Catalogue Bouticycle 2018
Rêves de vélos - On a tous besoin d'un rêve pour avancer
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BIEN CHOISIR SON ÉCLAIRAGE<br />
LE<br />
<strong>Bouticycle</strong><br />
GUIDE<br />
SUR UN VÉLO<br />
VOIR & ÊTRE VU<br />
L’éclairage de vélo, un sujet crucial pour garantir la sécurité<br />
du cycliste.<br />
Ces dernières années, entre l’apparition de LED et l’amélioration des batteries, cet<br />
accessoire - loin d’en être un - a beaucoup évolué. Reste à choisir le type d’éclairage<br />
qui vous conviendra le mieux. Comment choisir son éclairage vélo, quelle puissance,<br />
quelle technologie, dynamo ou pile, LED ou halogènes ? Existe-t-il mieux que les lumières<br />
vélo pour se faire voir ? Le choix est pléthorique, et nous allons tâcher d’y<br />
répondre, et notamment pour vous aider à choisir dans notre gamme d’éclairage vélo.<br />
Pour vous donner une première indication dans votre choix, il faut savoir que les très<br />
bons éclairages coûtent facilement entre 50 et 100 €, mais déjà entre 15 et 20 € on<br />
peut trouver un éclairage de base, voire un éclairage très efficace pour les éclairages<br />
multi-LED sur roue qui démarrent à 39,90 €.<br />
1/ COMMENT CONNAITRE LA PUISSANCE LUMINEUSE DONT ON A BESOIN ?<br />
Le code de la route ne donne aucune précision sur la puissance d’éclairage, ni l’alimentation électrique.<br />
Les normes industrielles du secteur cycle prévoient que la tension d’alimentation soit de 6 Volts et la puissance<br />
électrique au moins de 3 Watts, mais comme le rendement n’est pas précisé, un éclairage peut très<br />
bien être agréé... et insuffisant. A titre d’exemple, les normes allemandes, généralement plus sérieuses<br />
et plus pragmatiques, imposent quant à elles un éclairage d’au moins 10 lux à 10m. Pour bien voir votre<br />
chemin, si vous empruntez des routes mal éclairées, il vous faudra des phares d’au moins 20 Lux. Pour un<br />
usage occasionnel de nuit en centre-ville bien éclairé, un phare amovible de 4 Lux peut être suffisant. A<br />
vous de faire preuve de discernement.<br />
2/ PILES OU DYNAMO ?<br />
Les piles constituent une bonne solution si vous roulez peu (2 à 3 fois par semaine). Pour les cyclistes<br />
quotidiens, les accus rechargeables s’imposent. Sachez que 20 à 40h d’utilisation suffisent pour amortir<br />
des piles rechargeables. Certains nouveaux éclairages se rechargent aujourd’hui sur des ports USB. Autre<br />
nouveauté recente, les éclairages s’allumant automatiquement, en les clipsant ou déclipsant, ou grâce à<br />
un système de fixation par aimants. L’éclairage dynamo est le meilleur choix pour les vélos de ville et de<br />
cyclotourisme, la dynamo est montée à demeure sur le vélo, on peut compter sur un éclairage intégré au<br />
vélo, autonome et toujours disponible, ce qui s’accorde avec l’utilisation régulière d’un vélo.<br />
3/ TECHNOLOGIE LED OU LAMPES HALOGÈNES<br />
Fini le temps de la petite lumière blanc pâle pour éclairer notre chemin. Si les phares à ampoule halogène<br />
existent encore, il est indéniable que le futur est aux LED (Light Emitting Diode, ou DEL). Leurs avantages<br />
sont considérables : elles sont très peu gourmandes en énergie, peu sensibles aux chocs, et leur durée de<br />
vie théorique est quasi-infinie, ce qui justifie leur prix parfois élevé.<br />
4/ LES ÉLÉMENTS RÉFLÉCHISSANTS<br />
Ils sont indispensables pour votre sécurité. Ce sont généralement des catadioptres. Ils n’éclairent pas mais<br />
réfléchissent beaucoup la lumière. La législation impose d’en disposer à l’arrière (rouge), sur les côtés<br />
(fixés sur les rayons ou collés d’origine sur les pneus), sur les pédales (orange), et également devant<br />
(blanc). De sorte que vous soyez visible dans les phares d’une voiture.<br />
BOUTICYCLE <strong>2018</strong>_RÊVES DE VÉLOS<br />
BOUTICYCLE.COM<br />
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