'Davison), Pam-
pero (Vatard), Tiepolo (Garner), Le-Panache
(Rabbe), Cyclone (Bottequin), Badinage (M.
Allemand).
Mutuel. — Pesage : gagnant, 54 ; placés i
Porte-de-Fer, 23.50 ; Meath, 23 ; VolUbiliB, 40.
Pelouse : gagnant, 22 ; placés : Porte-de-
Fer, 10 ; Meath, 12 ; Volubiliâ, 21.
Prix du Val d'Enfer. 8.000 fr., 2.100 m. envi-
ron. — 1. Arafat, à M Léon Mantacheff (Au-
f ô); 2. Rhodope, au duc Decazes (Sautour) ;,
. Bigben, à M. A. Achille Fould (Merlant).
Non placés : Orfroi (Brlère), François 1er
(Martz), iroquois (Maiden), Erofite (Cap) Mo-
naldeschi (Hugon), Philibert (Plcart), Guenil-
lou (Rabbe), Harim (Bâtes), Kekonboy (Her-
bert), Sewant (Greenwell), samienne (Kreel).
Mutuel. — Pesage. — Gagnant, 80.50. Pla-
cés : Ararat, 21; Rhodope, 16; Bigben, 50.
pelouse. — Gagnant, 62.50. Placés : Ararat,
17.50; Bhodope, 10; Bigben, 36.50.
A MAIS0N8-LAFFITTB
farts, te maïs.
Partants et montes pwfbables t
Prix ûu Vieux-Moulin. — Maraussan (Garner),
Mont-Renaud (WUliatuns), Mehdia (Winkfleld), R*-
ricane (Andouard), tlistQtett (ïîiomaâ), Meda (OgeiS,
Cas»eroll« (Andrews).
prix Le Niobam .— Loimg-Ma (Sabé), Souisate
(Wtnkfleld), Sirah (Semblât), Lion (laoumen), Dê-
dé-lt (Hotei), QanadBTO (î*rré), Galifaîte (Gartner),
IwbMTy (Seguirlstain), Uhol (Wallon), Lazy (Ë.
Allemand), Dari-oeorses (VUllams), Sald (Green-
W«U), Jeu-du-Roi (Greenwel), Cherry-Tree (Sïiaïpal.
Ouate (Ogez), 2ami>a (MuUot), Oleg (E&llng).
Prix de SartrotiïUle. — Bastos (ïçiiduj, plnce-
sans-Rire (Esims). Amarante (Semblât), Mlarka
(Hobrt. BUe-AUiance (Wilcock), La-Martée (Green-
well), La-MOmndeU© (Tîtomaa), Ducneisft-du-Béaiin
(Onarman).
Prix de Vaie-Ohétlre. — Bomarsund eFerre), Tha-
mjMS (M. Allemand), Netno (Esling), Calllcrate
(Oaruef), Framboisier (Semblât), Angora (Amoâse),
Petite-Princesse'U (Hamel), SLti (Ë. Allemand), Pa-
tentât (lî»bs), Tonia (Sautour).
Prix Biniou. VtbUrnum (l'orre), Lamartine
(Garnet;, Sans-Froid (Keoyh), Mon-PetU (Hervé),
Satyricoa (Stero), Rabbe), Révérence (Haris) -, par-
tants douteux : QUue-MUle (X.), Montrenaud (VU-
llams).
Prix AndrtSe. — sàWnette (ESsling), Petite (S.
Allemand), pimporia (X.), Mirka (Winktickii. Ui-
Vipêre (M. Allemand), Mitonette (Jenings), Sadnés»
(Clout), Rëdhtounie (Ferré), Remerla (Garner),
Sohaoper (Greenivell), La-Madona (WUcock), La-
Royale (Sharw), Pàipou (Hotobs).
Prix de l'Hérault. — Aima (Sentier), Pomainvllie
(X.), Lysis (Stringer), MaU, Andouaîd) Florès (de
Salnt-Mlrel), Tabou (Hullne), Ronde-Champètre (Du-
ll*c), Caudabec (Lolaeau), Bu 1 won-Ardent (Coutu-
rier), l>uvet (Derasse), Antar (Serre) ; partant dou-
teux : poalot (X.).
Pronostic*
Paris-Sport. — Maraussan et Mont-Renaud m
Oleg et Cherry-Tree — Amarante et Bastos —
Calllcrate et Potentat — Lamartine et Flanoo —
Sadaesse et La-Boyalô — Aima et flores.
JocHeu. — Mont-Renaud et Maraussan — Onerry-
Tiee et 01è« — Bastos et Amarante — Nelhou et
Potentat — Lamartine et Satyrion — La Royale et
sadness *» Aima et Martx
te reine. •» Mont-Renaud et Maranssan — Gana*
dero et Ivy-Bcrry — Pince-sans-Rire et Amarante
— Thamydis et Callicrate — Lamartine et Fran-
çais — La-Royale en Rechtounie >A Aima et Duvet.
S
A PBRPIQNAN
Union Sportive Perpignanaise bat Stade Fran-
çais par 37 points (7 essais, 2 drops, 4 buts)
à 5 points (1 essai transformé)
Levant un public nombreux s'est jouée »-a
deuxième manche des pouies de trois, arbitrée
par M Carrié, des Pyrénées. Les deux equi-
pes se présentèrent dans la formation sui-
vante :
paris :
Callisti
Moudet, Bernadac, Chapuie, Piroa
Vergés, Thiercelin
Mendousp, Chaînes, Levasseuor
Herzovitch, oiivorv
G or ton, cr&ssac. de Gaillon
Perpignan ;
Cayrol
Lauthier, Ramis, Baillette, Darné
Tadès. Carbomie
Came, Heuric, Duron
Vergés Hière
MontKle, Delort, Seyroui
La partie débute rapide et le* Parisiens,
âiaes par un vent Violent, attaqnent tranctiS-
ment par leurs lignes arriéres, qui paraissent
en bonne condition. Peu à peu. cependant,
Perpignan maîtrise l'ardeur de l'adversaire,
qui est obligé de chercher la touche par de
grand? coups d> pied. Aucun avantage n*e*t
a noter pour l'une ou l'autre équipe
Devant les buts perpignanais, Bernadac in-
tercepte une mauvaise p^sse de Hainis; dé-
masque admirablement Houdet qui, après une
longue course, marque un essai tacUeninut
transformé.
Ot avantage des Parisiens a pour tîîet de
stimuler l'ardeur des Perpignanais qui en
mettent furieusement. A un moment, Ramis,
qui a doublé Cavrol, feinte plusieurs adver-
saires, lance sa ligne, qui rentre avec déci-
sion. Prêt d'.ltre lancé en touche, Darne dé-
place au centre Duron reçoit et marque un
essai, non transformé. Pans, qui joue à 14
par suite du déport de Bernadac, tombé, est
acculé sur ses buts, d'où, après une touche
longue, Camo s'élance et marque
Peu après, sur ouverture rapide de Ramis,
Baillette démasque deux hommes et est pin*
que par Houdet, mais se relève et manque un
bel essai qu'il transforme lui-même
La mi-temps survient sur ce résultat.
Paris, 5 Perpignan, 11.
A la reprise, l'avantage de Perpignan s'ac-
centue, et Paris, amputé de trois de t>es
joueurs s'oppose faiblement aux départs ir-
résistables de la ligne de trols-quarts sang
et pr.
Les points vont s'accumuler maintenant au
tableau perpignanais.
Ramls botte un drop, alors que peu après
Duron, reprenant un déplacement de Damé,
fonce dans les buts et marent© un essai, trans-
formé car Baillette.
Ensuite, Tabès trouvera le trou devant les
buts stadistes, lancera Baillette. qui mar-
que.
Perpignan domine manifestement, mais 1 al-
lure dé ses avants se ralentit, ce qui peim«t
de belles éohappOes de Levasseur et Hcrzo-
witch L'arrière Callisti se fait applaudir par
ses beaux renvois.
Carbonise, derrière sa meiêe. botte un drop
et coût; sur coup Camo et Honta.1* porteront à
37 points le freore en faveur de Perpignan.
Comment ils ent loué
On tfà peut tirer aucune conclusion sur la
valeur AiiS deux équipes. Les Parisiens, en
effet, étalent privés des services de Jauréguy,
de Chambrun, Bader, Audoire, alors qu'à Per-
pignan Ribère, Sicart et Ûot, blessés, reste-
rent sur la touche. ^
Le Stude joue de façon agréable et souvent;
efficace ; sa ligne de trois-quarts rapide et
nrdente attaque bien et se porte rapidement
Sur l'attaque adverse. Les avant* tinrent en
respect pendant longtemps le huit catalan;
mais, à la deuxième mi-temps, ils s'opposè-
rent plus IttiMeasent aus ijéparta des ixmau^s
de Ramis, m. 4».^
A Perpignan, towjouRs les mêmes qualités,
mais aussi tonjours les mènes dêfauis.
Lès ajvanta fouent sans méthode et acon-
saient eheore Une petite dëfaillancM*
miegetix brumeux le matin ; t«mpe>aw2
faibU- baisse • gelée : minimum érivTr £
Régkn Sud - Beau temps ; vent» S ^
à apffn. Vt â.8 mènes : clèl cValrta née
nuageux température statlonhaîri*
minimum, environ —H" a 0» litt< rai.
Pénible aecideqt
Lille, 16 mat«.
I k cité II de LâM (territoire de LieVin),
Mm» Morel femme d'un mineur, était «ortie
quelques instants de sa maison, lorsqu'une
lûmoe à pétrole fit explo&ion dans une place
où se trouvaient cinq jeunes enfants
Ceux-ci turent entourés par les flammes.
Malgré le retour immédiat ds Mme Morel,
deux des enfants, l'un âgé Cm « ans et rautre
de 10 ans étaient morte. Les trois autres ont
été transportés à l'hopit*' . l'un est a'ieint très
grièvement et l'état âes deux autres inspire
des inquk-tuties.
Tirages Financier»
** - ~~ Parte. 18 mare,
ville de Paris 18W
Le n» iM.lfê est remboursé paT lSu.000 fr.
Le n- 292 116 est rîmboursé par 50000 fr.
Les 4 numéros suivants sont remboursés
par 1O000 francs :
13S 748 13", 788 212.51? 194.4"^
Les 5 numéros suivante sont resnbouisés par
ir 5 0(0 francs :
)2.192 450.bV3 50C.448 531333 W2.634
. Les 10 numéro* suivante sont rembourses
par 2 000 traces :
M 831 32.

MARDI 17 MARS 15»
TH É CHàM BARD purgati'f
UIiOUSE
DU 17 MARS
Saint du -jour Saint Patrice.
fête à souhaiter : Saint Alexandre.
5 fcewes 30, Faculté des Lettres, cours
public par M. Feugère : « George 3and el
Muttet :
pour la Manifestation catholique
du 19 avril
âa Grandeur Monseigneur l'Archevêque
liow*. a fait part .en des tonnes pdrtteuliere-
mefi. émouvants, de «on. désir de voir tous les
catholiques de son diocèse rassembles dans
an? grandiose mauif jstati in de défense reli-
(rieuse.
'1 faut que cette manifestation soit un suc-
cès .ncnnparabie. Après les exemples de Pau,
\!!ur la demande
expose de Monseigneur, la Défense Religieu-
se "fl

itÀftin n MARS vm
Le Moment propice
Wcms sommes, actuellement, a la meilleure
epoquu de l'aimée, pour faire une cure de Pilu-
les Pink
C'est, en effet, au début de ia nouvelle sai-
son que le3 pe'raoï.nes affaiblies, anémiées,
épuisées, se sentant plus lasses encore que
de coutume Elles ont peine fl supposer le
changement de temps, l'air pius capiteux
Les Pilules Pink viennent donc tout ù fait à
propos po"r soutenir, réconforter, stimuler
leur organisme dé-
faillant Ainsi, ont-
elles fait chea
Mme Léon Nadot,
rue Emile-Zola, à
à Sens 'Yonne).
« Ayant pris des
Pilules Pink, j'ai
pu, dès la deuxiè-
me boîte, consta-
ter un mieux sen-
sible dans mon état
de santé Mainte-
nant que j'ai fini
ma cure des pilu-
les Pink, ji puis
dire que je suis
plus forte J'ai de
l'appétit et je uo
ressens plus, com-
m e auparavant ,
aucune faiblesse
dans les membres.
En un mot, je
suis rétablie,
Mw Léon NADOI.
(CL Prévost.)
On ne saurait trop répéter que les pilules
Pink sont un incomparable régénérateur du
sang et des forces ncveuàee. un remède d'une
rare eifieacité eon«re l'anémie la newrasthé-
«.îe l'affaiblissement général, les troubles de
îa croissance et du retour rTâ.ge, les maux
â' estomac, maux de tète, Irrégularités des
srègles.
Enventedanstouteslespharnîacies.Dépot-.
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îa boîte, 24 tt. les 6 boites, plus 0 îr, 60 de
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— 1920 6 %... 69 10
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— 1922... 490 25
— 1923 2" 477 ..
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ùkloctaine 1909.. 221 ..
— 1913 27^!..
Maroc 1914 2e5 ..
— 1913........ 305 ..
Aigrit 3 % 253 ..
TcMisie 1902.... 202 ..
V. de Paris 1865. 621 ..
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— 1871 372 ..
— 1876. 37- ..
— 1892 167 ..
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— 1921 aoD IU>.
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— 1V22 OOD ttb
— 1923 !lb
Soc Marseillaise.
1 Crédit Lyonnais, là» 0
— Mootiter.... 501
Soc. Générale... 755
Banque Srancaise 565
— Nation. Cred 671
Union Parisienne 840
Beats Foncière. . 31 - 0
BCne-Gaelma . .. 83S5
— obiigat 181
Bst-Algrrien. ... 305
— obligat».... 179
ES΄... 840 .
— cblif.aU.... £16 ib
— oouveUe ... 211 ..
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Lyon.. ... S2o ..
— obliuat 211 .
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— nouvelle . .. 208 ..
— 2 1, % 181
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— nouvelle ... S • • • • 46 • •
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Bq. Es. Hio-Plata 125 .
Athènes» 2?5 59
Land Bank 1297 ..
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Londres-Mexico
Ottomane......
Franc. Kio-Pbttst.
Orient.. ..
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Foncier Egyptien 20iO
Andalous 840 ..
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Centrai-Pacific. . 1450 . ,
Chic. Milwaufcee. 1109 ..
Congo Gd, Lacs. 585 ..
Lombards oblig. 153 60
— nouvelle ... 158 50
N.-Y.New-HaveoWSO ..
Nitrate Kaiiway. 1010 ..
Nord Espagne ,. 1000 ..
— première.,.. 930 ,,
Pampeiune..... 8S5 ..
Barcelone ...... 944 ..
Asturies........ 907 .
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Rallw. Bleetriq.. 788 ..
Salonique ...... 130 . .
Saragosse . •... , ... ..
— première..., 812 ..
Wagons Lits,.... 2115 ..
BriansB orJin»,, 65 ..
— t>référença. . «0 ..
Makeevtta. 47 ..
Kio- linto... ... 3790 .
Soanow.ee. 1053 ,,
Central Mining. . 1349 ..
Lagunas ....... 160 ,'.
lautaro......... 840 ..
Azote. 1000 ..
Est Asiatique... 41*0 ..
Napbte 201 ..
Carpet 391 ..
Provodnik 40 ..
HalHner. Egypte. 1210 .,
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Philippines 3501 ..
Portugal 645 ..
Créd. Commère...
Chemins Algérie. 94 26
Cables télégrapti.
Energie Médites»
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Energie induit;. .
Bnerg. Sod-Ones*
Générale Etectr..
Hairaise Enesgie
G92 Paris.......
Blanxy
Courrieras. .....
Lens...........
Carmaux. ......
GraDd'Combe, ..
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Aigérie-Ttuiisis. .
Milles ter...... .
Mofcta.. ........
Nickel...
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— Loire... ...
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— Gironde. ...
— St-Nazaire ,
— Méditerran..
Cbat.-Commeatrj
CoBjm.-Foarch...
Dylf BacaSaa.. . .
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Fives-UUe .....
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Aciéries Marine..
Longneville
Longueville parts
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Navigation
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MONUMENTS ET CAVEAUX
ea pierre granits polis de toute provenance
CAVEAU PROVISOIRE
û la disposition des Familles
Médaille d'Or à l'Exposition de Toulouse
la ulus haute Récompense
A. ESCOURBIAO, 8-8-19. Allée du Olmejllêra
Source de ¥outoo$^
Valoure locales {asMXim). — Mines de CarOiauS,
ex-coui>c.n S9, 2325. — Mines â'Albl. es-coupon st*
590. — société Pyrénéenne d'Energie Electria'J««
ex-coupon 14, 650 ; parts excoupon -6, SSfS- ~
bilssemenits Manuel, ex-coupon 19. 349. — Glacier"
Toulousaine et da Bazacle (actions), «s-coapon t
190. M*
Valeurs locales (oWlgationsî. — Société l'Epargne
6 % 1916 anciennes, 340, — Pyrénéenne 6 %. s03 '
Maison Lapereanne g 54, 40e,
snei
Feuilleton du 17 ma» 192S
!
FÂNFAN - CLAUDXNET
Les Deux Gosses
ï
3P»sr
Pierre DEGOURCELLE
•TEOISIfiMB PARTIS
UE TRABT-O'UUtOM
m
" 8URV DMASSE A fKSfiFAS»,
ÎJê vice se répétait.
Toujours les mêmes procédés, l'exploita-
tion des mêmes infamies, aJrOutLssant à la.
;mônio découverte, la miser© atroce et iadl-
gnie de pitié.
Georges était certain que l'homm-e au-