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L'Hérésie du Sabellianisme

Être antitrinitaire, c'est à dire être contre la notion populaire qu'il y a trois substances ou personnes distinctes en Dieu, est généralement interprétée par le christianisme traditionnel et ceux de la mouvance évangélique comme étant du Sabellianisme. Dans l'esprit de ces gens Modalisme et Sabellianisme sont confondus comme étant un seul et même mode d'interprétation sur l'existence de Dieu. Toutefois une telle allégation n'a aucun support biblique ni historique, et reflète l'ignorance grossière et inexcusable de ceux qui s'opposent à la notion antitrinitaire, car il existe des différences considérables entre les deux. Surement que ces gens n'apprécieront pas d'être qualifiés comme étant des ignorants et vont rouspéter devant ce qui leur paraît injuste ou vexatoire, mais s'ils ne sont pas ignorants cela voudrait dire qu'ils sont des malfaiteurs et déformateurs de la vérité et des faits historiques, et c'est ce qu'ils sont pour la grande part. De nos jours, l'ignorance des gens qui se disent chrétiens est notoire, ce qu'ils ne comprennent pas ils le déforment au détriment de la vérité dans une vaine tentative de cacher la honte de leur méconnaissance, à cause qu'ils sont trop orgueilleux pour admettre leur incompétence.

Être antitrinitaire, c'est à dire être contre la notion populaire qu'il y a trois substances ou personnes distinctes en Dieu, est généralement interprétée par le christianisme traditionnel et ceux de la mouvance évangélique comme étant du Sabellianisme. Dans l'esprit de ces gens Modalisme et Sabellianisme sont confondus comme étant un seul et même mode d'interprétation sur l'existence de Dieu. Toutefois une telle allégation n'a aucun support biblique ni historique, et reflète l'ignorance grossière et inexcusable de ceux qui s'opposent à la notion antitrinitaire, car il existe des différences considérables entre les deux. Surement que ces gens n'apprécieront pas d'être qualifiés comme étant des ignorants et vont rouspéter devant ce qui leur paraît injuste ou vexatoire, mais s'ils ne sont pas ignorants cela voudrait dire qu'ils sont des malfaiteurs et déformateurs de la vérité et des faits historiques, et c'est ce qu'ils sont pour la grande part. De nos jours, l'ignorance des gens qui se disent chrétiens est notoire, ce qu'ils ne comprennent pas ils le déforment au détriment de la vérité dans une vaine tentative de cacher la honte de leur méconnaissance, à cause qu'ils sont trop orgueilleux pour admettre leur incompétence.

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n'a pas de début, il est éternel; et nous savons aussi que<br />

Jésus est Dieu Lui-même manifesté dans la chair comme<br />

Fils et qu'il n'existait pas avant comme Fils sous une<br />

forme corporelle mais comme Esprit incorporel ou Père<br />

Éternel.<br />

Une modification y est apportée au Symbole sinueux de<br />

Nicée-Constantinople par Charlemagne, qui ajoute que «le<br />

Saint-Esprit procède <strong>du</strong> Père «et <strong>du</strong> Fils»: «Je crois en<br />

l'Esprit saint, qui est Seigneur et qui donne la vie; il procède<br />

<strong>du</strong> Père et <strong>du</strong> Fils. Avec le Père et le Fils, il reçoit même<br />

adoration et même gloire; il a parlé par les prophètes.». Et<br />

on ajoute une autre épaisseur aux rebuts ecclésiastiques<br />

pour les sots et les cré<strong>du</strong>les afin de dominer sur leur<br />

conscience et leur foi. Le Filioque était déjà adopté dans<br />

l'Église d'Espagne quand Charlemagne décide de l'ajouter<br />

au Credo, contre l'avis <strong>du</strong> pape Léon III. Les papes<br />

résistèrent longtemps à l'Église carolingienne, jusqu'à<br />

Nicolas Ier, premier pape à adopter le Credo de<br />

Charlemagne.<br />

L'expression théologique de la nature de l'Esprit-Saint a<br />

été l'une des causes <strong>du</strong> Grand Schisme d'Orient en 1054 à<br />

la suite de la «querelle <strong>du</strong> Filioque». L'Église dite<br />

Orthodoxe se sépara de l'Église dite Catholique. L'Église<br />

latine a ajouté à la phrase il procède <strong>du</strong> Père, <strong>du</strong> symbole<br />

de Nicée-Constantinople, le mot filioque: «et <strong>du</strong> fils». Les<br />

chrétiens orthodoxes estiment cette innovation contraire à<br />

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