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pensions - AAFI-AFICS, Geneva - UNOG

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Ces valeurs et cette action ont contribué à créer des entreprises durables créatrices d’emplois, àmettre en place des activités de formation qui s’adressent à tous, sans exception de lieu ou depersonne, à soutenir le mouvement en faveur de la responsabilité sociale des entreprises.Ces valeurs et cette action sont plus que jamais nécessaires pour l’instauration d’une mondialisationéquitable et durable. Nécessaires pour que, partout dans le monde, chacun puisse se faire entendreet ait des raisons d’espérer.Nous mettons à disposition les pièces maîtresses de l’Agenda du travail décent: la création d’emplois(notamment d’emplois verts) par des entreprises durables; la solidarité, au travers de la protectionsociale; la sauvegarde des normes et des principes et droits fondamentaux au travail; le dialoguesocial et la négociation collective, dont il s’agira d’exploiter tout le potentiel créateur pour trouver dessolutions optimales.Telles sont les conditions qui permettront aux hommes et aux femmes d’obtenir un travail dans desconditions de liberté, de dignité, de sécurité et d’équité – en temps de crise, pendant la reprise et audelà.Notre tradition tripartite est le fondement de notre avenir. Mais ce qui compte par dessus tout, c’estque notre programme pour le vingt-et-unième siècle puise à la source même de l’humain, s’alimentede l’énergie renouvelable qu’est l’inventivité de l’homme, se soutient du dynamisme et de la résiliencede tous ceux qui, dans le monde, demandent, à bon droit, à pouvoir accéder au travail décent.Il faut qu’ensemble nous fassions droit à cette demande. Qu’ensemble nous fassions les choixstratégiques propres à servir l’objectif du travail décent, qui sera la voie d’accès à la justice sociale età une mondialisation équitable. C’est notre mission, notre mandat, et notre responsabilité.’’Juan SomaviaFAO : L’Evaluation Externe IndépendanteAu début des années 80, la FAO était la troisième plus grande composante du système des NationsUnies, comptant 7.500 fonctionnaires au service du programme régulier et des programmes financéspar le PNUD, la BIRD et de nombreux contributeurs bilatéraux. A cette époque, la FAO gérait quelque25 pour cent des ressources du PNUD. En 2005, trente années de gestion médiocre avaient réduit laFAO à l’ombre d’elle-même, employant moins de 3.700 personnes dans le monde entier, mettant enœuvre un programme régulier qui n’avait connu aucune véritable augmentation en quinze ans (réduiten fait, en valeur réelle, de 31 pour cent) et souffrant de nombreux conflits internes : entre les avocatsrésolus des activités opérationnelles opposés à ceux qui préféraient mettre l’accent sur des travauxplus normatifs, entre l’exécutif et la direction générale, entre la direction générale et l’encadrement,entre l’encadrement et le personnel.En 2005, la Conférence prend acte du triste niveau où l’Organisation est descendue et met en placeune Evaluation Externe Indépendante (EEI), financée par des contributions volontaires. L’évaluationva être l’une des plus complètes jamais réalisées dans une organisation internationale. Une équipe debase de six personnes gère le projet et, au total, quelque 57 personnes différentes travailleront sur lesdiverses parties de l’évaluation. De façon inhabituelle, la Conférence demande à l’équipe d’évaluationnon seulement de lui faire rapport sur l’état de l’Organisation mais aussi de lui soumettre une feuillede route pour l’avenir. Elle décide également que l’exercice d’évaluation devra porter sur tous lesaspects du fonctionnement de la FAO : gouvernance, programmes sur le terrain et au siège, relationsinter-organisations, administration, culture d’administration et de management.L’évaluation dure quinze mois et l’équipe d’évaluation visite trente-cinq Etats membres (interviewantchaque fois de trente à quarante-cinq personnes), envoie douze questionnaires séparés, dont lesréponses mobilisent environ trois mille personnes dans les Etats membres, organise des entretiens11

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