Dictionnaire topogra..

xINTRODUCTION.xioncssont inconnues. 11 no faut pas s'en étonner, car la démarcation des diocèses deNoyon et de Soissons ne fut bien fixée qu'en 81 k, par un acte du concile de Noyon.Les Sucssiones, limités au nord, au nord-est et à l'est par les Remi, au nord-ouestpar les Veromandui, à l'ouest par les Bellovaci, avaient une certaine importance. JulesCésar leur reconnaît douze oppides, dont il serait difficile aujourd'hui de déterminerla situation exacte, une certaine civilisation, une agriculture en progrès et des relationscommerciales qui les unissaient étroitement avec la Grande-Bretagne, où l'un deleurs chefs avait commandé.Les Romains perfectionnèrent ce qu'ils trouvèrent dans le pays conquis, au moyendes camps', des colonies et des routes destinés à prévenir les séditions, ou à résisteraux hordes germaniques, attirées par des productions meilleures et un climat plus douxque celui (le leur pays.Les camps de Vermând, de Vigneux, de Saint-Thomas, de Condé-sur-Suippe deProuvais et d'Épagny, et quelques positions militaires que la nature s'est elle-mêmechargée de fortifier, telles que celles de Couey-le-Château2 et de Laon, où quelques historiensplacent Bibrax3, avec assez de vraisemblance, devinrent autant de postes occupéspour résister aux invasions.Ces camps et ces routes sont presque toujoursa\ oisinés par des monticules naturels ou élevés demainil'liurame dont on s'est servi pour favoriser les signaux.( )nen remarque à Blanzy-lez-Fismes à Étreillers, Beau-Cumquàrevoir,Festieux, Laniscourt, Landouzy, Pontarcy,l'ontru, Marie,Rouvroy,Villequier-Aumonl, Youël, etc.2 L'emplacement de Coucy, véritable sentinelleavancée en pointe escarpée aux dernières ramificationsdes montagnes, était très-convenable pour la défensecontre les intrépides Bellovaci. Etait-ce celui deNoriodunum Suessionum on d'un autre oppide desSnetnonet T3 Dudon, Vita Willelmiducis Willelmusverà, regeexercituque suo relicto, Laudunum Clavatum quodIlibrax dicitur, petivit cita, antecedente epitcnpbrumFrancisco? gentis clioro, etc. Guibert deNogent, Derità sud, lib. m, cap. ix: Uxor quoque Rogerii Montis\culi domini, Armengardis nomine. termine tumptnppr convatiemRibracinam ad Sanctum contendit Vincentium.per tinnu itaque inter duo brachia monliitpositas, die illd, c^nocteiter/ugientium et clericorunlH wilierumfuit. Légendaire de l'abbaye d'Origny-Sainte-Beuoite, en parlant de sainte Benoîtedam colleclancàet servuld Laudunum venit, quod untiquiorcetas Bibrax nuncupari maluit. Ancien manuscritconsulte par Étienne Delalain et Jérémic Laurentauteur d'une histoire abrégée de Laon Macrobiu*prœtor Romanus, œdificavit civitatemLaudunenscm, supermontent excekum, nomine Bibrax, et vocamteaniLaudunum. Flodoard et Hincmar ne sont pas contrairesà cette assertion. Ancienne prose de saintVincent chantée avant l'introduction de la réformeGaudeateccleaiaSedessecundaria,DecusLatidunicumVincentsub YinccntwCuju»BibraxbrachioDextrummunitbracMum.Kpitaphe de Baudouin II de'Goiirtray, abbé de litmême abbaye, mort vers 1 aaaAbbasBalduinusjacet hïc pielatis amatoi;Cuiparcal Dominuscœli tcrrœquc creator.Tramitedivino/uit cleclut ffcmiinoMorepius.pacis xpeculum lumen que Bibracit:Martiusin binisfuit ùlibus ens sibifinis.L'Elen, qui cite les paroles d'an vieux légendaire