LTAM : avis de l'association des parents d'élèves

Association des Parents d'Eleves du Lycee Technique des Arts et Metiers, association sans but lucratif Comite des parents du LTAM Madame la Ministre de l'Education nationale et de laFormation professionnelle29, rue AldringenL- 2926 LuxembourgLuxembourg, Ie 11 mars 2013Concerne : Avis APfLTAM sur Ie projet de re/orme de I'enseignement secondaireMadame la Ministre,Donnant suite avotre estimee du 2S octobre 2012 et anos de bats reguliers sur I'etat de I'educationde nos enfants, no us nous sommes concentres sur les quatre themes que vous avez proposes dansvotre courrier pnkite.Vous comprendrez certainement que les parents, collaborateurs benevoles de notre comitene sont pas dotes des moyens permettant d'elaborer un avis detaille, mais soucieux de I'evolution deI'enseignement nous essayons de collaborer Ie plus positivement possible. [Voila pourquoi nousavons ajoute encore quelques remarques d'ordre plus general qui nous tiennent a cc.eur.JVeuillez agreer, Madame la Ministre, I' expression de notre parfaite consideration.,1IIII!~~ Theisen-Feiten Danielle ~mPresidente SecretaireI I ~ [ifAnnexe: avis APELTAM du 11/3/2013 i~f rSiege: 19, rue Guillaume Schneidere-mail: APELTAMasbl@pt.luL-2522 Luxembourg www.ltam.lu BGLL LU44 0030 13987333 0000 CCPL LU21 1111 0112 3075 0000 !l

Association des Parents d'Eliwes du Lycee Technique des Arts et Metiers, association sans but lucratif Comite des parents du LTAM Reforme de I'enseignement secondaireAvis APELTAM du 11/3/2013jiIJli Notre avis com porte les themes suivants :1. Preparation des eleves aux etudes superieures2. La progression a travers Ie Iycee3. L'enseignement de langues4. La qualM scola ire et I'autonomie des Iycees5. Divers1. Preparation des eleves aux etudes superieuresNous partageons les grandes lignes des constats retenus. I!1.1. La solution des problemes nous semble ne pas etre possible avec les approches desdernieres decennies. Nous ne voyons pas d'issue positive dans un changement deIponderation entre differentes branches, mais beaucoup plus dans une synergie (c.a.d. lasynchronisation d'energies) entre les differents acteurs, surtout enseignants, et lesIfIdifferentes branches enseignees (en premier lieu langues et connaissances generales).1.2. Obliger I'eleve de choisir des specialisations d'une fa~on responsable et en fonction de sesbesoins et interets augmente la motivation et les succes. Ceci necessite que les optionssoient presentees de fa~on a ne pas donner la possibilite de choisir « Ie plus facile ».1.3. Toute specialisation devrait commencer Ie plus tard possible et devrait etre traitee commeune specialisation claire et tangible (pratiquement « utilisable »).II2. La progression atravers Ie IyceeSi les constats presentes etaient effectivement a prendre a la lettre, il faudrait y reflechir plusprofondement: « ... ont pour objectif d'amener les eleves aux classes superieures et aux etudesuniversitaires.... »!La base commune devrait exister dans I'ensemble de I'enseignement secondaire, aux moins lors desclasses Oinferieures. Ceci pourrait etre realise Ie mieux en installant un systeme unique sansdifferenciation entre ES et EST.Aux classes superieures Ie systeme de la promotion devrait etre identique. Au niveau europeen etuniversitaire la solution est donnee par Ie systeme de Bologne (ECTS). En introduisant un systemesimilaire dans notre enseignement secondaire (classes superieures) nous faciliterions Ie passage denos eleves vers I'universite.1/7

Association des Parents d'Eleves du Lycee Technique des 'Arts et Metiers, association sans but lucratifComite des parents du LTAMNous voulons que nos eleves obtiennent un diplome! (dans d'autres pays un plus grand pourcentagede jeunes est « diplome »). Nous ne voulons pas un diplome resumant les faiblesses, mais presentantles acquis des eleves. Nous sommes convaincus que les ressortissants de notre enseignementsecondaire ont dans de maintes situations des avantages par rapport aux diplomes d'autres pays.Nous devrions etre a meme de Ie rendre visible sur Ie diplome. (Si nous ne Ie faisons pas, qui va Iefaire?)Le cursus menant aun diplome devrait com porter un certain nombre de branches obligatoires, avecun niveau minimal obligatoire (anglais et une autre langue, mathematiques et un ensemble dephysique, chimie, biologie ainsi que d'un ensemble de connaissances generales [economie, gestion,psychologie, politique ...]). Toute ajoute de branche ou de niveau donnera lieu a une specialisationmentionnee sur Ie diplome. II est sous-entendu que differentes finalites peuvent etre acquises avantI'annee terminale.L'approche ({ compensation» ne nous semble pas appropriee. (La compensation est un facteur dedemotivation important).Orientation:La base des orientations erronees se trouve tres clairement a la fin de I'enseignement fondamental.Actuellement Ie systeme et les methodes, voir les acteurs, ne forment pas un systeme promettant unSUCcE!S qualitatif (seulement une repartition quantitative).Tout en soulignant que chaque specialisation devrait se faire Ie plus tard possible, nous sommesd'avis que la decision d'orientation professionnelle devrait se faire pour chaque eleve avant la classeterminale au plus tard.Ce qu'il faut eviter absolument c'est d'orienter vers Ie bas, par I'echec, par les choix de la derniere« poubelle ».Pour arriver arendre I'eleve capable de prendre une decision, nous devons Ie mettre assez tot (dejaau fondamental) dans une approche structuree de prises de connaissances par des chemins etpersonnes professionnelles (pas des enseignants ou psychologues professionnelles, sauf pour cesmetiers). Les parents pourraient etre plus sollicites pour donner un vecteur d'informationsupplementaire. lis forment un ensemble tres bien motive, interesse et informe des entreprises dumarche du travail. II en est de meme pour les representants des associations professionnelles. Touten etant conscient que la communication enfant/parents n'est pas toujours la plus facile et efficace aI'age des orientations, nous suggerons de creer ou de trouver un cadre neutre et fonctionnel pourI'echange d'informations utiles a I'orientation. (P.ex. aupres des associations professionnelles, lesservices clubs, les grandes entreprises, ... )Pour arriver a une orientation satisfaisante, iI faut liberer et drainer ces ressources humaines quitravaillent sur Ie terrain pour les mettre a la portee (physique et intellectuelle) des eleves. Parmi Iepersonnel socio-educatif il y a certainement des ressources tres valorisantes. Ces experts sont d'uneutilite primaire quand il s'agit d'assister un eleve dans les difficultes socio-educatives etpsychologiques. Or dans la prise de conscience et la collecte d'information et I'orientation dans cestade, il s'agit d'acquisition de donnees pertinentes concernant des professions connues, mal2/7

Association des Parents d'Eleves du Lycee Technique des Arts et Metiers, association sans but lucratif Comite des parents du L TAM iconnues, voire encore peu existantes aujourd'hui. II nous semble que les jeunes sont desdemandeurs actifs et interesses, mais se heurtent souvent a des experts competents mais pascommunicants. Les membres du corps enseignants ne devraient pas trop etre charges des questionsconcernant I'orientation (sauf pour leurs propres metiers). lis pourraient pourtant etre une grandevaleur ajoutee dans I'organisation des chemins de communication et dans Ie regroupement deseleves qui pourraient former des groupes homogenes. Dans cet ensemble nous voyons les directionsdes Iycees et le(s) ministere(s) et administrations dans une fonction de gestionnaires et mediateurs.~pour liberer, drainer, concentrer les ressources vers une optimisation du resultat.1fIi!\Prevoir la tache d'un orienteur professionnel avec une formation specifique est probablement unebonne approche. II nous semble pourtant que cette personne « magique » ne peut pas exister (pourde multiples raisons). Sur Ie terrain (plus a I'exterieur de I'enseignement que dans Ie pool despersonnes internes) il y a certainement des hommes et des femmes qui ont I' experience de1 I'evolution des metiers et des eleves. Nous pensons que structurer un pool « d'experts du terrain»serait une approche efficace, avec I'avantage du coOt modere, de la disponibilite rapide, de laj!1I!Iflexibilite permanente, d'une adaptabilite simple si necessaire.Qualifier I'eleve au mieux ( .. et un petit peu plus) :Nous ne pensons pas que I'eleve d'aujourd'hui (et de hier) est plus responsable ou coupable du1« N+n» que son homologue du pays voisin. La vie quotidienne Ie met dans une situation ou souvent iI! collecte plus de demotivation que de motivation. Nous ne sommes pas dans un environnement ouJnous pouvons lui montrer I'avantage d'entreprendre ou de risquer quelque chose. Voila d'ailleursI une raison pour laquelle Ie redoublement est parfois {( volontaire ».ILa valeur d'un ajournement pourrait etre augmentee en exigeant un stage obligatoire en entreprisependant cette annee; Ie travail scolaire pouvant se concentrer surtout aux branches insuffisantes.IUn certain nombre de redoublants (non volontaires) connaissent pertinemment bien les raisons deI'echec. Mais peu de gens (parents et autres) etant disponibles ou a meme de I'assister dans ces,I] causes, il faudrait structurer mieux I'encadrement de ces cas. Le systeme de remediation est uneapproche, mais celle-ci a echoue pour des raisons assez bien connues.I1 Prise en charge des eleves des classes inferieures :Nous essayons de faire abstraction de differentes fonctions ou personnes au sein de I'ecole. Lesl1 dernieres annees ont montre clairement que I'effort d'un tutorat, bien pense et appliquehumainement (et non pas hierarchiquement), donne de tres bons resultats. Cette experienceconstitue un exemple d' « excellence ». Helas il n'appartient pas aux parents de rechercher lesraisons de non acceptation de cette methode.En plus de cette experience tres positive, nous sommes d'avis que chaque initiative montrant queI'on s'occupe du jeune, est positive en sol. La valeur ajoutee, (et a faible cout) consiste a proposerdes activites extra-cursus a I'eleve. Ces ateliers, preparations, activites de midi, entrainements ...devraient etre organises, accompagnes et encadres par une personne avant compris et accepte cetteapproche. (line faut pas une formation supplementaire). Tous les eleves (cycle inferieur) devraientavoir I'obligation de participer mais pas une obligation de resultat. Ces activites pourraient etre3/7

Association des Parents d'Eleves du Lycee Technique des •Arts et Metiers, association sans but lucratifComite des parents du LTAMutilisees egalement pour traiter des sujets qui ne rentrent que difficilement dans un cours bienparticulier: comment apprendre, comment lire, ecrire un lettre un SMS, parler au telephone,comment profiter des reseaux (informatiques et autres), comment realiser I'existence d'un problemeet comment I'affronter, ....). Cet accompagnement devrait etre offert et adapte pour les classessuperieures egalement.3. L'enseignement de languesHeterogeneite linguistique :Les constats presentes approchent du fond de la question. Nous aimerions pourtant formuler lesremarques suivantes :• A I'ecole nous sommes confrontes a plusieurs langues d'instruction. Mais qu'en est-il deslangues de communication p.ex. lors des recreations? II nous semble que Ie nombre deslangues parlees diminue a ce moment. En plus la multitude des langues n'augmentenullement la communication, mais la reduit d'une fa!;on alarmante.• « L'apprentissage de I'allemand et du luxembourgeois ne vont plus de soi ». Nous sommesd'avis que !;a n'allait encore jamais de soil Failait-il attendre Ie nombre croissant de nonluxembourgeoispour Ie comprendre?• Com me « de plus en plus d'eleves ... reussissent la Be sans avoir appris Ie luxembourgeois»,et comme de plus en plus de germanophones travaillent au Luxembourg (avec pratiquementpas de connaissances en fran!;ais), il faut effectivement se poser des questionsfondamentales sur notre enseignement des langues.Nous avons I'habitude de penser et de dire que Ie ressortissant luxembourgeois a I'avantage d'etremultllingue. S'iI y avait avantage reel, no us devrions agir pour nous assurer que cet avantage surviveencore dans Ie monde globalise. Notre avis est que toutes les langues doivent etre en premier lieu unoutil de communication. Dans I'enseignement des langues nous devrions augmenter la valeur de cevolet. Les autres bienfaits que nous pouvons retirer des bonnes connaissances linguistiques pourrontetre traites dans des niveaux superieurs, des specialisations, ... et des certifications supplementairesDans Ie contexte international, et Mias egalement dans un souci d'employabilite, I'impact duluxembourgeois diminue regulierement. Les gens qui en voient I'opportunite devraient pouvoirI'apprendre a leur gre et volontairement, avec ou sans certification. (II faudra probablementaugmenter Ie pool des enseignants en luxembourgeois). Diminuer Ie luxembourgeois en tant quelangue vehiculaire dans les cours augmenterait Ie niveau des autres langues (chez les eleves et lesenseignants). En parallele iI y aurait lieu de creer une culture de multilinguisme au pays. (Mais cen'est peut-etre pas du ressort de I'enseignement)Nous sommes d'avis qu'il faut se poser serieusement la question de I'importance du fran!;ais parrapport aI'anglais. Force est de constater que de grands efforts ont ete faits depuis longtemps pouraugmenter les connaissances en anglais de nos jeunes gens. Les capacites linguistiques en langues

filII ,Association des Parents d'Eleves du Lycee Technique des Arts et Metiers, association sans but lucratif Comite des parents du LTAM anglaise de chaque dipl6me de notre enseignement secondaire devraient etre tel qu'iI soit amemede• participer activement dans une discussion en anglais sur un sujet d'ordre general• de pouvoir lire aisement un document general avec quelques details plus specifiques• d'ecrire et de structurer correctement un texte (plus d'importance sur Ie contenu que sur lagrammaire)• presenter librement un sujet specialise apres une preparation adequateEquilinguisme :l'approche d'introduire Ie systeme europeen de classification des capacites d'une fac;on generalemontre dans la bonne direction. Seulement nous ne pensons pas que Ie jeune devrait definir audebut de I'annee (ou de I'apprentissage) quel niveau iI voudra atteindre. (le seul effet additionnel:I' echec possible).• Minima aatteindre :Dans tous les cas et pour chacun qui veut se dire dipl6me (avec tel et tel langue): iI doit pouvoir sepresenter, s'expliquer, se defendre, argumenter (avec un vocabulaire elementaire) dans chaquelangue visee. En plus: iI doit etre capable de lire et comprendre un texte simple (journal) et d'ecrireune lettre ou un rapport sur un sujet qui lui est connu.• Certifications:les certifications elementaires devraient se faire a la fin de I'avant-derniere annee d'etude ausecondaire. Comme il y a une tendance de demander egalement des precisions sur Ie contenu de labranche certifiee, il serait peut-etre utile de prevoir ces details comme annexe au dipl6me (texteeventuellement en plusieurs langues)langue comme outil de communication et non comme facteur d'echec« le franc;ais pose de plus en plus de problemes comme langue vehiculaire pour lesmathematiques ». Sans negliger I'impact du changement de la langue (allemand/luxembourgeoisvers Ie franc;ais) nous ne sommes pas convaincus que Ie franc;ais pose Ie probleme enmathematique. En premier lieu il faut constater qu'a ce moment critique Ie contenu desmathematiques change considerablement (en devenant beaucoup plus theorique). Introduire unenouvelle fac;on de penser et de raisonner ainsi qu'une nouvelle terminologie ne se simplifie pas enmaintenant la langue allemande. Nous encourageons I'approche de mettre les enfants deI'enseignement fondamental davantage en presence des raisonnements et terminologiesmathematiques. Comme ceci ne correspondrait certainement pas aun apprentissage de vocables, iIserait utile de munir les enseignants des « kits» mathematiques adequats.• Nous sommes d'avis que tout I'enseignement mathematique devrait se faire dans la memelangue. Preference dans Ie contexte actuel: Ie franc;ais (meme avec une premiere approcheau fondamental)5/7}rlI !

Association des Parents d'Eleves du Lycee Technique des .Arts et Metiers, association sans but lucratifComite des parents du LTAM• Oes filieres linguistiques generalisees ne remedient pas au fond du probleme. Oetinir unIycee comme francophone, un autre comme germanophone et d'autres a toutes languesconfondues pourrait etre allechant, surtout s'il s'averait sans probleme de centraliser lesressources en fonction de la langue.Finalite des cours de langue• Apprentissage formel:Nos pays voisins semblent mettre moins de poids sur ces aspects, mais donnent une plus grandeimportance au theatral.... Cet aspect important de la langue (de chaque langue) ne devrait pas etreutilise pour disqualifier quelqu'un, etant donne qu'il n'est pas primordial pour la communication.Comme iI s'agit d'un aspect technique, il vaudrait mieux de Ie traiter en profondeur lors d'un moduleintensif et tres professionnel au cycle superieur de I' enseignement secondaire (y compris lesluxembourgismes)• Litterature :La litterature devrait avoir Ie meme niveau d'importance et de specialisation que les derivees etintegrales en math, ou la physique quantique ou les neurones a miroir. On peut la decrire aussicomme specialisation professionnel du narrateur amateur des fins mots.• Oevelopper Ie gout de la lecture aupres ... des gar~onsOes experiences sur Ie terrain (Iuxembourgeois) montrent qu'on peut eviter une sexualisation si, aupremier cycle primaire, la maitresse met en saine competition tous les enfants de la classe sanspenaliser mais en recompensant chacun et chacune qui a lu les livres aux choix.Le gout de lire a beaucoup de parents: remplacer devoir par pouvoir, papier par ebook, litteraturepar BO, Socrate par Homer, lkg par 4x300g, ... les petits lecteurs naitront tout seul et grandiront !4. La qualite scolaire et I'autonomie des Iycees• Un etablissement qui a chaque annee plus de demandes que de places a offrir n'a pasechoue partout.• lis doivent etre a meme de se parler entre humains. Ainsi chacun peut contribuer sa valeurajoutee sans blesser ou offusque son partenaire.• Si on veut mesurer la qualite, il faut la definir par des gens internes qui connaissent Iesysteme et la faire mesurer par des gens externes qui ne constituent pas partie prise. Lesdeux parties se mettent d'accord sur Ie cycle des mesures ou changements aintroduire apresles evaluations regulieres.• Le projet specifique d'un etablissement constitue la partie pratique de I'etiquette queI'etablissement veut se donner.• Liberte =responsabilite. Un marchandage sur les programmes ou grilles horaires ne doit pasetre un marchandage sur les ressources humaines ou materiels ou sur des textes legislatifs.Une liberte de choisir la couleur de la peinture des murs n'a rien avoir dans I'autonomie du

Association des Parents d'Eliwes du Lycee Technique des Arts et Metiers, association sans but lucratif Comite des parents du LTAM Iycee. Lire Kafka au cycle inferieur ou pas, devrait faire partie d'une approche responsablede tous les partenaires d'un Iycee.5. .... Et, si vous permettez :• Creer des forums de discussions contradictoires avec du brainstorming efficace• Prevoir un systeme avec moins de textes pour et par les benevoles non-professionnels• Introduire des mesures permettant plus de liens de confiance entre les partenaires de I'ecole(vertrauensbildende MaBnahmen) afin de reduire les grandes metiances.tIjI II!iI III11 I,:IJ , , )I!t!Ir