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Mise à jour sur les traitements de l'infertilité ... - Profession Santé

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L'effet maximum peutêtre déterminé après quatre semaines <strong>de</strong> traitement au plus tôt.Dose oubliée : Si une dose est oubliée, le prochain comprimédoit être pris comme prévu. Les doses ne doivent pas êtredoublées pour compenser une dose oubliée.Références <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s1. Chapple CR, et al. Eur Urol 2005; 45: 464- 470.2. Chapple CR, et al. Eur Urol 2006; 49: 157- 190.RENSEIGNEMENTS SUPPLEMENTAIRES SUR LEPRODUITMISES EN GARDE ET PRÉCAUTIONSFonction sexuelle/reproductionLors d'une étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> toxicité <strong>de</strong> 13 semaines chez <strong>de</strong>s souris auxquel<strong>les</strong> on a administré400 mg/kg/<strong>jour</strong> (15 fois l'exposition à la dose humaine maximum recommandée[DHMR]) <strong>de</strong> succinate <strong>de</strong> solifénacine et lors d'une étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> toxicité <strong>de</strong> 26 semaineschez <strong>de</strong>s rats traités au moyen <strong>de</strong> 30 mg/kg/<strong>jour</strong> (< 1 fois l'exposition a la DHMR)ou plus <strong>de</strong> succinate <strong>de</strong> solifénacine, une dégénérescence folliculaire/réduction du corpsjaune dans <strong>les</strong> ovaires et/ou une atrophie utérine ont été observées chez <strong>les</strong> animaux<strong>de</strong> sexe féminin qui sont décédés ou qui ont été sacrifi és in extremis. Un poids utérinfaible et une immaturité utérine ont été observés chez <strong>de</strong>s chiennes traitées au moyen <strong>de</strong>3 mg/kg/<strong>jour</strong> (< 1 fois l'exposition à la DHMR) ou plus <strong>de</strong> succinate <strong>de</strong> solifénacine lorsd'une étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> toxicité <strong>de</strong> 13 semaines.Le succinate <strong>de</strong> solifénacine n'a exercé aucun effet <strong>sur</strong> la fonction reproductive, <strong>sur</strong> lafécondité ou le développement embryonnaire précoce du fœtus <strong>de</strong> souris mâ<strong>les</strong> et femel<strong>les</strong>traitées au moyen <strong>de</strong> 250 mg/kg/<strong>jour</strong> (13 fois l'exposition à la MRHD) <strong>de</strong> succinate <strong>de</strong>solifénacine pendant 4 et 2 semaines, respectivement, chez <strong>de</strong>s rats mâ<strong>les</strong> traités aumoyen <strong>de</strong> 50 mg/kg/<strong>jour</strong> (< 1 fois l'exposition à la DHMR) pendant 4 semaines etchez <strong>de</strong>s rates traitées au moyen <strong>de</strong> 100 mg/kg/<strong>jour</strong> (1,7 fois l'exposition à la DHMR)pendant 2 semaines.Populations particulièresFemmes enceintes : Des étu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> reproduction ont été effectuées chez <strong>de</strong>s souris, <strong>de</strong>srats et <strong>de</strong>s lapins. Après l'administration <strong>de</strong> succinate <strong>de</strong> solifénacine marqué au 14 C à <strong>de</strong>ssouris gravi<strong>de</strong>s, <strong>de</strong>s éléments du médicament ont franchi la barrière placentaire. Aucuneembryotoxicité ni tératogénicité n'ont été observées chez <strong>les</strong> souris traitées au moyen <strong>de</strong>30 mg/kg/<strong>jour</strong> (1,2 fois l'exposition à la dose humaine maximum recommandée[DHMR]). L'administration <strong>de</strong> succinate <strong>de</strong> solifénacine à <strong>de</strong>s souris gravi<strong>de</strong>s, à raison <strong>de</strong>100 mg/kg/<strong>jour</strong> et plus (3,6 fois l'exposition à la DHMR), durant la pério<strong>de</strong> importante<strong>de</strong> développement <strong>de</strong>s organes a donné lieu à une diminution <strong>de</strong> la masse corporelle <strong>de</strong>sfœtus. L'administration <strong>de</strong> 250 mg/kg/<strong>jour</strong> (7,9 fois l'exposition à la DHMR) à <strong>de</strong>ssouris gravi<strong>de</strong>s a donné lieu à une inci<strong>de</strong>nce accrue <strong>de</strong> fi s<strong>sur</strong>es palatines. Les expositionsin utero et par l'allaitement à <strong>de</strong>s doses maternel<strong>les</strong> <strong>de</strong> succinate <strong>de</strong> solifénacine <strong>de</strong>100 mg/kg/<strong>jour</strong> et plus (3,6 fois l'exposition à la DHMR) a donné lieu à une <strong>sur</strong>viepérinatale et post-natale réduite, à <strong>de</strong>s réductions du gain pondéral et à un retarddu développement physique (ouverture <strong>de</strong>s yeux et du vagin). Une augmentationdu pourcentage <strong>de</strong>s rejetons <strong>de</strong> sexe masculin a aussi été observée dans <strong>les</strong> portéesprovenant <strong>de</strong>s rejetons exposés à <strong>de</strong>s doses maternel<strong>les</strong> <strong>de</strong> 250 mg/kg/<strong>jour</strong>. Aucuneffet embryotoxique n'a été observé chez <strong>de</strong>s rats jusqu'à 50 mg/kg/<strong>jour</strong> (< 1 foisl'exposition à la DHMR) ou chez <strong>de</strong>s lapins jusqu'à 50 mg/kg/<strong>jour</strong> (1,8 fois l'expositionà la DHMR). On n'a noté aucun effet <strong>sur</strong> la mise bas naturelle chez la souris traitéeau moyen <strong>de</strong> 30 mg/kg/<strong>jour</strong> (1,2 fois l'exposition à la DHMR). L'administration <strong>de</strong>succinate <strong>de</strong> solifénacine à raison <strong>de</strong> 100 mg/kg/<strong>jour</strong> (3,6 fois l'exposition à la DHMR)ou plus a fait augmenter la mortalité périnatale <strong>de</strong>s rejetons.Femmes qui allaitent : Lors <strong>de</strong> l'administration orale <strong>de</strong> succinate <strong>de</strong> solifénacinemarqué au 14 C à <strong>de</strong>s souris allaitantes, la radioactivité a été décelée dans le lait maternel.On n'a noté aucun effet indésirable chez <strong>les</strong> souris traitées au moyen <strong>de</strong> 30 mg/kg/<strong>jour</strong> (1,2 fois l'exposition à la dose humaine maximum recommandée [DHMR]). Lesrejetons <strong>de</strong>s souris femel<strong>les</strong> traitées au moyen <strong>de</strong> 100 mg/kg/<strong>jour</strong> (3,6 fois l'expositionà la DHMR) ou plus ont présenté une réduction <strong>de</strong> leur masse corporelle, une mortalitépost-partum ou un retard <strong>de</strong>s réfl exes et du développement physique durant la pério<strong>de</strong>d'allaitement.EFFETS INDÉSIRABLESEffets indésirab<strong>les</strong> du médicament lors <strong>de</strong>s essais cliniquesVESICARE a été évalué <strong>sur</strong> le plan <strong>de</strong> l'innocuité chez 1 811 patients dans le cadre d'essaisrandomisés et contrôlés par placebo. Lors <strong>de</strong>s quatre essais cliniques à double insu d'unedurée <strong>de</strong> 12 semaines, on a noté trois réactions indésirab<strong>les</strong> intestina<strong>les</strong> graves chez <strong>de</strong>spatients, tous traités au moyen <strong>de</strong> VESICARE à raison <strong>de</strong> 10 mg (fécalome, obstructiondu côlon et obstruction intestinale). Le taux global d'inci<strong>de</strong>nts indésirab<strong>les</strong> graves lors <strong>de</strong>sessais à double insu a été <strong>de</strong> 2 %. Le tableau 1 dresse la liste <strong>de</strong>s réactions indésirab<strong>les</strong>,peu importe leur lien <strong>de</strong> cause à effet, qui ont été signalés lors <strong>de</strong>s essais randomiséscontrôlés par placebo, selon une inci<strong>de</strong>nce supérieure à celle du placebo et chez 1 % ouplus <strong>de</strong>s patients traités au moyen <strong>de</strong> VESICARE à raison <strong>de</strong> 5 ou 10 mg une fois par <strong>jour</strong>pendant une pério<strong>de</strong> allant jusqu'à 12 semaines.clomiphene citrate as first line foranovulatory infertility: a <strong>de</strong>bate. ReprodBiol Endocrinol. 9: p. 86.17. Biljan MM, Hemmings R, Brassard N. Theoutcome of 150 babies following thetreatment with letrozole or letrozole andgonadotropins. Fertil Steril 2005; 84(supp.1); O-231, Abstract 1033.18. Tulandi T, Martin J, Al-Fadhli R, Kabli N,Forman R, Hitkari J, Librach C, GreenblattE, Casper R. Congenital malformationsamong 911 newborns conceived afterinfertility treatment with letrozole orclomiphene citrate. Fertility and Sterility_Vol. 85, No. 6, June 2006.19. Forman R, Gill S, Moretti M, Tulandi T,Koren G, Casper R. Fetal Safety of letrozoleand Clomiphene Citrate for OvulationInduction. J Obstet Gynaecol Can2007;29(8):668-671.20. Badawy A, Shokeir T, Allam AF, Ab<strong>de</strong>lhadyH. Pregnancy outcome after ovulationinduction with aromatase inhibitors orclomiphene citrate in unexplained infertility.Acta Obstet Gynecol Scand.2009;88(2):187-91.21. Renseignements importants en matièred’innocuité concernant la contre-indication<strong>de</strong> Femara (létrozole) chez <strong>les</strong> femmespréménopausées. Novembre 2005. www.hc-sc.gc.ca/dhp-mps/me<strong>de</strong>ff/advisories-Tableau 1 : Pourcentage <strong>de</strong> patients présentant <strong>de</strong>s réactions indésirab<strong>les</strong> liées autraitement, excédant le taux lié au placebo et signalées chez 1 % ou plus <strong>de</strong>s sujets lorsd'essais déterminants combinésSYSTÈME ORGANE CLASSETerme MedDRA préféréPlacebo(%)Un jeune sujet <strong>de</strong> sexe masculin a présenté une augmentation réversible <strong>de</strong> ses tauxd'enzymes hépatiques après une seule dose <strong>de</strong> solifénacine lors d'une étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> phase I.Bien que le lien <strong>de</strong> cause à effet n'ait pas été établi, il faut porter une attention spécialeaux sujets qui développent <strong>de</strong>s anomalies à leurs tests <strong>de</strong> fonction hépatique après avoirdébuté un traitement par solifénacine et faut envisager l'arrêt du traitement, selon le cas.Effets indésirab<strong>les</strong> signalés après la commercialisation : Outre <strong>les</strong> effetsindésirab<strong>les</strong> observés lors <strong>de</strong>s essais cliniques, <strong>les</strong> effets suivants ont été signalés en lienavec l'utilisation <strong>de</strong> VESICARE <strong>de</strong>puis sa commercialisation à l'échelle mondiale, bien quel'on n'ait pas tou<strong>jour</strong>s pu en confi rmer la fréquence ou le lien causal avec VESICARE.Général : œdème périphériqueCardiovasculaire : torsa<strong>de</strong>s <strong>de</strong> pointesTroub<strong>les</strong> <strong>de</strong> l’oeil : glaucomeGastrointestinal : refl ux gastro-oesophagien pathologique, iléus, vomissementsHépatobiliaire : troub<strong>les</strong> hépatiques caractérisés principalement par <strong>de</strong>s résultatsanormaux aux tests <strong>de</strong> la fonction hépatique : AST (aspartate aminotransférase), ALT(alanine aminotransférase), GGT (gamma-glutamyl transférase)Système immunitaire : réaction anaphylactique et réactions d’hypersensibilitéincluant éruptions cutanées, prurit et urticaireInvestigations : allongement <strong>de</strong> l’intervalle QT à l’électrocardiogrammeMétabolisme et nutrition : perte d’appétit et hyperkaliémieSystème nerveux : étourdissement, maux <strong>de</strong> tête et somnolencePsychiatrique : état confusionnel, délire, désorientation et hallucinationRénal et urinaire : insuffi sance rénale et rétention urinaireTroub<strong>les</strong> respiratoires, thoraciques et médiastinaux : dysphoniePeau et tissus sous-cutanés : angio-œdème avec obstruction <strong>de</strong>s voies respiratoires,<strong>de</strong>rmatite exfoliative, érythème polymorpheINTERACTIONS MÉDICAMENTEUSESInteractions médicament-médicament : La solifénacine est métabolisée parle CYP3A4. L'administration simultanée <strong>de</strong> kétoconazole (200 mg/<strong>jour</strong>), un puissantinhibiteur du CYP3A4, a donné lieu à une augmentation du double <strong>de</strong> l'ASC <strong>de</strong> lasolifénacine, alors qu'une dose <strong>de</strong> 400 mg/<strong>jour</strong> <strong>de</strong> kétoconazole a donné lieu à uneaugmentation du triple <strong>de</strong> l'ASC <strong>de</strong> la solifénacine. Par conséquent, la dose maximum <strong>de</strong>VESICARE doit être limitée à 5 mg lorsqu'il est utilisé simultanément avec le kétoconazoleou aux doses thérapeutiques d'autres puissants inhibiteurs du CYP3A4.avis/prof/_2005/femara_hpc-cps-fra.php(consulté le 18 septembre 2012).22. Vause TDR, Chueung AP et al.Déclenchement <strong>de</strong> l’ovulation en présence dusyndrome <strong>de</strong>s ovaires polykystiques. J ObstetGynecol Can 2010; 32(5) : 503-11.23. Croteau M, Bérubé J. 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Fertil Steril2006 ; 86 : 658-63.VESICARE5 mg (%)VESICARE10 mg (%)Nombre <strong>de</strong> patients 1 216 578 1 233Nombre <strong>de</strong> patients ayant manifesté <strong>de</strong>s 634 265 773effets indésirab<strong>les</strong> liés au traitementTroub<strong>les</strong> oculairesVision troubleSécheresse oculaire NSATroub<strong>les</strong> digestifsSécheresse <strong>de</strong> la boucheConstipationNauséesDyspepsieDouleurs abdomina<strong>les</strong> hautesVomissements NSAMalaises généraux et problèmesau point d’administrationFatigueOEdème aux membres inférieursInfections et infestationsInfection urinaire NSAInfl uenzaPharyngite NSA1,80,64,22,92,01,01,00,91,10,72,81,31,03,80,310,95,41,71,41,90,21,00,32,82,20,34,81,627,613,43,33,91,21,12,11,14,80,91,1Troub<strong>les</strong> du système nerveuxÉtourdissements 1,8 1,9 1,8Troub<strong>les</strong> psychiatriquesDépression NSA 0,8 1,2 0,8Troub<strong>les</strong> rénaux et urinairesRétention urinaire 0,6 0 1,4Troub<strong>les</strong> respiratoires,thoraciques et médiastinauxToux 0,2 0,2 1,1Troub<strong>les</strong> vasculairesHypertension NSA 0,6 1,4 0,528. Nawaz FH, Khalid R, Naru T, Rizvi J. Doescontinuous use of metformin throughoutpregnancy improve pregnancy outcomes inwomen with polycystic ovarian syndrome ? JObstet Gynaecol Res 2008 ; 34 : 832-7.29. Sohrabvand F, Shariat M, Haghollahi F,Bagheri B. Effect of metformin onmiscarriage in pregnant patients withpolycystic ovary syndrome. West IndianMed J 2009; 58 : 433-6.30. Thatcher SS, Jackson EM. Pregnancyoutcome in infertile patients with polycysticovary syndrome who were treated withmetformin. Fertil Steril 2006; 85 : 1002-9.31. Fernan<strong>de</strong>z H, Morin-Surruca M, Torre A,Faivre E, Deffieux X, Gervaise A. Ovariandrilling for <strong>sur</strong>gical treatment of polycysticovarian syndrome: a comprehensive review.Reprod Biomed Online 2011; 22(6): 556-68.32. Mercorio F, Mercorio A, Di Spiezio SardoA, Barba GV, Pellicano M, Nappi C.Evaluation of ovarian adhesion formationafter laparoscopic ovarian drilling bysecond-look minilaparoscopy. 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EffetCommentaires cliniquesmédicamentDigoxine EC Aucun effet signifi catif <strong>sur</strong>la pharmacocinétique <strong>de</strong> ladigoxine chez <strong>les</strong> sujets enbonne santéKétoconazole EC solifénacineIl est recommandé <strong>de</strong> ne pasLa C max moyenne et l’ASC <strong>de</strong> excé<strong>de</strong>r une dose quotidiennela solifénacine ont augmenté <strong>de</strong> 5 mg <strong>de</strong> VESICARE lorsqu’ilselon un facteur <strong>de</strong> 1,5 et <strong>de</strong> est administré avec <strong>de</strong>s doses2,7, respectivement. thérapeutiques <strong>de</strong> kétoconazoleou d’autres puissants inhibiteursdu CYP3A4.ContraceptifsorauxECAucun effet signifi catif <strong>sur</strong> laconcentration plasmatique<strong>de</strong>s contraceptifs orauxcombinés (éthiny<strong>les</strong>tradiol/lévonorgestrel).Warfarine EC Aucun effet signifi catif <strong>sur</strong>la pharmacocinétique <strong>de</strong>la R-warfarine ou <strong>de</strong> laS-warfarine.EC = Essai cliniqueInteractions médicament-aliments : L'ingestion concomitante <strong>de</strong> jus <strong>de</strong>pamplemousse et <strong>de</strong> VESICARE pourrait augmenter <strong>les</strong> taux sériques <strong>de</strong> solifénacine.Interactions médicament-herbes médicina<strong>les</strong> : Les interactions avec <strong>les</strong> produitsdérivés <strong>de</strong> plantes médicina<strong>les</strong> n'ont pas été établies et la pru<strong>de</strong>nce s'impose si <strong>de</strong> telsagents sont utilisés par <strong>les</strong> patients.Interactions du médicament avec <strong>les</strong> essais <strong>de</strong> laboratoire : Les interactionsavec <strong>les</strong> essais <strong>de</strong> laboratoire n'ont pas fait l'objet <strong>de</strong> recherche.SURDOSAGEAigu : Le <strong>sur</strong>dosage par VESICARE peut éventuellement donner lieu à <strong>de</strong> sévères effetsanticholinergiques et doit être traité en conséquence. La dose <strong>de</strong> succinate <strong>de</strong> solifénacinela plus élevée qui ait été administrée acci<strong>de</strong>ntellement à un seul patient a été <strong>de</strong> 280 mg<strong>sur</strong> une pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> 5 heures, dose qui a eu une inci<strong>de</strong>nce <strong>sur</strong> l’état mental. Le patient areçu un traitement au charbon et s’est rétabli sans séquel<strong>les</strong>.Chronique : Des effets indésirab<strong>les</strong> anticholinergiques intolérab<strong>les</strong> (pupil<strong>les</strong> fi xes etdilatées, vision trouble, échec du test talon-orteils, tremblements et sécheresse <strong>de</strong> la peau)sont <strong>sur</strong>venus au <strong>jour</strong> 3 chez <strong>de</strong>s volontaires normaux qui prenaient 50 mg par <strong>jour</strong> (5 foisla dose thérapeutique maximum recommandée) et sont rentrés dans l’ordre dans <strong>les</strong> sept<strong>jour</strong>s suivants l’arrêt du médicament.Traitement du <strong>sur</strong>dosage : Dans l’éventualité d’un cas <strong>de</strong> <strong>sur</strong>dosage avec VESICARE,il faut traiter par lavage gastrique et autres me<strong>sur</strong>es <strong>de</strong> soutien <strong>de</strong>s fonctions vita<strong>les</strong>. Une<strong>sur</strong>veillance ÉCG est également recommandée.En cas <strong>de</strong> <strong>sur</strong>dosage soupçonné, communiquez avec le centre antipoison<strong>de</strong> votre region.La monographie du produit est disponible <strong>sur</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong>.Astellas Pharma Canada, Inc.675 Cochrane Drive, bureau 500Markham, ONL3R 0B835. Tarlatzis BC et Kolibianakis EM. GnRHagonists vs antagonists. Best Pract Res ClinObstet Gynaecol 2007. 21(1): p. 57-65.36. Depalo, R et al. GnRH agonist versusGnRH antagonist in in vitro fertilizationand embryo transfer (IVF/ET). Reprod BiolEndocrinol 10(1): p. 26.37. Al-Inany H et al. Meta-analysis ofrecombinant versus urinay-<strong>de</strong>rived FSH :an update. Human Reprod 2003. 18(2) : p.305-313.38. Daya S et al. Recombinant vs urinary follic<strong>les</strong>timulating hormone for ovarianstimulation in assisted reproduction.Human Reprod 1999. 14 : p. 2207-15.39. 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