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projet - Joinville-le-Pont

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Les Hauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong>se tournent vers l’avenirl…Mise à jour du dossier de présentation6 décembre d20061


Nous sommes tous conscients des enjeux du <strong>projet</strong> de requalification des Hauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong>.Il s’agit de revitaliser notre centre vil<strong>le</strong> tout en préservant son identité.La municipalité a souhaité que <strong>le</strong> débat avec <strong>le</strong>s Joinvillais et <strong>le</strong>s divers partenaires de la vil<strong>le</strong>soit la pierre angulaire du <strong>projet</strong>.A votre écoute <strong>le</strong> <strong>projet</strong> s’est donc enrichi. Les ateliers PLU/Hauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> ont notammentété productifs. Il a aussi profité d’études de détail initiées par la première phase deconcertation dans laquel<strong>le</strong> vous avez interrogé fortement <strong>le</strong> <strong>projet</strong> : circulation,stationnement, commerces, carrières souterraines, équipements publics, etc…Il va de notre responsabilité à tous d’élaborer un <strong>projet</strong> équilibré qui doit améliorerharmonieusement notre cadre de vie. Les semaines qui arrivent seront décisives pour <strong>le</strong><strong>projet</strong>, alors mobilisez vous à nos côtés !2


1Du marché à définition à la ZAC, du POS au PLU1.1. Rappel sur la chronologie du <strong>projet</strong> : <strong>le</strong>s dates clés [2000-2006]1.2. Un constat partagé par tous : un quartier qui s’essouff<strong>le</strong>1.3. Une équipe de spécialistes pour éclairer <strong>le</strong> <strong>projet</strong>1.4. Le lancement des procédures administratives : Pourquoi uneZAC ? Pourquoi un PLU ?3


1. Du marché à définition à la ZAC, du POS au PLU1.1. Rappel sur la chronologie du <strong>projet</strong> : <strong>le</strong>s dates clés [2000-2006]23 Mai 2000 : Approbation par <strong>le</strong> Conseil Municipal du POS de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong>-<strong>le</strong>-<strong>Pont</strong>. La requalificationdu quartier était largement évoquée.27 juin 2001 : Approbation par <strong>le</strong> Conseil Municipal d’un périmètre d’étude et de la mise en placed’un Droit de Préemption Urbain Renforcé. La commune débute sa politique de préemption desemprises foncières mises en vente.Août/Octobre 2001 : Premières études circulation, commerces et analyse foncière pour lancer unmarché à définition.16/18 juin 2003 : Après une longue phase d’analyse des offres, la CAO retient l’équipe Tecnovacomme lauréat du marché à définition. El<strong>le</strong> est présentée aux élus municipaux puis auxcommerçants. Des réunions de travail débutent avec <strong>le</strong>s services et des élus.Juin 2003 : Début de l’exposition dans <strong>le</strong> hall de la Mairie et lancement d’un sondage auprès desjoinvillais. Le 14 octobre 2003, une grande réunion publique est organisée. Un 4 pages est édité.Le <strong>projet</strong> est retravaillé en fonction des débats.4


1. Du marché à définition à la ZAC, du POS au PLU1.1. Rappel sur la chronologie du <strong>projet</strong> : <strong>le</strong>s dates clés [2000-2006]Septembre 2003 : Lancement des négociations avec la vil<strong>le</strong> de Paris et la Préfecture de Police deParis sur <strong>le</strong> déplacement du centre de secours de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong>.5 mai 2004 : La SEMA de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> rend son rapport final, <strong>le</strong> Conseil Municipal approuve <strong>le</strong>sobjectifs de la ZAC ainsi que <strong>le</strong>s modalités préalab<strong>le</strong>s de la concertation.24 juin 2004 : Le Conseil Municipal met en révision <strong>le</strong> PLU de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong>-<strong>le</strong>-<strong>Pont</strong> dont <strong>le</strong> premierobjectif sera de permettre <strong>le</strong> <strong>projet</strong> de requalification des Hauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong>. Le lancement de laconcertation débutera <strong>le</strong> 16 mars 2005. Le PADD sera débattu en juin 2005.20 décembre 2004 : La Commune choisit ICADE G3A comme assistant à maîtrise d’ouvrage.Janvier-juin 2005 : La commune choisit des bureaux d’études pour des études de détail sur <strong>le</strong>sHauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> : la circulation/<strong>le</strong> stationnement, <strong>le</strong> commerce (<strong>le</strong>s principaux résultats de ces étudessont présentées en partie 3) une étude d’impact, des sondages géotechniques. De multip<strong>le</strong>s réunionsont lieu avec <strong>le</strong>s partenaires du <strong>projet</strong> : CG94, concessionnaire du marché, Brigade des SapeursPompiers de Paris, etc...5


1. Du marché à définition à la ZAC, du POS au PLU1.1. Rappel sur la chronologie du <strong>projet</strong> : <strong>le</strong>s dates clés [2000-2006]Mai 2005 : Finalisation du Comité de Pô<strong>le</strong> qui prévoit la réhabilitation de la gare RER et del’avenue Jean Jaurès marquant l’environnement du <strong>projet</strong> des Hauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong>.25 mai 2005, 18 octobre 2005, 7 mars 2006 : Ateliers de travail PLU/Hauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong>.29 mai 2006 : Rendu des études de détail. Finalisation d’un scénario sur <strong>le</strong>s Hauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong>.Juin/septembre 2006 : Groupes de travail d’élus délégués de la commune, par thèmes, sur <strong>le</strong>scénario proposé en mai 2006. Rencontre avec des commerçants de la rue de Paris et <strong>le</strong>concessionnaire du marché.24 octobre 2006 : Réunion avec <strong>le</strong>s commerçants de la rue de Paris. Travail sur <strong>le</strong>s évolutionsdes orientations du scénario d’aménagement.13 novembre 2006 : Information des élus du Conseil Municipal sur <strong>le</strong> <strong>projet</strong> de requalification desHauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong>.6


1. Du marché à définition à la ZAC, du POS au PLU1.2. Un constat partagé par tous : un quartier qui s’essouff<strong>le</strong>Du POS aux expertises : un constat objectifDes faib<strong>le</strong>sses importantes :- Un patrimoine bâti vieillissant, hétérogène, peu structuré. Une faib<strong>le</strong> qualité architectura<strong>le</strong> d’unemanière généra<strong>le</strong>.- Une circulation désorganisée et un stationnement qui n’est pas rationalisé en fonction desbesoins.- Des emprises foncières privées et publiques sous-utilisées.- Un linéaire commercial destructuré, sans masse critique, qui connaît un renouvel<strong>le</strong>ment diffici<strong>le</strong>.- Une ambiance urbaine dégradée accentuée par la coupure constituée par la rue de Paris. Unmanque d’identité de « cœur de vil<strong>le</strong> »- Une mixité peu assurée (prédominance des logements sociaux) et des équipements désuets.- Un risque « mouvements de terrains » important.Des atouts essentiels :- Une très bonne desserte en transports.- Une proximité immédiate des bords de Marne, du Bois de Vincennes, de Paris.- Des commerçants « <strong>le</strong>ader » de qualité, un marché forain dynamique.- Un centre administratif.7


1. Du marché à définition à la ZAC, du POS au PLU1.2. Un constat partagé par tous : un quartier qui s’essouff<strong>le</strong>Les Joinvillais s’expriment :- Les résultats du questionnaire (octobre 2003) : 81 % des Joinvillais interrogés se déclarentfavorab<strong>le</strong>s à une réhabilitation du quartier. Ils pointent <strong>le</strong> stationnement et la circulation commeses principaux handicaps.- Le registre de concertation, morceaux choisis : une majorité s’exprime pour uneréhabilitation, même si certains la craignent…« Le quartier se meurt, il y a urgence ! »« Oui, <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> c’est ma vil<strong>le</strong>. Oui, j’aime <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> !! Oui, j’y suis née. Oui, j’habite dans <strong>le</strong> quartier qui doit êtrerénové. Oui, il est urgent de rénover. »« Les bâtiments sont vieux, dégradés et n’offrent aucune perspective. Oui, il faut changer ça pour que notrecentre vil<strong>le</strong> soit accueillant. <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> est une vil<strong>le</strong> de passage, faisons qu’el<strong>le</strong> soit une vil<strong>le</strong> où l’on s’arrête ».« Le <strong>projet</strong> qui nous est proposé est indispensab<strong>le</strong> au développement de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> .»«Si rien n’est fait comme certains <strong>le</strong> demandent, ce quartier va péricliter et mourir. »« Soyons constructifs au lieu d’être râ<strong>le</strong>urs, conservateurs, et immobilistes. ».« Expropriation de tout un quartier sans en aviser <strong>le</strong>s propriétaires des terrains. J’habite <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> depuis toujourset je suis écœurée d’un tel remaniement. Encore du béton à la place des pavillons avec jardins. »« Nous ne cautionnons pas la casse organisée de notre vil<strong>le</strong>. Béton médiocrité sans par<strong>le</strong>r du reste… »9


1. Du marché à définition à la ZAC, du POS au PLU1.2. Un constat partagé par tous : un quartier qui s’essouff<strong>le</strong>Le Conseil Municipal agit : des orientations claires affirmées tout au long du <strong>projet</strong>- Le Projet d’Aménagement et de Développement Durab<strong>le</strong> (débattu en CM <strong>le</strong> 22/06/05) :soutenir la requalification des Hauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> en affirmant son identité de cœurde vil<strong>le</strong>Consolider, dynamiser et restructurer l’appareil commercial <strong>le</strong> long de la rue de Paris.Encourager l’activité économique et favoriser la création d’emploi.Assurer une augmentation de l’offre en logements de qualité.Améliorer <strong>le</strong>s conditions de stationnement public et privé.Pacifier la circulation.Favoriser une meil<strong>le</strong>ure cohérence entre <strong>le</strong>s différents secteurs et catégories de bâti.Qualifier et mettre en va<strong>le</strong>ur <strong>le</strong>s espaces publics.Favoriser <strong>le</strong>s liaisons douces entre la Marne et <strong>le</strong> Bois de Vincennes ainsi que vers <strong>le</strong>quartier des Canadiens.Promouvoir la relocalisation du centre de secours sur l’avenue Pierre Mendès France.Proposer des équipements publics en cohérence avec <strong>le</strong>s besoins du quartier et de lacommune.11


1. Du marché à définition à la ZAC, du POS au PLU1.3. Une équipe de spécialistes pour éclairer <strong>le</strong> <strong>projet</strong>Un assistant maître d'ouvrage : ICADE G3A chargé de piloter <strong>le</strong>s études, tenir <strong>le</strong> planning etréaliser une assistance juridique et financière.Une équipe de concepteurs (architecte, programmiste, paysagiste, BET) chargés de concevoir etde mettre en forme <strong>le</strong> <strong>projet</strong>.Un bureau d'étude spécialisé en commerces : BERENICE chargé de faire des propositions surl’aménagement commercial de la rue de Paris.Un bureau d'étude spécialisé en circulation et stationnement : CODRA chargé d’analyser desscénarios d’aménagement de la rue de Paris, des carrefours d’entrée/sortie et du fonctionnementglobal du quartier. Rencontre avec <strong>le</strong>s gestionnaires des voies.Un bureau d'étude spécialisé en étude d'impact : Equipement/Environnement chargéd’évaluer <strong>le</strong>s impacts du <strong>projet</strong> sur son environnement.Un bureau d'étude spécialisé en étude des sols : ARCADIS chargé de réaliser des sondagespour évaluer <strong>le</strong> risque « carrières ».12


1. Du marché à définition à la ZAC, du POS au PLU1.4. Le lancement des procédures administratives : Pourquoi une ZAC ? Pourquoi unPLU ?Loi Solidarité et Renouvel<strong>le</strong>ment Urbain (décembre 2000) : modification profonde del’urbanisme.- AVANT la loi SRU : une Zone d’Aménagement Concertéétait une « dérogation » au POS composée d’un programmedes équipements publics, d’un Plan d’Aménagement de Zoneet d’un Règ<strong>le</strong>ment d’urbanisme (RAZ) applicab<strong>le</strong> dans <strong>le</strong>périmètre de la ZAC. La ZAC était principa<strong>le</strong>ment un documentd’urbanisme.ZAC : un PAZ, un RAZ, un programmedes équipements publics, un bilan, uneétude d’impact, <strong>le</strong> choix de la fiscalitéapplicab<strong>le</strong>, ouvre droit à une DUP- L’intention du législateur : donner au PLU, qui remplace <strong>le</strong>sPOS, une cohérence globa<strong>le</strong> de <strong>projet</strong> d’aménagement. Il adonc voulu que <strong>le</strong> règ<strong>le</strong>ment applicab<strong>le</strong> dans une ZAC soittraité dans <strong>le</strong> PLU. La ZAC n’est plus un documentd’urbanisme : <strong>le</strong> PAZ et <strong>le</strong> RAZ sont supprimés.- APRES la loi SRU : la ZAC est devenue un outilprincipa<strong>le</strong>ment fiscal et permettant la mise en place d’uneDUP. Le PLU est l’outil qui donne <strong>le</strong>s règ<strong>le</strong>s d’urbanisme.ZAC : un programme deséquipements publics, un bilan, uneétude d’impact, <strong>le</strong> choix de la fiscalitéapplicab<strong>le</strong>, ouvre droit à une DUPPLU : un règ<strong>le</strong>ment13


2Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification des Hauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> :périmètre, diagnostic et programme2.1. Le périmètre du <strong>projet</strong>, <strong>le</strong> périmètre d’intervention, <strong>le</strong> périmètre de ZAC2.2. Rappel de quelques éléments de diagnostic2.3. Présentation du programme2.4. Le principe du bilan financier14


2. Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification2.1. Le périmètre du <strong>projet</strong>, <strong>le</strong> périmètre d’intervention, <strong>le</strong> périmètre de ZACLe périmètre du « <strong>projet</strong>de vil<strong>le</strong> » :C’est <strong>le</strong> territoire sur <strong>le</strong>quella commune ambitionne deréaliser un <strong>projet</strong>d’aménagement global.Pô<strong>le</strong> RERRue Jean MermozIl s’étend depuis la gareRER jusqu’à la place du 8mai 1945, de la rue desRéservoirs aux bords deMarne quai PierreBrosso<strong>le</strong>tte.Il n’a pas de « va<strong>le</strong>urrég<strong>le</strong>mentaire ».Rue E.MoutierAllée de laVoûtePérimètre de <strong>projet</strong> - EXISTANTSurface parcellaire : 80 000 m² environNb. de logements : 750 environNb. de résidents : 1650 habitantsRue desréservoirsPlace du 8 mai194515


2. Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification2.1. Le périmètre du <strong>projet</strong>, <strong>le</strong> périmètre d’intervention, <strong>le</strong> périmètre de ZACLe périmètred’intervention sur <strong>le</strong> bâti :Ce sont <strong>le</strong>s parcel<strong>le</strong>s quisont directement impactéespar <strong>le</strong> <strong>projet</strong> soit par de ladémolition/reconstruction,soit par de la réhabilitationd’immeub<strong>le</strong> (public/privé).Périmètre d’intervention - EXISTANTSurface parcellaire : 30 000 m² environNb. de logements : 230 environ (dont 45environ destinés à être démolis)Nb. de résidents : 500 habitants16


2. Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification2.1. Le périmètre du <strong>projet</strong>, <strong>le</strong> périmètre d’intervention, <strong>le</strong> périmètre de ZACLe périmètre de ZAC :C’est <strong>le</strong> périmètre « resserré» sur <strong>le</strong>quel la communeaura un Droit d’expropriation(DUP).Il s’agit donc des parcel<strong>le</strong>sdirectement concernées par<strong>le</strong> <strong>projet</strong> de construction, deparcel<strong>le</strong>s jugéesstratégiques, et desespaces publics structurantsdirectement impactés par <strong>le</strong><strong>projet</strong>logement/commerce/équipementpublic.Il a une « va<strong>le</strong>urrég<strong>le</strong>mentaire ».17


2. Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification2.1. Le périmètre du <strong>projet</strong>, <strong>le</strong> périmètre d’intervention, <strong>le</strong> périmètre de ZACUne partie de la rue stratégique qui n’est pas valorisée : bâtiment en retrait, structure modulaire,différence de hauteur, faib<strong>le</strong> qualité architectura<strong>le</strong>, etc…Très rapidement il a paru cohérent pour unaménagement de qualité tout <strong>le</strong> long de la rue de Paris d’intégrer à la réf<strong>le</strong>xion cette partie de larue. C’est pourquoi el<strong>le</strong> est incluse dans <strong>le</strong> périmètre de <strong>projet</strong> et de ZAC.Vue partiel<strong>le</strong> du linéaire bâti de l’îlot18


2. Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification2.2. Rappel de quelques éléments de diagnosticLes propriétés maîtriséespar la vil<strong>le</strong>Ce sont <strong>le</strong>s terrains qui sontdores et déjà la propriété(parfois partiel<strong>le</strong>ment) de lavil<strong>le</strong>.Certains appartiennent audomaine public de lacommune et demanderont,<strong>le</strong> moment venu, undéclassement.19


2. Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification2.2. Rappel de quelques éléments de diagnosticLes propriétés dupérimètre de ZAC qu’ilreste à acquérirCe sont <strong>le</strong>s terrains qui sontnécessaires à la réalisationdu <strong>projet</strong> et qui ne sont pasmaîtrisés par la vil<strong>le</strong>.Certains font déjà l’objetd’une discussion amiab<strong>le</strong>.Une fois la ZAC mise enplace, <strong>le</strong>s propriétairesprésents dans <strong>le</strong> périmètrede ZAC ont un « droit dedélaissement »:ils peuvent mettre endemeure la communed’acquérir <strong>le</strong>ur propriété.20


2. Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification2.2. Rappel de quelques éléments de diagnosticLes éléments urbainsstructurantsCe sont <strong>le</strong>s éléments quistructurent aujourd’hui <strong>le</strong>centre vil<strong>le</strong>.21


2. Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification2.2. Rappel de quelques éléments de diagnosticLes ambitions urbaines àdévelopperIl s’agit des principauxobjectifs du <strong>projet</strong> derequalification retranscritssur un plan.22


2. Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification2.3. Présentation du programmeLes logements- Création d’environ 34 000 m² de SHON dédiée à l’habitation en accession à lapropriété (mixité socia<strong>le</strong> déjà assurée dans <strong>le</strong> périmètre du <strong>projet</strong> avec 50% des logements existants quisont des logements sociaux OPHLM)- Front urbain sur la rue de Paris puis dégradé des hauteurs dans l’épaisseur duquartier.- Une grande qualité architectura<strong>le</strong> exigée-Près de 600 places de parkings pour ces habitations-Environ 850 nouveaux joinvillaisLes commerces- Environ 5000 m² de SHON commercia<strong>le</strong> en rez-de-chaussée pour créer un linéairecohérent.- Principa<strong>le</strong>ment pour reloger <strong>le</strong>s commerces impactés,- Créer une dynamique commercia<strong>le</strong> en maintenant la diversité et en favorisant lasynergie commerces sédentaires/marché forain- Créer des nouvel<strong>le</strong>s cellu<strong>le</strong>s sur des segments commerciaux absents23


2. Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification2.3. Présentation du programmeLe programme des équipements et espaces publics a été étoffé pour répondre aux nouveaux besoinsnotamment culturels.Les espaces publics- Création d’une place centra<strong>le</strong> face à l’hôtel de vil<strong>le</strong> : implantation du marché etl’animation commercia<strong>le</strong>, espace d’animation- Création de 3 nouvel<strong>le</strong>s voiries (et réseaux)- Création d’espaces verts accessib<strong>le</strong>s au public (environ 4500 m² contre aucunactuel<strong>le</strong>ment)- Requalification de la rue de Paris et du quai Pierre Brosso<strong>le</strong>tte- Aménagement des bords de MarneLes équipements publics- Un gymnase- Une crèche en pied d’immeub<strong>le</strong> (dans <strong>le</strong> périmètre de ZAC ou à proximité immédiate)- Des sal<strong>le</strong>s de danse/gymnastique- Une sal<strong>le</strong> de spectac<strong>le</strong> (entre 500 et 700 places) dans un équipement culturel etassociatif- Un équipement de proximité mixte (jeunesse et autres services à la population.)- Un Parking public souterrain (300 places environ)- Une passerel<strong>le</strong> au-dessus de la Marne24


2. Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification2.3. Présentation du programmeQuatre équipements publics principaux :pour quel<strong>le</strong>s activités ? Avec quel<strong>le</strong>s préconisations ?Accueil de la petite enfance- En crèche col<strong>le</strong>ctive- Ou en « multi-accueil » (crèche familia<strong>le</strong> et crèche col<strong>le</strong>ctive)Activités sportivesUn gymnase- Sal<strong>le</strong> de sport polyva<strong>le</strong>nte (44 m x 22 m x 9 m de hauteur)- Des gradins pour environ 200 personnes- Plateau d’évolution en terrasse- Des sal<strong>le</strong>s de judo, haltérophilie, tennis de tab<strong>le</strong>, etc.- Des vestiaires, sanitaires, douches, rangements,- Accueil, club-house, bil<strong>le</strong>tterie- Service Municipal des Sports- Loge gardien et local ménageCours de danse et gymnastique- Des sal<strong>le</strong>s adaptées et équipées (100 et 200 m2)- Des vestiaires, sanitaires, douches25


2. Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification2.3. Présentation du programmeQuatre équipements publics principaux : pour quel<strong>le</strong>s activités ? Avec quel<strong>le</strong>s préconisations ?Activités artistiques et culturel<strong>le</strong>sUne sal<strong>le</strong> de spectac<strong>le</strong>- Capacité entre 500 et 700 places (rétractab<strong>le</strong>s / modulab<strong>le</strong>s)- Scène environ 200 m² (+ régies + loges + local décors…)- Espace accueil, bil<strong>le</strong>tterie, cafétéria, expositionsAutres activités municipa<strong>le</strong>s et associatives- Des sal<strong>le</strong>s de réunion (50 m² + 100 m² + 200 m²) et une sal<strong>le</strong> d’activités polyva<strong>le</strong>ntes, toutesmodulab<strong>le</strong>s (dont certaines avec coin cuisine)- Une sal<strong>le</strong> de répétition insonoriséeValorisation et redéploiement de services à la population (actuel<strong>le</strong>ment intégrés dans l’hôtelde vil<strong>le</strong> ou éclatés dans <strong>le</strong> haut de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> ou à développer)- Création d’un pô<strong>le</strong> Jeunesse (Point Information Jeunesse, PIJ / point cyb + service municipalJeunesse)- Mise en œuvre d’un espace « Point Ecoute Famil<strong>le</strong> » et d’une Ludothèque- Mise en synergie du service Agora <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> Emploi et du service Activités économiques- Désenclavement de l’Espace Multimédi@- Rechercher un lien entre la Bibliothèque et l’équipement culturel ou mixte26


2. Les grandes lignes du <strong>projet</strong> de requalification2.3. Présentation du programmeLa passerel<strong>le</strong> : des problèmes techniquesnon résolusUn emplacement entre <strong>le</strong> quai du barrage et <strong>le</strong> quai GabrielPéri (arrivée sur <strong>le</strong> Port de plaisance)Les contraintes de VNF : un gabarit de navigation relativementimportantDe fait : des contraintes d’accessibilité personnes à mobilitéréduite/Fauteuils roulantsVNF propose des alternatives comme un bac saisonnier et àmoyen terme une passerel<strong>le</strong> au dessus du barrage lors de sonautomatisation27


3Zoom sur <strong>le</strong>s études de détail3.1. Requalification de la rue de Paris3.2. Une locomotive commercia<strong>le</strong> : quel<strong>le</strong> place pour <strong>le</strong> commerce rue de Paris?28


3. Zoom sur <strong>le</strong>s études de détail3.1. Requalification de la rue de ParisLes éléments importants du diagnostic du CODRA- Trafic supporté par la rue de Paris (Comptages novembre 2005) : une moyenne de 15 721 véhicu<strong>le</strong>s/jour de semaine une moyenne de 10 318 véhicu<strong>le</strong>s/jour <strong>le</strong> dimancheRô<strong>le</strong> structurant pour <strong>le</strong>s déplacements de la petite couronneDissymétrie entre <strong>le</strong>s flux du matin et ceux du soir : <strong>le</strong> trafic en heure depointe <strong>le</strong> matin est plus faib<strong>le</strong> que celui du soir (15h/20h) mais plus concentré(8h/10h).- Taux de motorisation des ménages (INSEE 1999) : 36 % des ménages n’ont pas de voiture; 53,5 % ont une voiture; 10,5 % ont deux voitures ou plusLa motorisation est plus faib<strong>le</strong> que dans <strong>le</strong> reste de la commune (proximité du RER et offre faib<strong>le</strong> en stationnementprivatif). Ainsi, 45% des déplacements domici<strong>le</strong>/travail s’effectuent en transports col<strong>le</strong>ctifs.- Les impacts du <strong>projet</strong> de requalification : Heure de pointe du matin et heure de pointe du soir : un trafic supplémentaire de l’ordre de 65 véhicu<strong>le</strong>s,soit un peu moins de 6% du trafic supporté par la rue de Paris à la même période. Heure creuse : dans l’hypothèse d’un moyenne surface alimentaire (génératrice de trafic) une augmentationdu trafic de 2 à 4 %.29


3. Zoom sur <strong>le</strong>s études de détail- Stationnement : (enquête réalisée <strong>le</strong> 13 octobre 2005) 574 places de stationnement existantes (place du 8 mai 1945 incluse) dont 40 % en zone b<strong>le</strong>ue et 60 % sanslimitation de temps. 85 places sont « réservées » (PMR, livraisons, etc.). Congestion : globa<strong>le</strong>ment <strong>le</strong>s Hauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> offrent trop peu de places pour répondre à la demande.De 9h à 18h <strong>le</strong> nombre de places occupées est supérieur au nombre de places licites offertes (manque de 60 placesen heure de pointe 15h/16h). Le stationnement nocturne n'est pas négligeab<strong>le</strong> puisque <strong>le</strong>s places sont occupéesà près des 2/3 dès 6h du matin. L'analyse des taux de vacance montre que la zone b<strong>le</strong>ue fonctionne globa<strong>le</strong>ment bien jusqu'à 16h : des placessont disponib<strong>le</strong>s mais el<strong>le</strong>s ne sont pas situées en centre-vil<strong>le</strong>. A partir de 16h, 83% des usagers sont stationnésdepuis plus de 2h : ce sont essentiel<strong>le</strong>ment des actifs et des résidents. Ce sont donc <strong>le</strong>s chalands et <strong>le</strong>s visiteursqui sont pénalisés et rencontrent des difficultés à trouver une place de stationnement disponib<strong>le</strong> en journée dans <strong>le</strong>centre-vil<strong>le</strong>. Le stationnement sans limitation de temps est très contraint (taux de vacance proche de 0, de 9h00 à 16h00).Les usagers sont avant tout des résidents et des actifs (notamment sur la place du 8 mai). La part des visiteurs etchalands est très peu représentée.- Préconisation pour <strong>le</strong> <strong>projet</strong> : mieux cib<strong>le</strong>r <strong>le</strong>s utilisateurs Ajustement à la demande de la zone de stationnement de courte durée (100 places) rue de Paris et sesabords, mieux rég<strong>le</strong>mentée et contrôlée pour faciliter l’accès des visiteurs et des chalands. Compléter cette offre par du stationnement en parking souterrain d’une jauge de 300 places pour tousutilisateurs. Maintien des 177 places restantes pour une offre non rég<strong>le</strong>mentée pour permettre aux résidents qui n’ont pasd’offre privative de stationner.30


3. Zoom sur <strong>le</strong>s études de détail- Les demandes des gestionnaires de voirie (CG94/DDE) Ne pas réduire la capacité d’absorption du trafic actuel Respecter <strong>le</strong>s contraintes de gabarit d’une voie à grande circulation Pas d’opposition à la réduction à deux voies de la rue de Paris- Les pistes de réf<strong>le</strong>xion pour la rue de Paris créer une zone 30 sur <strong>le</strong> quartier des Hauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> englobant la rue de Paris. Les entrées etsorties de la zone 30 seraient marquées par des passages piétons rehaussés en plateau. ramener à deux voies la section courante de la rue de Paris,maintenir du stationnement bilatéral (notons qu’un parking public est préconisé en sous-sol enface de la mairie), assurer la continuité des aménagements cyclab<strong>le</strong>s <strong>projet</strong>és dans <strong>le</strong> cadre du pô<strong>le</strong> d’échange :quel type de piste ? aménager un plateau suré<strong>le</strong>vé entre la rue Vel Durand et la mairie : sur ce plateau, la chausséeet <strong>le</strong> trottoir sont ramenés au même niveau et <strong>le</strong>s flux séparés par du mobilier urbain – l’idée de ceplateau est davantage de marquer d’un point de vue urbain et paysager que d’inciter <strong>le</strong>s piétons àêtre prioritaires sur une large séquence ; d’ail<strong>le</strong>urs <strong>le</strong>s traversées des piétons seraient matérialisées, envisager d’implanter un feu supplémentaire en entrée de plateau afin de faciliter <strong>le</strong>straversées des piétons.31


3. Zoom sur <strong>le</strong>s études de détail2 voies de circulation, stationnement bilatéralRue de Pariscôté impairhypothèse 1 : 1 piste cyclab<strong>le</strong> unidirectionnel<strong>le</strong> dans <strong>le</strong> sens de la circulation côté pairhypothèse 2 : 2 pistes cyclab<strong>le</strong>s unidirectionnel<strong>le</strong>s de chaque côté de la ruehypothèse 3 : 1 piste cyclab<strong>le</strong> bidirectionnel<strong>le</strong> dans <strong>le</strong> sens de la circulation côté pairLes hypothèses 1 et 3 sont privilégiées32


3. Zoom sur <strong>le</strong>s études de détail3.2. Une locomotive commercia<strong>le</strong> : quel<strong>le</strong> place pour <strong>le</strong> commerce rue de Paris ?Les éléments importants du diagnostic de BERENICEConcurrence discrète de la grandedistribution: <strong>le</strong>s grands centrescommerciaux de l’Est parisien (Créteil-So<strong>le</strong>il, Ivry Grand Ciel, Bercy 2) sontrelativement éloignés.33


3. Zoom sur <strong>le</strong>s études de détailLes éléments importants du diagnostic de BERENICE- Le devenir des commerçants existants : <strong>le</strong> relogement pour tous ceux qui <strong>le</strong> souhaitent(transition : opérations tiroirs)- Les segments commerciaux manquants- Les facteurs de commercialité AccessibilitéAttirer <strong>le</strong>s populations de la zone sud => signalétique adéquatepour compenser <strong>le</strong> maintien en sens unique de la rue de Paris VisibilitéMarquer <strong>le</strong>s entrées de la rue de ParisDévelopper une signalétique d’approche et d’abord pour lalocomotiveFavoriser <strong>le</strong>s enseignes en drapeau StationnementAdapter l’offre de stationnement aux besoins des chalandsSecteur d’activitéAlimentaireEquipement de la maisonEquipement de la personneCulture loisirsHygiène beauté santéActivités absentesAlimentation bioChocolatierEpicerie finePoissonneriePrimeurThé - torréfacteurBrasserieSalon de théDécorationChaussuresAccessoiresJeux jouetsEsthétique- Objectif : création de plusieurs nouvel<strong>le</strong>s cellu<strong>le</strong>s commercia<strong>le</strong>s34


3. Zoom sur <strong>le</strong>s études de détailLe marché : un travail en cours avec LOMBARD et GUERIN- Organisation actuel<strong>le</strong> de l’offre sur la place du 8 mai 45:Jeudi : 50 étals 500 mètres linéairesDimanche : 80/100 étals 800 mètres linéaires dont environ 50 alimentaires- Un marché dynamique et de bonne qualité- Conserver <strong>le</strong> marché, <strong>le</strong> préserver et <strong>le</strong> dynamiserIl n’est pas question d’interrompre <strong>le</strong> marché.Un risque : déplacer plusieurs fois <strong>le</strong> marché pendant <strong>le</strong>s travaux fait courir un risque à cetéquipement fragi<strong>le</strong>Une opportunité : dynamiser <strong>le</strong> commerce en créant une synergie plus forte entre <strong>le</strong> commercesédentaire et <strong>le</strong> marché- Objectif : Créer un marché, facteur de centralité, en liaison avec <strong>le</strong> linéairecommercial de la rue de Paris35


4Du scénario de mai 2006 au scénario de novembre 20064.1. Le scénario de mai 20064.2. Le scénario de novembre 20064.3. Ce que <strong>le</strong>s plans ne montrent pas mais qui font partie intégrantedu <strong>projet</strong>36


4. Du scénario de mai 2006 au scénario de novembre 20064.1. Le scénario demai 2006Ce scénario,aboutissement d’un travailde concertation, posecertaines difficultés…37


4. Du scénario de mai 2006 au scénario de novembre 20064.1. Le scénario de mai 2006Le scénario travaillé, nommé « scénario mai 2006 », montre des difficultés opérationnel<strong>le</strong>s etéconomiques certaines :- Pour permettre la construction du gymnase sur la place du 8 mai 1945, il est nécessaire de déplacer<strong>le</strong> marché pendant deux ans environ sur un site provisoire en centre vil<strong>le</strong>. Une fois <strong>le</strong>s travauxterminés, <strong>le</strong> marché réintègrerait la place du 8 mai « réduite ». El<strong>le</strong> conviendrait au marché du jeudimais <strong>le</strong> marché du dimanche devrait déborder sur <strong>le</strong> Bd du Mal Lec<strong>le</strong>rc.Ce phasage a deux inconvénients majeurs : un risque certain pour <strong>le</strong> marché tant on sait qu’i<strong>le</strong>st délicat de déplacer ce type d’équipement a fortiori deux fois en deux ans, mais aussi unallongement des délais de l’opération puisque <strong>le</strong> centre vil<strong>le</strong> sera « bloqué » <strong>le</strong> temps destravaux sur la place du 8 mai.- En terme financier ce retard induit des frais de trésorerie supplémentaires car <strong>le</strong>s recettes pourla vil<strong>le</strong> seront différées.- Par ail<strong>le</strong>urs <strong>le</strong> scénario montre une faib<strong>le</strong>sse : la dissociation des deux parkings publics. Un de150 places sous la place du 8 mai et un de 150 places en face de la mairie. Les frais de gestion sontplus importants sur deux équipements plutôt qu’un et <strong>le</strong> concessionnaire qui sera choisi demanderacertainement des garanties financières à la vil<strong>le</strong>.- Il est aussi comp<strong>le</strong>xe d’intégrer de manière douce un gymnase, tel que <strong>le</strong> programme <strong>le</strong> prévoit(9m de haut et terrain d’évolution en toiture), sur la place du 8 mai 1945.38


4. Du scénario de mai 2006 au scénario de novembre 20064.2. Le scénario de novembre2006- Retrouver une centralité forte autour dumarché et d’équipements publics- Créer un espace de respiration etd’animation en centre vil<strong>le</strong>- Gagner en linéaires commerciaux- Intégrer plus harmonieusement <strong>le</strong>gymnase dans l’espace urbain- Gérer plus simp<strong>le</strong>ment <strong>le</strong> parking publicsous la nouvel<strong>le</strong> place.- Gagner en espaces verts ouverts auxjoinvillais notamment dans la liaison auquartier des Canadiens (îlot D)-Structurer la place du 8 mai 1945 par unalignement urbain et un espace vertpréservant <strong>le</strong>s perspectives et <strong>le</strong>s vues- Un phasage de travaux plus efficace, plussimp<strong>le</strong> et plus rapide39


4. Du scénario de mai 2006 au scénario de novembre 20064.3. Ce que <strong>le</strong>s plans ne montrent pas mais qui font partie intégrante du<strong>projet</strong>La réhabilitation de la Résidence Paris : la vil<strong>le</strong> aux côtés de l’OPHLMUne réhabilitation prévue, pilotée parl’OPHLM……qui doit prévoir amélioration deslogements et requalification extérieureLa vil<strong>le</strong> accompagnera l’OPHLM sur <strong>le</strong>choix des <strong>projet</strong>s architecturauxL’aménagement des bords de Marne et du quai Pierre Brosso<strong>le</strong>tte40


4. Du scénario de mai 2006 au scénario de novembre 2006La démarche environnementa<strong>le</strong> appliquée aux bâtiments (publics et privés)Cette démarche vise à construire durab<strong>le</strong>ment en ciblant certains thèmes ou cib<strong>le</strong>s sur<strong>le</strong>squels des contraintes de performance sont imposées : énergie, gestion de l’eau, insertiondans <strong>le</strong> site, chantier propre, matériaux employés, etc…Cette démarche est très avancéechez nos voisins européens etcommence à prendre de l’amp<strong>le</strong>ur enFranceEl<strong>le</strong> se cumu<strong>le</strong> avec desrég<strong>le</strong>mentations nouvel<strong>le</strong>scontraignantes : RT 2005C’est une démarche imposée auxpromoteurs par la commune etl’aménageur.C’est un surcoût à la construction(estimé entre 5% et 10 %) mais uneéconomie de fonctionnement pour <strong>le</strong>bâtimentExemp<strong>le</strong> : la démarche HQE (association Haute QualitéEnvironnementa<strong>le</strong>) ou Habitat et Environnement (associationQualitel)41


5Eléments de ca<strong>le</strong>ndrier5.1. L’avancée du PLU5.2. Le <strong>projet</strong> en 7 ans5.3. L’année 20075.4. Le choix de l’aménageur et <strong>le</strong>s principes de financement42


5. Eléments de ca<strong>le</strong>ndrier5.1. L’avancée du PLUPremier constat : <strong>le</strong> <strong>projet</strong> de PLU est quasiment abouti sur l’ensemb<strong>le</strong> des quartiers à l’exception desHauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong>.Le travail technique de rédaction du règ<strong>le</strong>ment et du rapport de présentation touche à sa fin. Une présentationdevant la CEM en charge du PLU devrait avoir lieu prochainement.Deuxième constat : il est trop tôt pour définir très précisément <strong>le</strong>s règ<strong>le</strong>s d’urbanisme applicab<strong>le</strong>s sur <strong>le</strong>sHauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong>.La tail<strong>le</strong> des nouvel<strong>le</strong>s voies et <strong>le</strong>ur emplacement précis, <strong>le</strong> gabarit exact des équipements publics, la dispositiondes nouveaux immeub<strong>le</strong>s, etc.Troisième constat : on est par contre capab<strong>le</strong> de définir <strong>le</strong>s orientations d’aménagement.La localisation des principaux équipements publics et <strong>le</strong>ur affectation, <strong>le</strong>s principes de requalification de la rue deParis, <strong>le</strong>s programmes de logement, etc. peuvent être synthétisés dans un schéma d’aménagement ressemblant àce qui est présenté dans ce dossier.Une solution en deux temps :Approuver <strong>le</strong> PLU au premier trimestre 2007 en plaçant sur <strong>le</strong>s Hauts de <strong>Joinvil<strong>le</strong></strong> deux outils : un secteurd’attente qui gè<strong>le</strong> la constructibilité <strong>le</strong> temps nécessaire à l’élaboration des règ<strong>le</strong>s d’urbanisme et uneorientation d’aménagement qui rend opposab<strong>le</strong> aux tiers <strong>le</strong>s grands principes partagés du <strong>projet</strong>.Modifier <strong>le</strong> PLU lorsque <strong>le</strong> <strong>projet</strong> permettra l’élaboration de règ<strong>le</strong>s d’urbanisme suffisamment précisées.43


5. Eléments de ca<strong>le</strong>ndrier5.2. Le <strong>projet</strong> en 7 ansILOT B44


5. Eléments de ca<strong>le</strong>ndrier5.3. L’année 2007L’année des procédures administratives et de la mise en place de l’outil opérationnelPremier trimestre :- bilan de la concertation et approbation du dossier de création de ZAC- arrêt du <strong>projet</strong> de PLU- lancement d’une consultation publique pour <strong>le</strong> choix d’un aménageurDeuxième trimestre :- enquête publique relative au PLU- choix de l’aménageur et signature d’un traité de concession approuvé par <strong>le</strong> Conseil Municipal- préparation du déménagement du centre de secours et du garage municipalTroisième trimestre :- approbation du PLU- préparation par l’aménageur du dossier de Déclaration d’Utilité Publique- préparation par la vil<strong>le</strong> avec l’aide de l’aménageur des règ<strong>le</strong>s d’urbanisme applicab<strong>le</strong>s dans <strong>le</strong>s Hauts de<strong>Joinvil<strong>le</strong></strong>- acquisition foncière amiab<strong>le</strong> par l’aménageur des terrains et relogement éventuels et progressifs(commerces/habitants)- Lancement des concours pour <strong>le</strong>s équipements publicsQuatrième trimestre :- Mise à l’enquête de la modification du PLU et de la DUP conjointement- Approbation du dossier de réalisation de ZAC- Commercialisation des charges foncières par l’aménageur45


5. Eléments de ca<strong>le</strong>ndrier5.4. Le choix de l’aménageur et <strong>le</strong>s principes de financementLes missions de l’aménageur- Conduit <strong>le</strong>s procédures d’urbanisme,- S’engage sur un bilan financier et porte financièrement l’opération (achat du foncier),-Réalise <strong>le</strong>s travaux de viabilité portant notamment sur la création des espaces publics,- Assure la commercialisation des charges foncières auprès des promoteurs.- Impose des contraintes de construction aux promoteurs (charte architectura<strong>le</strong>, Cahier descharges environnemental, etc.)Les différents types d’aménageur- La vil<strong>le</strong> en régie directe- ou Les SEM-ou Les aménageurs publics ou para publics-ouLes aménageurs promoteursChoisis par la vil<strong>le</strong> après mise enconcurrence. Le contrat passé avecl’aménageur s’appel<strong>le</strong> une Concessiond’AménagementQuand choisir un aménageur ?- Entre <strong>le</strong> dossier de création de la ZAC et <strong>le</strong> dossier de réalisation.46


5. Eléments de ca<strong>le</strong>ndrier5.4. Le choix de l’aménageur et <strong>le</strong>s principes de financementVILLE = MAITRISE D’OUVRAGEVente des terrains «vil<strong>le</strong> »AMENAGEURPROMOTEURLe promoteur achète à l’aménageur desdroits à construire sur tel ou tel terrain.C’est ce qu’on appel<strong>le</strong> des « chargesfoncières ».Il se rémunère sur la revente desappartements/commerces.Vente de chargesfoncièresVersement de laparticipation auxéquipements publics(infrastructure etsuperstructure)L’aménageur est choisi par lavil<strong>le</strong>.Son rô<strong>le</strong> principal est d’acheter<strong>le</strong>s terrains, de <strong>le</strong>s viabiliser pour<strong>le</strong>s revendre.Il porte financièrement <strong>le</strong>s risquesdu <strong>projet</strong>.47


5. Eléments de ca<strong>le</strong>ndrierLEXIQUEAMO : Assistant à Maîtrise d’OuvrageBET : Bureau d’Etude TechniqueCG94 : Conseil Général du Val-de-MarneDDE : Direction Départementa<strong>le</strong> de l’EquipementCM : Conseil MunicipalCAO : Commission d’Appel d’OffreCEM : Commission Extra Municipa<strong>le</strong>DUP : Déclaration d’Utilité PubliquePADD : Projet d’Aménagement et de Développement Durab<strong>le</strong>PLU : Plan Local d’UrbanismePMR : Personnes à Mobilité RéduitePOS : Plan d’Occupation des SolsRT 2005 : Rég<strong>le</strong>mentation Thermique 2005SEM : Société d’Economie MixteSHON : Surface Hors Œuvre NetteSRU (loi) : loi Solidarité et Renouvel<strong>le</strong>ment UrbainVNF : Voies Navigab<strong>le</strong> de FranceZAC : Zone d’Aménagement Concertée48

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