24.07.2013 Views

LUT Salace Le Bassin est Bouclé Rapière forte ïrion)pt)e If CIEL ...

LUT Salace Le Bassin est Bouclé Rapière forte ïrion)pt)e If CIEL ...

LUT Salace Le Bassin est Bouclé Rapière forte ïrion)pt)e If CIEL ...

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

^ L ^fU. au OOU DJ»ON-ÔUVOT, pris à unis les repas, à la dose d'une cuillerée a calé<br />

S^fitr? J tn \^h^ disparaître en peu de temps le Aurai & <strong>pt</strong>a<br />

rir îa nM^J a h£? B2î?î e J* ^«s^^étérée ; en arrive même parlols à enrayer et à gué-<br />

Ï2;J?htisie bien déclarée, car le goudron arrête la décomposition des tubercules du<br />

poumon, en tuant les mauvais microbes, causes de cette décomposition<br />

mdbf^JfJ^' 1 ^ GOUDRON-GUYOT, et afin d'éviter toute erreur, regardez Pétl-<br />

^,*i^ c^ite d5 V--Flta0ie Goudron-Guyot porte le nom de Guyot imprimé en gros<br />

Prix du Goudron-Guyot, 3 fr. 75 le flacon.<br />

<strong>Le</strong> traitement revient à tO centimes par jour — et guérit<br />

TSm^i-f^if 6 p6rsonTlpR Qui. ne peuvent se faire au goût de l'eau de gSrimn pourront<br />

S »'u ^VSt ^ œlffl (^ Capsules-Guyot au goudron de Norvège de pin mariî<br />

.frm^ Z'n*! 1 p n ^ deu t x ou trois capsules à chaque repas. Elles obtiendront ainsi tes<br />

mêmes effets salutaires et une guérison aussi certaine. Prix du flacon ; 3 ir.<br />

CADEAU ^ suffit d'envoyer à la MAISON FRÈRE, 69, rue Jacob. PARIS, 0 fr. 40<br />

fWr-o TZVTT?JL ,S bi:e ?" po^' e1 se recommandant de l'Express du Midi, pour recevoir<br />

îranco par la poste un échantillon de Capsules Guyot.<br />

LÀ FEMME<br />

«9ïinC9QI(||tltll!ll*<br />

Toute ferras» qui souffre d'un uxmm qnelcoatjue de U MstatrasMenl, Règles<br />

Irrégulières ou douloureuses, en avance oo en retard. Pertes ManoitM, Maladie*<br />

Intérieures, Metrite, Fibrome, Salpingite Ovartt*, SaHm Aï c«*sfsse, guérir* sûremeut<br />

rien qu'en faisant usage 3e ta<br />

JOUVENCE de l'Abbé SOURY<br />

uniquement composée de plantes inoffenslves jouissant de propriété» spéciales<br />

qui ont été étudiées et Expérimentées pendant de longues années.<br />

La JOUVENCE tsa l'Abbé SOURY <strong>est</strong> faite expressément<br />

pour guérir tontes les maladies de la femme. EUe les guérit<br />

bien parce qu'elle débarrasse l'intérieur de tons les éléments<br />

nuisibles ; eQe tait circuler te sang; décong<strong>est</strong>ionne tes<br />

organes en môme ternes qu'elle les cicatrise.<br />

La JOUVENCE de PAftbé SOURY, ne peut Jamais être nuisible,<br />

et tonte personne oui souffre d'une mauvaise circulation<br />

du sang, soit Varices, phlébites, Hémorroïdes, soit de l'Estomac<br />

ou des Nerfs, Chaleurs, Vapeurs, E4o«ffomente, soit malaises dn RC70UR D'ACE,<br />

doit, sans tarder employer en tant» confiance ta<br />

car elle guérit tons les Jours des milliers de désespérées.<br />

n <strong>est</strong> bon de faire chaque tour des injections avec rHYGIENITINE lies CAMES.<br />

La boîte : 4 fr. 40.<br />

La JOUVENCE de l'Abbé SOURY, préparée à la Pharmacie Mag. DUMONTIER,<br />

à Rouen, se trouve dans toutes les pharmacies, le flacon, 6 fr., plus impôt, 0 tr. 60,<br />

total, 6 fr. 60.<br />

mon exiger la véritable JOUVENCE de l'Abbé SOURY<br />

qui doit porter le portrait de l'Abbé Soury et 1 a signature Mag. Dumontier en ronge<br />

Imprimerie Soécle^s<br />

BOURSE DE PARIS<br />

PARQUET<br />

Perpétuel 3 %...<br />

Amortissables %<br />

— 3 y2 %<br />

— 5%<br />

— Î917 4 % ..<br />

— 1918 4 %<br />

— 192!) Ô % ..<br />

—- 1920 G % ..<br />

Bons Lr;sorO%..<br />

Crédit Nat. 1019.<br />

— ikvi.'.'.'.'.'.V.<br />

Ou<strong>est</strong>-lîtnt 4 %.<br />

Tunis 1892<br />

Tonl 257 — Loire 727 .. Espagne Intér<br />

Victoria Pétroles. 203 a , 41 — Gironde. ... 414 ..<br />

432 aa — St-Nazaire . 8I4 ..<br />

194 — Héditerran.. 59» ..<br />

BANQUE<br />

terme<br />

Tanganyika .... 114 Chât.-Commentry 2199 ..<br />

226 Comm.-Fourcb. . 1420 ..<br />

63 75 DyleBacr.lan.... 205 ,.<br />

2660<br />

1079 • a Decauville 134 .,<br />

114 Soie de Xubise... 4u0 »« Fives-LHle 1850 ..<br />

Alais 182 ..<br />

Paris-Maroc. 1A4.<br />

Aciéries Marine.. 921 .,<br />

Tabacs, 296.<br />

Lonoueville 403 ..<br />

1 *.<br />

Mexicain 5 %...<br />

— 3 %<br />

Brakpaa.<br />

Butte<br />

Chino<br />

Laurium<br />

Ma'acca préfér. . •<br />

Mexic. Eagie préf.<br />

Ray<br />

Russian Oil.....<br />

Spies<br />

demander plutôt. Il demeurerait au Don- tendresse, ses consolations sans lui monjon,<br />

il irait habiter la grande maison blan- ; trer le contre-coup que cette catastrophe<br />

che de la route de Laaax et y soignerait ] pouvait avoir pour lui ; il écrivit aussi sur<br />

sa malade.<br />

les conseils du Père à M. Amelot, et lui<br />

— Ah ! Monsieur Thirion, momieur Thi- j raconta tout, s'apitoyant sur sa belle-mère,<br />

rion, la vie aura été rude pour vous. sur sa.' père et aussi sur lui-même, atteint,<br />

Au reçu de cette lettre, Francis fut vive- ; disait-il, par ce coup, dans son avenir :<br />

ment affecté. Sa belle-mère était malgré j le crime de Xavier ne l'obligeait-il pas à<br />

tout la femme de soi père ; il devinait que ;<br />

renoncer à Marylise 1... Une famille tarée<br />

celui-ci devait souffrir et la douleur du<br />

pouvait-elle s'unir à une lignée d'honnêtes<br />

gendarme le peinait. Puis une pitié imgens<br />

?... Mais comme un parfum tenace<br />

mense le prenait devant la déchéance de<br />

qui ne veut pas mourir on sentait encore<br />

cette femme orgueilleuse et méchante, 6i ; les lignes de regrets comme un espoir ina-<br />

fière de ses fils et qui était si dure pour I<br />

voué.<br />

ceux de Franchie, aujourd'hui si cruelle- I<br />

La réponse ne se fit pas attendre con-<br />

ment châtiée dans son préféré. Il pensait j<br />

solante, autant qu'elle pouvait l'être.<br />

à Antony et à Paul et aussi à Marylise. I<br />

« Ne te décourage pas, disait M. Amyot;<br />

Que pesait pour Francis la maladie de<br />

les fautes sont personnelles. La condamna-<br />

Madame Thirion à côté de la condamnation<br />

de Xavier ne peut peser sur ton avetion<br />

de son fils ? Il n'était pas du même ,<br />

nir. Et si triste que cela soit d'évoquer de<br />

sang que les Chataignon, mais ils s'étaient '<br />

pareilles choses, Mme Thirion ne vivra pas<br />

alliés ; Xavier était son beau-frère ; ils !<br />

toujours. Ce lien si fragile et tout conven-<br />

avaient vécu sous le même toit, et plus<br />

tionnel qui te rattache à ses fils sera rom-<br />

tard, plus tard, lorsqu'il serait libéré. Mapu<br />

; alors, qu'importe ce qu'auront fait les<br />

rylise serait exposée à rencontrer chez sa<br />

fils Chataignon ? Ce n <strong>est</strong> pas là ta vraie<br />

belle-mère un voleur et ce voleur se-<br />

famille, Xavier ne porte pas ton nom,<br />

mit le beau-frère de son mari, le sien.<br />

vous n'êtes f*as solidaires. Rien ne saurait<br />

Monsieur et Madame Amclot, fils d'une li-<br />

être changé à nos projets. Nous compregnée<br />

sans tâche, Marylise qui héritait do<br />

nons la peine que vous avee toue ; crois<br />

plusieurs siècles d'horx.iêtoté voudraient-<br />

liian que nous la partageons et que nous<br />

ils de Francis maintenant ?<br />

voudrions être avec toi : nous y sommes<br />

Ce fut encore Jean Scheneider qui re-<br />

du moins en pensée. . »<br />

monta son courage défaillant. Il obtint Et la première impression passée, Fran-<br />

quelques heures de sortie pour lui et pour cis se remit à penser à son bonheur et à<br />

son ami et il le conduisit chez le père former des projets d'avenir. II ne devait<br />

Albarn, qui lui savait bien trouver les mots pas être longtemps tranquille. Son compa-<br />

qui oaiment, les espoirs qui bercent, les gnon, son bon conseil fut rappelé en Al-<br />

consolations qui apaisent !<br />

sace par sa mère mourante. Il y arriva<br />

Francis sorti' de chez le jésuite triste, juste à temps pour recervoir sa bénédiction<br />

mais encouragé.<br />

et lui promettre de ne pas abandonner<br />

U écrivit à son père, hii prodigua sa Odile, de l'élever cluétieimemonl : mais<br />

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés<br />

pouvait-il emmener cette enfant à Paris 1 ,<br />

En admettant qu'il eût pris un petit ap- j<br />

parlement pour eux deux, comment la lais- j<br />

ser seule pendant les longues heures de !<br />

travail ?... <strong>Le</strong> mieux était de demeurer au ,<br />

pays. Justement, il venait de retrouver une 1<br />

cousine éloignée, plus âgée que lui de deux i<br />

ans ; cette cousine possédait quelques pro- j<br />

prié tés d'un assez bon rapport, Jean les |<br />

ferait valoir, sa parente étant orpheline ; j<br />

et si elle voulait servir de mère à la petite :<br />

Odile, Jean Schneider serait pour elle un I<br />

bon mari. <strong>Le</strong> curé du village qui les avait \<br />

vus grandir tous les deux et leur avait fait<br />

faire leur première communion avait arrangé<br />

l'affaire ; et après les délais strictement<br />

demandés par le deuil, le mariage<br />

se ferait. C'<strong>est</strong> ce qu'il écrivit à Francis en<br />

le priant de lui envoyer sa malle. Il joignait<br />

quelques recommandations, l'assurance<br />

de son amitié à toute épreuve, et la<br />

promesse formelle d'aller le voir plus tard<br />

avec sa femme. Enfin, il lui recommandait<br />

d'aller souvent chez le père Alhan.<br />

Ce départ de Jean Schneider qui laissa<br />

un grand vide autour de notre ami eut<br />

pour lui une bien grande conséquence ; à<br />

son chef de rayon qui décidément, n'aimait<br />

pas le grand Albert, nomma le jeune<br />

Thirion premier au rayon de blanc.<br />

Cette situation augmentait les appointements<br />

du jeune homme, et cela lui permettrait<br />

d'orner davantage la fameuse corbeille.<br />

Il n'avait qu'un échelon à gravir pour<br />

être chef de rayon , il aurait peut-être<br />

bientôt cotte suprême satisfaction d'amourpropre<br />

et il pourrait revenir à Vareranes...<br />

Albert qui avait fini par prendre «on parti<br />

d'être deuxième à perpétuité pourvu qu'on<br />

ne le chicanât pas trop sur ses habitudes,<br />

essaya plus que jamais de se concilier les<br />

lais.» sortez]<br />

par n'importe quel temps, puisqu'il ne s'agit<br />

que d'un simple rhume et de votre toux nabi,<br />

tuelle. Quelques cuillerées de PECTORAL<br />

RIOHELET prises pendant vos heures familiales,<br />

et quelques PASTILLES RICHELET,<br />

prises pendant vos occupations an dehors*<br />

en auront bien vite raison. Cette . potion<br />

liquide » et cette . potion sèche », merveilleusement<br />

bien accuplées, sauront, en outrai<br />

vous maintenir sans cesse dans un état ds<br />

résistance indispensable pour affronter cette<br />

période d'épidémie grippale.<br />

<strong>Le</strong> Pectoral Ricbelet : 4 fr. 60 le flacon • les<br />

Pastilles Biehelet : 2 fr. 75 la boîte, dans to®<br />

tes las pharmacies, ou à défaut, écrire à L R*'<br />

chelet, 14, r. de Belfort, Rayonne (B.-P.)J<br />

PLACES<br />

ÉTRANGÈRES<br />

COURS DES CHANGES<br />

UNITÉ<br />

DE CHANGE<br />

Valeur<br />

en Frases<br />

au pair<br />

1 livre sterling 25.22<br />

New-ïork ... 1 dollar 6.18<br />

AHemagns ... 103 marks 123.50<br />

Argentins ... 130 pacos 228.—<br />

Belgique .... 100 tr. belges 100.—<br />

100 miireis 283.—<br />

Bulgarie 180 levas 100.—<br />

Canada 1 dollar 5.18<br />

Danemark.. . 100 couronnes 138.30<br />

Espagne 100 pesetas 100.—<br />

Finlande.... 100 markkas 100.—<br />

100 drachmes 180.—<br />

Hollande 100 florins 208.—<br />

Italie 100 lires 100.—<br />

100 yens 268.—<br />

Norwëge ICO couronnes 138.80<br />

Pétrograd ... 100 rouilla 288.80<br />

Portugal 100 milrels 654.45<br />

100 marcks 128.—<br />

Roumanie... 100 lel 180.—<br />

Serbie IGO liners 100.—<br />

100 couronnes 133.30<br />

100 fr. suisses 100.—<br />

Uruguay .... 100 pesos 408.—<br />

Vienne 100 couronne* 106.—<br />

COURS 1<br />

du<br />

JOOB<br />

78 55<br />

16 84<br />

0 04<br />

COURS<br />

de la<br />

VEILL8<br />

78 5Sj<br />

16 8W<br />

0 (3<br />

87 Î0 88 Sâ<br />

iè 85<br />

326 ..<br />

263 25<br />

41 50<br />

19 ..<br />

663 75<br />

79 80<br />

3Î4 11<br />

". *J<br />

322 ..;<br />

263 5Ô1<br />

41 50"<br />

665 54<br />

80 40<br />

• —<br />

SIS ..<br />

• • • • a •<br />

*7 Ï5<br />

» a a •<br />

48 59<br />

6 65<br />

450<br />

316 50<br />

*Ô 23<br />

454 "<br />

316 2S<br />

• • • *<br />

0 2*<br />

POUR PARAITRE dans les numéros<br />

du Lundi et du Jeudi<br />

PETITES HRB 9iW<br />

doivent être remises<br />

le SAMEDI et le MERCREDI<br />

avant midi dernier délai<br />

de rigueur<br />

bonnes grâces de Francis devenu son premier.<br />

M. de la Taillade, imitant Albert,<br />

eut aussi quelques prévenances pour la<br />

jeune homme ; ainsi il lui avait offert ds<br />

changer de ht avec lui car cette lucaïue,<br />

presque toujours ouverte 6ur les pieds du<br />

Bourbonnais, avait fini par lui occasios»'<br />

ner quelques douleurs rhumatismales.<br />

— Pour moi, disait M. de la Taillad»'<br />

avec un pli d ironie au coin des lèvres,<br />

qu'importe ? Un peu plus tôt, un peu plus<br />

tard 1... Je sais bien que je n'en ai pas<br />

pour longtemps, tandis que vous, vous ave*<br />

encore une famille...<br />

Et comme si à ce mot toute une légion<br />

de souvenirs se levait dans la mémoire du<br />

viveur, il prenait une expression triste<br />

dans laquelle entrait de la grandeur résignée.<br />

Mais cela s'effaçait vite, et les épaules<br />

déjà ployées. les jambes molles, ne tenant<br />

plus debout que par un miracle d'énergio<br />

factico* la figure ravagée par la fatigue<br />

et les excès, il repartait à la ramorqfis<br />

du grand Albert<br />

<strong>Le</strong> beau Félix, qui avait fini par être<br />

second à la bonneterie, jugea bon de diw<br />

à Francis :<br />

— Eh I dites, vous avez de la chancq<br />

vous I Je vous félicite L..<br />

LA suivre.)<br />

I

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!