13.07.2015 Views

à signer cette le tre - Archives du MRAP

à signer cette le tre - Archives du MRAP

à signer cette le tre - Archives du MRAP

SHOW MORE
SHOW LESS
  • No tags were found...

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

TOUS LES- VENDREDIS30 DEC. 1949 - S- JANV. SON° 10 '(114)'25 Aux extravagances des noceursfr.,JE PRÉFÈRE MON PETIT- Un Chemin 'Vert, un ChâteauR~uge, une: Porte Dor~e ...- Pafdon, c'est, une hi~toiree:l\istentialiste ?.- Vous n'y 'êtes PaS. Ce sontdes noms de stati,ons de' métro.- Exact, et , àlors? " .. - Alors, ce son\ , probab<strong>le</strong>mentces stations qui ont inspiréies Œuvres des employés deSOUVENIRS DE NOUVEL AND·ésormaisen Chine la terreD'au<strong>tre</strong>stourne <strong>du</strong>' so<strong>le</strong>ilLepar Jean MONTAGNEYPEKIN, j'avais pour voisin un vieux <strong>le</strong>ttré; Monsieur Hou, expert en louLes sortes deA sciences. Il m'honoq.it de ses visites, apportant toujours avec lui, dans une cage de. bois, sa perruche favorite.Un jour - c'était vers 1936, au moment où <strong>le</strong> KUQmintang tenta de substituer <strong>le</strong> ca<strong>le</strong>ndrierromain au ca<strong>le</strong>ndrier lunaire'"- M. Hou se"précipita chez moi. Le pauvre hommeChau~sures en peau \<strong>le</strong> léopard,pa,ntalon en fuseà!l; gants de faisait n'eine à voir ': 'daim, décol<strong>le</strong>té exotique ; <strong>cette</strong>_ Voilà qu'ils veu<strong>le</strong>nt chan- L'expllc~tion se. heur.ta, dèspa me porte <strong>le</strong> J;llus récent modè<strong>le</strong>sports ' d'hlv\j'r. N'ayezger <strong>le</strong> cyc<strong>le</strong> des jours et des <strong>le</strong> déQut, à une enorme ,dlfflnuitsmatntenant! C'est une . cuIté. Il me falla1:t, en effet,crainte, el<strong>le</strong> n'Ira ,p(\i; s'aventurersur la neige. ~t aceou<strong>tre</strong>­revoluttOn pIre que la chute tournant autour <strong>du</strong> so<strong>le</strong>il . Or. . . prendre pour base la terrement est, spécia<strong>le</strong>ment étudié des Empe-reurs. Pouvez-vous M ' H ét it é' 1 é 'pour l'heure <strong>du</strong> thé, à , Cllamonlx1'~ , . ma démonstration fut arrê-m'expliquer çe qU'e:;t ce ca- comm~ . ou a , Pl' cs -<strong>le</strong>ndrier (i,es hnrbare3i? ment persuadé <strong>du</strong> contraire,tée net. Màis mon viel amiétait 'p<strong>le</strong>in' d'in<strong>du</strong>lgence pourPEI. NT' U, R Ece qu'il. appelait <strong>le</strong>s folies desOccidentaux:. - Enfin, mettons, dit-lidoucement. Mais 'comment honorerons-nousnos dieux etET ,M É T R,Onos ancê<strong>tre</strong>s? Tout' s,era décaléet ne' signifiera plUsrien. Et nos fêtes, Monsieur," 1nos tèt,es?.. .Il est évident que, sçus <strong>le</strong>rapport des fêtes, <strong>le</strong>. ca<strong>le</strong>ndrierchinois dépasse, ' et deloin, tous <strong>le</strong>s au<strong>tre</strong>s. Si l'infor-'tuné' coolie voulait' <strong>le</strong>s obser­Et puis, vous savez, ,c'èst uneexposition vraiment démocratique.' ' .. L~ tout <strong>le</strong> monde ex!,ose, sansdistinction: machinistes, chefsde groupe, con<strong>du</strong>cteurs et mêmela fil<strong>le</strong> d'urt des directeurs<strong>du</strong> métro ...WEILlacq~elinela Régie autonome' des trans-;-o _____________ports parisiens. Le quatrièmesalOn de la T.C,R.P: s'est oùver.t, <strong>cette</strong> seml!ine'". dans ', upeItation de méî~o, éviaemmejlt.- Rratique 'pour y: allcr.- Pas tant que 'vous croyez.L'cl'position se , tient à, Cluny.C'est uri~ 'station .fermée, 'Le Salon , comporte trois seè-,tions : peiFlture, scUlpture, céramique,et si -vous faites <strong>le</strong> tourde ' l'exposition vous" pourre/:v.oir encore, avant q 'arriver auterminus, <strong>le</strong>s ŒlJ.vres d'art desemployés ,<strong>du</strong> métrQ lpndonienqui ont, été invités à expOS'eravec <strong>le</strong>urs camaraqes français.- Le • mëtro in'spire:t-il <strong>le</strong>stab<strong>le</strong>a4x exposés?- Fort peu. Les t~i<strong>le</strong>s représentent· surtout 1 dés paysages,des arbres. des ·sous-bois.Quand on poinçonne' des 'ticketstoute une journée, on ' a ' bienraison de vouloir s'évader: unpeu". ' :- Alors' rien sur ·<strong>le</strong> métro?. - Que' vous 'êres exig"'fint...Je vous ai dit f91't 'peu ·maisl'lon « rien "11. J:ai vu une grandetpi<strong>le</strong>, une composition t6utc~ qu'i! y a de plus il1étropolitaine.C'est l'entrée; d'une stationvue par l'employé . . J'ignoresi c'est à force ' d'entendrepar<strong>le</strong>r d'Etoi<strong>le</strong>, de' Jasmin; deSentier et de ' Gaîté: que <strong>le</strong>pein<strong>tre</strong> a traité son Œuvre enpoête, mais je vous assure que<strong>le</strong> métro, tel qu'il <strong>le</strong> voit,' esttout à .tait cha'l'mant. Pas' debousculades: ·des sourires, desenfants et des f<strong>le</strong>urs". .J'ai remarqué ·aussi un , tablfi,aureprésentant un « Autobusnommé 48 'Il. Très réussi., .. ,On demanda un jour a plusieurschefs d'orches<strong>tre</strong> iia­Hens, parmi ,<strong>le</strong>squels, se trouvltientTosc!1nini et Mascagni;de bien vouloir participer a ungrand gala donné li la Scalacie Milan en l'honneur deVerdi.Mascagni, vio<strong>le</strong>mment jalouxde la cél,ébrité de Toscanini,n\accepta qu'a une seu<strong>le</strong> condition:ê<strong>tre</strong> payé plus cherque :ce dernier.'- Ne serait-ce que d'une 'Ure, ajouta,-t-il.Le <strong>le</strong>ndemain' <strong>du</strong> ' 'spectac<strong>le</strong>,Mascagni se préoenta à la caissed'u théâ<strong>tre</strong> et t.:etonna dene toucher qu'une "-Te. ,Toscanini, peut-are dans unesprit de vengeunce, avaitabandonne généreusement latotalité de son 1 cachet. 'ver strict~ment il ne travail<strong>le</strong>raitguère qu'un jour' surtrois. Mais comme 11 fautmanger, seul <strong>le</strong> Jour de l'Anest fêté comme li convient et,comme on va <strong>le</strong> voir, ce n'estpas une 'petite affaire.Ajoutons pour ê<strong>tre</strong> précis,que <strong>le</strong>s deux tentatives <strong>du</strong>Kuomintang pour ' irhposer <strong>le</strong>ca;<strong>le</strong>ndrier romain échouèrentradica<strong>le</strong>ment. Et sou.haitonsmeil<strong>le</strong>ure, chance à Mao TséTeung, qui a inscrJt, la réformedars son programme.On ~e préparedès <strong>le</strong> d~but de décembreLe nouvel an est essentiel<strong>le</strong>mentvariab<strong>le</strong>' quant à ladate. Il coïncide avec la pre.mlère nouvel<strong>le</strong> lune de janvier.Mais, ' dès <strong>le</strong> huitièmejour <strong>du</strong>" douzième mois, ' lafête commence par <strong>le</strong>s,offrandesaux tab<strong>le</strong>ttes ancestra<strong>le</strong>s. Ondépose dev.ant l'iutel des bo:sde riz, de viande, de poisson.Et; bien ,epten<strong>du</strong>, , comme lacOnsommation des honorab<strong>le</strong>smorts est · assez ' limitée <strong>le</strong>svivants 'p~ennent 'une' p'àrt active' au fe'stin.' "par <strong>le</strong> Maî<strong>tre</strong> I. SHERNETSKYPartie N° 8 - Début RetiBLANCS ' : M. DEII1KOV (Moscou)'NOIRS : B . PEfRSITZ (TOUla)Jouée dans un tournoi par correspondanceen U·R.S:S, en 1947.1. cn, Cf6 ; 2. ç4, ç5 ; ~. Cç3 d5 ;4. çxd5, CxdS ; 5 é4, Cb6.(5. - Cb4 était i;>lus aggre.slf etplus dans <strong>le</strong> sty<strong>le</strong> <strong>du</strong> début),6. dt, çxd4 ; " Dxd4, Fd7 ; B.é5, Cç6 ; 9. DIt, Db8, ; 10 Fb5, é6 ;~~""""""""""''''''''''''''''''''''''''''''''''""'~, . . ~IlA -S'1ë D 1Nl1ë ... 1~ ~~ N0US avons eu un beau révei!lon. Le premier ré- ~~ veillon de l'abondance, comme disent' <strong>le</strong>s journaux. ~~ Avec dinde; ' foie gras, bourgogne, 'champagne, ~~ bûches de Noël et. tutti quanti. ' ~~ Moi, je veux bie?t. ~~ Il parait que . c'était moins cher, <strong>le</strong>s pavillons des ~~ Hal<strong>le</strong>s étant surchargés et la demande étant moins forte. ~~ Les commerçants vous faisaient des sourires jusque là ~~ et même davantage. Ils' avaient décoré <strong>le</strong>urs devantures ~~ avec <strong>du</strong> coton hydrophi<strong>le</strong>, des branches de sapin, des ~~ conf~tti, <strong>du</strong> papier d'ârge;nt et des étQi<strong>le</strong>s de mer. On se ~~ croyait avant guerre. ~~ C'est ce qu'il 11 a de plus . vrai. ~~ Je me suis cru exactement avant guerre, et ça m'a ~~ donné des hauts-<strong>le</strong>-coe'ur, ' je me suis demandé si réel<strong>le</strong>- ~~ ment <strong>le</strong> .cyc<strong>le</strong> aUait se refermer et qu'après la guerre, ~~ la disette, <strong>le</strong>s remords et <strong>le</strong>s bonnes résolutions, on allait ~~ obLigatoirem~nt · revoir l'abondance, <strong>le</strong> jem' enfichisme <strong>le</strong>s ~~ . querel<strong>le</strong>s de boutiques et enfin la guerre. ~~ Evidemment, j'ai des bons souvenirs d'avant 'guel·re. ~~ Et même de gu~rre. J'allais nlors au lycée et on dansait ~~ deux fois p'ar $~maine 'avec champagne, f~irt, luckYrstrike, ~~ conversations philosophiques et pantalons étroits. On 101'- ~~ gnait avec envie l'uniforme <strong>du</strong> jeune aspirant, 'et' l'on ~~ aspirait à son él~gance et à sa gloire. ~~ Et puis, après juin 40, ça a changé. " ..~ Mais, pour certains jeunes qui ont dix-sept an.~ ce ~~ moi!,-ci, est-ce que ' cela a beaucoup changé? En conver- ~~ sant avec eux on s'aperçoit qu'ils en sont là où nous ~~ étions à <strong>le</strong>u'/" âge en' 1939. Et on n'est pas fier. A qui la ~~ faute? Oh! pa'S à' nous bien sûr, pas seuLement à nous_ ~~ Nous, on a au moins la consolation d'avoir fait no<strong>tre</strong> ~~ devoir et de con tinuer. On n'arrête pas de par<strong>le</strong>r <strong>du</strong> ~~ nazisme renaissant, ère Dilchau profané, des pogromes ~~ d' Ira,", et de tout cet « avant-guerre II ignob<strong>le</strong> qui "e- ~~ prend <strong>du</strong> poi~ de la béte. Mais trop de jeunes ne nous ~~ écoutent' pas. Ils nous prennent pour de précoces gdteux. ~~ Pour des emmerdeurs ' publics. ~~ Que ce soit no<strong>tre</strong> ti<strong>tre</strong> de gloire. ~~ Et bonne année, messieurs. On continuera à vous ~~ emmerde'r jusqu'à ce que vous ay/lz compris. Et il faudra ~~ bien que vous compreniez, comme beaucoup d'au<strong>tre</strong>s ~~ l'ont fait - heureusement! - avant qu'il ne soit trop ~".. tard. ~~ Je vous souhaite un bon réveillon <strong>du</strong> jour de l'an. ~~ Mais attention au réveil. ~~ Paul ). RENNE. ~~ ~~ ... ~f ' Mre~ AM~lUJlft~ ~~ , -- ~l"""""""""""""""""""",,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,~11. Fe3, Fe' ; 12. Tdl, Dç7 ; 13,0-0,0-0 ; 14. D ,3, Tld8 ; 15. FM, Ffi ;16. Ce' ! CU ? ; 17. _Cf6+Rh8 ; 18.Cg5 !!Aucune 'des d~ux pièce! en prlseà 16 et hG ne p"euvent ~<strong>tre</strong> prisescar la, menace 19. Cx17 mat devientune réalité:18. Fé8 (forcé). - 19. FxeS (menaçanttoujours 20. Cxf7 mat) 19.- Cf5. Il semb<strong>le</strong> que <strong>le</strong>s Noirs doivent,l'e. regardentdésormais vers un a venir delumière.RÉVEILLON FAMILIALIL y a Noël et il y a <strong>le</strong>s «Noëls ». Chacun fête ce jour traditionnel à sa manière, maisaussi et surtout selon ses moyens.D'aucuns vont dans <strong>le</strong>s boîtes de nu it, au milieu d'entraîneuses généreusementdéshabillées et des bouteil<strong>le</strong>s de champagne à six ou sept mil<strong>le</strong> francs pièce. .déambu<strong>le</strong>nt toute lanuit de Pigal<strong>le</strong>, Montmar<strong>tre</strong> ouMontparnasse, <strong>le</strong>s mains dans<strong>le</strong>s poches. au hasard de <strong>le</strong>urbonne fortune, seuls désœuvréscomme des épaves ...Noël de « MonsieurTout-<strong>le</strong>-Monde»Quant à la grande majoritéd'en<strong>tre</strong> nous, el<strong>le</strong> a réveillonné~: quand même >. .: Quandmême > parce que bien souvent<strong>le</strong> CŒur n'y était ,pas. Evidemment,on aurait bi en acheté unjouet pour l'enfant, un briquetou un portefeuil<strong>le</strong> pour monsieur,une parure ou des bas nylonpour madame, mais il n'yavait pas, <strong>cette</strong> année, <strong>le</strong> moraldes Noëls d'avant guerre.On a surtout « èssayé »de s'amuserA huit heures bien sagement,toute la famil<strong>le</strong> est ,partie au cinéma,en sortant chacun a buun petit apéritif et bébé la grenadinerég<strong>le</strong>mentaire. ensuite<strong>le</strong> retour à la maison s'est passéma foi, sans. grand enthousiasme.Imaginez 0e que mon<strong>tre</strong> <strong>le</strong> Père NoëlBeaucoup de volail<strong>le</strong>s, peu d'acheteursA minuit ou une heure <strong>du</strong>matiJ?-, on a commencé <strong>le</strong> .: réveillonalimentaire >, avec quelquesextras en foie gras, huî<strong>tre</strong>sou escargots, une bonnebouteil<strong>le</strong>, un café et une fine. Atrois heures <strong>du</strong> matin, <strong>le</strong>s lumièresétaient .Heines, chacundormait.Une petite chanson par-cl parlàa bien tenté, avec beaucoupde bonne volonté, de créer« fambiance >, mais el<strong>le</strong> s'arrêtaitau milieu d'un si<strong>le</strong>nce, révélateur,trahissant <strong>le</strong>s préoccupationsdes convives.Noëls de guerreCar on peut féter Noël ; lorsquetoute la famil<strong>le</strong> ut réunieon se rend bien souvent comptequ'il y a une place de vide: cel<strong>le</strong><strong>du</strong> fils, <strong>du</strong> père, de la maman,mort en déportation ouquelque part sur <strong>le</strong> front, aucours d'une même nuit de Noël,d'un Nqël de guerre où nousavions nos préoccupations, nosmisères, n"" souffrances. D'une.pe ces nuits de réveillon de 1942ou 1943 < alors que la neige'tombait, qu'un immense linceulblan~ recouvrait <strong>le</strong> monde >, tachéen maints endroits <strong>du</strong> sangde nos martyrs, de nos héros ..Noël de confianceCette fois, nous n'avons paspensé à l'a<strong>le</strong>rte qui pouvait ,survenir,à la fusillade <strong>du</strong> <strong>le</strong>ndemaïnmatin, mais nous avons réfléchi àl'avenir, c'était plus fort que nous.L'avenir immédiat, celui de demain.de la semaine prochaine.parce que <strong>le</strong>s dépenses avaient ététrop importantes et que l'on auraitbien des difficultés à « bouc<strong>le</strong>r> <strong>le</strong> mois; l'avenir plus lointain,avec son ciel chargé de nouvel<strong>le</strong>smenaces, mais que l'on envisagequand même avec confiance,parce que <strong>le</strong>s gens honnêtes,sincères, tous ceux qui travail<strong>le</strong>ntet qui peinent sont <strong>le</strong>s plus fortset qu'ils peuvent, maintenant, empêcherun nouveau massacre. Parceque l'on sait bien qu'il yencore des Dachau et des Buchenwalden Irak, mais on saitaussi qu'il y a tout un monde quise crée, qui relève ses ruines etconstruit un avenir meil<strong>le</strong>ur pourtous.Noël q,uand mêmeCe Noël de 1949, il était plustriste, bien plus triste que <strong>le</strong>sNoëls de 1944 ou 11145, où l'enthousiasmeet la joie d'avoir recouvréune liberté qui nous est si chèredominaient toutes nos préoccupations,nous avions réUSSI à oublier,vingt-qua<strong>tre</strong> heures !eu<strong>le</strong>ment,nos malheurs et nos misères.Mais aujourd'hui, malheurs etmisères ont été <strong>le</strong>s plus forts, ilsont jeté un voi<strong>le</strong> gris sur no<strong>tre</strong>joie.Malgré tout teci, Noël a quand.même été Noël, on l'a fêté à toutprix et personnel<strong>le</strong>ment je préfèremon petit réveillon familial,bien sage et bien tranquil<strong>le</strong> à celuides. noceurs> qui sont revenusbras-dessus, bras-dessous, incapab<strong>le</strong>sde suivre <strong>le</strong> trottoir tropétroit pour eux.Et puis j'ai quand. même unavantage: je n'ai pas mal au foie!Pierre DEUTU:POUR CINQ MILLE NOUVEAUX.-ABONNES A _c, D. ·L. "AU TABLEAU /J'HONNEURLe M.R.A.P. - Mon<strong>tre</strong>uil a atteint sonobiectif (50 abonnements) dont 32 recuellisDar M. Badower ...... et ce n'est Das ·tout ! .. "VO<strong>le</strong>l quelques-uns des derniers résulta.ts cU la campagned'abonnement,\> à D.L., qui nous sont parvenus. Dès quevous avez recueillil des abonnements, venez nous enrendre compte, ou écrivez-nous, ou mème téléphonez au journal,pour que nos informations reflètent exactement, chaquesemaine, l'actualité.•

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!