CODE DE CONDUITE DES AFFAIRES - Halliburton
CODE DE CONDUITE DES AFFAIRES - Halliburton
CODE DE CONDUITE DES AFFAIRES - Halliburton
You also want an ePaper? Increase the reach of your titles
YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.
Référence<br />
Service des Affaires gouvernementales de <strong>Halliburton</strong><br />
Conduite des affaires avec le gouvernement américain<br />
En général, <strong>Halliburton</strong> ne travaille pas en qualité<br />
d’entrepreneur fournissant des biens et/ou des<br />
services au gouvernement américain, à des agences<br />
de ce dernier ou à des parties utilisant des fonds<br />
fédéraux. La loi fédérale américaine comporte des<br />
règles et des réglementations strictes applicables<br />
aux sociétés qui tentent de se qualifier ou de<br />
soumissionner pour exécuter des travaux financés<br />
par le gouvernement fédéral américain. Ces<br />
réglementations et exigences diffèrent de nos activités<br />
commerciales normales et imposent certaines<br />
obligations à la société. Les infractions à ces règles et<br />
réglementations peuvent entraîner de fortes pénalités<br />
et sanctions pour la Société. Par conséquent, aucune<br />
soumission d’appel d’offres ne doit être réalisée par<br />
une entité de <strong>Halliburton</strong> pour un travail financé par<br />
le gouvernement américain tant et aussi longtemps<br />
que l’appel d’offres n’a pas été étudié par le Service<br />
juridique et approuvé par le Vice-président principal<br />
et l’Avocat principal en droit commercial.<br />
<strong>Halliburton</strong> respecte les lois et réglementations<br />
fédérales américaines régissant l’emploi d’anciens<br />
militaires américains, ou d’anciens employés du<br />
Département de la défense ou autres employés<br />
fédéraux. Les superviseurs qui envisagent d’engager<br />
un ancien employé du gouvernement américain ou<br />
d’engager l’employé à titre de consultant doivent<br />
consulter le Service juridique pour obtenir conseil<br />
avant d’engager la personne en question.<br />
Directives relatives aux peines fédérales américaines<br />
Le Code de conduite des affaires de <strong>Halliburton</strong><br />
représente un programme effectif de conformité<br />
requis par les directives relatives aux peines fédérales<br />
émises par la Commission des condamnations des<br />
États-Unis (United States Sentencing Commission),<br />
instituée par le Sentencing Reform Act (loi pour<br />
la réforme des condamnations) de 1984. Le Code<br />
vise à détecter une infraction avant qu’elle ne<br />
soit découverte en dehors de la Société ou avant<br />
quelle soit raisonnablement susceptible d’être<br />
découverte, et à fournir des garanties raisonnables<br />
qu’aucune personne assumant des responsabilités<br />
opérationnelles dans le programme de conformité<br />
de la Société ne participe, ne tolère ou n’ignore<br />
volontairement une conduite criminelle au sein de la<br />
Société.<br />
La Société a pris des mesures raisonnables pour<br />
remédier aux nuisances pouvant résulter d’une<br />
conduite criminelle, notamment et selon le cas, le<br />
paiement en restitution, la déclaration volontaire de<br />
ladite conduite aux autorités gouvernementales et la<br />
coopération avec lesdites autorités au cours de toute<br />
enquête ultérieure.<br />
S’il est déterminé qu’une conduite criminelle a bien<br />
eu lieu, <strong>Halliburton</strong> évaluera son programme de<br />
conformité et fera les modifications appropriées<br />
pour éviter que cette conduite ne se reproduise,<br />
notamment en consultant des conseillers extérieurs<br />
au sujet des modifications à apporter et comment se<br />
conformer à ces modifications.<br />
Notre Responsable en chef en matière d’éthique<br />
et de conformité (Chief Ethics & Compliance<br />
Officer--CECO) relève directement du Conseil<br />
d’administration de <strong>Halliburton</strong> ainsi que du<br />
Premier Vice-président et du Directeur des<br />
affaires juridiques. Sous la direction du Conseil<br />
d’administration, le CECO a l’autorité expresse de<br />
communiquer personnellement et sans délai avec les<br />
comités d’audit, des rémunérations, des nominations<br />
et de gouvernance de la Société, au sujet de toute<br />
matière mettant en cause une conduite criminelle<br />
réelle ou potentielle et, au minimum annuellement,<br />
au sujet de la mise en œuvre et de l’efficacité du<br />
programme de conformité de <strong>Halliburton</strong>.<br />
49