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Problèmes de dynamique, sans énergie

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Problèmes <strong>de</strong> <strong>dynamique</strong> du point, <strong>sans</strong> énergie<br />

I 24 . d’après CCP 2000.<br />

g = 9,8 m.s –2 .<br />

1. On laisse tomber (<strong>sans</strong> vitesse initiale) d'une hauteur h = 2m <strong>de</strong>ux billes <strong>de</strong> même rayon, l’une B1<br />

<strong>de</strong> masse<br />

m 1 = 0, 7 kg , l’autre B2<br />

plus légère, <strong>de</strong> masse m 2 = 0, 058 kg . Ces <strong>de</strong>ux billes sont freinées par une force <strong>de</strong><br />

<br />

frottement visqueux proportionnelle à leur vitesse : F f = −αv , α étant un coefficient positif qui est le même pour les<br />

<strong>de</strong>ux billes.<br />

a) A quelle équation différentielle la vitesse v , selon la verticale <strong>de</strong>scendante Ox, satisfait-elle ?<br />

b) En déduire vt () en introduisant τ = m / α .<br />

c) Représenter le graphe correspondant.<br />

d) Donner une expression approchée <strong>de</strong> vt () pour t


4)Déterminer la cote z m du plateau pour laquelle le module <strong>de</strong> R est minimal,<br />

<br />

5)Déterminer la cote z 0 du plateau pour laquelle le module <strong>de</strong> R est égal au poids du point matériel A.<br />

6) On augmente très lentement la pulsation ω <strong>de</strong>s oscillations du plateau, <strong>sans</strong> changer l’amplitu<strong>de</strong> a . Déterminer la<br />

pulsation maximale pour laquelle le point A ne décolle jamais du plateau.<br />

7) Calculer ω 2 pour :<br />

ω 2<br />

a = 8 cm g = 9,8 m.s<br />

-2<br />

8) La pulsation ω du plateau est maintenant supérieure à ω2<br />

. A l'instant t = 0 , la cote z du plateau est égale à −a<br />

et<br />

sa vitesse z est nulle. Déterminer l'instant t3<br />

auquel le point A décolle du plateau.<br />

9) Déterminer, à l'instant t3<br />

, la cote z3<br />

et la vitesse z 3 du plateau.<br />

10) Calculer t3<br />

, z3<br />

et z 3 pour ω 3 = 6 π rad/s.<br />

11) Déterminer et calculer la cote maximale atteinte par le point A et l'instant t correspondant.<br />

III 27 . Hystérésis <strong>de</strong> frottement, d’après X 1999.<br />

z4<br />

4<br />

Rappel <strong>de</strong> la loi du frottement soli<strong>de</strong>.<br />

L'action du soli<strong>de</strong> B sur le soli<strong>de</strong> A en contact se décompose en une composante<br />

normale N et une composante tangentielle T vérifiant :<br />

<br />

T ≤ µ s N en l'absence <strong>de</strong> glissement entre A et B<br />

<br />

T = µ N lorsqu'il y a glissement <strong>de</strong> A sur B.<br />

d<br />

µ s et µ d sont appelés coefficients <strong>de</strong> frottement respectivement statique et<br />

<strong>dynamique</strong> et vérifient l'inégalité : µ ≤ .<br />

d µ s<br />

Une <strong>de</strong>s difficultés conceptuelles majeures pour la <strong>de</strong>scription d'un système comportant du frottement soli<strong>de</strong> est<br />

l'impossibilité <strong>de</strong> prévoir les positions d'équilibre et le bilan <strong>de</strong>s forces à moins <strong>de</strong> connaître <strong>de</strong> façon détaillée l'histoire<br />

<strong>de</strong> la mise en équilibre. Le but <strong>de</strong> ce problème est d'illustrer ce phénomène d'hystérésis sur un exemple simple.<br />

Une brique parallélépipédique <strong>de</strong> poids mg est en contact avec<br />

une paroi soli<strong>de</strong> inclinée d'un angle θ par rapport au plan horizontal<br />

et est reliée à un ressort <strong>de</strong> rai<strong>de</strong>ur k (figure 1). Soit µ s le coefficient<br />

<strong>de</strong> frottement statique ; on supposera pour simplifier que le<br />

coefficient <strong>de</strong> frottement <strong>dynamique</strong> µ d est nul et qu'un frottement<br />

visqueux permet alors l'arrêt du mouvement à la position<br />

d’équilibre <strong>sans</strong> frottement. On note x le raccourcissement du<br />

ressort (x = 0 correspond au ressort détendu) et g la force qu’il<br />

exerce sur la brique. On cherche à déterminer cette déformation x à<br />

l'équilibre en fonction <strong>de</strong> l'angle θ. On note b = mg/<br />

k .<br />

Figure 1<br />

1) On suppose d’abord, pour cette seule question, µ s = 0 . Déterminer la position d’équilibre x en fonction <strong>de</strong> θ et<br />

b .<br />

2) On revient désormais au cas µ s > 0 . Donner les plages <strong>de</strong> valeurs possibles <strong>de</strong> x à l'équilibre dans les cas :<br />

2.a) θ = 0 ;<br />

2.b) θ = π/2 ;<br />

3) Montrer pour θ compris entre 0 et π /2 qu’il y a équilibre si b( −µ s cosθ + sinθ ) < x < b(<br />

µ s cosθ + sinθ<br />

).<br />

4) La paroi est primitivement horizontale et le ressort détendu (x 0 = 0). On incline progressivement et très lentement<br />

la paroi, l'angle θ variant <strong>de</strong> 0 à π/2. On note θi + les angles où la brique se met à glisser et x<br />

i<br />

+ les valeurs <strong>de</strong> x où elle<br />

s’arrête <strong>de</strong> glisser. Pendant ce glissement, l’angle θ n’a pratiquement pas varié.<br />

4.a) La brique ne glisse pas sur la paroi tant que θ < θ . Quand θ atteint θ (ou le dépasse d’un infiniment petit),<br />

+<br />

1<br />

1 + 1 +<br />

+<br />

θ 1<br />

+<br />

1<br />

+<br />

+<br />

θ 2 θ 1<br />

la brique glisse et s’arrête pour la valeur x <strong>de</strong> x . Déterminer l'angle d'inclinaison pour lequel le glissement<br />

apparaît. Pour cet angle, déterminer la nouvelle valeur d'équilibre x en fonction <strong>de</strong> θ et b .<br />

+<br />

4.b) On augmente l'angle d'inclinaison; un nouveau glissement apparaît pour l'angle . Établir la relation entre ,<br />

θ 2 et µ s .<br />

+<br />

4.c) Pour chaque x il existe un intervalle [ θ , θ [ <strong>de</strong> non glissement ; écrire la relation <strong>de</strong> récurrence liant et<br />

+<br />

θ + 1<br />

+<br />

i<br />

+ +<br />

i i + 1<br />

i .<br />

5) On effectue maintenant le parcours inverse en partant <strong>de</strong> la verticale. On note θ et<br />

glissement et les positions d'équilibre correspondantes.<br />

+<br />

1<br />

Problèmes <strong>de</strong> <strong>dynamique</strong>, <strong>sans</strong> énergie, page 2<br />

−<br />

i<br />

−<br />

x i<br />

θ i<br />

les angles successifs <strong>de</strong>


5.a) Quelle équation détermine l’inclinaison pour laquelle a lieu le premier glissement ?<br />

−<br />

5.b) Ecrire la relation <strong>de</strong> récurrence liant et .<br />

θ 1 −<br />

−<br />

θi<br />

θ i + 1<br />

5.c) Exprimer les valeurs i d’arrêt après glissement en fonction <strong>de</strong> b et θ .<br />

6) Représenter qualitativement sur un même graphe où θ est porté en<br />

abscisse et x en ordonnée l’évolution <strong>de</strong> x et θ lorsqu’on fait croître θ <strong>de</strong><br />

0 à π/2, puis décroître θ <strong>de</strong> π/2<br />

à 0 . On utilisera le fait que les points<br />

x −<br />

+ + + + − −<br />

( θ , x ), ( θ x ), ( θ , x ) et ( θ 1, x se situent sur <strong>de</strong>s courbes<br />

i<br />

i<br />

i + 1 , i<br />

i<br />

i<br />

i<br />

− )<br />

simples dont on précisera les équations. Ci-contre le résultat <strong>de</strong> la<br />

comman<strong>de</strong> maple :<br />

> plot([sin(x),sin(x)+0.3*cos(x),sin(x)-0.3*cos(x)],x=0..Pi/2);<br />

−<br />

i +<br />

i −<br />

IV 13 .<br />

Dans le référentiel terrestre, supposé galiléen, on repère un mobile P <strong>de</strong> masse m et <strong>de</strong> vecteur position<br />

r = xu x + yu y + zu<br />

<br />

<br />

z grâce à un repère cartésien Oxy z . Ce mobile est pesant et la pesanteur est g = −guz<br />

. L’air,<br />

<br />

<br />

animé <strong>de</strong> la vitesse u = uux<br />

uniforme et constante, lui applique la force −λ ( v − u)<br />

, où v désigne la vitesse <strong>de</strong> P. A<br />

l’instant 0, on lance P <strong>de</strong> l’origine O avec la vitesse v 0 = v0xu x + v0zu<br />

. L’origine O est au sommet d’une montagne<br />

z<br />

<strong>de</strong> sorte que le mouvement n’est pas limité aux altitu<strong>de</strong>s positives. On pose w = mg/ λ .<br />

1) Démontrer que le mouvement s’effectue dans le plan Oxz .<br />

2) Déterminer les coordonnées <strong>de</strong> la vitesse en fonction du temps et <strong>de</strong>s constantes du problème.<br />

3) Déterminer les coordonnées <strong>de</strong> la position en fonction du temps et <strong>de</strong>s constantes du problème.<br />

4) Trouver l’équation paramétrée x = f( t) z = g( t)<br />

<strong>de</strong> l’asymptote <strong>de</strong> la trajectoire.<br />

5) Calculer la hauteur z S du sommet <strong>de</strong> la trajectoire si v 0z<br />

> 0 .<br />

6) Si v = w , calculer le rapport <strong>de</strong> la hauteur atteinte à celle qui l’aurait été en l’absence <strong>de</strong> freinage par l’air.<br />

0z<br />

V. À propos <strong>de</strong>s avalanches, d’après centrale 2006.<br />

A. Rôle <strong>de</strong>s coefficients <strong>de</strong> frottement.<br />

1) On considère un bloc <strong>de</strong> neige <strong>de</strong> masse m reposant sur un plan incliné<br />

dont la pente est repérée par l’angle α (figure 2). Le contact entre la neige et ce<br />

plan, décrit par les lois <strong>de</strong> Coulomb sur le frottement, est caractérisé par <strong>de</strong>s<br />

coefficients <strong>de</strong> frottement statique µ s et <strong>dynamique</strong> µ d . On rappelle ces lois :<br />

soit T la composante <strong>de</strong> la force exercée par un corps sur l’autre située dans le<br />

plan tangent commun aux <strong>de</strong>ux corps et N la composante normale à ce plan<br />

T<br />

tangent ; s’il y a glissement, d ; s’il n’y a pas glissement,<br />

N =µ<br />

T<br />

s<br />

N 0<br />

s µ d<br />

3) Animée d’une vitesse v 1 , la masse <strong>de</strong> neige arrive dans une région où l’angle α prend une valeur plus faible,<br />

constante. À quelle condition portant sur α le mouvement est-il ralenti puis stoppé ?<br />

4) Expliquer comment l’observation <strong>de</strong> nombreuses avalanches permet <strong>de</strong> déduire <strong>de</strong>s valeurs numériques pour µ s et<br />

.<br />

µ d<br />

Problèmes <strong>de</strong> <strong>dynamique</strong>, <strong>sans</strong> énergie, page 3


B. Modèle <strong>de</strong> frottement sur sol rugueux.<br />

Lorsque l’avalanche rencontre dans sa course un sol rugueux, elle est soumise à <strong>de</strong> nouvelles forces <strong>de</strong> frottement<br />

dont on étudie ici une modélisation (figure 3).<br />

La masse <strong>de</strong> neige en mouvement est assimilée à un<br />

parallélépipè<strong>de</strong> rectangle d’épaisseur d (selon y ), <strong>de</strong><br />

longueur l (selon x ) et <strong>de</strong> largeur L (selon z ). Le<br />

contact avec le sol s’effectue donc sur un rectangle d’aire<br />

S = Ll .<br />

L’avalanche est formée <strong>de</strong> paquets <strong>de</strong> neige sphériques<br />

<strong>de</strong> masse m 0 <strong>de</strong>scendant la ligne <strong>de</strong> plus gran<strong>de</strong> pente<br />

<br />

avec une vitesse v = vu x . Ces blocs sont empilés en<br />

couches distantes <strong>de</strong> b perpendiculairement à la pente.<br />

Dans une couche donnée, parallèle au plan Oxz , les blocs<br />

sont en moyenne distants <strong>de</strong> a selo n les directions x et<br />

z . Au niveau du sol, ils rencontrent <strong>de</strong>s aspérités<br />

assimilées à <strong>de</strong>s cylindres <strong>de</strong> section circulaire et d’axe<br />

parallèle à ( Oz ), séparés d’une distance ∆r<br />

. Ces chocs, caractérisés par l’angle d’inci<strong>de</strong>nce i fixé, obéissent à la loi<br />

<br />

suivante : le vecteur vitesse v du bloc a <strong>de</strong>ux composantes, une composante v n normale au plan tangent commun au<br />

bloc et à l’aspérité et une composante v t située dans ce plan tangent ; après le choc v t est inchangé et v n est nul.<br />

1) Un bloc se déplaçant selon x avec une vitesse moyenne v , exprimer la fréquence f <strong>de</strong>s chocs qu’il subit.<br />

2) Quel est le nombre moyen N 1 <strong>de</strong> blocs dans la couche en contact avec le sol ?<br />

3) Combien <strong>de</strong> chocs l’avalanche dans son ensemble subit-elle pendant dt ? On notera dN ce nombre.<br />

4) Pendant un choc, un bloc subit un changement <strong>de</strong> quantité <strong>de</strong> mouvement ∆p<br />

0 . Déterminer sa projection ∆p 0x<br />

sur l’axe x .<br />

<br />

5) Soit P = Pux<br />

la quantité <strong>de</strong> mouvement <strong>de</strong> l’avalanche. En déduire la variation <strong>de</strong> quantité <strong>de</strong> mouvement<br />

dP chocs causée par les chocs durant dt .<br />

<br />

2 2<br />

mSv 0 cos i<br />

6) En déduire que la force <strong>de</strong> frottement rugueux s’exerçant sur l’avalanche est F = −<br />

u<br />

7) Soit m la masse totale <strong>de</strong> l’avalanche. Montrer que F <br />

rug<br />

rug<br />

<br />

se met sous la forme F<br />

rug<br />

2<br />

a ∆r<br />

2<br />

mgv <br />

= − u ξ d<br />

x<br />

x<br />

en donnant<br />

l’expression du paramètre <strong>de</strong> rugosité ξ en fonction <strong>de</strong> g , ∆r<br />

, b et i .<br />

8) Expliquer pourquoi ξ dépend <strong>de</strong> la nature du sol sur lequel l’avalanche s’écoule.<br />

9) Un ou plusieurs paramètres du modèle pourraient dépendre <strong>de</strong> la vitesse, <strong>de</strong> sorte que ξ pourrait en dépendre<br />

aussi. Lesquels selon vous ?<br />

C. Dynamique <strong>de</strong> l’avalanche.<br />

L’avalanche <strong>de</strong> masse m et d’épaisseur d dévale désormais une pente d’angle α sous les effets conjugués <strong>de</strong> son<br />

poids, du frottement sec obéissant aux lois <strong>de</strong> Coulomb (partie A) et du frottement rugueux <strong>de</strong> la partie B décrit par la<br />

du<br />

relation <strong>de</strong> B.7. On rappelle que<br />

2 2 = 1 u<br />

∫ argth et thudu<br />

= ln( ch u )<br />

a − u a a ∫ .<br />

1) Déterminer l’équation du mouvement selon x sous la forme d’une équation différentielle pour v( t)<br />

.<br />

2) Exprimer la vitesse limite v atteinte par l’avalanche et la calculer numériquement pour α = 35° , µ = 0, 3 ,<br />

3 2<br />

l<br />

d = 2m et ξ = 10 m.s − .<br />

3) Exprimer l’évolution v( t ) <strong>de</strong> la vitesse <strong>de</strong> l’avalanche, avec la condition initiale v ( 0)<br />

= 0. On éliminera α et<br />

µ d au profit <strong>de</strong> vl<br />

.<br />

4) Déterminer la distance x( t)<br />

parcourue par l’avalanche <strong>de</strong>puis son point <strong>de</strong> départ.<br />

5) Application numérique : quelle distance l’avalanche a-t-elle parcourue lorsqu’elle atteint sa vitesse limite à 10 %<br />

près ?<br />

d<br />

Problèmes <strong>de</strong> <strong>dynamique</strong>, <strong>sans</strong> énergie, page 4


Réponses<br />

dv<br />

I. 1.a) m = mg −αv ; 1.b) v ( )<br />

dt = g τ[ 1− exp −t/<br />

τ ] ;1.d) v gt ; 1.e) vitesse limite ; 1.f)<br />

x g ⎡ t ( exp ( t<br />

) 1 )<br />

⎤ 1 2<br />

= τ ⎢ + τ − − ⎥ ; 1.g) x gt ; 2.a)<br />

⎣<br />

τ ⎦<br />

2<br />

dv<br />

2<br />

m = mg −βv ; 2.b) une vitesse ; 2.e) vitesse limite; 2.f) v ; 2.h)<br />

dt gt<br />

v<br />

v 1<br />

2<br />

3 4<br />

v1<br />

gt 1 2 gt<br />

x = ln ch ; 2.i) x g t − + … ;<br />

g v<br />

2<br />

1 2 12v1<br />

1 2<br />

x − gt<br />

3<br />

2.k) 2 βh<br />

t<br />

−<br />

ε = − = −1, 14.10 ;<br />

1 2 3m<br />

gt<br />

1<br />

2<br />

0<br />

2<br />

βh<br />

⎛ 1 1 ⎞<br />

2.l) x1 −x2<br />

− = 2, 5 cm<br />

3 ⎜⎝m2 m ⎟<br />

1⎠<br />

.<br />

<br />

2<br />

2 g<br />

II. 1) z = −ω z ; 2) R = m( g −ωz) u z ; 3) zM<br />

= −a<br />

; 4) z m = a ; 5) z 0 = 0 ; 6) ω 2 = ;<br />

a<br />

7) ω 2 = 11, 07 rad/s ; 8) Le décollage se produit pour<br />

1 3 ( g<br />

g<br />

t = arccos −<br />

2 ) ; 9) z 3 = ; z<br />

ou<br />

ω<br />

2 3 = aωsin<br />

ωt3<br />

aω<br />

ω<br />

2<br />

g<br />

z<br />

3<br />

z 3 = aω 1 − ; 10) z t ; z ; 11)<br />

2 4 3 = 0, 0276 m 3 = 0,102 s 3 = 1, 416 m/s t4 = t 3 + = 0, 246 s ;<br />

a ω<br />

g<br />

2<br />

z<br />

3<br />

z4 = z3 + = 0,130 m .<br />

2g<br />

+<br />

+ +<br />

III. 1) x = b sin θ ; 2.a) x


Corrigé<br />

I.<br />

dv<br />

1.a) m mg<br />

dt = −αv.<br />

v mdv m v m mg −αv ⎛ v ⎞<br />

1.b) t = ∫ d t = ∫ = − [ ln( mg −α v)<br />

] 0 = − ln = −τ ln 1 − 0 mg −αv α α mg ⎜⎝<br />

gτ⎠⎟<br />

ou v = g τ[ 1− exp ( −t/<br />

τ)<br />

].<br />

1.c) Voir ci-contre.<br />

v<br />

1.d) Si t τ ,<br />

t t t<br />

gτ<br />

⎡<br />

⎤<br />

exp( − ) 1 − v gτ⎢1 −( 1 − ) ⎥ = gt<br />

τ τ ⎣ τ ⎦<br />

t<br />

1.e) Si t τ , la force <strong>de</strong> frottement −α v −mg<br />

est τ<br />

négligeable <strong>de</strong>vant le poids mg , donc le mouvement est proche<br />

<strong>de</strong> la chute libre d’accélération g .<br />

1.f)<br />

dx<br />

v =<br />

0 τ<br />

dt<br />

t t t<br />

⎡ t ⎤ ⎡ t ⎤ ⎡<br />

t ⎤<br />

x = ∫ vdt = gτ⎢1− exp( − ) ⎥dt = gτ ⎢t + τexp( − ) ⎥ = gτ ⎢t<br />

+ τ( exp( − ) −1)<br />

0<br />

∫0 ⎥<br />

⎣ τ ⎦ ⎣ τ ⎦0<br />

⎣<br />

τ ⎦<br />

2 2<br />

t t t t t 1 2<br />

1.g) Si t τ , exp( − ) 1 − + x gτ ⎡ t + τ ⎛ 1 1<br />

⎞⎤<br />

gt<br />

2 − + − =<br />

2<br />

τ τ 2τ<br />

⎣⎢<br />

⎜⎝<br />

τ 2τ<br />

⎠⎟<br />

⎦⎥<br />

2<br />

1.h) Même commentaire qu’en 1.e.<br />

dv<br />

2<br />

2.a) La loi fondamentale <strong>de</strong> la <strong>dynamique</strong> s’écrit m m g v<br />

dt = −β<br />

2.b) Comme mg et β v 2 ont même dimension, v = ( m g β) 1/2 a la dimension d’une vitesse.<br />

2<br />

1 /<br />

dv v dv<br />

2.c) m = m g −mg ⇒ dt = . Posons x<br />

dt<br />

2 2<br />

v1<br />

⎛ v ⎞⎟<br />

g<br />

⎜1<br />

−<br />

2<br />

⎜⎝ v ⎟<br />

1 ⎠<br />

v<br />

v/<br />

v 1 +<br />

1<br />

v1 dx ⎡v1 1 + x ⎤ v1 v1<br />

t = ln<br />

ln<br />

g ∫ =<br />

2<br />

=<br />

1 − x ⎢⎣2g 1−<br />

x ⎥⎦0<br />

2g<br />

v<br />

1 −<br />

v<br />

1<br />

= v d<br />

dx<br />

v<br />

= v v<br />

.<br />

1 1<br />

v ⎛2gt⎞ 1 exp ⎛gt⎞ 1 exp ⎛ gt⎞<br />

exp<br />

gt<br />

+ v 2gt<br />

⎜ v ⎟− ⎜v ⎟− ⎜<br />

−<br />

v<br />

⎟ sh<br />

⎛ ⎞ ⎝ ⎠ ⎝ ⎠ ⎝ ⎠<br />

v ⎜ ⎟<br />

v1<br />

gt<br />

= v1 = v1<br />

th<br />

1 −<br />

⎜⎝ ⎠ ⎛ gt ⎞ ⎛gt ⎞ ⎛ gt ⎞ gt<br />

v<br />

exp ⎟ 1 exp ⎟<br />

1<br />

exp<br />

ch<br />

v<br />

⎝ v ⎠ ⎝v ⎠ ⎝ v ⎠⎟<br />

v<br />

1 1 1 1<br />

= exp⎜<br />

v v1 v1<br />

v ⎟<br />

= =<br />

1<br />

2<br />

1 ⎜ ⎟+ ⎜ ⎟− ⎜<br />

−<br />

1 1 1<br />

2.d) Voir ci-contre.<br />

2.e) v est la vitesse limite; c’est la limite <strong>de</strong> la vitesse lorsque<br />

1<br />

2<br />

t → +∞ ; alors la force mg −βv tend vers zéro, donc<br />

v → v1 = mg/<br />

β .<br />

2gt<br />

1+ − 1<br />

v<br />

2.f) Si t 1 ⎛2gt ⎞ 2gt 1<br />

, exp v<br />

1 v v1<br />

g<br />

g ⎜<br />

v ⎟ + = t<br />

⎜⎝ ⎠ v<br />

1+<br />

1<br />

1 1<br />

1 2 1<br />

2<br />

2.g) Alors v g t v βv β v = mg , aussi le mobile suit un mouvement proche <strong>de</strong> la chute libre.<br />

⎛<br />

2.h) x v 1 th gt ⎞<br />

= ∫ dt = v ∫<br />

⎜<br />

dt qui s’intègre par le changement <strong>de</strong> variable<br />

⎜⎝v<br />

⎠⎟<br />

1<br />

2 2 t 2<br />

1 1 1 ⎡ ⎤ 1<br />

1<br />

1 1 ⎢⎣<br />

1 ⎥⎦<br />

0<br />

gt gdt v du v v gt v gt<br />

u = du = x = v thu ln chu<br />

ln ch ln ch<br />

v v ∫ = = =<br />

g g g v g v<br />

.<br />

1<br />

v 1<br />

0<br />

1<br />

v<br />

t<br />

t<br />

Problèmes <strong>de</strong> <strong>dynamique</strong>, <strong>sans</strong> énergie, page 6


2.i) Si x petit,<br />

2 4<br />

x x<br />

ch x 1 + + + ...<br />

2 24<br />

2<br />

x<br />

ln( 1 + x)<br />

x − + …<br />

2<br />

2 4 2 4 2 4 2<br />

⎛<br />

2<br />

x x ⎞ x x 1⎛x x ⎞ x 4 1 1<br />

ln( ch x) ln 1 + + + … x<br />

2 24 + + … − + + … = +<br />

2 24 2 2 24 2<br />

( −<br />

24 8)<br />

+ …<br />

⎜⎝ ⎠⎟<br />

⎝ ⎜<br />

⎠⎟<br />

2 4<br />

x x<br />

ln( ch x ) − + …<br />

2 12<br />

2 2 4<br />

3 4<br />

v ⎡<br />

1 1⎛gt⎞ 1 ⎛gt⎞<br />

⎤ 1 2 g t<br />

x − + = gt − +<br />

⎢2 ⎜<br />

⎟<br />

2<br />

1 12 ⎜v<br />

⎟<br />

… …<br />

g ⎝ ⎠ ⎝ 1⎠<br />

⎥<br />

⎣ v<br />

⎦ 2 12v1<br />

3 4<br />

gt<br />

2.j) Même commentaire qu’en 2.g. En outre, en raison du frottement, le terme correctif − est négatif.<br />

2<br />

12v1<br />

2.k) L’abscisse présente l’écart relatif ε avec celle <strong>de</strong> la chute libre :<br />

3 4<br />

1 gt<br />

2<br />

x − gt −<br />

2 2 2 −4<br />

2 12v1 gt 2gx β h 12× 10 × 2<br />

−3<br />

ε = = − = − 1,14.10<br />

1 2<br />

2 1 2 6v<br />

mg = − = − = − .<br />

gt gt<br />

1 6 3m1<br />

3×<br />

0,7<br />

2 2<br />

β<br />

1 2<br />

2.l) En fin <strong>de</strong> chute, considérons que x1<br />

et que x2<br />

sont voisins <strong>de</strong> h = gt :<br />

2<br />

x 2 4 2<br />

1 x 2<br />

h h h<br />

−<br />

− 1 1 12 10 2 1 1<br />

1 2 x1 x2<br />

2, 5 cm<br />

h β β β ⎛ ⎞ × × ⎛ ⎞<br />

ε − ε − + ⇒ − 3m1 3m 2 3 ⎜<br />

− = − =<br />

⎝<br />

m2 m ⎟<br />

1⎠<br />

3 ⎜⎝0,058 0,7⎠⎟<br />

.<br />

2.m) Le frottement étant faible, les <strong>de</strong>ux boules ont un mouvement proche <strong>de</strong> la chute libre, mouvement qui est<br />

indépendant <strong>de</strong> la masse, donc elles ont <strong>de</strong>s mouvements voisins.<br />

La force <strong>de</strong> frottement étant la même et la masse <strong>de</strong> la secon<strong>de</strong> boule étant plus faible, cette <strong>de</strong>uxième boule est un<br />

peu plus ralentie, donc se trouve au <strong>de</strong>ssus <strong>de</strong> la première.<br />

II. Point matériel sur un plateau oscillant.<br />

<br />

2 2<br />

<br />

2 <br />

1) z = aωsin<br />

ω t z = aω cos ω t z = −ω z . 2) R + mg = ma R − mg = mz R = m( g −ωz) u z .<br />

3) R est maximum quand z est minimum : zM<br />

= −a. 4) R est minimum quand z est maximum : zm<br />

= a .<br />

2<br />

g<br />

5) z 0 = 0 . 6) R reste toujours positif ou nul si sa valeur minimale l’est aussi : mg ( −ωa) ≥0<br />

⇒ ω 2 = .<br />

a<br />

9, 8<br />

7) ω 2 = = 11, 07 rad/s .<br />

0, 08<br />

2<br />

g 1 g π<br />

8) Le décollage se produit pour R = m( g −ω z) = 0 z3 = t<br />

2 3 = arccos( − ) ( < ω t<br />

2<br />

3 < π)<br />

.<br />

ω ω aω<br />

2<br />

g<br />

9) z<br />

3 = aωsin<br />

ωt3<br />

ou z 3 = aω 1 − . 10)<br />

2 4<br />

a ω<br />

9, 8 1 ⎛ 9, 8 ⎞<br />

z3 = = 0, 0276 m t<br />

2 3 = arccos − 0,102 s<br />

6<br />

2<br />

= .<br />

(6 π) π ⎜⎝ 0, 08 × (6 π)<br />

⎠⎟<br />

z 3 = 0, 08 × 6πsin(6π× 0,102) = 1, 416 m/s .<br />

2<br />

z<br />

3<br />

1, 416<br />

11) z = − g z = −g( t − t3) + z 3 = 0 t4 = t3<br />

+ = 0,102 + = 0,246 s .<br />

g<br />

9, 8<br />

z<br />

2 2<br />

z<br />

3<br />

1, 416<br />

= z + = 0, 0276 + = 0,130 m<br />

2g<br />

2×<br />

9,8<br />

4 3<br />

Problèmes <strong>de</strong> <strong>dynamique</strong>, <strong>sans</strong> énergie, page 7


III.<br />

<br />

1) N + mg + g = 0 .<br />

N <br />

N N <br />

Projetons sur le plan incliné et sur sa normale :<br />

⎧⎪ mg sin θ− g = 0<br />

⎪<br />

T g mg <br />

g <br />

g <br />

⎨<br />

⎪N<br />

−mgcos θ = 0<br />

T <br />

⎪⎩<br />

mg g <br />

mg <br />

mg <br />

g = kx = mg sin θ x = b sin θ<br />

<br />

2.a) g + N + T + mg = 0 .<br />

Question 1 Question 2.a Question 2.b Question 3<br />

T k x<br />

T = g N = mg<br />

s<br />

N<br />

= mg<br />

< µ<br />

x


λt<br />

1) La solution générale <strong>de</strong> l’équation différentielle en y( t)<br />

est y = Aexp<br />

− . Si t = 0 , y<br />

= 0 ⇒ A = 0 : à<br />

m<br />

tout instant y = 0 , donc y reste constant au cours du temps. Comme à l’instant 0 y = 0 , cette égalité est aussi vraie<br />

à tout instant : P se meut dans le plan Oxz .<br />

Autre justification.<br />

Si, à l’instant t , le mobile est dans le plan Oxz avec une vitesse située dans ce plan, la force qu’il subit<br />

<br />

mg −λ<br />

( v − u ) est aussi dans ce plan, qui contient aussi dr<br />

= vdt<br />

<br />

<br />

F<br />

et dv = dt ; donc, à l’instant t + dt , le<br />

m<br />

mobile est encore dans le plan Oxz avec une vitesse située dans ce plan. Comme, à l’instant 0, le mobile est dans le<br />

plan Oxz avec une vitesse située dans ce plan, on en déduit par récurrence qu’il y reste.<br />

λ<br />

2) La solution générale <strong>de</strong> l’équation différentielle en x ( t)<br />

est x = Aexp( − t)<br />

+ u .<br />

m<br />

( )<br />

λ<br />

x<br />

x<br />

( 0x<br />

) exp( )<br />

Si t = 0 , x = v0 ⇒ A = v0<br />

− u. D’où : x = v −u − t + u .<br />

m<br />

λ mg<br />

La solution générale <strong>de</strong> l’équation différentielle en z ( t)<br />

est z = Aexp( − t<br />

m ) − .<br />

λ<br />

λ<br />

z<br />

z<br />

( 0z<br />

) exp( )<br />

Si t = 0 , z = v0 ⇒ A = v0<br />

+ w . D’où : z = v + w − t −w<br />

.<br />

m<br />

t<br />

m<br />

λ<br />

3) x xdt x ( v0x<br />

u) ( 1 exp( t)<br />

)<br />

0<br />

λ<br />

m<br />

t m<br />

λ<br />

= = ( 0z<br />

+ )( 1− exp( − ))<br />

−<br />

0<br />

λ<br />

m<br />

λ<br />

4) Si t grand, p( t ) 0<br />

= ∫ = − − − + ut .<br />

z ∫ zdt z v w t wt .<br />

m<br />

ex − , d’où l’équation <strong>de</strong> l’asymptote : x ( v0x<br />

− u)<br />

+ ut et<br />

m<br />

λ<br />

m<br />

z ( v0z<br />

+ w)<br />

− wt .<br />

λ<br />

λ w m v0z<br />

5) Au sommet, z = 0 exp( − t ) = t = ln( 1+<br />

m v<br />

), d’où après un peu <strong>de</strong> calcul :<br />

0z<br />

+ w λ w<br />

mv0z<br />

mw v0z<br />

zS<br />

= ln( 1<br />

λ<br />

− λ<br />

+ w<br />

) .<br />

2 2<br />

v0z<br />

1 2 v0z<br />

w<br />

6) Sans freinage par l’air, au sommet z<br />

= − gt + v0z = 0 t = zS′<br />

= − gt + v0zt<br />

= =<br />

g<br />

2 2g<br />

2g ; avec<br />

2<br />

freinage, comme m w λ = g<br />

, w<br />

z S ( 1 ln2 ) zS<br />

= − ; d’où = 2( 1− ln2)<br />

= 0,614 .<br />

g<br />

z ′<br />

V.<br />

A.<br />

<br />

1) Soit R = − Tu<br />

x + Nu y la réaction du sol sur la neige. Si la neige est en équilibre, R + mg = 0 , soit<br />

− T + mgsin α = 0<br />

N −mgcos α = 0<br />

T<br />

D’après la loi <strong>de</strong> Coulomb du frottement, tan s<br />

N = α


B.<br />

1) La durée séparant <strong>de</strong>ux chocs consécutifs d’un paquet <strong>de</strong> neige sur les aspérités est T = ∆r/<br />

v ,<br />

d’où la fréquence <strong>de</strong>s chocs pour un paquet <strong>de</strong> neige<br />

f = 1/ T = v/<br />

∆ r .<br />

2) Il y a un paquet <strong>de</strong> neige par carré <strong>de</strong> coté a , d’où N1 = S /a .<br />

3) dN = N1dt / T = N1fdt<br />

.<br />

4) Soit p f la quantité <strong>de</strong> mouvement du paquet <strong>de</strong> neige après le choc sur l’aspérité ; p 0 , p <br />

f et<br />

∆ p 0 = p f − p<br />

<br />

0 forment le triangle rectangle <strong>de</strong>ssiné ci-contre ; d’où<br />

2<br />

∆ p = p cosi ∆ p = p cos i.<br />

0 0 0x<br />

0<br />

2<br />

p f<br />

∆p<br />

<br />

0<br />

5) dP chocs = dN∆p0x<br />

.<br />

6) Du fait du poids, le mouvement a lieu selon l’axe <strong>de</strong>s x , la projection <strong>de</strong> la quantité <strong>de</strong> mouvement sur l’axe <strong>de</strong>s y<br />

ne varie pas et seule est modifiée la composante <strong>de</strong> la quantité <strong>de</strong> mouvement selon l’axe <strong>de</strong>s x :<br />

2 2<br />

dPchocs<br />

N1fdtm0v cos i S v <br />

2 m0S cos i 2 F = = = m<br />

2 0vcos<br />

i F = − v u<br />

2<br />

x .<br />

dt dt a ∆r<br />

a ∆r<br />

7) Le bloc comporte d S<br />

couches, chacune contenant paquets <strong>de</strong> neige :<br />

b<br />

2<br />

a<br />

2<br />

Sd mbcos<br />

i 2 mg 2 g∆r<br />

m = m0 ⇒ F = v = v si ξ = .<br />

2<br />

a b d∆r dξ<br />

2<br />

bcos<br />

i<br />

8) ξ dépend <strong>de</strong> ∆ r , qui est une fonction du sol, et <strong>de</strong> i , qui est une fonction du sol et <strong>de</strong> la grosseur <strong>de</strong>s paquets <strong>de</strong><br />

neige <strong>de</strong> l’avalanche. Si la taille <strong>de</strong> ces paquets <strong>de</strong> neige augmente, b et i augmentent, co si diminue et peut-être<br />

2<br />

bcos<br />

i ne varie pas trop. Alors, ξ dépendrait essentiellement du sol.<br />

9) Si la vitesse est trop gran<strong>de</strong>, le paquet <strong>de</strong> neige soulevé pourrait ne pas avoir le temps <strong>de</strong> revenir à sa hauteur <strong>de</strong><br />

départ quand il heurte l’aspérité suivante, d’où une augmentation <strong>de</strong> l’angle i avec la vitesse.<br />

C.<br />

dv<br />

1)<br />

dt<br />

⎛<br />

2<br />

v ⎞<br />

= g<br />

sin α−µ d cos α− .<br />

⎜⎝<br />

ξd<br />

⎠⎟<br />

dv<br />

2) = 0 ⇒ v = vl<br />

dt<br />

= ξd( sin α −µ d cos α ) = 10 × 2( sin 35°− 0, 3 cos 35° ) = 25,6 m.s<br />

3)<br />

dv g 2 2<br />

= ( vl<br />

− v )<br />

dt ξd<br />

ξd v dv ξd<br />

v<br />

t = argth<br />

g ∫ =<br />

0<br />

2 2<br />

vl<br />

− v gvl<br />

vl<br />

gvlt<br />

v = vl<br />

th<br />

ξd<br />

t ξd<br />

⎛ gvt l ⎞<br />

4) x = dt ln ch<br />

∫ v = 0 g ⎜⎝<br />

ξd<br />

⎠⎟<br />

.<br />

d<br />

v 2 1000<br />

5) x = ξ ln ch argth ln( ch( argth 0,9 ))<br />

169 m .<br />

g<br />

⎜<br />

= =<br />

⎝ ⎜⎝ v ⎟⎟<br />

l ⎠⎠ 9, 8<br />

Autre métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> calcul :<br />

1 2 mg 2 2<br />

d ( mv ) = Fdx = ( vl<br />

− v ) dx<br />

2<br />

ξd<br />

( )<br />

3 −1<br />

2 2<br />

ξd v d v ξd v ξ d ⎛ v ⎞<br />

⎟ ×<br />

2 0<br />

2 2 l<br />

g∫<br />

2 0<br />

2<br />

2<br />

vl<br />

− v g g ⎜ ⎝ v ⎟<br />

l ⎠ 2×<br />

9,8<br />

2 1000<br />

x = dx = = −ln v − v = − ln 1 − = − ln 1 − 0,9 = 169 m<br />

∫<br />

2 2<br />

[ ( )] ⎜<br />

2<br />

⎟<br />

( )<br />

.<br />

0<br />

∆pp 0x<br />

i<br />

Problèmes <strong>de</strong> <strong>dynamique</strong>, <strong>sans</strong> énergie, page 10

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