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L'entreprise de peinture Birké est spécialisée - CCI

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vie <strong>de</strong>s entreprises 17ServicesTélécoms et g<strong>est</strong>ion<strong>de</strong> l’information s’accor<strong>de</strong>nt chez LGDIInitialement <strong>spécialisée</strong> dans le courtage télécom, l’entreprise mulhousienneLGDI a développé une activité <strong>de</strong> g<strong>est</strong>ion <strong>de</strong>s systèmes informatiques, à traversnotamment le cloud computing.Le web 2.0 a initié une nouvelle dynamique.Pour Laurent-Gabriel DIDIER, dirigeant <strong>de</strong>l'entreprise LDGI, nous entrons dans l’èredu travail collaboratif et <strong>de</strong> la mobilité. Etpour ce faire, le système d’information (SI)sort <strong>de</strong> l’entreprise grâce notamment aucloud computing. « Le cloud computing <strong>est</strong>l’externalisation complète <strong>de</strong>s applicationsmétiers, il n’y a plus <strong>de</strong> serveur dans lesentreprises. Les serveurs utilisés sontdistants et interconnectés, et nous sommesà cet effet certifiés Orange sur la solutionForfait Informatique (FI). Nous avonségalement noué un partenariat avec Google. »Les entreprises évitent ainsi une g<strong>est</strong>iond’infrastructure souvent bien complexe, touten conservant un haut niveau <strong>de</strong> sécurité. Maiscette réalité n’<strong>est</strong> pas forcément celle <strong>de</strong> toutesles entreprises, « nous voulons permettre à nosclients d’apprivoiser le cloud computing, sansles forcer. L’objectif étant <strong>de</strong> proposer une offretaillée sur mesure. »Cette philosophie, Laurent-Gabriel DIDIERl’applique également à son métier <strong>de</strong> courtiertélécom. « Les télécoms, c’<strong>est</strong> un métier àpart entière mais malheureusement pas celuid’un chef d’entreprise. C’<strong>est</strong> un domaine oùles choses évoluent très rapi<strong>de</strong>ment et dont lesus et coutumes sont bien spécifiques. » Audit,expertise, analyse <strong>de</strong>s usages, rien n’<strong>est</strong> laisséau hasard pour garantir au client une offre laplus juste possible et en moyenne, le client peutéconomiser jusqu’à 10% rien qu’avec un audit.« Nous sommes aussi capables d’anticiperles usages futurs et <strong>de</strong> les intégrer dans nospropositions. Le client n’a donc pas <strong>de</strong> surprise<strong>de</strong> surcoût. »LGDI pratique également la revalorisation<strong>de</strong> mobiles obsolètes. Ces téléphones (dontle rachat peut aller jusqu’à 120 euros pièce)alimentent le marché <strong>de</strong> l’occasion pour lespays en voie <strong>de</strong> développement, le marchéassociatif d’Europe ou encore celui <strong>de</strong>s piècesdétachées. ■➜ Toutes les infos sur www.lgdi.frIndustrieDollfus & Muller : la force <strong>de</strong> l’âgeDollfus & Muller <strong>est</strong> née <strong>de</strong> la fusion, en 1995,<strong>de</strong> <strong>de</strong>ux sociétés créées en 1811 : Dollfus &Noack et la Manufacture Muller. Ces <strong>de</strong>uxentreprises ont connu <strong>de</strong>puis, <strong>de</strong> nombreuxchangements dans leurs métiers et dans leursorganisations. Aujourd’hui, Dollfus & Muller<strong>est</strong> <strong>spécialisée</strong> dans la fabrication <strong>de</strong> tapis àmailles ouvertes, <strong>de</strong> feutres pour l’industrie dufinissage textile et les tanneries, <strong>de</strong> supportstextiles pour la décoration scénique etl’impression numérique.Hugues SCHELLENBERG, directeur général<strong>de</strong> l’entreprise, s’<strong>est</strong> fixé comme principalobjectif le développement <strong>de</strong> l’activité bienau-<strong>de</strong>là du bicentenaire. « Nous avons mis enplace un plan d’action qui se décline en cinqaxes : développement <strong>de</strong> la R&D, du technicocommercial,définition <strong>de</strong> zones prioritairespour l’export, diversification vers les secteurs<strong>de</strong> l’aluminerie et <strong>de</strong> l’agroalimentaire,développement <strong>de</strong> partenariats stratégiques »explique Hugues SCHELLENBERG. Il ajoute :« Nous visons les 10 millions d’euros <strong>de</strong>chiffres d’affaires d’ici trois ans si la situationéconomique ne se détériore pas à nouveau ».Dollfus & Muller emploie 52 salariés sur sonsite <strong>de</strong> Heimsbrunn et réalise 85% <strong>de</strong> sonchiffre d’affaires à l’export dans 90 pays (In<strong>de</strong>,Chine, Pakistan, Brésil…).Le 22 juillet prochain, l’entreprise célèbrerases 200 ans d’existence. ■➜ Site internet : www.dollfus-muller.comn°214 • Juillet-Août 2011 • ÉCONOMIE EN SUD ALSACE

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