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LISTE DES ANNEXES Annexe 1 : Liste des animaux intégralement protégés au Gabon. Annexe 2 : Liste des animaux partiellement protégés au Gabon. Annexe 3 : Liste des quotas d’abattage d’animaux sauvages autorisés au Gabon. Annexe 4 : Questionnaire chasse Annexe 5 : Questionnaire commerce de viande de brousse (commerçants) Annexe 6 : Questionnaire commerce de viande de brousse (restaurants) Annexe 7 : Questionnaire consommation en foyers Annexe 8 : Rapport de mission CDS 1 Djidji n°13 Annexe 9 : Rapport de mission CDS 1 Djidji n°14 Annexe 10 : Demande de subvention au FFEM Annexe 11 : Statut de l’Association WRF Annexe 12 : La loi 16/01 portant code forestier en République Gabonaise 12
Introduction Section I – Constats relatifs à la cynégétique en Afrique Centrale La problématique « faune sauvage » en Afrique Centrale a presque toujours été abordée par l’aspect négatif de l’impact des activités humaines sur cette dernière (Wilkie, 1987 ; Lahm, 1993 ; Steel, 1994 ; Dethier 1995…). Souvent, la chasse (villageoise et/ou commerciale) et le commerce de viande de brousse sont tenus pour responsables du déclin de la faune sauvage forestière. Sous l’égide de Bailleurs de Fonds, (FAO, BM, UE, ONGs Internationales…) plusieurs études tendent à mettre en évidence l’impact négatif de ces pratiques sur la biodiversité au point de l’ériger en phénomène de société (Bahuchet, 1999). La question que se posent les auteurs est toujours celle de l’impact de la chasse sur les populations animales et la perdurabilité de ces activités (Dethier, 1995 ; Jeanmart, 1998). Dans ces débats d’opinions, peu de place est faite pour les différents intervenants et si plusieurs évaluent les gains monétaires, personnes ne fonde cette évaluation sur une observation des ventes et des profits réels des acteurs de la filière (chasseurs, transporteurs, commerçants (es) et autres). Etant menées très souvent par des biologistes, le point de vue qui transparaît dans ces études est toujours celui de la population animale, jamais celui du villageois. La communauté internationale à travers des groupes d’activistes écologistes a engagé des campagnes d’opinions internationales par voie de presse pour influencer les gouvernements occidentaux sur la nécessité d’amener les pays de la sous-région Afrique Centrale à interdire la pratique de la chasse et du commerce de viande de brousse (Bahuchet, 1999). Nulle préoccupation n’est accordée aux populations forestières, considérées comme primitives de par leurs habitudes alimentaires. Sur le terrain, des programmes occidentaux comme ECOFAC, WCS, CI, WWF, … se sont vus confier des missions d’appui aux administrations en charge de la protection de la biodiversité. Face à cet élan, dont le but avoué est « d’arrêter l’hémorragie 2 », le constat sur le terrain est dramatique car les populations rurales, généralement démunies et très souvent peu ou pas sensibilisés, sont réprimées. Le villageois devient alors une victime dans un système où son quotidien n’est basé que sur la subsistance. 2 Cette expression a été utilisée par Pauwel De Wachter du WWF Minkébé, lors de l’atelier viande de brousse du 03 au 07 décembre 2002 de la Lopé (Gabon) - 13 -
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Les retombées d’une réhabilitat
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plantations aux alentours d’Ipass
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La dentition a été déterminée p
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sauf s’il s’agit de juvéniles
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Les Potamochères sont très friand
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socioéconomique indéniable pour l
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Déroulement de l’enquête Certai
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étalages en béton et/ou sur des t
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Chapitre IV : État des connaissanc
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Depuis une quinzaine d’années en
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21 Bahuchet et al. 2000 De la forê
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La recherche scientifique va par la
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quelques siècles auparavant. Ainsi
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- La chasse constitue un important
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Sur le plan méthodologique, nous r
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Section V - La filière viande de b
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Un des principaux résultats de ces
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l’enquêteur du WCS, un Gabonais
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Section VII - Le Groupe de travail
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Déclaration de Brazzaville 38 , et
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• Pour ce qui est du dialogue pol
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- Congo : Aménagement de la Congol
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Pour atteindre ce résultat, la str
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arboricoles 46 , chasse au Gorille
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pas au premier abord comme la total
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aurifères, la chasse en Guyane dev
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- L’influence du relief sur la de
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les marchés urbains, privant ainsi
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DEUXIÈME PARTIE Caractérisation d
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loi sur le terrain. Mais dans tous
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essentiellement des chasseurs d’
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intimidations, mais cette ethnie se
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IV.2. Moyens de transport utilisés
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l’avantage de contenir plusieurs
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V.4. La Chasse du Potamochère au f
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disparaissent assez rapidement, ell
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Photo 11 : Bauge fraîchement fréq
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se presse alors de faire un trou da
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V.7. Optimisation de la chasse au P
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des familles, sont les plus consomm
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Figure 5 : Importance relative moye
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la famille des Papilionacées en t
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La majorité des fruits, feuilles,
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C’est 25% des chasseurs questionn
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dans notre échantillon 8% des chas
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V.9.1. Les différents types de pi
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l’utilisation de fétiches ce qui
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En marge de la classification préc
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Tableau 15 : Liste des espèces ani
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Les chasseurs Kota sont formels sur
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C’est une partie du gibier géné
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Tableau 18: Chaque partie animale a
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F : Aboum Kt : To Kw : Bet Photo 19
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Tableau 19 : Les prix moyens fixés
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Photo 21 : Plantation de manioc rav
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munis d’un certificat d’origine
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ceux qui la contrôlent le plus. No
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En moyenne 8 commerçantes de viand
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En effet, ces deux activités (comm
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Section III - Le commerce du gibier
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(1.000 FCFA la course sur Makokou)
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vendus par groupe taxonomique et l
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Ordre Famille Poids moyen Nom scien
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Le gibier est présent sur le march
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Figure 17 : Courbes de distribution
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- Le groupe des Rongeurs : Il est r
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commerçantes seront plus chers, le
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III.6. Provenance du gibier Il exis
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- L’axe de provenance Makokou-hau
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moyens confondues), le Chevrotain a
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Par ailleurs, la vente en paquet es
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Chapitre VII : La consommation du g
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Dans l’hypothèse que les croyanc
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le plus souvent fumé pour une meil
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Section II - Quelques spécificité
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qu’il ne faut plus ramasser les a
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d’être également très renferm
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nous (les Ogivins 75 ) qui sommes r
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Potamochères en forêt n’est pas
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Photo J. Okouyi Figure 34: Pitchou
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Section II - Définitions, et bref
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produits de la forêt étaient comb
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le ronflement du cochon. Les hommes
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IV.4. Le Mikan ou la danse de la Pi
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spécifiquement adaptés à chaque
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En général, ce dernier est un ini
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La plume rouge du Perroquet gris du
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Tableau 32 : Liste non exhaustive d
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- Les Vipères cornues du Gabon (Bi
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Céphalophes sont généralement d
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Le prix de l’ivoire est en hausse
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féticheurs. Il s’agit de la Pant
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- L’Eléphant (Zokou en Kota et N
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Photo 39 : Hocheur en captivité au
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Les Singes ne sont pas les seuls an
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Tableau 34 : Exemples de contes (ti
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Chapitre IX : Les atouts potentiels
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qui plus est, travaillant pour la p
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voisinage d’une localité, elle f
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européens restent encore des conce
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esponsables de sa raréfaction. Par
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monde, cela suffit » aurait dit le
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un déséquilibre social qui facili
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tout pour que cela soit ainsi. Ce q
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Carte 11 : Localisation des campeme
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centrale, la zone tampon et l'aire
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Esquisse de zonage du Parc de l Ivi
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gibiers choisis et les chasseurs ad
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Cette sélectivité spécifique (pi
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I.2.3. Le partage du gibier Tous le
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Quant à la cueillette, elle est pr
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II.1. Le "pouvoir" des femmes où l
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Makokou sont des actrices de la fil
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Céphalophe bleu (26,33%), le Céph
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Tableau 29 : Comparaison des prix a
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Le gibier est vendu toute l’anné
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donne plusieurs possibilités de tr
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vis du caractère « chimique/artif
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L’expérience du projet DABAC sur
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font partie des gibiers les plus co
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Inséparable à tête rouge, Agapor
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Chapitre XI : La loi 1/82 déguisé
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l’est moins dans le nouveau code.
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décret n° 677/PR/MEFE du 28 Juill
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Il est également possible de favor
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qui se l’approprie. Ils font l’
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l’étude de la chasse), soit en f
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Chapitre XII : Le caractère nature
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ésigne à croire qu’il est maudi
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Par ailleurs, le Potamochère comme
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suspens. Ce projet de recherche a
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ALVARD (M.S), 1993 - Testing the «
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CITES BWG, 2002 - Rapport d’activ
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GRENAND (P.), 1996 - « Des fruits,
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LAMBLARD (J. M. ), 2003 - L’oisea
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VIANO (M.), 2005 - Caractérisation
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VI.1.3. Traitement et analyse des d
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VI.2. Les différents interdits....
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