un critique aux côtés de Gallé, Monet, Gauguin ... - Ville de Nancy

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(né en 1966)
P.L.O.T.
1 octobre – 31 décembre 200
salles du musée – 2 e étage
Pour son exposition nancéienne, Bertrand Lamarche a choisi de présenter son travail sous un
titre inspiré de l’anglais plot, qui signifie territoire ou scénario.
Il faut rechercher l’origine des deux œuvres exposées dans la culture nancéienne. Elles relèvent
d’expériences et sont des projets fondés sur l’observation et prennent la forme de
maquette et de vidéo.
Fog Factory - maquette
Le site de la gare de Nancy est source d’inspiration pour Bernard Lamarche depuis plusieurs
années. Il réalise des maquettes, des vidéos dans lesquelles il réinvente ce lieu dont les différents
éléments deviennent le support de nouvelles fonctions ou activités. Ainsi questionne-t-il
un site interstitiel où le tissu urbain fait une pause entre voies ferrées, terrains vagues, hangar,
tri postal, viaduc et prison.
Le Terrain Ombelliférique - animation
Chères aux artistes de l’Ecole de Nancy, les
ombelles du Caucase sont une variété de
plantes géantes et urticantes que l’on ne
peut donc admirer que de loin. Tels les yeux
d’Alice, des images virtuelles nous entraînent
au cœur de ce monde étrange et inaccessible
qu’est le terrain ombelliférique.
Le Terrain Ombelliférique, 2005
Bertrand Lamarche
animation
(vit et travaille à Paris et New York)
Timetrackers
janvier – mars 2006
salles du musée – rez-de-chaussée
Depuis sa première exposition en 1977, Isabelle
Champion Métadier explore les richesses de la
peinture (matières, couleurs, formes, gestes,
espaces…) à travers le principe de la série.
Séjournant fréquemment à New York, son travail
est aujourd’hui fortement marqué par le
Pop Art.
Ses tableaux font appel à des images primaires,
profondément enfouies dans notre subconscient.
L’artiste parle de « tableau-sculpture » où
les formes « tout en étant en état d’apesanteur,
ont un poids et une densité ».
Isabelle Champion Métadier présentera sa
dernière série de toiles, Timetrackers, alors
que le musée des beaux-arts organise, pour la
première fois en France, une rétrospective du
sculpteur anglais Barbara Hepworth. Dans l’approche
du monde, il semble qu’il y ait, en effet,
un écho entre ces deux œuvres : une recherche
très maîtrisée des formes invitant le spectateur
dans un univers onirique, dans lequel chacun
peut projeter ses propres images.
Timetrackers, 2004-2005
Isabelle Champion Métadier
acrylique sur toile
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