23 novembre 1927 - Bibliothèque de Toulouse

LES AUDITIONS PAR T. S. F.
PROGRAMMES DO 33 NOVEMBRE
RADIO-PARIS (1.750 mètres)
A 12 h. 30. — Prélude de Pénélope, de Fau
ro ; Aphrodite ; Chanson russe ; Le réveil
des fleurs ; Marche de « Lohengrtn », de
Wagner ; Chanson d'autrefois ; Carillon fla-
mand ; Eglogue ; Ouverture de l'Italienne ;
A'uif à Lisbonne.
A lfl b. 45. — images enfantines Sonate;
Tiomance ; Après l'ondée ; Premier mouve-
ment du concerto de Bocchcrlni ; Catulle et
CesHc.
F. L. (2.650 mètres)
A 19 h. 30. — Sonate de VceUlet ; Passa-
taille, do Haendel ; Shcrio en si bémol, de
Chopin ; Quatre pièces, de St-Saens ; Qua-
tre danses, de René Bâton ; Danses espa-
gnoles ; Eeguedillas.
ECOLE SUPÉRIEURE DES P. T. T.
(458 -êtres)
A 14 heures. — Scènes foraines ; Orphée,
Ae GHicn ; Menuet ; La vie de Bohème, de
Pucclnt ; le Vaisseau fantôme ; Chœur des
tlteuses. de Wagner ; Le Cld, de Massenct.
A îl heures. — impromptu en la mineur,
de Fauré ; Etude de concert en fa, de Listz;
Symphonie espagnole, de Lalo ; Joie d'ai-
mer, de Krlssler ; SI mes vers avalent des
ailes, de R. Hahn ; Les roses d'ispahan ;
Kspafia ; Prélude op. 3, de Rachmaninoff ;
Seconde gavotte.
RADIO-TOULOUSE
Longueur d'onde ; 389 m. eo
MERCREDI 23 NOVEMBRE
10 ii. 43. — L'inoubliable java (Scotto).
.43 il. 30. — Vrèctoux'.
n h. 45 — Concert, ottert par le Radio-
Club de l'Astarac, à Mirande (Gers) :
1. Le Ilot a'Yvetot, ouverture (A. Adam) ;
S. Bourrée (J. S. Bach); 3. Sérénade prtnta-
nière (A. Holmes); 4. Grand air de Louise
(G. Charpentier); 5. Lucie de Lammermoor,
fantaisie {G. Doniwitti); 6. Aubade senti-
mentale (L. Garnie); 7. L'Ile heureuse, valse
(E. Cliabrier); S. A la veillée (H. Février) ; ;
9. La dot- de Martine, suite (F. Masson); tu.
La Morena (C. Cbaminade); 11. L'attente
(F. Schubert); 12. Et Belampago, paso doble
JPJf, Ohaumeil).
U h. 15. — Retransmission da l'émission
Radio-Agen. Cours commerciaux et agrico-
les.
17 h. 20. -; Causerie sportive du Miroir des
Sports.,
17 h; 30. — Just a Mrd's eye et my old
kenlucky home. .
. 3» heures. — La vie de Bohème (Ftteclni).
. .. g) h. 45. — Concert :
l'm looMng over a four leaf clover, tox-
trott; Oh Plmprtnalla, posa doble (X); Old
Spaln, paso doble (X); Les Noces de Jean-
nette, « Margot lève ton sabot » (V. Massé);
Le Pas 'd'armes du roi Jean 'St-Saëns); La
Vosca, fantaisie, première et deuxième par-
,tie. /La prière iPuccini); Légende naïve, vio-
lon solo (X); Bomance, violon solo (X); Ca-
vatlcria llustlcana, intermède (Mascagni) ;
•jW.erther, » O nature pleine de grâce » Dtas-
senet) ; La Damnation de Faust, « Invoca-
tion à la nature (Berlioz); Valentine, onê
step, pour accordéon et banjo ; Chansons
. arciennaises (X); première et deuxième par-
tie ; Swords and sabres, tox-trott (X); Ba-
bylng you. tox-trott (X); Tïghts out, marche
(Xi: National emblem. marche (X).
JEUDI 94 NOVEMBRE
10 h. 15. — Tahe ln the sun hang out the
rnoon (Wood).
13 h. 30. — J Can't over a gtrl UUe you
(Broones).
12 h. 45. — Concert :
1. Le Calife de Bagdag, ouverture (Boiel-
dleu); 2. De Grenade à S-évtlle (V. Dyck) ;
3. Olai rriflrason (E Gricg); 4. Tendresse
(Marc Delmas); 5. Les Troyens, fantaisie
(11. Berlioz); 6. Les Papillons (Couperin); 7.
Gens gais, valse (Ph. Farbach); 8. Célèbre
andante, 2" sonate (Mozart); 9. Deux enl'rac-
tes de Bosamunde (F. Schubert); 10. Chan-
son à bercer, pour violoncelle (Scbmidt);
11. Les fillettes au bois (P. Lacome); 12. Dan-
se caractéristique (P. Tchaïkovskyj.
H h. 15. — Retransmission de l'émission
Radio-Agen. Cours commerciaux et agricoles.
17 h. 20. — Causerie scientifique de La
Science et la Vie.
17 h. 30. — Sam the accordlon man (Do-
naldson).
'20 heures. — Richard Cœur de Lion (Gre-
try).
20 h. 45. — Concert offert par la Compa-
gnie des Lampes Métal-Radio, 41, rue La
lioétte, Paris (danses tous pays) :
/ nencr knetv the moonllght. fox-trott (X);
Tho night you bclong to me, valse (X): Ga-
lathèe, couplets de la Coupe (Victor Massé) ;
Samson et Dallla, « Mon cœur s'ouvre à ta
voix » ISt-Sagns); Aida, « O terra adto »,
cn italien, première et deuxième partie (Ver-
di); Bigoiello, « Caro nomo cite il mio
cor », cn italien ; « E il sol dell anima ...
en Italien (Verdi); Carnaval de Venise, flMe
avec piano (X); ttéverie, violoncelle et piano
'Schumann) Paillasse, prologue, première
c; deuxième partie, chœurs en italien (Leon-
cavallo); Marche turque, clavecin solo (Mo-
zart); les Noces de Figaro. « .Te ne sais miet-
te ardeur », « Mon cœur soupire » (Mozart);
J're gol, some lovin to do, fox-trott (X);
Bo'tshevich, fox-trott (X); Shallmar valse
(X). — Far l'orchestre :' Un air jeateux IF.
van Herck); La Liégeoise (Milio); Ma Ninon
(E. van Herck).
TOULOUSE-PYRÉNÉES
(Toulouse-P. T, T.)
MERCREDI 23 NOVEMBRE
20 h. 30. — Causerie agricole, par « Le
'Progrès Agricole », 51, ni© Alsace-Lorraine
Toulouse.
20 il. 45. _ Retransmission du nrogram
me de la Station Marseille-P. T. T. Sélec
lion opéra ou opérette.
JEUDI 94 NOVEMBRE
20 li. 30. — La demi-heure des enfants, par
M. Joseph Beyt. Dernières informations.
21 heures. — Concert organisé par l'Asso-
ciation des Amis de la Station et offert par
la pastille du « Gourron du Père Viol », Jar-
din-Royal, Toulouse,
ire partie : Concert vocal et Instrumen-
tal. Interprètes : Mlle Despélou, 1er prix
du Conservatoire, professeur de piano ; M.
David, violoncelliste ; Mlle Jaubert. .
2' partie : La Troupe « Art et TJiéâtre »
interprétera L'Ami Fritz, comédie en 3 ac-
tes d'Erckmann-Ohatrian.
STATION R A DIOT£LÉ PHONIQUE
DE MARSEILLE-P. T. T.
longueur d'onde ; 300 mètres.
MERCREDI 23 NOVEMBRE
17 K. lû. — Concert du Phono Amplion.
17 h. 30. — Nouvelles et Informations, par
Wilheb.
21 heures. — Concert organisé par le»
« Amis de la Radiodiffusion Populaire «le
Provence », avec lo concours de Mme Pa/ruy
Desforges, du Thcâtro des Variétés ; Boul-
tla, professeur adjoint au Conservatoire ;
Martin, des principaux concert. — Causerie
sur Le Maître de Chapelle.
Opéra comique de Paer. Fragments du
Maître de chapelle, interprété par Mme Pa-
quy Dosforges ; MM. Boultla «t Martin.
Concert offert par les piles « Wonder ».
Le piano de la Mlson Gébelln sera tenu
par M. Mèradou.
JEUDI 34 NOVEMBRE
17 heures. — Conte pour les enfants, par
Willie-b.
17 h. 30. — Nouvelles et Informations.
20 h. 45. — Causerie sur. La basse-cour, par
Pierre Duclapier.
21 Heures. — Concert de musique d'orgues
organisé par les « Amis de la Radiodiffusion
populaire de Provence » et offert pa; « Les
Produits agricoles Bayard », 33, boulevard
Sakakinl, a Marseille.
BORDE AUX-LAFAYETTE
(279 mètres)
MERCREDI 23 NOVEMBRE
13 h. 30 et 20 h. 30. — Informations.
20 h. 35. — Causerie par M. Agricole.
20 h. 45. — Concert offert par la Maison
Berniolles. Sélection de Faust (Gounod). avec
le concours de M. Jacques Rocher, ténor du
Grand-Théâtre de Nantes ; M. Larroque,
tasse chantante du Palais d'Hiver de Pau :
Mme Renée Dali, soprano lyrique ; M. La-
versanne, pianiste accompagnateur, et le
septuor Lafayette.
JEUDI 24 NOVEMBRE
13 h. 30 et 20 h. 30. — Informations.
20 h. 45. — Retransmission du program-
me diffusé par l'Ecole Supérieure de* P. T.
T., â Paris.
Crcpaca Italiapa
La disciplina del lavoro al Gran Con-
siglîo. — Borna. — Dalle ultime sedute
risultano nonne per le associazioni sin-
dicali ; i contratti collettivi di lavoro ;
gli ufftcl di colloeamento ; l'abolizioai
del mediatorato. In fine, il Gran Consi-
glio ha deciso che i datori di lavoro
prendano sempre maggiore contatto
per lo svilup-po délia loro azione eco-
nomlca, in ordine alla politca del prez-
zi e dei costi, secondo le directive del
Governo.
14° Che si apprestino gli studi e i
provvedimenti necessari per aiieguare
l'ordinamente sindicale allo svolg'imen-
to dalPordïnamento corpoiativo.
15° Che si c'oordinino sempre piu se-
condo la esigenze unitarie consacrât©
dalla Carta del' Lavoro, le funzioni e
le iniziative statali cbe coneorrono alla
disciplina délia produzione e del la-
voro.
L'on. Battai ha concluso : « Soltanfo
attraverso lo Stato corporotivo noi -pos-
siamo affermare di aver superato il li-
beralisoo. di aver integrato e trasfor-
mato la democrazia, di ay-er distrutto
^ miti e raccolte la verlt-a del- socialis-
mo. »
Ma tutto questo è stato redduto pos-
sibile a cagione che l'Italia vive sôtto
il scettro délia Casa di Savoia.
MERCREDI 23 NOVEMBRE
UN RHUME
NÉGLIGÉ
c'est la porte ouverte à toutes les maladies
roE la GORGE, des BRONCHES ET des POUMONS
NE NÉGLIGEZ PAS UN RHUME!
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que de la Menstruation, Règles irré"ulièr °n"
douloureuses, en avance ou en retard "perte*^ ûu
ches. Maladies intérieures, Métrites, Fibro
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pingite, Ovarite, Suites de Couches re*" 6 ' Sa| "
sûrement la santé rien qu'en faisant 'Cra
de la . usage
JOUVENCE DE L'ABBÉ SOURY
uniquement composée de plantes inoffer.sives jouissant de pron s
spéciales qui ont été étudiées et expérimentées pendant de lonj Ue tés
La Bandiera nazionale. — Borna. —
Le notizie pubblicate da alcun.gio.mali
su modifica'zioni da apportarsi alla
bandiera nazionale sono prématuré e
inesatte.
AU' universita di Rotna. — La laurea
ad honorem a Gahriele d'Annunzio con-
ferita dall' Universita di- Borna il 14
ottobre 1919, inviata in quel tempo a
Fiume e non mai pervenuta al suo in-
(iirizzo, à stata unamente mandata ieri
l'altro in duplioato ' al poeta dal prof.
Gieorgto Del Vecchio. che ha voluto
compiere quest'atto prima di lasciare 11
suo ufflcio direttore. in cui viene sos-
tituito dal prof. WS8efico Mlllosevi^h.
— LUIGI.
CHEMIN DE FER DE PABIS
A OBLEANS
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AU SERVICE D'HIVER
Des modifications d'horaires seront
apportées, à partir du là novembre,
sur diverses sections du Béseau.
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se renseigner à l'Agence spéciale de la
Cie d'Orléans, 16. Boulevard des Capu-
cines, aux Bureaux de Benseignements
de la Gare du Quai d'Orsay, et là6*.
Boulevard Baspail, à Paris, ainsi
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les maladies de la femme. Elle réussit bien parce qu'elle déhar s
l'intérieur de tous les éléments nuisibles ; elle fait circuler le e ***
décongestionne les organes, en même temps qu'elle les cicatr'st, 3302 '
La JOUVENCE DE L'ABBÉ SOURY ne peut jamais être nuisjhi
toute personne qui souffre d'une mauvaise circulation du san» I: et
Varices, Phlébites, Hémorroïdes, soit de l'Estomac ou des Nerf^' tS*
leurs, Vapeurs, Etouffements, soit malaises du RETOUR rvirTr- a-
employer la doit
JnveicB de l'Aibfi Souru
en toute confiance, car elle sauve tous les jours des mtll
pérées.
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BOURSE DE PARIS
Du 32 novembre.
Parquet comptant
Perpétuel 3 %..
Amortissables %
57 75
69 iii
— 3 y2 %
7î> 03
— 19174 % .... 61 30
— 1918 4 % .... 60 '.!:>
—1920 5 % 91 70
— 1920 6 % .... 91 -15
—1925 -l % 98 75
— 1927 6 % 97 00
.Trésor 6%1922 • • •
532
—1923-24 522
605
547
461 50
Caisse autonome. 50!)
Crédit Nat 1919. 465
--.1.&20
474
502
— 1922(février). 505
—1922 (juillet). 517
— 1923 (janvier) 494
— 1923 (juin). .. 489
—1924 (janvier 490
Ouest-Etit 4 %. 294
— f> % 1919 321
Afrique-Occ. 3 % 326
Tonliin 2 V2 %. . 52
Indochine 1909.. 287
324
Madagascar 2 J/2. 54
64 50
Maroc 1914 3C5
408
Tunis 1892
255 50
.'Algérie 3 % 1902 336
turiis.3%1902-07 287 a .
Ville Paris 1865. 869
349 50
88 50
403
404
196
52 50
. —-'1894-96 196
— quart
— 1898
V* Paris 1898 1/4
—1899
-— quart
— 1904 .'
— cinquième . ..
— 1905
— quart
— 2 3;4 % 1910.
— demie .....
— 3 % 1910
— quart
—1912
— 1919
cinquième . ..
1921
cinquième ...
1922
1923
6 % 1924
6 >/. % 1924..
7 % 1925
Foncières 1879..
— 1883
— : 885
— cinquième . ..
— 1895
— 1903
— 1909
— 1913
— 4 % 1913....
— 1917
Bons 1887
—18S8
Communalesl879
— cinquième . ..
—1880
— 1891
— 1892
— 1899
— 1906
— 1912
— 1920
— 1921
— 1922
— 1923 non Mb..
53 25
235 ..
62 50
227 ..
56 .
232 ..
47 25
370 ..
90 50
201 50
101 .
204 ..
50 .
207 50
319 .
70 ..
485 . .
98 ..
496 50
479 ..
468 ..
478 ..
504 ..
487 ..
238 ..
240 ..
52 50
269 ..
269 ..
142 ..
267 . .
396 50
226 ..
58 50
59 75
487 ..
102 ..
476 ..
231 ..
268 ..
253 ..
255 .
140 ..
383 50
424 ..
385 ..
3S3 ..
545
— 1927 455 ' *
Panama (bons). . 135
Banque de Francel 5025
— d'Algérie 12330
— Nat. de Crédit 880
2100
Union Parisienne 1200
C le Algérienne. .. 1815
Comntoir Nation. 1335
Crédit Commerc 1180
2820
— Lyonnais .... 25! 0
— Mobilier 590
Société Générale. 1120
Foncier Algérie. . 620
Rente Foncière. . 989
Soc. Marseillaise. 719
880
— "t o/ 314
—3 % nouvelle . 297
— 2 y, % 300 .5
1110
— 3 % 296
Méditerranée 5 % 440
— 3 % 300
— 3 % fusion ... 299 50
— 3 % nouvelles 294 50
-2 '
220
Brakpan 632
3">8
Caoutchoucs . ..". 387 50
171
Coiomnia 333
Concordia 231
Crown-Mines. ... 445 50
De Beer ordin. .. 1817
— préférence .. . 1641
195
282 50
116 50
215
FYa nco -Poîona ise 335
Fco Wyom. ord. 661
554
327
26 S
250
1615
776
Jagerslontein . .. 411
501
90 50
498 - •' •
439
— préférence . .. 403
775
271
Mexican Eagle. . 1 10
124
Montecatini .... 263 50
100
Mozamni tue. ... 107 50
245
Nortli Caucasian. 51 25
l*adang 12 3
Puos.Constantine 526
— Tuni-'ens . ... 410
174
Randtontein 89 75
432
Rav 456
41 25
73
147
'5 75
Steaua France.. ,
Tabacs Orient. .,
Taganrpg
Tanganyika
Terres Rouges...
453
134
127
476
900
Tharsis ........ 390
Transvaal 316
'i.'ubss Sosnowice 282
Tubize privilégié. 829
COURS DES CHANGES
PLACES
ÉTBAKËÉKÎS
UNITÉ
DE CHANGE
Va'ei.r
cn francs
au pair
COURS
du . ',
JOUI!
cou
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vii
1 livre sterling 25.22 121 114 124 03
New-York . .. 1 dollar S. IS 25 43 25 c:
Allemagne...
ï CD races
607 607 25
Argentine . .. 220.— ,.
Belgique 355 355
Brésil 100 miras 2S3.—
Bulgarie .... 100 levas 100.— # . '' ",.
' 1 dollar 5. IS .
Danemark. .. 100 couronnes iîS.30
Espagne .... 100 pess'as 100.— 430 75 430 50
Finlande . ... 100 markkas 100.—
ICO drachmes F00 .—
Hollande 100 florins 20s.— 1027 50 t023
Italie 100 lires 103.— 133 40 13 25
Japon ...... 100 yens 258.—
Norwège .... 100 couronnes 138.80 674 B74 .,
Pétrograd ... 100 roubles 2ee.se
Portugal.... 100 milreis 664.43 "% 124 50
100 marcks 128.— *7i 50
Roumanie ... 100 lel 100.— 15 75 15 70
Serbie 100 dinars 100.—
Suède 100 couronnes 138.30 6S5 25 tiS4 SO
Suisse...... 100 'r, suisses 100.— 490 litu 50
Uruguay 100 pesos 400.—
ICO couronnes 105.—
BOURSE DE TOULOUSE
'- . -'. Du 22 novembre1-
Valeurs locales (actions). — Société Méri-
dionale Transport dé Force, ex. c. a, »•.
Mines d'Albi, ex. c. 34, 621; Etablissements
La;>orte, ex. c. 3, 40; Glacières Toulousaines
et du Iiazale, ex. c. 6, 172.
Valeurs locales .obligations). —, Société
Méridionale Transport de Force, 6 %, "0 ;
bons 6 i % 1/2 net 1923. 460 ; Ferronnerie»
du Midi, nouvelle G %. 325.
PÂTES
ENTAI RES
Feiuilleton du 23 novembre 1927
LA GARRIGUE HANTÉE
par» «Jean de BARASC
XXIV
f Sone les grandes futaies, le crépuscule
Battait déjà une obscurité inquiétante...
Plusieurs foi.-., elle s'arrêta, le souffle
•coupé par la frayeur, les regards fixés
sur des ombres qui lui semblaient mena-
çantes, et . qu'elle reconnaissait bientôt
pour quelque tronc d'arbre mort, ou quel-
que arbrisseau isolé dans une clairière...
Mais, soudain, l'épouvante la cloua sur
placé.
Un spectre blanc s'était jeté en travers
de sa route.
— Pas un mouvement! glapit-il d'une
Toix sépulcrale en avançant rapidement
BUT elle...
La vieille, tremblante, claquant des
dents, était incapable de faire un cri pour
appeler au secours...
D'ailleurs, on ne l'aurait pas entendue :
elle était en plein bois, à plus d'un kilo-
mètre de toute .'abitation...
Le fantôme blanc arriva sur elle.
La Bargandu.e sentit son cœur s'arrê-
ter Elle s'évanouit de terreur avant
d'être frappée...
Mais, déjà, la pince de Fianaransoatra
l'avait mordue au poignet et lui injectait
une dose de veni.i vipérin trois fois mor-
telle.
La vieille tomba foudroyée...
A peine eut-el'.e deux ou trois convul-
sions d'agonie : quelques secondes avaient
suffi; elle demeura immobile, le visage
contracté dans une épouvantable grimace
d'horreur.
Linavre, car c'était lui, jetait cependant'
autour de lui des regards effarés...
Mais personne ne l'avait vu.
Personne n'avait _ entendre, car toute
l'affreuse scène s'était déroulée dans un
silence absolu...
Alors, il sortit de sa poche la boîte où
il avait enfermé la vipère à la tête
écrasée, et jeta 1J reptile à deujc pas du
cadavre de la Bargandière.
Puis, il disparut sous les bois...
Nulle part derrière lui, il ne laissait do
traces, car il choisissait toujours les ter-
rains herbus pour poser ses pieds...
...F.n sortant du chalet Basque, il avait
pris la direction de Ranclos d'un pas
rapide...
Il se dissimulait dans les bois de gené-
vrier pour arriver chez la Bargandière
sans être vu, lorsqu'il l'avait aperçue
marchant sur la route...
Il l'avait aussitôt suivie, sans qu'elle
s'en doutât.
Désormais, c'en était fini d'elle 1... Elle
ne parlerait pas aux juges, ni aux gen-
darmes !
— A l'autre, maintenant! pensait Li-
1 navre...
Sur le cnemin. il avait repris uno allure
plus tranquille
Si quelqu'un le voyait, il ne f Allait pas
qu'il parût fuir...
U arriva à la nuit tombante au chalet
Basque, de l'air paisible d'un propriétaire
qui vient de donner un coup d'reil à ses
domaines et qui rentre satisfait.
Mais comme il pénétrait dans sa cham-
bre pour remettre dans son tiroir secret
la pince en bois dur de Fianaransoatra,
i! retint avec peine un cri de rago,
Son coffré"ciail ouvert.
Il se précipita, vérifia les tiroirs.
On n? semblait p-i avoir touché aux
pièces d'or ni aux yaleurs ficelées en
liasses.
Mais le parchemin du xv« siècle, lo
fameux document qui révélait l'existence
du trésor d'Anglines. avait été dérobé.
— Oh! gron "'. Linavre hors de lui...
Quel est donc être?...
Au fond du compatiment inférieur, la
vue d'une carte de visite le fit reculer
d'un pas, blême et chancelant.
() venait d'y lire encore une fois le
nom fatidiqu: de Fianaransoatra.
Mais, par un violent effort, il domina
sa faiblesse.
• Il prit la carte, l'examina de près :
l'encre en était encore fraîche ; elle se
brouilla sous son doigt.
— Ah i 11 n'est pas loin ! s'écria-t-il... Je
ne le laisserai pas échapper comme la
dernière fois... C'est moi qui le devan-
cerai dans son repaire 1
Frissonnant de fièvre et de colère, il
s'élança vers 1 souterrain, à la course,
sans prendre la t , line ni le temps de se
déprui.ser d'aucune façon.
D'ailleurs, il faisait nuit, et, à cette
heure, la Garrigue était absolument dé-
serte.
Linavre était persuadé que son voleur,
son ennemi occulte, ce mendiant-fantôme
prodigieux, avait son repaire dans un des
recoins des souterrains.
En allant vite il arriverait avant lui,
s'embusquerait à l'endroit propice et 1J
précipiterait dans un des gouffres téné-
breux de l'aveu...
Stimulé par cet espoir et par la rage
que soulevaient en lui les ins >tenios au-
daces de, l'inconnu, ce fut presque en cou-
rant qu'il accomplit le trajet du chalet
Basque au gros ocher moussu.
Il connaissait si parfaitement les bois j
qu'il s'y dirigeait à l'aise bien qu''l fût j
presque nuit.
Il n'avait garde, d'ailleurs, de cheminer
sans précaution... L'occasion était uni- 1
que : il \mportait de ne pas la
par une imprudence...
Qu'il fût ape-çu par le mystérieux ni
diant. et tout était remis 1
Aussi, dans sa course rapide, il ^
observait pas moins les alentours de
la puissance de ses yeux exercés-
Mais il eut la sat'sfaction d'cnti*».^
bientôt- devant lui la silhouette brune '.
cherchait...
Le mendian: ^.ntôme s'en aïl.'ù'.
tant toujours sa besace gonflée.
Selon le sentier qu .1 suivait, il m»r!AL-O F FIC F ET
2, Rue Bayard,
Principale agen
TOULOUSE, •«Mg^&f
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