LES RUINES ROMAINES DE TIMGAD (Suite) - Presse régionale

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LEXPOrgane Régional Cw*.. . 22!» 43b 68b
J dœ». tintants! 35» 70& 140 tj
DIRECTION: 25, Rue Roquelaine, TOULOUSE - Téléphone 2-12, Chèque Postai 4.936
Bureaux de Publicité à PARIS, 13, Boulevard des Italiens
rta» «9 centimes LUNDI 7 AVRIL 1930
Les Idées
et lesJFaits
Avant de quitter Mayence
Après la Chambre, le Sénat vient de
ratifier le plan Young. Ici il n'y a eu que
huit opposants ; mais ce dernier carré est
exclusivement composé de nos amis de la
droite. Inscrivons ici leurs noms : MM. de
Baudry d'Asson, comte de Blois, Brager
de La Ville-Moysan, Dominique Delahaye,
Duplantier, de Rougé, de Fontaines, Gaudin
de Villaine ; ils échapperont, un jour,
à de lourdes responsabilités.
M. Tardieu, qui a demandé au Sénat
d'accepter le plan Young pour liquider le
passé, dont la France « a assez », et en
regardant résolument l'avenir, a paru
moins enthousiaste encore qu'à la Chambre
pour une œuvre qui n'est pas la sienne
mais qu'il a acceptée par solidarité avec
les gouvernements précédents.
En somme, l'acceptation du plan Young,
c'est à ses yeux l'aboutissement de la lassitude
qui s'est emparée des gouvernements
et du Parlement à force de voir
détruire l'œuvre de Versailles de conférence
en conférence, et de leur désir de
faire enfin du « définitif » ; les plus ardents
partisans de son acceptation conviennent
qu'il comporte quelques risques,
mais ils ajoutent qu'il vaut la peine de les
courir. Et ceci n'est pas très courageux.
Du moins M. Tardieu a-t-il soutenu la
thèse que l'évacuation de la Rhénanie ne
doit pas être la conséquence de la seule
ratification du plan Young, ni même de
son commencement d'exécution par la remise
à la banque par l'Allemagne des certificats
de dette ; elle est liée au problème
de la sécurité dont l'occupation est le gage.
« Il faut, a-t il déclaré, que l'Allemagne
accomplisse le démantèlement complet de
certains ouvrages de fortifications. S'il
n'y avait que des apparences de destruction,
cela ne suffirait pas. Dans trois
jours, une note en ce sens sera remise à
l'Allemagne. »
Attendons-nous a de vives protestations
à la réception de cette note.
Mais, en dehors d'IIerriot et des socialistes,
personne ne doit être pressé d'évacuer
Mayence.
KoatepoK et l'Ambassade
H faut s'arrêter aux déclarations faites
par M. Chiappe, préfet de police, au Conseil
municipal de Paris, à propos du rôle
de la police dans l'affaire Koutepoff ; elles
ont le mérite d'une certaine franchise.
— Nous sommes fixés aujourd'hui, déclara
M. Chiappe, sur les circonstances de
l'enlèvement, et des témoignages qui chaque
jour acquièrent plus de force nous
ont renseignés sur le chemin parcouru par
les voitures des ravisseurs et sur le lieu
de la côte normande où le général a été
LE CABINET POLONAIS
M. SLAWER
président du Conseil polonais.
(Photo Wlde-HUTld.)
lundi, à l'ouverture de la séance et
sous la forme d'une rectification au
embarqué. »
procès-verbal. la mise au point néces-
Voilà donc un point qui parait acquis I saire.
pour le gouvernement comme pour M.
Chiappe : le général Koutepoff a été enlevé,
conduit à la côte française... et
embarqué sur un navire inconnu.
Toute la question est là ; et cette certitude
devrait paraître suffisante.
C'est le rôle de la police de rechercher
les ravisseurs ; quels sont-ils? Si
M. Chiappe les connaissait, il n'y aurait
évidemment plus de mystère.
— Par contre, a-t-il dit, nous n'avons
pas de certitude matérielle sur ceux qui
ont conçu et perpétré ce crime, et surtout,
hélas! nous n'avons rien qui nous rassure
sur le sort du général. »
Pas de certitude matérielle ; mais bien
une certitude morale : les ravisseurs appartiennent
au Guépéou, dont les agents, a
assuré M. Chiappe, sont l'objet à Paris
d'une surveillance étroite, ce qui n'a pas
empêché certains d'entre eux de reprendre
ces iours-ci le chemin de Moscou sans
avoir été inquiétés.
Les ravisseurs du général appartiennentils
au repaire de la rue de Crénelle?
— A l'instant où je parle, a dit
M. Chiappe, en me plaçant uniquement
devant l'enchaînement matériel des faits,
je dois dire qu'aucun élément d'information
n'est venu établir que c'est de l'ambassade
des Soviets que sont partis les
ravisseurs ou qu'ils y sont entrés après
l'enlèvement. »
Naturellement! Ils ne sont tout de même
pas aussi bêtes!
Mais ceci dépasse le rôle de la police et
devient celui du gouvernement : le navire
sur lequel a été embarqué Koutepoff n'appartient
cependant pas à la République
de Saint-Marin! Les agents du Guépéou
«rul ont procédé à l'enlèvement, qu'ils appartiennent
matériellement à l'ambassade
ou non, sont de toutes façons des agents
du gouvernement russe.
Alors, qu'est-ce qu'on attend pour supprimer
le repaire de la rue de Grenelle?
Mais rompre ne suffit pas. Coffrer l'ambassadeur
et tout le personnel de l'ambassade
et ne les rendre que contre la remise
de Koutepoff serait une excellente solution.
Mais il ne faut pas attendre que la
volière soit vide.
j

Le Voyage Présidentiel i
en Bretagne
L'ARRIVÉE A PARIS
Pt.ris. 6 avril.
M. Gaston Poumergue, de retour de
son voyage officiel à Nantes et à Saint-
Nazaire, est arrivé hier soir, à Paris, à
23 h. 30, par la gare d'Orsay.
A la Mémoire de M slral
Cannes, 6 avril.
Les fêtes latines de Cannes se sont
poursuivies ce matin par l'inauguration
d'une statue élevée à la mémoire
de Mistral, chantre de la Provence.
La cérémonii avait réuni une
affluence
fort nombreuse fcioUpée autour
des représentants du gouvernement.
Différents orateurs ont pris la parole.
M. Lautier. sous-secrétaire d'Etat
aux' Deaux-arts, notamment, a étudie
le triple aspect dp l'oeuvre de Mistral,
poète à la fois provençal, français et
latin
Les exploits
d'une crim ne' e de 12 ans
Sarrcorûck, 6 wril.
La ville de Sarrebriick était, depuis
une semaine, le théâtre de méfaits dont
étaient victimes de jeunes infants.
C'efct ain«-i que te 31 mars les promeneurs
trouvaient dans une prairk, près
du vieux cimetière
le cadavre d'une
petit:! fille de 3 ans 1/2.
L'enquête, établit que Tentant avait
été étranglée, après avoir été sauvage
ment frappée.
Quelques jours après, quatre enfants
disparaissaient l'un aprèé l'autre.
L'un d'entre eux, une petite fille de
4 anc, nommée Hoff, fut découverte par
des ouvriers dans une rue fort éloignée
du domicile de ses parents. Elle semblait
complètement désemparée et portait
des marques de doigts sur le cou
et des ecchymoses aux paupières.
t'n autre enfant parvint à retrouver
lui-même le chemin de sa maison,
après plusieurs
heure* d'absence. Il
T'icont-' qu'il avait été emmené par une
jeune dame, qui l'avait jeté sur ie eol,
JTHWS de coups tt er.terrt dans le sable.
Deux autres enfants qui louaient
dans un faubourg fuient de même em
menés et revinrent chez leurs parents
portant de* blessures au viease-
Après une enquête extrêmement serrée,
la police a réussi à s'emparer aujourd'hui
de la criminelle, qui est une
jeune fille âgée de douze ans.
Elle a fait des aveux complets, mais
n'a na^ su expli< t er à quels mobiles
elle a obéi.
La jeune criminelle a été confiée a
un hospice.
Savon Caduiti
{Vigoureusement aeutre. t»
Savon (lacturr,
u'irritt pas
ta oeau. '..ouserve iougtemns
après s* lafcriciation inc que
toute ;ract d'humidité cuisse
s'éliminer, il
est parfaite»
meut sec et durt deux lois
plus due itt savons ordinaires
Il à existt put au inonde un
savon meilleur rjour ia
toilette que te Savon Cadum.
Après les
Inondations
TRAVAUX DE DÉBLAIEMENT
Admission des ~ntrepreneur«
aux marchés de art à ûiè passés en
exécution de l'article 18.
§ 10. du
décret du 18 noi-embre 1882. modifié
par celui du 2 avril 1027.
I Demande d'admission
Les entrepreneurs, qui désirent présenter
des offres pour le déblaiement
des décombres dans les départements
inondés du Midi, sont priés d'affirmer
leurs demande d'admission avant ,e
lr avril 1930, à 17 heures, ternie de rt-
K utur ' par lettre recommandée adressée
à M. Crescent, ingénieur en
chef
des Ponts et Chaussées, directeur des
services techniques de reconstitution
des départements inondés,
10. Port
Samt-Etienne, à Tou.ouse, en joignant
.1 leur demande des références permettant
d'apprécier leurs capacités techniques
et financières, savoir :
Pour les concurrents autres que les
Sociétés d'ouvriers français :
1 J Une déclaration indiquant leur intention
de soumissionner
et faisant
cornaitre les noms, prénoms, quai té
et domicile du candidat :
2" Une note indiquant le lieu, la date,
la nature et l'importance des travaux
exécutés par le candidat ou à l'exécution
desquels il a concouru,
l'emploi
qu'il occupait dans chacune des entreposes
auxquelles il a collaboré ainsi
qu> les noms, qualités et domiciles des
hommes de l'art, sous la direction desquels
ces travaux ont été exécutés. Les
certificats délivrés par ces honaies de
l'art pourront être joints à la note.
Pour les Sociétés d'ouvriers
fran
çuis :
1" La liste nominative de leurs membre
1 -
noms, prénoms .domiciles, dat-s
et lieux de naissance) ;
2" Leur acte de Société :
3 e L'engagement d'employer effectivt-ment
aux travaux pendant toute leur
dt rée un nombre minimum de sociétaires
qu elles fixeront :
4 1 » Un acte en bonne et due forme désignant
le délégué chargé de les représenter
et définissant ses pouvoirs comme
:1 est prescrit ci-après :
5° Une déclaration de ce délégué indiquant
son intpntion de soumissionner
et faisant connaîire ses noms, prénc:
qualité et domicile :
6 Une note de ce délégué indfmiant
le lieu, la date. la nature et l'importance
des travaux que la Société a exécutés
ou à l'exécution desauels elle a
corcouru, ainsi que les noms, oualités
"l domiciles des nommes dp l'art sons
la direction dpsonels ces travaux ont
été executés Les certificats délivrés
P^r ces hommes de l'art pourront être
feints à ia note.
U instruction des demandes
Les travaux seront exécutés sir vaut
les prescriptions d'un eahipr dPs charerrs
qup les entre-preneurs adm's
devront
consulter aux lipux et heures qui
leur seront ultérieurement indimiês.
SOUSCRIPTION DE LA CROIX-ROUGE
LES DONS
Paris, 6 avril.
On nous communique la note suivante
•
Dien que la Banque de France ait
j depuis quelques jours déjà arrêté la
souscription publique
ouverte en faveur
des victime* des inondations du
Midi, la Croix-Rouge Française continue
à recevoir à son siège
21, nie
François-Ier. et pour 13 même cause, de
nombreux dons, tant en espèces qu'en
nature.
C'est ainsi que lui a été remis tout
récemment un chèque de 225.000 francs
Ce chèque provenait de l'Union des
commerçants de la rue de la Paix et
de la place Vendôme, que préside
M. Maurice Mellerio.
L'appel que ce groupement avait
adressé a tes adhérents a été entendu
non senlPtnent nar les grandes firmes,
mais aussi par les ouvriers et employés
des établissements.
Contre Ses Maux de Rein
EVIAN
UNE OPERATION OH1RURQIOALE
DÉLICATE
Leipzig, 6 avril.
Un docteur de Leipzig vient de réussir
une opération sans précédent
Un lion appartenant à un cirque de
passage avait eu l'œil endommagé au
cours d'un combat avec un tigre, son
voisin do cage.
L'examen de l'œil blessé, infecté,
montra que la vie de l'animal était en
d>aa?er.
On plaça le lion dans uns cage spéciale,
où il fut attaché, puis anesthésié
en une demi-heure.
Il fallut une heure au chirurgien et
à son assistant pour enlever l'œil ma
iadc de la bête féroce, mais l'opération
rêUtsit très bien et on pense que d'ici
quelquec jours le lion,
borgne il est
vrai, pourra reprendre stt place dans
l'arène.
UN AÉROLITHE DANS LE DOUBS
Dijon, 6 avril
Par suite de la chute d'un aérolithe
dans le Doubs, à Colommier-Chatelot,
une quantité iniombratle de poissons
lut aperçue descendant au fil de l'eau
le ventre en l'air
Les riverains constatant la
bonne
aualité de ces poissons, en firent une
pèche miraculeuse.
ARRESTATION DE VOLEURS D'AUTOS
Saint-Gaudens, 6 avril.
Dans la nuit du 3 au 4 courant, place
du Capitole, à Toulouse, une superbe
conduite intérieure Citroën en stationnement
a été dérobée et mise en marche
dans la, direction des Pyrénées. S5ur
plainte du propriétaire, M. Salamiac,
de Balma, toutes les brigades de gendarmerie
de la région étaient alertées
par les soins de la police mobile et
quelques heures plus tard, entre Saint-
Martory et Saint-Gaudens. les gendarmes,
dont l'activité et la vigilance sont
dignes d'éloge.5. découvraient sur la
route l'auto signalée et sommaient les
occupants de s'arrêter. Ceux-ci étaient
au nombre de six. Tous des jeunes gens
de 17 à 20 ans. Cinq d'entre eux purent
être appréhendés, tandis que le sixième,
le conducteur, s'enfuyaient à toutes
jambes vers Boussens pour disparaître
dans les bois, où on le recherche activement.
Conduits devant M ie procureur de
la République de notre ville, ils ont été
interrogés, déférés
à l'instruction et
écroués à la maison d'arrêt. Us étaient
tous sans argent.
Les cinq prisonniers qui se disent
msnneuvres sont de Toulouse. Ce sont
les nommés : Paul Grazide. Joseph
Jordv, Jean Montels. Henri Garcia et
Roger Maupé. Le fugitif. Emile Gilmet,
égalpment de Toulouse, exerce le même
métier que ses compagnons. Ce serait
l'auteur principal du vol.
UN TRAIN HEURTE UN AUTOBUS
Wellington, 6 avril
Hier, dans la soirée, un train est entré
en coli.sion a un passage à niveau
avec un autobus près de Whangarpi
Six personnes ont été tuées et cinq
blessées dont une mortellement.
DECOUVERTE D'UN CADAVRE
Carcassonne, 6 avril.
Un cadavre méconnaissable et
en
cr.mplet état de putréfaction a été
trouvé, hiers, vers 18 heures, dans une
propriété, sur la rive gauche de l'Orb'el,
près de Villalier.
La gendarmerie de conques, informée,
se rendit sur les lieux. Le cadavre
est celui d'une femme qui porte
lin collier en or. On suppose que c'est
le corps de Mme Benêt, femme d'un
gendarme de Mas rahnrdés, pmportée
par les eaux au cours des dernières
U. ondations.
LUNDI 7 AVRIL 1930
iHlIetia Mértâîona
LA TEMPÉRATURE
DU 6 AVRIL
La dépression dont le centre se trouvait
sur les îles Britanniques se déilaoe
vers le Sud-Est et l'aire des tories
pressions qui couvre depuis piuk
eurs jours le voisinage des Açores,
tend à envahir le continent.
Le vent est très fort de l'Ouest ou de
Sud-Ouest sur nos côtes de l'Océan et
de la Manche, du Nord Ouest en Méditerranée.
Les pluies ont continué abondantes
sur tous le pays.
La température se maintient stationpaire
dans toute notre région avec ciel
nuageux et pluvieux.
A Toulouse
: Temps nuageux et pluvieux.
Pression barométrique a midi : "57.
Temp. a midi : + 8°.
Temp. minima + 6*.
Temp maxima : + 9*.
Vent à midi
: Ouest, modéré.
Soleil : Lever 5 h. 24; coucher :
18 h. 24.
Lune : Pleine 13 13.
Probabilités. - Temps à éclairctes et
a averses
Abaissement de la température.
BULLETIN METEOROLOGIQUE
DE LA TOUR EIFFEL
MASSIF CENTRAL et RÉGION SUD-
OUEST. — Brumeux le matin, puis
r-uagr-ux avec belles éclaircies; rares
averses, vent variable 5 à 6 m.; minir*
um sans changement sur celui de
la veille.
Dans les Ponts et Chaussées
Ont été nommés ingénieurs adjoints
des T. P. de l'Etat, de i' classe, Pontset-Chaussées,
et ont reçu les affectations
ci-après les aspirants Ingénieurs
adjoints des T. P. de
1 Etat, du 2« échelon
les candidats qui ont subi avec
succès les épreuves du concours ouvert
en 1929, ainsi que les adjoints techniques
qui ont subi avec succès les
épreuves de l'exament professionnel
de 1929 : Savoir : M. Fnlalbert (Gers),
service ordinaire bureau de l'arrondissement
d'Auch. en remplacement de
M. Lheureux appelé à d'autres fonctions
; M. Ventre (Gers), subdivision
de Miélan, en remplacement de M. A.
Lapone, retraité
• M. Castellan (B.-P-).
subdivision de Saiht-Etienne-de-Baigôry,
maintenu dans le département :
H Sévène (Gers), subdivision de Masseube
; M. Vergé (Hte-Gne). canaux
du Midi et Latérol à la Garonne, bureau
de l'irigénieur en chef à Toulouse,
maintenu remplacera M. Chauveî,
admis à la retraite le jour où cet
agent cessera définitivement ses fonctions
(trésor)
: M. Bprnard (Hte-Gne),
subdivision de Lurhon, en remplacement
de M. Sors; M. C. Audron (Gers;,
subdivision de Mauvezin
en remplacement
de M Petit • M. Escurevx
(Lot), subdivision de Catus ; M Hargous
adioinl technique de ¥ classe,
nommé ingénieur adioint des T. P.
de l'Etat, et affecté d'ms le département
de la Gironde (Port autonome
de Bordeaux.
ernière Heure 3
"PI
Une Grande Manifestation
à Nancy
UN DISCOURS DE M. LOUIS MARIN
Nancy, 6 avril.
L'Union républicaine démocratique
de Meurthe-et-Moselle a ottsit aujourd'hui
un banquet de cinq
Cents couverts
en l'honneur des deux nouveaux
élus de l'U. H. D. a la Chambre Uct.
députes, MM. fUeder, remplaçant dans
le Haut-Hhin le docteur t j fîeger, et M
Roulleau-Uugage, élu députe de l'Orne
en remplacement de son frère.
Après que M. Camille Blaisot et M.
Edouard de Warren eurent salué leurs
collègues de Normandie et d'Alsace,
M. Louis Mann, président de la Férié
ration, prit la parole il rappela tout
d'abord que la Fédération a toujours,
éans répit ni défaillance, réclamé et
Soutenu la proportionnelle,
système
électoral équitable, efficace, pour ob
tenir la stabilité des pouvoirs publics,
la oaix sociale et stimuler le progrès.
M. L. Marin préconise i'union immédiate
de tous les proportionnalistes :
« Mes amis, dit-H, oublieront que,
pour les mieux frapper, en
1928, les
socialistes ont alors nettement renié
leurs doctrines, qu'ils ont, une fois de
plus, rejeté le vote des femmes que
nous avions alors proposé, qu'ils ont
pour la première fois reieté la proportionnelle
qui avait été un des articles
fondamentaux de leur programme
C'est a eux que M. Blaisot, à la deuxiè
me séance du 5 juillet 1927, disait .
« C'est vous seuls, socialistes, qui port
tez en ce moment et qui porterez
« demain devant le pays la responsa-
« bilité d'avoir fait échouer la R P. »
« Mes amis oublieront dans cette
coopération, que la politique française
a été, depuis 30 ans, empoisonnée iar
le virus socialiste, que la plupart des
maux qui ont accablé le pays viennent
de l'action collectiviste et surtout de
son emprise sur les partis politiques
dits de gaixhe. que depuis 30 ans 1»
parti socialiste s'est toujours trompé
notamment en politique extérieure
à
toutes les occasions. Mes amis ne
perdront pas de vue que leurs propres
principes dont ils entendent assurer le
triomphe, sont en contradiction
absolue
avec le marxisme.
Leurs efforts
doivent tendre notamment à le combattre
visoureusement dans tous les domaine*.
Mais ils pensent que quand
une chose est juste et féconde, les efforts
de tous les partis doivent lovalement
s'associer et que c'est la iustement
l'appl'cation d'un des principes
efficaces de la proportionnelle, nue
cle réformes vivifiantes pourraient être
ainsi réalisées. »
E ed'on Csn'ona'e
AU CONSEIL GENERAL
Tulle, 7 avril.
Canton de Salnt-Privat, votantu 1404.
\ obtenu : M. de Jouvenri, sénateur
de la Corrèz^, 1.248 voix, éiu.
U s'agissait de remplacer M- Mons,
démissionnaire.
/.U CONSEIL D'ARRONDISSEMENT
Clertnont-Ferrand, 6 avril.
Voici les rési itats de l'élection
au
rxt seil d'arrondissement qui a eu lifU
ai'ourd'hji dans le canton de La Tourd'Auvergne.
MM. Gay lier radical-socialiste, 892 v.
toi)
; Docteur Paul Godonesay, républicain,
891 voix.
Il s'agissait dendant
que Chiron
semble perdre un peu de terrain
à chaque
tour.
Quelques tours seulement restent à
effectuer. Dreyfus est toujours en tête,
suivi
ft 2' par Chiron, Bouriat, Zaneili et
Zeenrler. Puis c'est
te dernier tour. René
Dreyfus, follement applaudi, franchit la li»
gne d'arrivée quelques soconles avant Chiron
: il a paené en très grand champion;
ayant conduit beaucoup plus avec S"H
cerveau qu'avec sa voiture.
Cette belle victoire confirme sa classe.
en
3 h,-
; 2 Louis
«*•*" i 3\
Le classement
t René Dreyfus sur Bugattt,
41' 2" 3'5, moyenne 86 kil. 317
Cliiroa" sur Bugattl. en 3 h 4P
Ronriait, sur Busrattl • 4Y Zanellt, «ur
Rugatti ; 5*, Zehenoler, sur Busrattl,
Pari mutuel : Rapports : Dreyfus, gagnant,
74 fr.: placé, 21 fr.; Chiron, 3S fr.S
Iiouriat, 46 fr.
Feui eton Scien' tique de 1' « Express du Midi»
Une nouvelle planète
découverte par delà « Neptune
recule de cinq milliards de ki'omètres les limites attribuées
à L'EMPiRE DU SOLEIL
»
S'il est exact qu'une neuvième
1 très se trouvent, par rapport au sofliusse
planète ait été repérée dans
; leil, en ligne droae, autrement dit
le* profondeurs du ciel, à quelque 1 '
Cinq milliards de kilomètre» de la
Peu d'astronomes supposaient
qu'Un pareil tour de force pût être
renouvelé ; et pourtant, si la découverte
qu'on nous annonce est définitivement
vérifiée et reconnue exacte,
ce 6ëra bien une seconde preuve
de la puissance dù calcul puisqu'on
devra cette découverte aux recherches
entreprises pour expliquer les
perturbations dont on s'est aperçu
que Neptune était à son tour l'objet.
Cette découverte dont on parle n'a
donc, en vérité, causé aucune surprise
extrême dans les milieux astronomiques.
Son importance es'
néanmoins considérable puisqu'ainsi
se trouve reculé jusqu'à, des limites
insoupçonnées et presque insoupçonnables,
l'empire de notre Soleil.
C'est, en effet, Neptune qui détenait
jusqu'à ce jour le peu enviable
plus éloignée jusqu'à présent connue,
il n'y a pas lieu de s'étonner
outre mesure.
Il y a longtemps qu'on soupçonnait
l'existence de ce monde supplémentaire
sans qu'on fût jamais parvenu
a l'identifier.
La découverte de Neptune par Le
Verrier, en lîS46, devait fatalement
conduire les t.bservateurs et surtout
les calculateurs à fouiller les espaces
et à se demander si vraiment le
système solaire s'arrêtait aux limites
imposées à l'homme rar la précarité
de ses moyens d'investigation ?
De même que la découverte de
Neptune était due à des perturbations
observées sur Uranus, la recherche
de la nouvelle planète était
justifiée par des perturbations analogues
observées sur Neptune.
Les autres, en effet, exercent, les
un
sur les autres, une action perturbatrice
qui provient de leur force
d'attraction et il va de soi que cette
force d'attraction s'exerce plus manifestemen'
lorsque ces astres se
renconttent dans 'es mêmes parages.
Or, les planètes tournent sans
cesse autour du soleil qui est leur
maître, mais elles tournent suivant
dés orbites différentes, de plus en
plus éloignées, et naturellement dans
des temps qui correspondent aux distances.
Cependant, il arrive qu'à un moment
donné quelques-uns de ces asqu'ils
peuvent, au cours de leurs pérégrinations,
se trouver côte à côte.
C'est alors qu ils rubissent les effets j record de la distance en tant que
d'une attraction à laquelle il leur
i planète. Ce monde, 78 fois plus voest
impossible de se ; soustraire et
leur marche normale
s'en trouve
plus ou moins modifiée.
Inutile d'ajouter que les retards
ou détours imposés à la translation
d'un astre lorsqu'il en croise un autre
ou qu'il passe dans ses environs
sont d'un ordre infinitésimal et ne
sauraient être remarqués des simples
curieux. Il faut, pour les noter
et en mesurer l'importnnce, toute
l'attention des Astronomes vigilants
et toute la précision des instruments
dont ils se servent.
C'est en calculant les origines et
les causes de ce genre de perturbations
6ubies par Uranus que Le Verrier
parvint à préciser le volume et
ln distance de la planèt» qui devait
lumineux que la Terre, circule silencieusement
à quatre milliards
cinq millions de kilomètres d3 notre
Soleil qui est aussi le sien. Il lui
faut 164 de nos années et deux cents
de nos jours pour faire le tour complet
de l'Astre de lumière
; ou, si
vous préférez, la Terre fait cent
soixante-cinq fois le tour du Soleil
pendant que Neptune arrive péniblement
à boucler son circuit. Il ne
doit pas en être plds fier pour ça.
Tandis que nous bénéficions d'un
Soleil magnifique et toujours bienfaisant,
Neptune ne l'aperçoit que
comme un petit disque lumineux mélaneé
aux étoiles du ciel... Ce petit
disnue lumineux est cenendant assez
ouïssant pour envoyer sa
lumière
d'un globe de feu situé à une distance
telle qu'aucun d'entre eux ne
pourrait le voir à l'œil nu !
C'est bien ainsi, pourtant, que les
choses se passeraient s'il était possible
qu'il y eût des habitants à la
surface de ce monde. Rassurez-vous,
la vie n'est pas allée nicher si loin.
A l'exemple de ses congénères de ces
parages, la planète en question n'est
qu'une gigantesque boule de matériaux
incandescents emprisonnés
dans une épaisse enveloppe de gaz
et de vapeurs surchauffés. Les planètes
de ce genre 6ont incapables
d'héberger la moindre trace de vie
et n'ont même pas l'espoir compensateur
d'un avenir plus hospitalier.
La découverte qu'on vient de faire
est trop récente pour qu'il ait été
possible de réunir des indications
précises. On nous dit
simplement
(et c'est déjà beaucoup) que le diamètre
de l'astre trans-neptunien serait
d'environ trente-deux mille kilomètres.
Il s'agirait donc
d'une planète
moins grosse que
Neptune, lequel
possède un d in mètre de 55.000 kilo
mètres
; mais il s'agirait aussi d'une
planète beaucoup plus grosse que là
Terre, dont le diamètre ne dépasse
pas 12.750 kilomètres.
C'est en somme un astre d'une
très réelle Importance qui vient augmenter
d'une appréciable unité lâ
grande famille planétaire dont nous
faisons partie.
senté par douze de nos années. On ]
lui connaît neuf satellites.
Saturne vient ensuite et peut prétendre
au grade de Lieutenant-Colonel.
Son volume est 475 fois celui
de la Terre
; sa distance moyenne
du Soleil est de
1 milliard 500 millions
de kilomètres. Elle met un peu
plus de vingt-neuf de nos
années
pour accomplir son voyage autour
du Soleil
; dix satellites l'accompagner'
et un superbe anneau d'astéroïdes
complète la majestueuse
splendeur de ses paysages nocturnes.
Uranus et Neptune, respectivement
03 et 78 fois plus gros que la
Terre, peuvent être considérés comme
des Commandants issus de la
même promotion. Uranus fait un
tour complet autour du Soleil en
84 ans et Neptune, comme nous l'a- 1
vons dit plus haut, a besoin de 1G5
an c pour terminer cet exercice. On
connaît quatre satellites à Uranus
tandis qu'un seul a pû être repéré
autour de Neptune.
La nouvelle planète peut légitimement
se voir attribuer le grade
de Capitaine.
Avec
la Terre et: Vénus, nous
tombons dans les grades de début.
lieutenant à ce pauvre Mars, sept
foi.? plus petit que nous et pourtant
bien prétentieux puisqu'il voudrait
nous faire croire qu'il est haWté et
que ses habitants nous sont bien supérieurs
I
Enfin, ne refusons pas le grade
d'Adjudant-chef â Mercure, vingt
fois plus miniscule que la Terre et
tout juste deux fois plus gros que
notre lune. Mercure possède l'avangorique
que M. l'abbé Moreux, le
savant directeur de
l'Observatoira
de Bourges.
Dans son grand ouvrage. « Le ciel
et l'univers », paru en 1928, l'abbe
Moreux avait fourni des précisions
remarquablement exactes sur l'astre
évei.r iel.
Envisageant la distance à laquelle
un te! corps céleste devait forcément!
se irouver, il indiquait le chiffre do
tage (si c'en est un) d'être le plus . 47 unités astronomiques, soit 7
rapproché du soleil dont, à certaines
époques, il n'est séparée que
par 50 millions de kilomètres. Sur la
face exposée aux rayons de l'astre
du jour, les marchands de fourrures
ne doivent pas faire fortune
'
Passons aux Troupes maintenant.
Un millier de planètes les constituent
: un millier de planètes qualifiées
de télescopiques parce que le
secours de puissants instruments e.-t
indispensable
pour le.= apercevoir.
Elles défilent continuellement, en
ordre dispersé mais stratégique,
dans l'intervalle qui sépare Mars de
Jupiter, les plus grosses ont des diamètres
de 4O0. 350, 270 et 200 kilomètres.
Ce sont des géants par rapport
à celles qui les accompagnent
C'est tout juste si ces deux planètes,' puisqu'un certain nombre de ce.= derles
occasionner et la précision de ses j Hisqu'à cette distance et projeter suri t
Si vous voulez posséder une image
calculs était telle qu'il put même in-ila surface de la olanète lointaine
diquer l'endroit du ciel où on était I l'éclairage qui nous permet de l'obsûr
de h trouver...
A quoi servirait de répéter que ce
fut là une des plus belles découvertes
dn calcul astronomique. La planète
en question se trouvait, en effet,
à l'endroit indiqué
: c'est Galle
qui, le 23 septembre 1846, l'aperçut
pour la première fois à l'observatoire
de Berlin, en dirigeant son télescope
sur le point du ciel que
vingt jours auparavant Le Verrier
avait signalé à l'Académie des sciénces
1
«erver.
Or. la nouvelle planète est infiniment
plus éloignée.
Selon toutes les probabilités, c'est
à une dizaine de milliards de kilomètres
du Soleil qu'elle circule et
c'est encore la puissance radiante
de ce Soleil oui l'illumine au point
de la rendre visible...
Imaginez l'ahurissement des Etres
auî poiirrnfpnt vivre là s'ils apprenaient
par leurs Savants que lâ pâle
lumière dont ils bénéficient provient
frappante de cette famille, il suffit
de la comparer à un régiment possédant
un Etat-major et des Troupes.
L'Etat-major est constitué par
les grosses planètes dont voici la
hiérarchie, si nous leur attribuons
des grades correspondant à leur volume
:
C'est incontestablement Jupiter qui
mérite le grade de Colonel Jupiter
est 1.205 fois plus volumineux que la
Terre : U est situé à une distance
moyenne de 77? millions de kilomètre
du Soleil, aulonr duquel il
tourne en un laps de temps repréqui
sont de grosseur à peu près iden
tique
et d'âge probablement égal,
méritent de figurer en
qualité de
lieutenants dans le régiment qui manœuvre
autour du Soleil. Vénus et
la Terre sont deux sœurs jumelles
séparées par une distance d'à peine
41 millions de kilomètres ; Vénus, il
est vrai, se chauffe plus que nous
puisqu'elle est plus pies du Soleil,
dont elle est éloignée seulement de
10^ millions de kilomètres, tandis
que nous sommes à 149" millions et
500 mille.
Les partisans de la pluralité des
mondes habités pourraient, avec
quelque logique, :ituer des habitants
a la surface de notre proche voisine
qui présente tant de frappantes analogies
avec notre slobe privilégié. ..
De cette question nous reparlerons
peut-être un lour pour
la satisfaction
des esprits curieux que trouble
cette énigme.
Terminons notre
distribution de
grades en accordant le titre de Sousmiiliards
de kilomètres. Or, c'est bien
à cette distance du soleil que la nouvelle
planète promène sa splendido
et froide sérénité
Mais voici qui est encore plus remarquable
• l'abbé Moreux écrit : « Tout
compte fait, la planète hypothétique
serait actuellement dans la constellation
des Gémeaux ! >
C'est bien dans les Gémeaux, en
effet, ou plus exactement dans la
perspective de cette
constellation,
que brille (si on peut dire) la planète
en question
Enfin, le savant directeur de l'observatoire
de Bourges ajoute que
l'astre à découvrir doit être repré- '
senté par une étoile invisible à IMStl
n'i de onzième ou treizième grandeur
et que sa masse doit être d'environ
deux fois celle de la Terre.
Ici encore, tout semble confirmer
les prévisions de l'abbé Nloreux.
nières n'ont pas un diamètre supérieur
à 25 kilomètres !
La marche régulière et la bonne
tenue d'un tel assemblage d'astres
! C'est bien l'apparence d'une étoile de
gros et petits nécessite un contrôle
permanent et sévère. Ce sont certainement
les Comètes qui en sont
chargées. Astres essentiellement vagnbonds,
toujours en campagne, les
comètes parcourent les espaces infer-planétaires
en tous ?ens et sans
arrêt, probablement pour s'asturer
que tout va bien...
En dehors de cet emploi et du soin
qu'on leur laisse de nous approvisionner
en étoiles filantes, on ne
leur connaît aucune autre destination.
* *
Pour en revenir à l'astre nouveau
et terminer par là. il est à la fois
jUSte et intéressant de signaler uue
si de nombreux astronomes avaient
envisagé la possible existence d'une
Planète trans-neptunienne. aucun
n'avait été plus précis ni plus catéquatorziètne
grandeur (ait lieu de
treize) que revêt la pianète transneptunienne.
Pour ce qui est de sa
masse, il faut attendre de plus amples
renseignements, mais, d'ores et
déjà, elle est considérée, ainsi que
nous l'avons dit plus haut, comme
intermédiaire entre celle de la Terro
et celle de Xeptune, ce qui correspond
assez exactement à la proportion
indiquée par l'abbé Moreux.
Ne nous hâtons pas trop, cependant,
d'enregistrer de t.ellss précisions
car
I astre est étudié on ce moment
avec le plus grand soin et d

LUNDI 7 AVRIL 1930
ÏÎ1
PORTIVE
W^T: «GS- TO
CAMEL Jeune,
du T. 0. E. C, qui a
lu!
aussi
joué
Carcassonne.
S?,
TANDIS QUE LES CHAMPIONNATS CHOMAIENT...
La France écrase l'Allemagne par 3i à 0
Championnat ie Frase
DIVISION D'EXCELLENCE
Les Poules de Trois
A LIMOGES
A. s. carcassonne bat C. A. Villeneuve j ^Xmpsrt'
par 13 points (2 essais, 2 buts,
un fout sur coup franc* a 3 (un essai)
berlin, 6 avril.
Le match France-Allemagne s'est disputé
aujourd'hui à
Charlottenbourg
par un temps couvert, mais très favorable
au jeu.
A 16 h 30 les deux équipes pénètrent
sur le terrain, les joueurs se présentant
deux Par deux.
L'assistance écoute debout et découverte
la Marseillaise, tandis qu'un petit
dirigaable survole très bas le terrain.
On lance le ballon qui servira au
match Le coup d'envoi est pour l'équipe
allemande.
Après quelques minutes de jeu, sur
remise en jeu à la touche, les troisauarts
français so lancent à l'attaque ;
une feinte de Bailiette, une passe à.
Taillantou et celui-ci marque un essai
non transformé.
France, 3 points
; Allemagne, zéro.
Les Français dominent nettement; ils
trouvent une touche à 10 mètres de la
ligne de but adverse et nos avants
marquent en force un essai transformé
France, 8 Doints
• Allemagne, zéro.
Ensuite survient une incursion aile
, mande dans le camp français, puis une
Cette rencontre avait attire un ires série d8 p asses entre Galia, Serin et
nombreux public et l'on vit du joli jeu MaieruS( qm conduit celui-ci à l'essai,
entré ces deux belles équipes | Ambert transforme : France 13 points.
D'entrée Carcassonne réussit un but ; Allelï!afrne 0 .
sur coup franc par Domec yiheneuye , La tie con{ , nue toujours à l'avan
n'est pas désempare et reste longtemps { d
français.
dans le camp adverse
j f
Le jeu va d im camp à 1 autre et sur
BIOUSSA
La troisième ligne Internationale de l'Equipe do France
GALLIA
RI3ERE
mêlée aux 22 de Villeneuve Bastié. de i ~
tarcassonné. évitant plusieurs adver- 1 SV__
saires va marquer le premier essai < gauvcnt. Des 50 mètres, Théodoly
près des poteaux. Domec transforme.
Carcassonne
: S points.
Des coups francs sont distribués de
comme de » "tre, il apparut qu'il man*
quait à la r '.vision d'attaque le fini
sans quoi
tes défensives les mieux
part et d'autre sans résultat. Rouzié, t coriçues SOnt t ouées à. l'insuccès,
de Villeneuve tente le drop qm est ; Bort, s'affolant devant les buts,
manqué et Carcassonne arrive sur les 'manqua niusieu -3 occasions, tandis
buts de Villeneuve. Sur sortie de me-;
Saint.ciaud'e éc'iouait pfes de la
lée la balle passe entre tous les trois
quarts et Domec marque et transforme.
Carcassonne : 13 points. Villeneuve • 0.
A la reprise, un bon coup de collier
Villeneuve, mais par manque de
décision de belles cttaques échouent
«près des voyages
camp à l'autre.
ligne bip.-u he quelques nrnutes après
dans des co.imtions à peu près analogues.
La physionomie du jeu ne se modifia
pas au cours des prolongations et
il fa.lut à Bort l'imervention de son
de la balle d un | arr ière à un moment où la fatigue
commençait à
se* faire sentir chez les
Villeneuve a le ballon; à la sortie aulres loueurs pour que la finale Bortd'une
melée e tsur attaque des trois- ; saint-Claude ne se rejoue pas.
fluarts Azaïs marque en coin sauvant Dans t-enseirible, s'il eut plus de
l'honneur Villeneuvois car la fm est f01. gue , une action plus soutenue du
eifflée peu après. côté de Bort, où Orthaix, Levêque,
A Villeneuve, Azaïs, Montade, Rous- Castet se distinguèrent en avants et
Sié sont à signaler. ; _ Mignard, Maigrin, Jonquet en lignes
A Carcassonne, Domec le meilleur i arr j eres gaint-Caude donna l'impresdes
trente, Bastié, Pons, Mas
sien d'un meilleur jeu ; les échappées
Arbitrage impeccable de M. Jasmin. dp R0zier en avants, les contre-atta-
DOUDET.
MATCH DE CLASSEMENT
A NARBONNE
Vienne bat Saint-Girons par 10 à zéro
(sieux essais tsansiormés)
MaJgre ie soieii, peu de monde . sur
Je terrain. Avant la partie, Saintt>
us ..i uey -ooi LU*-t ùL-t-'vix/c geii-re du
jieurs naturelles au pied du stèle
éibVé, sur ie terrain, aux morts du
R.-C Narbounàis.
Ce geste est fort
applaudi. C'ei* M. Bewxaji, du Langueduc,
qui va arbitrer la partie. Saint-
Oirons de présente en blanc et noir ;
(Vienne en b.eu.
Dès les premières minutes, Vienne
fovorisé par ie veut, va marquer un
jibperoe ossai qui est traiisiorinô.
.'. la repr-se, fcaini-Gu-uus, supérieur
(Pli iitéiee ai en touene, va imposer soin,
jeu à l'adversaire et ia nu-iemps est
siïf&e sans qu'il arrive a pouvoir conclure.
La deuxième mi-temps a été une déception
pour ie puuiic sportif. Alors
qu'on s'attendait a une bei^e partie de
âaini-Gii'oiis, ce club défaille.
A la sortie de la mèiee, ie ballon va
constamment à Vienne, qui en profite
pour lancer ses trois-quarts, mais la
déiense ne laisse rien passer.
Quelques minutes avant la fin, un
Viennois s'échappe et va marquer entr>
les poteaux un nouvel essai qui
£85 transforme.
La fin est peu après sifflée. Malgré
que Vienne au gagné, les deux équipes
se valent ; il manquait à Saint-
(Qirdns beaucoup d'entraînement.
L'arbitrage de M. Beltraa tut correct.
%s AUDOUY.
DIVISION D'HONNEUR
ques de Livan en trois-quarts ou encore
les départs de l'aile droite ne
manquèrent pas d'allure et il leur
manquait peu de chose pour qu'elles
aie missent. Peut, après une bonne première
mi-temps, fut assez inégal ; l'arrière
de Saint-Claude, de son côté, fut
souvent maladrvit. — GRELET.
DIVISION DE PROMOTION
A CLERM ONT-FER R AND
A. S. bonuise bat F. C. Samt-Claude
par 5 a 0
Depuis la gianue tmaie A, S. Montïeiru.iiud,ise-x-.iaiiiiz,
uuiit les spoi'IUs
towueitiio giiiueiuiit longtemps le sou-
Veuir, i Uinixie |ju,iae pu LU te- titre de
division u uouuuui u a. guère mente
JnieuA. que l ejjiuiele û bunurable.
i-ia liadie qui ujjjjobuit au autue Mu
mciuai ue Cie>iu'utu l'A. £J. Bonuise au
i. c. ue s>iiiiH-uiauuu est restée aans
cette noimete uauiuon. cette rencontre

LUNDI 7 AVRIL 1930
TOULOUSE
»»»»»» WgQtgC€€««
monnaies contenant chacun une petite som- 1 LE TRIAHON. — A 3 Heures et l
me et des papiers ; â la Compagnie des j g heures, les Mufles ; *Wm r *'*n*
trims, un sac à main, deux paquets et i , _ onvaL — A 3 heures et à 9 h.
13 parapluies ; à Mlle Be-se, rue Tourne-'
feuille, 52, un portemomiaie contenant petite
somme a M Lapierre, rue Raspall, 47,
IA JCtnKff
DU 7 AVRIL 1930
Saint du jour . Saint Ciotaire.
Fête à souhaiter
Saint Albert.
•»-* 20 h. 30, Thc/ître des Variétés •
« La Hulls lioyce ».
BILLET TOULOUSAIN
PUDEUR
C'est un spectacle vraiment charmant
que ces deux inélégants édicules
qui encadrent avec tant d'harmonie
le Jardin Royal.
L'un d eux, au cours d'un excès de
S'il était besoin de donner une
preuve supi léttn-ntaire de
ta vitalité
de ce groupement et des servi ;es qu'il
rend à ses adhérents, les chiffres que
nous pouvons donner sur son «effectif
compiré à c°lui de l'an dernier, le
nombre d'emplois de toute sorte qui
ont pu être attribués, «nfin les nombreux
serviras rendus sont édifiants.
Mais il nous semble utile seulement
de donner Ici que quelques thiffres résultant
du succès des divers examens
pennimt l'année l**^.
.erliflcat d'nptitiule professionnelle :
sur 10 candidats présentés,
10 candidats
reçus.
— j'ajoute, nous dit le président, que
la plupart d»s récompenses attachées
à ces examens ont été attribuées à
nos élèves. »
Certificat teneur de livras de la société
de Comt tabilité de France
. le
decrré
27 candidats présentés, 20 candidats
r°çus
DinWme d° comptable, 2» degré. 3
Ttndeur de, 'notre municipalité fut candidats présentés, 3< :andiditss reçus,
puueur ue notre municipalité, iui Les difficultés et l'importance des
dernièrement barricadé, mais la I quêtions posée? à ces examens aucrques
bâtisse demeura. Elle se cacha, mais
! mentent
ne se rendit pas !...
L'autre, arrogant et cynique, offre
à tout venant une hospitalité indiscrète.
Le Jardin-Royal, un des plue calmes
et des plus agréables de nos
jardins, est habituellement fréquenté
par les « nounous » et les jeunes
mamans qui accompagnent leurs
bambins.
Tout ce petit monde ne comprend
pas très bien
le service que ce
monument indécent peut rendre à
l'humanité souffrante.
Or, un pauvre aveugle sollicite
tout près de là la charité des passants.
Ce n'est pas de sa faute si, de
temps à autre, il accepte, guidé par
son chien, de rendre à César ce qui
est à César.
Seulement cet édieule, vestige
d'une civilisation arriérée, est ouvert
à tout venant et le pauvre homme
n'y peut rien... pas plus du reste que
pos
la «ati [faction que ces résultats
procurent aux maîtres avisés qui
composent l'Association des chefs
compiables
A l'issue de cette séance professionnelle,
la gr mdé médaille de vermeil
de l'Association des Comptables d la
vill de Toulouse a été rétribuée à M.
Jupnont, ingénieur des Arts et Manufactures
inspecteur départemental de
l'Enseirhement technirne
Le soir, au rand Hô t el. une soirée
dansant- réunit à nouveau les convives
et leurs familles.
Dans nos Facu'tés
DOCTORAT ES-SCIENCES
Le lundi 7 avril 1930, à 16 h. 30, dans
l'ancien amphithéâtre de chimie de la
Faculté des Sciences, allée St-Micbe,
M. Gaston Rapin. ingénieur-chimiste,
ineénieur-électrochimiste, licencié *sscieuces.
soutiendra ses thèses pour
l'obtention du titre de Docteur de l'Université
de Toulouse mention : chimie),
sur les sujets suivants :
1« thèse : « Préparation électrolytique
tous ceux qui le précèdent ou qui" le ! direrl«. du permanganate, de potasse »
suivent.
En reléguant sous terre, allées
Lafayette, ces petits coins discrets,
M. le maire a bien agi.
U agirait beaucoup mieux encore
en rasant ceux qui sont une offense
à la pudeur. — R. B.-D.
2° thèse : Proposition donnée par la
Faculté : « Le cimant »s
Le 43 e Anniversaire
de l'Association
des Comptables
LE BANQUET ET LE CONGRES
Tous les ans cette très vivante association
se réunit. Ces manifestations
servent à resserrer les liens qui doivent
exister entre les membres d'une même
grande famille.
Calypso a, aux Ponts-Jumeaux,
Congrès
des Anciens Combattants
E r MUTILÉS DE LA GRANDE GUERRE
Faits Dîwrs
PERTE OU VOL
M. René Boussu, voyageur de commerce
ddmeutant boulevard d'Arcoie,
44, a porté plainte contre la personne
inconnue qui a dû trouver la carte
grise de son automobile et n'en a pas
lait la déclaration au bureau des épave
à4
MOTO ET AUTO
Dimanche matin, vers lo heures, une
collision s'est produite, à l'angle de ia
rue de Metz et de ia rue de la Bufse,
entre une auto conduite par son propriétaire,
M. Antonin Rami, âgé de
48 ans, boulangér, demeurant rue des
36-Ponts, 95, et une motocyclette con
duite par M Antonio Sylvestre, âgé de
27 ans, chaudronnier, 13, boulevard
Lascrosses.
Tout s'est borné à des dégâts matériels.
RENVERSEE PAR UNE AUTO
M. Sacaze, commissaire de Perma
nence. a ouvert une enquête au
: ijei
d'un accident survenu, dimanche, vers
2 heures de l'après-midi, rue de Languedoc,
à Mme Savlgné, concierge, demeurant
rue Vélane 16.
Cette dahie aurait été happée et renversée
par une automobile,
COLLISION
Dimanche, vers midi, une collision
s'est produite avenue de Lyon, entre
deux automobiles, conduites respectivement
par M. Elie Armengaud, encadreur,
demeurant avenue de Lyon, 10,
et par M. Gabriel Salvan, camionneur,
domicilié rue Dieu. 3.
M
Sacaze, commissaire de Permanence,
a ouvert une enquête.
A SAINT-MICHEL
Le sous-brigadier Décamps et Tarent
Trêmesaygue ont conduit au service
de la Sûreté Marie-Louise Bergès. âgée
de 21 ans, laveuse à l'hospice de la
Grave
Après enquête de M. le commissaire
de polire. chef de
la Sûreté. Marie-
Louise Bergès a été convaincue de vol
et déférée au Parquet.
Conduite dimanche devant M. le procureur
de la République, cette darne
a été, après interrogatoire, écrouée à
la prison Saint-Michel.
LA CAISSE DISPARAIT
Sur plainte de Mme Jeanne Dufaur,
âgée de 43 ans. propriétaire, demeurant
4. rue Riquet, une enquête est
ouverte contre inconnu, au
1 er arrondissement
de police, pour vol d'une
caisse à ordures, d'une valeur de
60 francs.
sports et Réparation Militaire
Le Premier pas
An contraire des années précédentes, le
l'renuer Pas était cette lois réserve aux
ctureuit. débutante âges de 15 aus au moins
et
18 -ans ,iu plus du département de la
liaute Garantie
Cfct l'Union Vélocipédique de France qui
en a as-uiè l'oiganisation et a rendu le
Piemier Pas épreuve officielle.
V- victoire est revenue au jeune Bittard,
du Guidon *>aim Cyprien.
Les opératims préliminaires étalent présidées
par M. Ceernonco'trt, directeur de la
succursale .Junlop de Toulouse, assisté de
MAI. Foissac, Lagardealle et du personnel
sportif du comit- départemental.
A 14 h.
5, après l'appel des concurrents,
co^ deraniers, piécédés de la voiture officielle,
ont ité dirigé
vers le bas de ia
Ci» de Lasoorde, où a été donné le départ
par
M. Lueuls, a 13 b"ures.
Le. arrivées étaient Jugées par M. Lucius.
en haut de ia côte de Lasborde-. Là. une
foule très nombreuse, de même que le long
J» la côte stationnait bien avant l'heure
probables de l'arrivée.
A
16 h. '5 exactement arrivent, espacés
de quelques longueurs, 13 routiers.
Eittard, du Guidon Saint-Cyprien, dans
ur prodigieux effort passe premier la ligne
d'arrivée IUX acclamations d'une foule enthounaste.
Le clas-ement des 10 premiers
s'établit
donc ainsi
-, 1. Bittâid, du Guidon Saint-
Cyprien, couvrant le» 48 kilomètres du par.
ceurs en 1 h. 45, sur bicyclette France-
Siort Hutc'linson ; 2. Gleyzes ; 3. Ger ;
4. Salvan ; 5. Artus ; 6. Feyre ; 7. Consti
ns ; g. Lhêman ; 9. Pons ; 10. Colomer.
Insulte
: Moncassin. Drjean, Dupuy, etc..
un stylo
; à M. F iuré, route de Fronton
liée mètres de ta barrière), un vêtement
d'homme
; a M. Bordes, rue Jonas, 24, un
le • à C
; à M. Renard, boulevard d'Artillerie,
34, une m.inivf Je d'a.ito
; * M. Mortel,
rue Notre-Dime
marques G'^age /rat ; voit .rr?
oui,nées a ia vent?
Persn 'rinftï fi 0 -iipîn'
a.-neter auto visitez notr» ?arw*
12. rue Cou staminé roupuise. Maisor
le confiance l'élepbonp 29 80
I
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geoise. — ( onseil d'adur uistration de la
Si tiété de Secotrs Mutuels L'Ariégeoaise,
peur l'année 19K0-1931 :
Président M Franck-Berranger ; viceprésiadents
. MM. Charles Itou-sel, Jean-
Pierre Galy, Antonin B nnet ; secrétairegénéral
: M. Elie. Sègué'as ; trésorier gé
i éral : Alex s Souca re ; secrétaire-adjoint :
Jeau-Baptiste Loub_'t ; trésorier-adjoint :
M. Jean Naudy ; receveurs .- M. Léopold
fù'Uas (sud)
; M. Thêotiore Maury (centre);
ri Pierre eossat (nord) ; M. Jean Amilhat
(t uest) • visiteurs : M Jules Labeur (sud) ;
M Joseph 1 enjean (centre) ; M. Jean Autl.ier
(nord) ; M. Elie Caminat (ouest) ;
ar ministrateurs : MM Pierre Caban, Jean
louis Allot, Jules
D'auche, Jean Pierre Surra,
Edmond Delr'eu, J?an Gros.
Trouvailles. — Reclamer
: à Mme CapdevilK,
ca-erne gendarmerie à pied, des bouts
d i fourrures ; M. Laurent, propriétaire
s Arqués, commun- de l'tsle-Jourdain, un
c! ien fox lui l'a suivi de Toulouse chez
l i
; à M. Marioto, à la Juncasse, un portefipille
contenant somme et papiers
; à Mme
Lculnac, rue de 'a Concorde; 53, un chien
policier ; a M. Lannes, inspecteur à la
Compagnie du Midi, une bague alliance ;
aii chauffeur de taxi n»
116. une paire de
Sfents de dame noirs
; à M. Olivier, rue
Bculbonne, 52, une trousse d'étudiant
î.i
Pech, »ue Gatiei-Arioult, 47, deux bavertes
; à M. Cabos, h Venerrrae, une
THEATRE DU CAPITOLE
Demain mardi, â 20 h. 30. lo favlaXa,
avec Urnes Vaya Yakowleva, Broqua, Gûillandeau.
MM, Heurtier, Valmoral, Albony,
Mouchez, Parayre, Nicolas, Mestre. Le
ballet Le Jugement de Colombtne, scénario
de M. Pierre Castex. notre compatriote, (ils
de l'ancien directeur du Graud Thiâtre de
Bordeaux, dansé par
Mlles Davin, Tectieney,
Dtisnon et les Dames du Ballet.
Mercredi, soirée de nienfaisance au b*
netlce
»s frondés du Midi.
Jeudi, à 20 h. 30. pour les adieux de
M
Heurtier, Mme Vava Yakowleva dans
Manon, avec Mmes Broqua, Goillandeau,
de Gilmore, Boubes. MM. Heurtier, Pauke,
Komette .Aibony, Cazeaux, Parayre, Mestre,
Malicet, Nicolas.
Samedi, à
20 h. 30, soirée de gala au
bénéfice de la Caisse des Ecoles, La Dame
manche, avec M. Villpbella.
Dimanche, en matinée, à 11 heures, dernière
représentation des Maîtres-Chanteurs
de Nuremberg-,.
En soirée, à 20 h. 30, pour les adieux de
M. Valmoral, Hamlet
Location ouverte pour mardi et mercredi.
Pour jeudi, mardi matin, à 10 heures.
Pour samedi. Jeudi.
Pour dimanche, vendredi.
THEATRE DES VARIETES
Ce soir
: la Rolls ROyce,
LES FILMS DE LA SEMAINE
Au Gaumont
Après
le chanteur de jazz, voici l'Escadre
volante qui fera a sou tour courir tout
j Toulouse au Gaumont.
i
Charmante histoire que celle de l'Escadre
Iclante où l'amour se
mé.le au danger,
| mais histoire doublée d un documentaire
i précieux car ce film nous fait assister à
! iclosion d'un as de l'aviation dei uis le
tour où il entre à
I école navale jusqu'à ce
qu'il s'élance avec maîtrise dans ie ciel.
La héros en est celui qui conduisit Ben
B'dr au sui.cés
: Ramon Novarro.
C'est assez dire tout
''intérêt que peut
présenter ce film pui-que à l'avantage de
l'intrigue s ajoutent l'attrait de l'interprétation
et la beauté des photographies.
Le» actualités sonores et parlantes, une
attraction sonore Duel e> Kereiisrsto qui
ne manque pas de sel, compiètent la partie
cinématographique.
Sur scène Simone Azibert, chanteuse de
genre de l'Empire, récolte avec ses chansons
de nombreux applaudissement d'un
public séduit par sa voix, sa diction et
«on entrain — P. B.
mm®
COURONNES MORTUAIRES COSTES
25, rue de Remusat, 2$
AVSS DE DÉCÈS
Mesdemoiselles Blanche, Valentine et
Amené de LA iOLH L.AMJOiuUu.
; le
marquis, ia marquise Ue LA TULR
LANDutt I HL et leurs entants ; Monsieur
Jean de GUIBLR1
: Madame Jean,
de GU1BER1, née de LA ,'IULH LAN»
DLliiHL et leurs enfants; Madetriul.
selle Charlotte de LA 1CLH LAN DUR
'11 ; le marquis de SCuRRAILLE, i a
marquise de SCOR'jîLLE, née de
MONTREDON, leurs enfants et petitsenfants,
ont la douleur de vous faire
part de ia perte cruelle qu'ils viennent
d'éprouver en la personne de
Mademoiselle
Marguerite de LA TOU.î LANDORTHg
leur sœur, tante, frrand'taine et cou.
sirie germaine, pieusement décédée à
Toulouse le 6 avril 1930, dans sa 83«
ar iiàe, munie des sacrements de
l'Eglise, et vous prient de vouloir bien
assister à ses obsèques oui auront lien
à Toulouse ie mercredi 9 avril 1930 *
10 heures, sur la paresse Saint
Etienne.
Etienne.
On se réunira k '.n maison mortuaire
9. rue du Languedoc. '
L ne sera pas fait d'autre invitation
On ne reçoit pas : on s'inscrit
A l'issue de la cérémonie relie'evjcp
le corps sera transporté à. Saint-I«nan
'HamerGaronne), pour v être inhumé
dans le caveau
10 avril.
de famille le
é
jeudi
H
H
H
Films Paramoutit 1|
H
H
H
• it£ «U il* il" »
Pomnes Funèbres Générales
7, rue Lafayette. — Télépnone : t0-5
VOYAGE DE NOUES, comédie
LES ACTUALITÉS PARLAN I cS
SUR Sl FNF
DERKAS 7
2 STUARTS
tari-Utes comiques
12*!
Madame et Monsieur Isidore OL1V1P.
Madame veuve Aime OLIVIÊ
• Madame
et Monsieur René BRuuÔUlSl-F
et leurs enfant- Guy et Mamice
S
n Monsieur Pierre ROUISSV et
" rlfrî-li" 111 '^ °ldVlR.
leur fils André
Le TRIAHON Matinée
3 heures
Soirée, 9 h
Une production française
LES MUFLES
d'après le roman
d'Eugène Barbier
interprété par
SUZANNE BIANCHETTI
PIERRE STEPHEN
SUR SCENE
MUSIC-HALLS ET CINÊMftS
AUX NOUVEAUTÉS. — Ce soir
irrévocablement dernière représentation du
plus grand succès actuel : Hoje-Aforie. Ri
fieau à îo h. 30.
— Demain mardi, débuts de l'opérette :
Un brave garçon, avec le fantaisiste Du
maine.
Les 3 Barlros
dans leur nouveauté acrobatique
€ A LA PISCINE »
GAUMONT.PALACE.
— A3 heures
et a 9 heures
: L'Escadre Volante s attractions
PARAMOUNT. — A 3 heures et a
9 heures, La Rafle ; Voyage de \oees .-
attractions
Théâtre du Capitole
MARDI
Bureau : 20 h. — Rideau : 20 h. 30
Mme Vava YAKOWLEVA
dans,
La Traviata
MM. Heurtier
Mmes Broqua
Valmoial
Goillandeau
A'.bony
Moucuez
Para> ra
Nicolas
Mettre
Le ballet
LE JUGEMENT DE
COLOMBINE
dansé par Mîtes D .vin, Teihenev
et Delshon, et les Dames du bt'.llêt
Chef
d'Orchestre : M. Leuipers.
LES PERSONNES QUI NOUS ADRES
SENT DES CHÈQUES POSTAUX SONT
INSTAMMENT PRISES D'INDIQUES
AU VERSO DE LA FORMULE EU CHÊ
QUE L'OBJET DE LEUR ENVOI.
TATOTIL de TOULOUSE
BROUQUISSE. ROUISSV, C^ENKT'YF
ont la doulétir de v0;is fa>e par'
n'a
la .perte cruelle qu'ils viennent d éprouver
en la personne de
Mzdrme veuve OLlVifi
née Marie CAZE 4EUVE
leur mère, belle mère, gr3nd'mère
arrière grand'mère et *ante pieusement
décédée à
l'Age de 97 ans, et vous
prient d'assister a
ses ob-èques qui
auront lieu demain mardi 8 avril is Elysées, 5, et Marie Maux, sans
p ofession
,â Moissac (Tarn-et-Garonnei
Bosendo Garcia, mouleur, quartier
Rou-
!>!< hou (C'Olx-Daurarie,. et Maria Fernan
de/
papetitre, quartier Roubichou (Croix
Cau rade!.
Eugène FaivTe, directeur de Fonderie,
à
Charleville. et Marie Fabre, sans profession
ti.ai de rouais. 112.
Armand Bouges, commis de P. T. T.. fatl-
Dcurg Saint-Denis.
16, à Paris, et ïvonne
M.u er. Côte de Lardenne.
Louis Toi Imonde, rlveur boulevard
du
>"ud. 3. et Léopoldine Dufau, margeuse, rue
d'Auriol jSauzelong)
Jacques Ct^la, artiste lyrique,
à Paris,
ue Sainte-Hélène, 5. et Yvonne
Dtetrich,
ait ste lyr que, nie Sainte-Hélène, S, à
Paris.
Mreel Crhou, employé des. Postes, allée de
tJi rcetone. ?. et Marie Bavard, sans profes-
Sipn. 4 Montesq-aieu-Volvestre.
Naissance» des 3 et 4 avril
Yves Nouvel, quartier Croix-Daurade, route
d'AIbl.
Yvette Prieur, chemin du Busca, 98.
Marie Armengual, cité Latécoère, chemin
de Lespinet
Mar.e Lagarde, ire Impasse, de la route
d« Balma
Ai.dré Caulet. rue du Taur, 40.
Jean Balant, rue Saint-Georges, 4.
Antoinette Jave, rue des Platanes ((port-
< traud).
Solange Fsqutrol, rue des Fontaines, 94.
Georges Rivais, rue Saint-Bernard, 19.
Robert RtLba. place d3s TUlettrs, 5.
Décès des 3 et 4 avril
Joseph Cortade, 90 ans, rue Saint Rome, 54
Anto.ne Bonnet, 68 ans, quai de Brienne
Jean Courdy, 2 ans i, quai de Tounis. 64-
Marie Darmagnac,
B-2 ans, veuve vaiac'ier,
quartier des Trols-Cocus.
Jwé Doya. 43 aps, rue Réclusane. 53
Marie Misury, go ans, veuve Calmont, cheniin
des Sal les,
Thérèse Fcurmept, 71 ans. rue Bertrand-
Gril. »,
Jeanne Dantony,
17 ans, rue des pênltcnts-Gris,
ju.
Angélique baturne, «s ans, veuv« Naudry.
a'ènue de Muret 42.
Elise Dancausse Andrleu, 53 ans,
place
des Carmes, 41
Gabriel usnoc. 7fi ans. rue du Réserve
ir de Péri île.
Emile Durand 76 ans, rue Graveiotte, 96.
Jean Souhie, 61 ans, rue des Jardins,' 15
Richard le Stephens, 84 ans, place de»
t'armes, -M.
Emile Gra^elé,
SI ans
denpe, 1?0.
Remerciements st Avis de îlsuvaine
Madame et Monsieur L. ESTRADE,
42, rue d'Aubiusson, prient toutes les
personnes qui leur ont témoigné des
marques de sympathie, et qui se sont
associées à leur deuil à l'occasion du
décès de leur fils unique
Germain
Adjudant
Décoré de la Médaillé militaire
et Croix de guerre
décédé à l'âge de 36 ans, à l'hôpital
militaire des suites de maladie cbntrectée
aux colonies, de vouloir bien
ttwver ici l'expression de leurs sincères
remerciements.
La messe de neuvaine sera dite
mardi 8 avril, k 9 heures, en l'église
paroissiale Saint-Aubin
On se réunira à l'église.
Madame Marcel CROC, née Suzanne
FOURNIE et Monsieur Marcel CROC ;
Mademiiselle Geneviève CROC
; Madame,
veuve Louis DELESTRADE
; les
familles VAI.ATS RoUfîR, '\STRIÊ,
ÇROC et F1GARFDE ; le personnel de
la Maison TOUR M P et FIGARFDE,
profondément touchés des nombreuses
marques de sympathie qui leur ont été
témoirmées à l'occasion du décès d«
Monsieur Fernand TOURNIÊ
Ancien Négociant
et dans l'impossibilité d'y répondre directement,
prient toutes les personnes
qui se sont associées à leur deuil, da
bien
vouloir trouver ici l'expression
rte lettrs sincères remerciements et les
informent que le service de neuvaine
sera célébré, v»,r \P repos de son âme
demain mardi S avril 1931. à 9 heures!
en
I éfflise N.-D la Paurade.
On se réunira
l'élise
Il ne sera ras faîi d'antre Invitation.
Pom"e« FnnAhres Générales
7, rue Lafayette. — Télépnone Î 10-36.
u m ;
le Film le plus prodigieux
et jamais vu sur l'AVlATlQN
SUR
SCENE
Simone AZIBERT
chanteuse de l'Empire
DUC de tREKJ-MQ
orchestre jaz? sonore
ACTUALITS PARLANTES
ET SCN0RE8
FRANÇAISES
Location permanente de 10 â 20 h,
îeCLARATIONS DE OCCC6
CONVOIS FUNEBRES
Le Maire de ia m e de luuiouse a
ûuniiear df rappeier a se* aumitus.
réï afin de se uiettr»- en carde contre
les erreurs
r< ^-ett«bi*>s. aue les «lêria»
ations

LTJNDI 7 AVRIL 1936
PORT
(Suite de notre information de 3 e page)
ASSOCIATION
A PARIS
Amiens et Raoins-Olul» de France
font match nul : 1 but à 1
coiombes, 6 avril.
Vingt mllie spectateurs sont présents.
Amiens enguge- avec ie soleil dans
yeux, à
15 heures exactement.
Gautherouy tance Valeton, mais trop
loin. Le Racing attaque enfin et obtint
un coup franc qui ne donne pas
d-? résultat.
Le Racing domine sans faire preuve
d'jtficacitê.
Nicolas est touché à la jambe.
Amiens ioue â dix, es qui ne l'emperhe
pas d'attaquer.
Nicolas revient en jeu, mais boîte.
Galey s'échappe encore et centre jud:r
lensenient iuste devant les buts.
Veyssade trouve le moyen de àhootef
à côté. Nicolas revient en jeu et le
Racinfr domine toujours. Enfin, sur
eetr-" parfait de Valeton, Ga:iey reprend
de volée èt rentre, imparablem*nt
un but à bout portant.
R.-C. F. t but.
Le Racine attaqua encore, mais une
nouvelle fois trois avants se mettent
hors jeu. . j ,
Âmir
attaque fi son tour et obtient
tir. corner mal botté. Balavome
est
bips* à l'abdomen et on doit 1 emmerte-
hors du terrain où il s'affaisse sans
conna'ssance.
A la mi-temps. Racine. 1 mit.
A la reprise. Balavoine a repris sa
p:ace
Le match reprend, vivement
conduit par les deux équipes. Ozenne
lance Gai ev. mais Valet sauve Libéra,/
s'envole et se rabat vers Tassin
oui shoote, hélas ! à
.-ôté. Enfin, un
beau mouvement des Parisiens ;
il
v.ent de Vevssade qui centre : Galley
reprend de ïa tête, mais rase le pc'oau.
Le r ? -Sm'ennois
se démènent. Tatsne
est bien près de marquer. Tassin détourne
eu corner. Un shoot de Nicolas
puis c'est au tour de r.apelle de sauver
lire nouvelle fois sont but
Tout à coup, Liberati expédie un shoot
or. bat Ta.»si" mofant e'ni' les ri^ux
éo"iT>p=: n égalité quinze minutes avant
ia fin, 1 à 1.
A PERPÎCNAM
Le Poothall-Club de Caret bat
ie Stade de Port-Vendre»
par 1 but à 0.
La partie disputée au Stadïum muni
cipaJ fut arbitrée par M, Crémas.
Gêret frappe le coup d'envoi, Filipo
dégage. Le vent du sud-ouest souffle
fort et gène les joueurs. La balle est
renvoyée souvent en touche; un Corner
est joué contre Port-Vendres sans
résultat. Son adversaire en profite pour
envahir lo camp port vendrais, mais
Costa arrête. Nouvelle avance di's Stadistes,
dont le jeu se ressent beaucoup
trop de la pratique du rugby et se fan
pénaliser
Belle attaque des Cérètans,
dans laquelle Chaubet et Dych se distinguent.
Les combinaisons et l'adresse
de ce onze 'ont qu'il est légèrement
suoêrieur à son adversaire. Co/ner contre
Port-Vendres; obo shoote, mais le
ballon passe trop haut Les touches se
succèdent à causa du veftt. Bonnèl Intercepte
une jolie passe ènfre Fa et
Corrieu. Pèu après c'est là ïht-temps,
rien n'a été marqué.
A la reprise. Port-Vendres est favorisé
par le vent mais ne saura pas bénéficier
de cet avantage appréciable.
Les deux équipas se dépensèrent à fond
Ceret dribble avec a-propos et porte
le jeu devant les buts porventdrais ;
Costa bloque et arrête
les attaques
Ayats tent un (oli but sur coup franc,
par suite d'un coup de main d uStade.
Ceret domine toujours. Vaîlèrs eesôyé
un nouveau shoot, Costa ayant mal
arrêté, la halle lui échappe
et rentre
dans les fllefe Ceret ' 1 but.
Port-Vendres tait to ît ce qu'il peut
rour égaliser mais n'y réussit pas et
son effort est annihilé par un hors-jeu
de Costa et c'eift la fin.
Un moment après dnns un match
amiral, le Centro a battu le Rous&illon
par G buts a E
i d'autant méritoire.- que l'Intempérie rendait
(LVticull^cment pénible la conduite de
leur machine
Parmi les automobilistes,
a lutte se déroule
surtout -ntre les voitures de forte
cylindrée Lâ aussi la démonstration lut
ln pressionnahte.
Elle Bastion Lectourois {t)
par S p. à 1,
PRIX VANTEAUX
30.000 francs; 2.000 mètres
1. Finsavino (Cordell) G 13
à Mlle D. Esmond P 9 »
2. Phocéa (Rabbe)
à M. S. VVildensteln .... P 15 50
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: Fonfon, Médaille, Maryllis,
Parthfor. Ever.
Finsovino, par Sanfovino et Finsbay,
ent. par Carter.
PRIX DES SABLONS
100.000 francs-, 2.000 mètres
I. Earrabas (Sibritt) G 54 50
à M. S Guthmann .... P 14 »
2 Hotweed (Garner)
à M. Esmond P 7 50
3. Le-Chûtelet Hervé)
à M. J. Schwob P 14 50
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: Picaflor, Verdi, Dictateur-X.
Bknf t, Roi-des-Enfers, Quilian
Motrico Argonaute, Rolly-Buchty.
Barraba3, par Baaadur et Fulda-II,
ent. par Torterollo.
PRIX DE GUICHE
30.090 francs, 2.000 mètres
i. Godiche (C Bouillon) G 11 50
au baron E. de Rothschild P 8 »»
S. Montegal (F. Hervé)
à M. E Henriquet P 7 50
Non placés : Goulasch, Pearlash, Le-
Val-d'Enfer, Britlsh-Guard, Prince-Va
nitas.
Godiche fLa-Farina et Blushing) est
entraîné par \V. Barker,
HANDICAP
20.000 francs ; 2.600 mètres
P 61 50
Non placés ' Riscle, Saute-Ruisseau,
Pon-Espoir IV. Mousquetaire 111, Guerrier
III, Canebière 11.
Une longueur
: une demi-longueur.
Guillerette, par Vineuil et Guerrière.
Entraîneur
: R. de Tauzia.
PRIX DE RESTES
4.300 fr., 2.800 m.
1. Djinn (Ory) G 27 50
au marquis de Pontevès P 11 50
2. CLOXINIA Lartigue)
à M Etchepare. P 11 •>
3. PAYS-DE-BRAY (Cheymol)
à M. de Fournas.
Non placés : Nouste, Neste, Mangouste-ll.
? long., loin.
Djinn
Ex-voto et Disette II), entraîne-
par R, de Tauza.
**#
« GUILLERETTE », A M. S. ETCHE-
PARE, ENLEVE
L OMNIUM DU MIDI
DEVANT . LINGOT D'OR >
ET < VANTARD >
n fallait vraiment aimer les courses
pour se rendre à la Cépière hier. C'est
sous un véritable déluge que se déroula
la réunion et les sportsmen eurent
vraiment du mérite qui n'hésitèrent
pas à se rendre nombreux malgré
tout à l'hippodrome.
Le Pria; d'Ouverture, au trot attelé,
revint a Cerbère. Après avoir suivi pendant
toute la course le train fait par
Caprice IV. il le dépassa entre les derniers
tournants pour s'en rendre maître
définitivement, malgré un bon retour
du cheval de Mme Angla dans la
ligne droite.
Cinq gentlemen-riders étaient au départ
dans la Poule de Hachs d'Avril.
Nard s'élança délibérément en tête au
t AecaMïe de travail, j'en «tais «rriee
à négliger mes pieds jusqu'au moment
où les souffrances que aie causaient les
brûlures et les élancements de mes
cor» devinrent intolérables. Ecoutant
les conseils d'une amie, je me mis i
faire usage des Saltratei Rodell
Dans
l'espace de trois jours, j'enlevai tous
mes coTs — treize corsl - avec leurs racines,
et main-tenant mes pieds sont très
à l'alse-dans des chaussures d'une bonne
pointure plus petite ». C,
jusqu'à ce qrae l'eau où vons les «ve* versés
ait pris l'aspect d'un lait erémeus.
Quand vous trempez vos pieds dans un
bain saltraté, l'oxygène pénétrant dans
les pores y apporte avec lut les sels qui
amollissent le cor le plus dut lusqu'à
sa racine, à tel point que vous pouvez;
l'extirper en entier, avec sa racine.
Un seul bain aux Saltratet Rodell soulage
les pieds enflés, meurtris, fatigués,
endoloris, et, après quelques bains, voua
pouvez vous promener toute la journée
Note de f Auteur — La haute situa 1 ou danser toute la nuit avec bien-être,
tlon occupée par cette dame dans le mondei
Les Pharmaciens vendent et recommanlnternatlonal
interdit de publier sonldent les Saltrates Rodell sous la garantie
nom. mais l'authenticité de sa déclaration ique nous vous remboursons votre urgent
•si garantie par l'auteur
!si vous n'avez pas satisfaction. Leur coût
Les Saltrates Rodell libèrent l'oxygenelestinsigniSant.
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PRIX DÉPARTEMENTAL
2.000 francs ; 1.900 mètres
1. Djéberta (Chevaine), A M. G 8 •»
Lacrouts — P 5 50
2. Prunier (Marquestaut), à
M. Sempé P
3. Valseur III lEstébenet), a
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Le Bédat (Audoubert).
6 long.; 5 long.; 4 long.
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4.000 francs : 1.900 mètre»
1. Prince-Basque (Larrieu), à G
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2. Aloés (Puyau). au baron
Gasifiiet
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à M. Lapèze.
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à M. Sempé.
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Joyeux-Convive, par High-Spirits et
Cobbla ; entraîneur, S. Gabrielli.
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M Meller P 6 50
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Rose de France II (Mascala)
: Ma Tislgnal
suivi par Monsieur, Anticarte!- relire Ory)
; Recurt 'Faucon) ; Mon
liste et Andromeda. Kerminette fermait ! bartres (Estébenet) ; Monsabalos 1M0-
la marche. En face, Andromeda se rap- ! réras)
54 58
15 50
16 50
Bruxelles, 6 avril.
Le cross-country international qui
s'est disputé cette'après-midi à Bruxelles,
a été gagné par l'Anglais Everson.
L'Angleterre est en tête du classement
avec 20 points.
1. Le u P P
P
57
17 »•
15 »
I3PORT5
Soleil
(Baguiristain),
à M. A Fernander ....
2. Pompey ;Semblat), à M.
E. Bellet
3. Yesdeàr (Chéret), à M. G.
Hennessy
Non placés : Abrek, Talon-Rouge,
Stdidisr, Seyssel Openditch, Biborneau,
Walencia, Satelo. Sunnvmate,
Hérodias, Galdenfleet, Lugger, Havea
drink, Term'ni
Le Soleil par Cannolère-Ninl Saleil
entr. par Torterollo.
A TOULOUSE
pow la (aurnés du • avril
LUCHON SLPERBAGNËRES lAit.
1 800 m.)
Température . maxima : + 6* ; minlnif
: — 3' ; épatsseu» de la neige : 0 m. 25;
ttat de l'atmosphère
: pluvieux.
Toulouse 6 avril.
PRIX D'OUVERTURE
3.000 francs — 2.500 m.
procliait. Elle attaquait le leader peu
après mais le comte de Pins n'avait
aucune peine à mener son cheval victorieusement
jusqu'au poteau. Andromeda
était bonne seconde.
Le Prix de Lespinet — à réclamer —
avait réuni neuf concurrents
La faveui
du public allait surtout à Hermina
et Saint-Jacques. Ce dernier restait
au poteau au signal et c'est Kid's
Fleet, avec Moutsi. à la corde, qui a
montré le chemin. Hermina. Nadar II,
Doette et Saint-Vincent suivaient. A
l'entrée de la ligne droite, l'ordre n'avait
-»as changé mais ie peloton était
groupé. Kid's Fleet était débordée par
Nadar 11 et Hermina. qui se plaçaient
devant elle dans cet ordre.
Neuf chevaux encore dans l'Omnium
du Midi. C'est encore le représemant
de M. Deupès. Saute-Ruisseau, qui s'est
élancé en tête au signal. Bon Espoir IV
ne tardait pas à, venir à sa hauteur.
Les deux chevaux ont fait tout le parcours
botte à botte, suivis par Guillerette,
les représentants Voigt,
Mousquetaire
et Guerrier III, qui disparaissait
bientôt. Bon Espoir IV baissait de
pied entre les tournants, tandis que,
dans la ligne droite. Guillerette. Lingot
d'Or et Vantard prenaient la tête
dans cet ordre. La jument de M Etchepare
ralliait facilement le poteau, devant
Lingot d'Or. Vantard et Saute-
Ruisseau tout près.
C'est un véritable walk-over qu'a
couru Diinn dans le Prix de Bcsles,
course de haies finale. Il a pris de
suite une avance considérable et, lorsque
Gloxinia s'est lancée à sa poursuite,
le cheval de
M. de Pontevès
avait course gagnée. Pays de Bray
était troisième loin.
En somme, courses intéressantes,
mais la réunion fut gâchée par le mauvais
temps. Qu'il me soit permis de
faire, en terminant, deux critiques à
la Société dps Courses
: l'ericeinte du
pesage pouriait, il me semble, être rendue
moins marécageuse, en cas de
plu.e, par des apports de sable ou de
eravier. De plus, les noms des jockeys
sont affichés d'une manière illisible et
il n'en faut pas tant que le déluge
d'hier après-midi pour les pffacpr en
un clin d'œil
II sprait facile d'avoir
des plaques d'affichage toutps faites
ou peintes a la c!- fait au tournant de la voie, derrière un
bois, en faisant flotter encore un instant
son panache de fumée comme un dernier
si#ne d'adieu.
Charmé par un rêve semblable, Jean-
Louis s'était insensiblement rapproche de
Simone, et sa cousine, en un charmant
et léger abandon, avait appuyé contre
lui sa tête blonde. La table desservie par
Dorothée et Youssouf, Mme Espérandieu,
Marc et Septime avaient commencé une
partie de cartes
; de temps en temps, ils
interrompaient leur jeu et, avec des clins
d'yeux complices, ils se montraient les
deux jeunes gens égarés au pays des
songes.
— Notre malade va mieux, susurra Septime
à l'oreille de Mme Espérandieu.
La vieille dame sourit avec un hochement
de tête approbateur.
— _a cure de Simone, murmura Marc
Espérandieu, sera plus efficace que celle
des plus grands spécialistes.
Tous les cœurs baignaient ainsi dans
la plu
douce intimité, lorsqu'un coup de
sonnette fit sursauter tout le monde. Dorothée
traversa la salle à manger et alla
ouvrir.
— Qui peut venir à cette heure ? dit,
Marc.
Or. entendait dans le vestibule la voix
de la négresse et celle d'un homme qui
semblaient discuter. Marc quittait sa
Place pour aller voir ce qui se passait,
quand, écartant la domestique qui tentait
de lui barrer le passage, un homme entra
dan» la salle S manger Pétait Larsac !
M avait l'air très excité, l'expression de
sa physionomie était des plus équlvoques.-
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i 12. h. 30. — Disques de la vieille opérette
française et de l'opérette moderne
: La
jrîKe du Tambour-Major ; ouverture des
(joutes d'Hoffmann ; airs de la Poupée, la
Selle Hélène, Barbe-Bleue, les Dragons de
Viliars. la Petite Mariée, Véronique, la
'Basoche, Forlunio.
15 b 45. — Orchestre : Gayina (Mozart);
Ouverture (R. Hlhn); finale de la Sonate
op.
13 (Grieg); Rigaudon (Francosur); Un
Dimanche basque (Laparra)..
20 h. — Amphitryon de Molière.
21 h. 30. — Prélude, Récitant et Vorla-
'ttons de Maurice Duruile; Le Roi d'Yvetot;
La Fiancée du Roi; Le Bonnet de la Meunière;
Images (Debussy); Reflets dans l'eau
aammage à Rameau, par le quatuor Ra-
«uo-Paris.
TOUR EIFFEL (1.740 mètres)
12 h. 15 à 12 h. 25. — Chronique arlcole.
t2 h. 25
13 h. 30. — L'heure musicale.
, 13 h. 50 à 14 h. — Chronique et actualités
du monde du théâtre.
14 h. 30 à 14 K 35. — Informations générales.
14 h. 50 à 15 h. — Chronique du monde
aéronauttçrue.
15 b. 30 à 15 h. 35. — Informations générales.
:17 h. 45. — Journal parlé.
; 19 h. 20. — Radio-concert : Six poèmes
BXtraits de Alcools (Guillaume Apollinaire-
Arthur Honegger); Petite Suite (Debussy);
Ze Cortège d'Orphée ou Le Bestiaire
(G.
Apollinaire-Francis Poulenc, chant.
ÉCOLE SUPERIEURE DES P. T. T.
. 12 h. 10. — Le quart d'heure des Agri-
Sfilteurs do France
: « Le cheptel de fer. •
15 h. 25. — Radio-concert : Polonaise et
Badtnerie (Bach); Marquisette ' (Sentis) ; La
fille de Madame Angot
,- le chansonnier
SStello dans ses œuvres.
13 b. 25. — Radio-concert.
l* h. 30. — Une heure de musique enregistrée.
20 b. ». — Concert ? Stabat Mater de
Kossinl; deux fragments du Requiem de
Berlioz,
22 b. î». — Reportage par le Parleur
Seccana de 1* Course des Six Jours.
RADIO-TOULOUSE
. • k. a ta b. 30. — Son Instrument! S
Sérénade tPlerné); Prélude du Dilua» (St-
Saéns); Sonate (Benedetto); Sonate (Hiendel).
Guitares hawaïennes.
13 h. 30 a 13 h. 45. - Foires et marchés,
18 h. à 18 h. 15. — Musique de danse.
18 h. 15 â 18 25. — Emission photographl
que par le Bellnographe
13 h. 25 à 18 h. 35. — Quelques minutes
d'histoire.
16 h. 35 à 18 h. 50. — Orchestre argeDtla.
18 h. 50 a 19 heures. — Bourse de commerce.
19 h. à 19 h. 16. — Chants russes.
19 h. 15 a 19 a. 89. - Informations de
• La Dépêche •.
.9 h. 30 à 20 h. 15. — Orchestre symphonique.
19 h. 45 à 20 h. — Orchestre sympaonlque
: Célèbre Menuet (Paderewsky); Sang
Viennois (Strauss); Ramuntcho (Pierné).
20 h . 20 h. 15. — Bourse des valeurs de
Paris, Nancy et Toulouse.
20 h. 15 â 20 b. 25 - Emission photogra
phlque
i>ar le Bellnographe.
20 h. 25 à 20 h. 35. — Causerie agricole
sur le « Lotier cornlculé ».
20 h. 35 à 21 h. - Mélodies : Le Poème
de la Maison; Arleltes oubliées; Ler Roses
d'ispahan; L'Invitation au voyage; Le
Cœur de ma mie; Bonsoir d la Lune,
21 h. — Comédie Interprétée par la troupe
Midi-Artistes. Présentation Charles Pbalipou.
22 h. 15. — Le Journal sans papier de
l'Afrique du Nord
22 h. 30. — Retransmission de l'orchestre
du grand calé Slon,
BORDE AUX-LAFAYETTE
(250 mitres)
19 h. 40. — Cours de la Bourse de Bordeaux.
12 h. 45. — Radio-concert : Marche des
Réjouis bon temps (Paul Wach-Chapelier) ;
La Sérénade des Amoureux (Lincke);
Manolo,
valse (Waidteufeld); Rose Marie, fantaisie;
Danse Villageoise .Cools-Mouton).
13 h. 45. — Cours d'ouverture de la
Bourse de Paris.
15 h. 30. — « L'heure de musique de
chambre ». Programme
: Aida, fantaisie;
Bans le joueur de flûte.
17 h. — Diffusion du cours de langue et
littérature du Sud-Ouest, professé a la Faculté
des Lettres par M. Gulllaumle. Sujet :
« L'œuvre de Mistral : Les Ôlivades et les
lies d'or. » Conclusion.
18 b. — Diffusion du coure professé à
l'nstitut colonial de la Faculté des Lettres
par M Gourdon, ancien Inspecteur général
de l'Instruction publique en Indochine. Sujet
: « Histoire des civilisations de l'ndochine
: la civilisation française en Indochine
et en Extrême-Orient. •
20 h. — Informatlonsde la dernière heure;
marché des bois et résineux.
Entre 20 h. et 20 h. 45. — CSiarade des
cafés Prima et rsultats du tirage des primes.
20 h 5. — Causerie sportive de Sportlus.
20 h. 45. — Relais de l'Ecole supérieure
des P. T. T.
RADIO-BORDEAUX-SUD-OUEST
11 h. à il h. 45. — Cours de clôture
étranger. Résineux métaux à Londres. Sucres,
cotons, cafés et cacaos à New-York.
Cours du saindoux à Chicago. Cotons i
IA Nouvelle-Orléans et Chicago. Derniers
cours des changes à Paris.
11 h. 45 à 12 h. — Musique militaire et
harmonie : La Dlvette; DOUX Regard- Selamlik;
Antoine et Cléopdtre.
12 h. à 12 h. 15. — Musique de danse.
12 a. 15 à 12 h. 30.— Fragments d'opérettes
; Frédérlque; Gillette de Narbonne.
13 h. 30 à 18 h. 45. — Informations commerciales.
Cours de clôture desc éréales.
Sucres et alcools à Paris. Marché aux bestiaux
à Bordeaux. Marché à la Villette.
Cours de clôture au Havre. Cours des valeurs
de la Bourse de Paris
13 h. 45 à 29 h. — concert symphonlqne.
Programme t Marche Nuptiale (Lecooq);
Idylle (Chabrter); *fanon ; la Route est
l-ellt (Szulc) : Déshabillez-vous (R
Mercier).
19 h. à 19 h. 30. — Délit de Chasse, sélection,
pièce en un acte de Robert Franchevllle,
interprétée par MM. Rogelly, Turley
et Mlle Lacombe.
LES
HECS Etude de M« BEMOUX, avoué à Toulouse.
41 rue du Languedoc.
Chronique n» 367. 7 avril 1980
Problème n' 1.012. _ Termaet
(de Problemist, 1928)
BLANCS : 10. — NOIRS : 9
* '>
* B
i i tek
Ég !
."y
"; • -~ ' 7 T a 1 — f 1
f 4 x é 5
d 4 — d 5
C g 3 — f 5
T f 3 — h 3
C f 5 — h 6
g 2 — g i
T h 3 — h 5
16
17
18
19
20
21
22
23 D é 8 — f 7
d 6 x é 5
C a 5 — b 7
C b 7 — d 6
g ' — g 6
D f 7 — g 7
g 0— g 5
C d 7 — c 5
Enlève un F au Blancs, mais donne
un P faible à c 5.
24 b 6 x c 5
25 D g 7 — é 7
26 F a 6 — c 8
27 C d 6 — é 8
28 C. é 8 — g 7
29 F c 8 — d 7
30 F d 7 - é 8
31 g 5 x h 4
F é 3 x c 5
T f 1 — f 3
T f 3 — h 3
D é 2 — f 2
T h 3 — f 3
T h 5 — h 3
T h 3 — g 3
h 2 — h 4
T g 3 — g 2
Et non T g 3
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Programme
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17 h. 30. — Concert de musique enregistrée
: Miss Belyett, fantaisie. Les Cloches
de Corneville; véronique, fantaisie; Bip,
fantaisie.
20 h. 30. — Soirée de comédie.
TOULOUSE-PYRENEES
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45. — Concert synrphonlque par
l'orchestre de la station.
17 h — Aevue de la presse parisienne,
régionale et locale.
17 h, 30. — Concert de musique enregistrée.
lâ fi. 36. — Diffusion du Radio-journal
de France.
20 h. — Revue de la presse parlelenne,
régionale et locale.
20 h. 15. — Rapport du Bureau International
du travaU.
20 h.3 0. — Cours des valeurs de la
Bourse de Toulouse. Courrier des Lettres,
par M. Yves Pérlssé.
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Problème n* 1.013. — Pave
i2* mention Concours-Echelle, Marseille
. Soleil de Marseille, 1926)
Blan j (4) : R h 4, D d 5, T h 5,
C g 5.
Noirs (31 : R g 6, P f 6 et f 7.
Mat en deux coups
Problème n' 1.014. — Kubbel
(IV e Concours international,
Dresdmer Anzeiger, premier prix)
Blancs (6) : R g 2, D b 2, C d 7,
P c 2, g 5 et g 6.
Noirs (5) : R c 4, C f 2, P C 6, g 3
et g 7.
Mat en trois coup»
PARTIE No 382
Jouée au Tournoi de Carlsbad en août
1829 et ayant obtenu le prix de beauté
PARTIE DU P D
Blancs : Sanusch — Noirs
.- Grûnfeld
dS - d 4 1
C. g 8 — f6
C 2 — C 4 2 é 7 — é 6
C b 1 — c 3 3 F f 8 — b 4
a 2 — a 3 4
Sanuscn a obtenu de très bons résultats
avec ce coup. Kmoch inquiéta Capahanca
avec lui au Tournoi de Budapest
en 1928.
4 F b 4 x c 3 +
b 2 x c 3 5 d 7 — d 6
Ici d 7 — d 5 était sans doute meilleur
pour les Noirs. Il permettait il
est vrai le dédoublement des P. blancs,
mais avait le grand avantage d'empêcher
é 2 — é 4.
des Blancs est de prendre le P
avec la D et jouer ensuite T g 2
32 h 4 — h 3
Tf3xh9 33 F é 8 — g 6
Th3—
f3 34 Ta8 — b8
D f 2 — h 4 35 T b 8 — b 3
T e 2 — f 2 36 Tb3xc3
g 4 — g 5 37 C g 7 — é 8
g 5 x I 6 38
D é 7 — d S
Si 38.. C é 8 x f 6 ; 39. T f 3 x î 6,
T f 8 x f 6 ; 40. T f 2 x f 6, T c 3 x
d 3 ; 41. T ! 6 x g 6, T d 3 - d 1 + ;
"o R g 1 - f 2, T d 1 - d 2 ; 43. R f
2 _ é 3 et gagnent.
C h 6 — g 4 39 Tc3xd3
Coup désespéré. La partie est perdue,
le P R ne peut pas être sauvé.
Tf3xd3 40 Fg6xé4
T d 3 — é 3 41 C é 8 — d 6
Cg4xé5 42 F é 4 — f 5
T f 2 x f 5 43 C d 6 x 1 5
C é 5 — g 6 + 44 R h 8 — g 8
T é 3 — é 7 45
Finissant brillamment,
45
Si 45... h 7 — h 6
T é 7 x f 7 46
C g 6 — é 5 + 47
D h 4 x h 7 48
(D'après The Pield.)
i f 8 — f 7
46. D h 4 x
P. g 8 x f 7
B f 7 — f 8
abandonnent.
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PURCE LÉGALE
(Article 2194 du Code Civil)
D'un acte public retenu les 22 août,
22 novembre 1929 et le 10 Janvier 1930,
par
Me Quprcv notaire à Casteinaud'Estrétefonds,*
enregistré et transcrit,
il résulte que M. Jean-Baptiste Vié, forgeron,
et Mme Louis Salvet. son épouse,
de lui autorisée, domiciliés ensemble
à Toulouse, faubourg Bonnefoy,
n» 25 ont vendu .avec toutes garanties
de fait et de droit les plus étendus,
moyennant le prix principal de
trente mille francs, à la commune de
Saint-Jory canton de Fronton, ce accepté
par M. Cvrille Breil, maire de la
commune de Saint-Jory, v domicilié,
agissant en cette qualité, en vertu
d'une délibération du conseil municipal
de cette
commune en date du
9 juin 1929, approuvée par arrêté préfectoral
du 30 décembre suivant :
Une maison inachevée, sise dans le
village de Saint-Jory. sur la place,
avec" jardin derrière, ensemble toutes
les aisances et dépendances sans aucune
exception ni réserves
; le tout
cadastré sous les n°" 44, 45 et 46 de la
section E pour une superficie de 3 à
60 centiares, confrontant du midi maison
Bernard
: du nord, bureau de
poste ; du levant, terre fourcassiêre ;
et du couchant, place publique.
La copie collationnée enregistrée de
cet acte a été déposée au greffe du
tribunal civil de
la Haute-Garonne,
section de Toulouse, le 17 février 1930.
Une copie de l'expédiiion de l'acte de
dépôt a été signif'ée à M. le Procureur
de la République nrès le tribunal civil
de la Haute-Garonn», section de Toulouse,
du 15 mars 1930. Cet exploit portait
sommation à M. le Procureur de
la Bêpublique en sa dite qualité d'avoir
à prendre dans le délai de deux
mais telles inscri tions d'hypothèse
légale qu'il aviserait, sur l'immeuble
sus-désKTié avec déclaration que faute
de ce faire dans ledit délai, le susdit
immeuble serait définitivement libéré
et affranchi de toutes hypothèques de
cette nature. Déclaration était en outre
faite à M
le Procureur mie lps
wécédents propriétaires connus de
l'acoiiéronr. sont M. Jean-Saturnin Vié
et Mme Catherine Cànlolle, son épouse,
père et mère du vendeur, M. Baptiste
vié et Mme Marie Rondoules. tous
domiciliés
à Saint-Jorv et qup comme
tous ceux du chef desquels il pourrait
avoir été pris inscr'ption d'hypothèrrue
légale, ne sont pas connus de
la commune de Saint-Jory. cptte- dernière
fPTaP oublier ladite notification,
conforrnâmprit
S ''avis du Conseil d'Etat
du 9 mai 1807.
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12 CcS-tS
Ddl-éS 13 D d 8 — é 8
f 3 — f 4 14 f 7 — f 6
T f 1 - f 3 15 R g 8 — h 8
Avec le projet de pouvoir répondre
g
7 — g 6 à C g 3 — f 5, suiv4 do
C f 5 — h 6, sans être en échec.
Pour extrait :
DEMOUX, avoué signé.
Un journal vient d'êtTe créé, qui répond
à une nécessité de notre temps...
et de tous les temps I C'est MAMAN,
organe mensuel de vulgarisation
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Piincipes d'Hygiène et de Puériculture.
Le rédacteur en chef est le docteur
Labouré et le comté' de rédaction comlend
des médecins spécialisés dans
questions de puériculture.
Le programme de MAMAN est très
étendu et complet. Il répond à tous les
points d'interrogation que peuvent se
poser les mamans... et Dieu sait s'il y
en a
! Il n'a pas seulement pour but
d'enseigner aux mères les moyens de
préserver la saaté
de leurs enfants,
mais aussi de former leur caractère, de
développer leur esprit. Hygiène,
alimentation,
exéreices musculaires,
habillement,
éducation, etc...., il n'est aucune
question intéressant les mamans
que MAMAN n'aborde. On ne peut que
souhaiter une grande diffusion à ce
journal pour le repos moral des mamans
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